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Premier job, diplome en poche – Chapitre 3

Anne ou la naissance d'une soumise - Chapitre 1



Salut c’est votre folle de lycra.

Voilà bien longtemps j’étais tout frais moulu diplômé et juste après mes vacances dans le Yucatan, j’avais trouvé un boulot dans le secteur de la comptabilité. Je me retrouvais le seul mec avec sept collègues féminines et un patron qui avait l’air d’être le coq dans le poulailler. Le problème pour de coq c’est qu’il y avait un poulet en l’occurrence moi et je faisais tache parmi les poules. Tous les vendredis nous allions à la piscine et c’est lors de ces occasions que mon patron s’est chargé de me faire mon d’éducation à son goût. Ce soir-là Sophie m’avait invité à passer la soirée chez elle et à ma grande surprise Claude nous y avait retrouvés. Pour la première fois de ma vie, je m’étais fait féconder par mon patron, mais manifestement ce ne serait pas la dernière. Ils avaient manigancé ça tous les deux et j’étais à leur merci pour la soirée. Ce soir-là avant de dîner, Claude était parti en moi, j’avais éjaculé par plaisir de le sentir en moi et j’avais fait jouir Sophie avec ma langue. Bref tous les trois avions pris notre pied avant de passer à table mon patron avec ses deux poulettes.

J’ai constaté que Sophie avait vraiment tout planifié quand vingt minutes après que nous ayons fait des folies, on sonnait à la porte pour nous apporter des pizzas. Heureusement que le livreur ne m’avait pas vu dans ma tenue. Je suis parti à la douche me refaire une petite fraîcheur au niveau de l’entrejambe et surtout au niveau de mon fondement. Pendant que j’étais en train de mettre la table, j’avais le droit à des caresses de la part de mon patron, mais aussi quelques-unes de la part de ma collègue. Mon érection était revenue et redressait la robe que je portais, en fait tous les deux avec des gestes très attentionnés à mon égard ce qui me faisait vraiment beaucoup d’effet. Une fois passés à table cela me faisait tout drôle de sentir la main de Claude sur la mienne, j’avais vraiment l’impression qu’il me draguait. Tous mes sens étaient en éveil, tous mes sens étaient en manque de caresses, tous mes sens désiraient de l’affection de leur part. Durant le repas j’étais carrément devenu leur chienne soumise, systématiquement ils me demandaient un baiser ou que je vienne leur faire une langue ou une fellation express. Le repas du coup a été assez long, mais comme disait Claude

— Cela rentrait dans le cadre de ma formation de soumise et cela m’apprenait à être obéissante.

— Il fallait que j’apprenne à embrasser un homme.

— Il fallait que j’apprenne à donner du plaisir à une femme de la meilleure des façons, entre ses jambes.

Quand nous nous sommes couchés cela m’a fait tout drôle de me coucher en femme en sachant que mon homme désormais allait se coucher dans mon dos et que ma collègue serait devant moi. Le plus beau c’est que je me suis endormi les doigts dans le minou de Sophie avec une énorme érection et que je sentais la vigueur de mon étalon reproducteur dans mon dos. Nous avons quand même réussi à nous endormir sagement, mais cela me faisait quand même tout drôle d’être la proie de mon patron pour la nuit. En fait j’ai été réveillé par Claude qui est venu s’allonger sur moi au petit matin, je sentais son sexe qui était manifestement en grande forme. Il me caressait le haut des cuisses avec son sexe et venait même se frotter au mien de temps à autre cela était d’un érotisme torride. Il avait passé son sexe sous ma robe et je sentais la chaleur de ce dernier partout où il s’arrêtait sur mon corps. Moi qui manquais beaucoup d’expérience avec les femmes j’ai trouvé que sa façon de me réveiller était vraiment très plaisante. Quelques instants après Sophie est venue l’épauler en m’embrassant avec beaucoup de gourmandise.

C’était le plus beau réveil que je n’ai jamais vécu. Puis notre supérieure a soulevé mes jambes pour les mettre sur ses épaules et quelques secondes plus tard je sentais la pointe de son dard positionné à l’entrée de mon petit trou. J’attaquais le samedi sur les chapeaux de roue au niveau sexuel, quelques minutes plus tard le sexe de mon étalon rentrait en moi. Décidément maintenant j’étais à lui et il faisait ce qu’il voulait de moi, la langue de Sophie accompagnée de son parfum me faisaient un effet formidable. Puis Claude a commencé à me limer et j’ai vraiment pris grand plaisir; de temps à autre il venait prendre la place de ma collègue pour m’embrasser. Il me traitait avec beaucoup de douceur comme si j’avais été une femme, mais me pénétrait toujours avec beaucoup de fermeté. Ses coups de boutoir me faisaient beaucoup de bien et vu l’étroitesse de mon conduit je pense que moi aussi je devais lui donner du plaisir. Sophie occupait ses mains à me masturber et aussi à m’exciter la pointe de mes tétons.

Le traitement qui m’était infligé me mettait dans tous mes états d’excitation et j’aurais voulu que cela n’arrête jamais. Au bout d’un petit quart d’heure de ce traitement Claude a fini par me balancer la purée au fond de mes entrailles. Il est venu ensuite me donner son sexe à nettoyer, pendant que de son côté Sophie était en train de me mettre un gros tampon dans mon petit trou, histoire de ne pas salir ses draps. Une fois que notre chef a été rassasié, Sophie est venue s’asseoir à califourchon sur mon sexe qui était toujours en pleine forme et s’est mise à monter et descendre dessus. Manifestement elle savait onduler comme il le fallait pour que mon sexe aille frotter ses parois intimes les plus sensibles. Il y avait une certitude je ne contrôlais pas les événements qui se passait à l’intérieur de Sophie, par contre j’en étais sûr je lui faisais du bien. Elle n’a pas été bien longue à prendre son pied et en contractant sur le vagin sur mon sexe je l’ai rejointe assez rapidement.

Ma collègue et moi sommes partis nous nettoyer dans sa salle de bain, car tous les deux avions une bonne dose de liqueur à évacuer. Ma collègue en a profité pour me raser tous mes poils disgracieux au niveau de mon sexe tout comme autour de ma rondelle; mes deux partenaires n’aimaient pas tous ces poils. Après avoir fait notre petite toilette, mais surtout notre exercice matinal tous les trois, nous sommes passés à table pour prendre notre petit-déjeuner bien mérité. Claude avait l’air très heureux d’avoir deux femmes à sa table et de mon côté cela n’était pas pour me déplaire d’être traité comme telle. Avec Sophie nous avons préparé le petit-déjeuner et après le repas nous avons tout débarrassé et c’est moi qui ai eu un ticket pour faire la vaisselle. Claude est parti chercher un sac dans l’entrée, quand il est revenu avec j’ai pu découvrir que dedans il y avait une paire de cuissardes magnifiques, mais aussi une paire d’escarpins tout aussi beaux. Sophie m’a expliqué que pour enfiler des cuissardes, il fallait toujours que je porte ou des collants ou des bas; pour limiter le frottement et surtout faciliter l’enfilage. Elle m’a aidé à les enfiler, j’ai beaucoup apprécié la douceur d’autant que ces hautes bottes me montaient au-delà du mi-cuisse.

Le plus folklorique fut ensuite de marcher avec, j’avais facilement gagné douze centimètres, j’étais sur la pointe des pieds. Je pense que cela était plus stable qu’une paire d’escarpins, car le pied était tenu. C’est ainsi chaussé que j’ai commencé à déambuler dans l’appartement de Sophie avec les commentaires et les compliments de mes deux admirateurs. Vêtu de mon collant, ma culotte douce et surtout ma de robe longue fine et douce; me trouvais un peu salope ainsi chaussé. Ma collègue était toujours à côté de moi pour me rattraper quand je perdais l’équilibre, mais au bout d’une petite heure j’ai fini par trouver ce dernier. Je n’irai pas jusqu’à dire que j’avais pris confiance, mais je commençais à m’en sortir. Systématiquement j’avais droit des compliments de leur part, mais surtout des caresses indiscrètes, mais surtout très précises qui me conservaient une érection depuis plus d’une heure. Sophie prenait grand plaisir à me caresser le sexe pendant que Claude était toujours à me chatouiller mon petit trou. Claude me disait qu’il allait me femelliser et qu’à la fin, il n’y aurait que 8 femmes dans son service.

Vu que je n’avais pas un côté masculin très prononcé le travail ne serait pas trop long pour me transformer en employée modèle, surtout soumise et obéissante à son patron. Pendant que j’apprenais à marcher avec mes cuissardes sexy en vinyle, Claude venait de temps à autre se coller contre moi dans mon dos avec juste une main sur mon ventre pour me tirer à lui et me plaquer contre son sexe. Quand j’étais entre ses mains je me sentais vraiment femme et même un peu plus, sa poupée gonflable peut-être. Ensuite il a fallu que je prenne l’habitude de marcher avec des escarpins, le risque était plus grand de se tordre une cheville; mais en même temps j’avais un peu d’expérience avec mes cuissardes. Claude désirait aussi que j’aie des manières un peu moins masculines, histoire que mes tenues soient en harmonie avec mon comportement. Il voulait aussi que je le regarde avec un regard plus féminin, je ne comprenais pas vraiment ce qu’était un regard féminin, mais Sophie m’a expliqué. Elle m’a surtout expliqué que cela viendrait avec le temps, elle m’a aussi dit qu’il faudrait que dans quelque temps j’apprenne à me maquiller. Ah si mes parents savaient ce qui m’arrive actuellement ils seraient catastrophés.

J’ai passé tout l’après-midi dans des tenues féminines, Sophie a même poussé le détail jusqu’à profiter du fait que j’avais des cheveux relativement longs pour me faire une coiffure féminine. Elle a même été jusqu’à me mettre du rouge à lèvres et quand je me suis regardé dans la glace cela m’a fait tout drôle. Là je me suis dit qu’un homme dans mon genre pouvait se transformer en femme avec grande facilité. J’étais toujours dans un état second avec l’odeur du Poppers qui était déposé régulièrement sur mon collier en cuir. Ma collègue m’a fait prendre des pauses on ne peut plus équivoques par exemple en embrassant Claude en déposant un baiser sur son sexe et même sur son minou à elle. Je n’avais pas honte, je n’avais aucune gêne, je prenais toutes les pauses qu’elle me demandait et pourtant certaines commençaient à être vraiment crues. Je pense que la plus belle fut celle où Claude était dans mon dos et qu’il me tenait par la taille pendant qu’il m’embrassait dans le cou. La soirée commençait à poindre son nez et mon étalon a décidé qu’il fallait qu’il me prenne une dernière fois avant de partir.

Il m’a donné son sexe à sucer quelques instants histoire de le lubrifier et m’a ensuite plaqué contre le mur, j’ai posé mes deux mains contre, il m’a fait écarter les jambes, m’a écarté mon tanga puis j’ai rapidement senti son sexe désireux venir se positionner à l’entrée de ma rondelle. Sa main gauche est venue s’accrocher à mon ventre puis en me plaquant à lui son sexe m’a pénétré. J’étais devenu dans l’intimité sa chose qu’il pouvait saillir quand il voulait, je ne ressentais plus aucune douleur maintenant, seul le plaisir dominait. J’étais assez fière de moi, car il ne lui a fallu que dix minutes pour me féconder, il est resté encore quelques minutes avant que Sophie ne vienne lui faire une fellation en guise de toilette. J’ai eu le droit à un baiser de sa part, comme sil embrassait une femme, avant de me quitter. Je m’étonnais un peu face à ma passivité, ma soumission, mon d’obéissance avec ces deux personnes. Après le départ de mon chef je suis encore resté une heure avec Sophie, elle voulait me donner des petits conseils pour ma démarche et aussi pour apprendre à me maquiller.

Je lui ai répondu que je n’avais pas projet d’aller travailler ainsi vêtu, elle m’a répondu que je n’avais pas à m’inquiéter que cela viendrait naturellement; en fait elle m’a dit que j’avais deux bonnes prédispositions pour devenir une des femelles de notre chef. J’ai préféré ne pas relever, j’étais pressé de rentrer à la maison, car mine de rien la journée avait été un peu épuisante pour moi. Sophie m’a invité à garder ma robe mon tanga ainsi que mon collant fendu pour rentrer, elle m’a dit que de toute façon avec mes vêtements par-dessus cela ne se verrait pas. Nous nous sommes embrassés avec beaucoup de passion avant de nous quitter et nous dire à lundi. Sur le chemin du retour, je ne sais pas si cela s’est vu, mais j’avais l’impression que tout le monde le voyait. Quand je suis rentré chez mes parents, j’ai foncé dans ma chambre pour me déshabiller et en ranger ma garde-robe naissante. Je suis ensuite allé voir mes parents pour savoir comment ils allaient, ils se sont empressés de prendre de mes nouvelles pour savoir comment s’était passée cette soirée et cette matinée avec ma collègue.

Heureusement qu’il ne savait pas que ma collègue avait leur âge et qu’en plus de ma collègue il y avait mon chef. Je ne sais pas sil s’en serait remis que je me sois fait prendre par derrière par un homme et que j’ai donné du plaisir à une femme qui avait des enfants de mon âge. Vu qu’ils m’attendaient pour dîner nous sommes rapidement passés à table avant de passer la soirée devant la télé. Même si Sophie m’avait débarrassé de mon collier parfumé au Poppers, je sentais encore l’odeur et cela me rappelait ces superbes moments passés ce matin. Je ne suis pas resté devant la télé, car il n’y avait pas grand-chose à voir du coup je me suis couché relativement tôt. Par contre au moment de me déshabiller pour aller me coucher, cela a été plus fort que moi; j’ai enfilé le collant ainsi que la douce robe, mais j’ai pris soin de fermer ma porte de chambre à clé pour la nuit. Au petit matin j’avais une érection monumentale et ce n’était pas une érection physiologique, ou plutôt elle était bien plus grosse que mon érection matinale habituelle. Il n’y a pas à dire, la douceur de ses vêtements me faisait vraiment beaucoup d’effet. Bien évidemment il a fallu que je me fasse un petit plaisir avant de me lever et je peux vous garantir que c’est venu de loin.

J’ai donc foncé à la douche avant de passer au petit-déjeuner avec mon père, car ma mère était debout depuis longtemps. Mon père voulait avoir des détails sur la copine avec qui j’avais passé la soirée, mais j’ai fait attention à en donner le minimum. Il n’a réussi à se voir que c’était juste une grande et très jolie femme avec de superbes yeux. J’ai passé tout le dimanche à glander à la maison et j’en ai aussi profité pour me faire de plaisir toujours dans ma robe et mon collant. En fait j’appréhendais de reprendre le boulot le lendemain, car je ne savais pas comment mon patron et ma collègue allaient me regarder. Le lundi matin quand je suis parti travailler j’étais prêt à affronter tout le monde, mais quelle ne fut pas ma surprise quand je suis arrivé de constater que toutes mes collègues étaient au courant de ce que j’avais vécu ce weekend. Manifestement le téléphone entre elles et les SMS avaient bien marché hier, je n’ose pas imaginer que les photos aient circulé. Dans la matinée mes six collègues sont venues me voir pour me dire que comme ça notre patron prenait autant de plaisir avec moi qu’avec elles. Décidément dans ce bureau tout se savait et il n’y avait aucun secret entre nous neuf; la semaine commençait bien. Deux de mes collègues, Élodie et Geneviève, sont venues s’occuper de mes cheveux pour me faire une coiffure on ne peut plus féminine.

Elles m’ont expliqué qu’il fallait que sois présentable et désirable pour mon chef. Un peu plus tard dans la journée elles sont même venues s’occuper de mes ongles, j’ai ainsi eu le droit à un quart d’heure de manucure effectué par deux filles qui se sont chargées de mettre du rouge magnifique sur mes ongles. Au fond de moi, je me disais comment je vais pouvoir présenter ça ce soir à mes parents, c’est Élodie qui a lu dans mes pensées et qui m’a dit que je n’aurais qu’à leur dire de que j’avais perdu un pari. C’était parfaitement crédible, compte tenu du fait que j’étais le seul garçon dans le service. Par contre mes sept collègues m’ont expliqué qu’il serait bien qu’à partir de maintenant je sois toujours rasé de près, car il est vrai que c’est une chose à laquelle je ne t’ai pas très attaché. En même temps vous me direz que j’avais un système pileux relativement peu développé pour un homme. Tout s’est bien passé jusqu’au vendredi où nous sommes partis à la piscine comme toutes les semaines.

Bien évidemment j’avais amené mon maillot de bain et ma serviette, mais les filles en ont décidé autrement ils ont décidé que je mettrai un maillot de bain une pièce une sorte de body pour aller à la piscine. Au début j’ai protesté, mais quand, dans le vestiaire commun elles se sont mises toutes à m’embrasser et me caresser je n’ai pu qu’accepter; même si ce coup-ci ma masculinité en prenait un sacré coup. Heureusement dans mon malheur le maillot de bain une pièce était d’un noir uni, par contre il était moulant et on voyait bien mon érection. J’aurais très bien pu me retrouver avec un maillot à motif, mais là je ne sais pas si j’aurais accepté, en même temps depuis que je travaille dans cette boîte je me découvre un peu tous les jours. Toutes mes collègues étaient de ma taille à peu de chose près et du coup je ne choquais pas trop, cela ne se voyait pas trop. Claude est parti faire des longueurs pendant que nous restions entre femmes, enfin je me comprends. J’adorais la compagnie des femmes, d’autant qu’elles étaient très gentilles, très douces, très tactiles, très caressantes entre elles et surtout avec moi.

Quand notre chef nous a rejoints, bien évidemment il est venu se coller à moi, j’avais l’impression d’être sa chasse gardée. Au fond de moi je me disais qu’il devait savoir que mes collègues travaillaient pour lui en s’occupant de ma féminisation. Il ne lui a fallu que quelques minutes pour se mettre à me caresser sous l’eau et me coller une érection de fou, quand les filles ont vu ça elles se sont mises en faire autant. Au bout de dix minutes de ce traitement, j’ai fini par éjaculer dans l’eau avec une touche finale de Sophie qui maîtrisait bien les caresses sur mon sexe. Bien que le chlore neutralise toutes les odeurs nous avons quand même fait attention à changer de place, car il était évident que ma semence allait se répandre. Claude avait discrètement saisi ma main droite pour aller la coller dans son maillot histoire de lui tripoter sa queue. C’était très agréable de constater combien je lui faisais de l’effet et c’est ainsi qu’il m’a même invité à le masturber sans trop voir ce que je faisais. À un moment cela se mit à dégénérer dans l’eau, à savoir qu’à tour de rôle les filles faisaient un petit bisou sur le sexe de notre chef, mais la tête sous l’eau. Bien évidemment mon tour est arrivé et je le fis avec beaucoup de gourmandise désormais, je peux vous dire que pour souder une équipe il n’y a pas mieux.

Au bout d’une bonne heure à faire trempette nous avons décidé de rentrer, voilà comment nous nous sommes retrouvés tous les neuf sous la douche. Une fois arrivés dans notre cabine collective nous nous sommes essuyés et c’est au moment de nous rhabiller que les filles ont décidé qu’il y aurait un petit écart dans ma tenue. Élodie et Geneviève m’ont tendu une robe relativement longue, mais surtout très moulante (jusqu’au-dessus des genoux) ainsi qu’une paire de collants fendus et un tanga toujours en lycra, décidément elles ne maccordaient pas de pause dans ma femellisation. Les sept femmes ont tellement insisté que j’ai fini par accepter. Bien évidemment une fois habillé, on ne voyait plus rien sur ma tenue à même le corps. Par contre quand nous sommes arrivés au bureau, tous les huit m’ont invité à me défaire de ma tenue masculine. Pour la première fois de ma vie j’allais travailler habillé en femme d’autant que Sophie m’avait ramené la paire d’escarpins. J’ai tout accepté en protestant un peu, mais je crois quand même que c’était pour la forme, car finalement c’était quand même très agréable d’être ainsi paré pour travailler.

Le plus agréable était de sentir les petits courants d’air qui tapaient sur mes jambes gainées et remontaient même jusqu’à mon sexe. J’aimais aussi le frottement de la robe sur mon collant, le très léger crissement me faisait une sensation on ne peut plus agréable. Le pire c’est quainsi habillé j’ai commencé à prendre des petites habitudes féminines ne serait-ce que pour m’asseoir, je rabattais ma robe et j’avais envie de croiser les jambes. Ce vendredi après-midi je l’ai passé tout entier au bureau habillé en femme. Bien évidemment à la fin de la journée, je me suis rhabillé un homme pour rentrer à la maison; j’ai rangé les escarpins sous les tiroirs verticaux de mon bureau. J’étais en train de devenir le chouchou ou la chouchoute de toute l’équipe du bureau. Nous nous sommes tous quittés en nous faisant de tendres bisous, histoire de montrer combien nous allions être tristes à ne pas nous voir durant ce weekend. Au fond de moi j’étais quand même tout excité à me promener dans la rue avec une tenue féminine à même la peau, même si personne ne le savait. Comme le dimanche précédent il a fallu que, une fois à la maison, je fonce tout droit dans ma chambre pour me défaire de ma tenue féminine et surtout faire attention à bien la cacher dans mon repère.

En espérant que ce chapitre numéro 3 vous ait plu

Gros bisous à tous mes lecteurs.

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