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Prague : Lucia – Chapitre 3

Prague : Lucia - Chapitre 3



DEBUT DU TROISIEME EPISODE

Elle habitait dans un « 2 pièces » au deuxième étage dans un immeuble cossu du style de lancienne URSS, assez austère. Il appartenait à ses parents, qui eux-mêmes, slovaques dorigine comme Lucia, habitaient à Bratislava, capitale de la Slovaquie.

Lucia me fît entrer dans le living, assez grand, meublé sobrement avec goût, dans un style moderne avec un grand canapé face à un écran de télévision géant. Dire quil y a à peine 15 heures je ne la connaissais pas et que je venais dentrer dans son univers.

« Tu veux un verre ? »

«Oui je veux bien un Whisky sec. »

« Je te laisse quelques minutes .Ce ne sera pas trop ? » me dit-elle avec un sourire aux lèvres

« Ça va être dur mais je my ferai ! » Lui-dis-je ironiquement.

Jentendis des bruits deau signifiant quelle prenait probablement une douche après notre étreinte brutale dans la cave précitée. Après de longues minutes qui me parurent une éternité, elle apparût alors dans le living, entièrement nue. Une grande émotion menvahît à cet instant tellement elle était belle.

« Je te plais ? »

« Qui pourrait ne pas lêtre à la vue de ton corps parfait ? Tes seins sont magnifiques, tes fesses en harmonie, ton regard, ton visage un enchantement. Je sens que je vais devenir dingue de toi si ce nest déjà fait.»

« Flatteur ! Tu veux toucher ?» dit-elle en savançant vers moi assis dans le canapé.

Debout devant moi, entre mes jambes, je lui pris les fesses pour la faire avancer encore plus. Ma bouche se posât sur son nombril et ma langue vint le titiller. Un frisson la parcourût. Mes mains remontèrent dans son dos, puis les ramenant vers lavant je lui empaumai ses seins. Jexerçai une douce pression sur son corps pour quils puissent venir à la hauteur de ma bouche et pouvoir ainsi téter lun de ses tétons. Je sentais la pression monter en elle, son abandon était total, elle goutait pleinement de ces moments quelle avait tant attendus. Je voulais la faire jouir à linfini sans quelle se préoccupe de moi. Jétais dailleurs toujours habillé

Je la fis installer sur le dos, dans le sens de la longueur, sur le canapé, ses jambes pendantes hors de laccoudoir. Elle était ainsi à ma merci et vue sa rapidité à répondre à ma demande, elle aimait ma prise dinitiatives.

A genoux, à même le sol, ma bouche sur la sienne, dans un baiser passionné, jentrepris une découverte manuelle de son corps avec dabord ses seins sublimes, comprimés alternativement, ses pointes, sur lesquelles je mattardais, étirées avec de légères pressions par mes doigts fiévreux. Et là quelle ne fut pas ma surprise, alors que je ne my attendais pas, je la sentis partir, crier des mots damour probablement en slovaque, son corps sarc-boutant et retombant dans un orgasme foudroyant. Elle avait joui uniquement du travail que javais effectué sur ses seins. Cétait étonnant !

« Milujem ťa, má lásko Je taime mon amour – tu es magnifique. Tu es tel que je te désire, attentionné à mon propre plaisir avant le tien, mais je voudrais aussi que ce soit partagé et que je ne sois pas la seule à jouir comme une égoïste. »

« Chut ma belle Lucia ! Laisse-toi faire ! Il faut que tu saches que partager un amour avec un homme de mon âge nest pas multiplier les actes jusquà léjaculation mais au contraire se faire plaisir mutuellement. Il me faut du temps pour régénérer et avoir une nouvelle érection et cela na rien à voir avec le désir que jéprouve pour toi. Tout est dans ma tête et je viens déprouver un immense plaisir à te sentir gémir et exprimer ta joie dans ta langue natale. Je nai pas compris mais jai deviné. Je taime ! »

Elle posât ses mains sur ma tête comme apaisée. Elle avait besoin damour et jallais lui en donner encore.

Mes mains, après cet arrêt inopiné, continuèrent lexploration de son corps, caressant son ventre pour aboutir à la fourche de ses jambes endroit plus que désiré que javais déjà exploré dans la cave. Mais je voulais varier les atteintes à son puits damour et quoi de plus beau pour cela que dutiliser ma langue.

Je me positionnais entre ses cuisses surélevées et posais ma bouche sur lentièreté de son sexe glabre comme pour lavaler. Ma langue commençât alors un long travail de sape, dabord pour gouter les saveurs quelle avait émises lors de sa jouissance en pénétrant peu à peu en elle, mon nez pouvant humer son odeur de femme heureuse mais aussi en virevoltant autour de son clitoris sans le toucher. Ce met délicat que javais au bout de la langue était plus quun délice, un rêve gouteux à souhait.

Lucia appréciait mes actions en prononçant « Ano ! Ano ! Nie ! » – Ce qui traduit de slovaque en français veut dire Oui ! Oui ! Non ! Mots simples que lon retrouve souvent pendant lacte sexuel pour signifier son contentement mais aussi en enserrant fortement ma tête entre ses cuisses.

Je répondis à cela en allant presser ses seins avec mes mains inactives. Elle se tortillait au rythme de mes actions et les plaintes, quelle émettait, se transformèrent vite en cris puis en hurlements de satisfaction. Ma femme était beaucoup moins expressive lorsque nous faisions lamour mais là Lucia se libérait avec la fougue de sa jeunesse. Il était plus de minuit, elle allait réveiller tout le quartier.

Je décidai de porter lestocade. Libérant ma main droite de son sein gauche je fis pénétrer deux doigts dans sa chatte brulante sans aucune difficulté tant elle était mouillée et jentrepris le branle de son point G à une vitesse stupéfiante. Tout son être était agité par le travail de ma langue et de mes doigts conjugués. Cest alors que diaboliquement je fis tourner ma langue sur son clitoris puis jentamai une succion de celui-ci.

Sen était trop pour elle, elle hurlât : « Baví ma ! Baví ma ! Baví maaaaaaaaa ! (Je jouis ! Je jouis ! Je jouiiiiiis !) Dont stop ! Je jouis mon amour ! (Baví ma moja láska)

Elle sécroulât trempée de ma salive et de sa mouille mélées, épuisée.

Le temps de se remettre de ses émotions, elle se rassît dans le canapé et minvitât à venir à côté delle. Jétais toujours habillé. Ne manquant pas dhumour, elle minvitât à me mettre à laise pour que nous soyions sur le même pied dégalité. «Tu peux aller dans la salle de bains si tu préféres pour prendre une douche. Je te suis… ». Dit-elle dun air coquin.

Je me déshabillai prestemment et fis couler la douche. Je mapprétai à me savonner quand je sentis un corps nu se coller à moi et une main douce prendre mon sexe dans ses mains savonnées. Elle entamât des caresses précises, soulevant mes bourses, grattant mon périné, remontant pour empoigner ma verge molle et la branler doucement, sans heurt. Le résultat fût rapide, je bandais à nouveau. Elle me fît tourner face à elle.

«Je vois que tu reprends de la vigueur. Je croyais que les vieux mettaient plus de temps ! Tu mas menti tu nes pas si âgé que tu le dis non ?» Tout cela sous le ton dune douce ironie. Nos lèvres se joignirent à nouveau étouffant ma réponse : «Tu es une diableschhchch… »

« Tu peux faire mieux jen suis sure »

Elle se laissât tomber à mes pieds et entamât sa première fellation sur moi. Ses douces lèvres parcoururent ma hampe, happant mes bourses à sa base, remontant, léchant ma verge comme un esquimau pour venir lengloutir complétement sans en laisser un seul centimètre. Mon gland touchait sa luette, ses lèvres pressées touchaient mes gonades qui à cet instant étaient prêtes à émettre leur semence. Elle me pompait carrément comme pour mextirper les dernières gouttes de mon jus. Ma bite était dure comme du bois. Je revivais sous sa langue qui senroulait autour de ma queue. Je voulus me retirer car je sentais que jallais venir mais elle pressât sur mes fesses pour men empêcher. Ce qui devait arriver arrivât. Je déchargeai à longs jets au fond de sa gorge. Elle avalât tout, heureuse.

Je la fis relever et jembrassai sa bouche pour sentir le gout de mon sperme et la remercier de cette marque damour que beaucoup de femmes naiment pas forcément donner. Ses seins durs touchaient mon torse et, stupéfaction, je ne débandais pas, galvanisé probablement par cette jeunesse qui se donnait à moi sans détours.

En voyant cela, nous nous essuyâmes rapidement et Lucia mentrainât dans sa chambre. Elle sallongeât sur son lit et je vins sur elle pressant mon vit sur son ventre. Je remontai pour le placer entre ses seins et me branler lentement entre eux. Elle maidât dans cette démarche en les pressant avec ses mains. Elle me regardait amoureusement et me dit simplement : « Viens ! »

Ni une, ni deux, je lui écartai doucement les cuisses et après avoir ajusté mon sexe pour ouvrir ses lèvres avec mon gland, je démarrai une lente intromission facilitée par les sécrétions de plaisir quelle émettait. Ma bite coulissait sans heurt et emplissait sa matrice lui faisant pousser des gémissements de plaisir. Jaccélérai le rythme avec de grandes amplitudes sortant complétement pour rentrer à nouveau ; cela pendant plusieurs minutes. Je marrêtais parfois bien au fond pour quelle sente les palpitations de mon gland et je reprenais mon pilonnage endiablé. Jétais inépuisable à ce stade. Je la sentis jouir plusieurs fois « Baví ma ! Baví ma ! » Jaimais de plus en plus ce leitmotiv quelle mavait traduit

Je la fis basculer sur moi pour quelle me chevauche et se donne du plaisir à son propre rythme. Je la redressai pour caresser ses seins, puis la fis pencher pour mordiller légèrement ses tétons. Elle se pâmait me criant des mots damour en slovaque. Cest ce moment intense qui nous vît, dans une osmose complète, atteindre les sommets de la volupté à la même seconde. Moi, en lui inondant son vagin de mon sperme renouvelé, elle en ayant ce spasme si spécifique de lorgasme féminin. Elle sécroulât sur moi, épuisée. Nous nous endormîmes ensemble enlacés tendrement, mon sexe amolli encore en elle.

FIN DU TROISIEME EPISODE

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