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Promenade au bois – Chapitre 2

Promenade au bois - Chapitre 2



C’est une invitation, mais j’aurais aimé continuer tout de suite, frustré, je passe d’abord mon t-shirt, puis enfin mon short, il garde mon slip.

Je repars un peu triste, mais avec espoir pour le lendemain.

Je rentre à la maison et je me rends compte avec stupeur que je vais devoir justifier d’être sans slip, j’essaie de passer directement dans ma chambre, mais maman m’appelle.

— Ta promenade s’est bien passée ?

— Oui, je suis allé jusqu’à la cabane, il y avait un homme qui débarrassait, il semble que ce soit le propriétaire, nous avons sympathisé.

— Tu l’as aidé sans doute, ton short est tout maculé, donne-le que je le passe dans la machine, justement je dois faire la lessive… tiens, tu avais ton appareil pourtant, me semble-t-il…

— Heu oui, je l’ai laissé à l’entrée, je vais me changer, je te donne mon pantalon tout de suite.

— Pourquoi pas là, je t’ai déjà vu en slip.

— Heu c’est que…

— Allez, pas tant de manières !

Difficile de résister à maman, même à mon âge, surtout quand elle prend ce ton-là. Je me tourne et espère que mon t-shirt cachera ma nudité, peine perdue, il s’arrête au milieu de mes fesses. Par chance, elle regarde ailleurs, je pose mon vêtement et sors rapidement

— Quand tu seras changé, apporte aussi ton slip, il doit être sale aussi.

Je file le plus vite possible, cul nu et avec la certitude d’avoir oublié mon appareil à la cabane. Me voilà dans une drôle de situation, d’abord le slip, je vais rapidement visiter la manne à linge, malheureusement, maman l’a embarquée, je fais alors une chose inouïe, j’en prends un propre, vais uriner à la salle de bain et frotte les quelques gouttes ultimes avec ce petit bout de linge, puis je le passe à terre, sous l’armoire, je réussis à avoir quelques poussières, voilà, ça fera l’affaire.

Rhabillé, je l’apporte à maman qui le regarde attentivement

— Dis donc on dirait que tu t’es traîné à terre et puis je t’ai toujours dit de t’essuyer avant de le remettre.

— J’étais pressé, dans le bois, il y avait des promeneurs.

— Bon parle-moi de cet homme.

— Pas grand-chose à dire, il m’a proposé de retourner demain, il m’a expliqué qu’il avait voyagé à l’étranger, je ne sais pas où, mais loin, je crois.

— Si tu ne sais pas, n’invente pas, continue, comment est-il ?

— Vieux, au moins soixante, grand, barbu, des poils partout en abondance…

— Ah bon, tu l’as observé si près que ça ?

Merde, la gaffe !!

— Heu non, il avait ôté sa chemise, il a un gros ventre, plus gros que le mien en tout cas, qui déborde sur sa ceinture.

— Il est gentil au moins ?

— Oui, il m’a offert à boire, j’avais soif, j’ai bu un grand verre…

— Oui ??

— Heu… un grand verre d’eau.

— C’est demain après-midi que tu le vois ? Parce que demain matin je veux que tu t’occupes un peu du jardin, compris ?

— Oui maman

Heureux de m’en tirer à si bon compte, je monte dans ma chambre 4 à 4, maman sait que j’aime m’isoler. La conversation m’a rappelé les sensations ressenties, mais aussi la frustration, rien que d’y penser, j’ai des envies qui reviennent… Je me déshabille et, totalement nu, je me couche sur le lit. Sous le matelas, je planque toujours de quoi me faire plaisir, je me suis fabriqué un petit gode en bois, j’ai pris du bois très dur et je l’ai bien poli pour éviter les échardes et avec la vaseline que je lui mets, il est devenu presque "tendre"… Lui et moi avons souvent de longs échanges qui aboutissent immanquablement à mon éjaculation après sodomie, cette jouissance me plaît davantage que sans le gode.

Cette fois, je jouis dès que je l’introduis, faut dire que j’ai devant les yeux l’image de ma première bite dont je rêve qu’elle remplace mon instrument. Je nettoie rapidement mon matériel et descends pour prendre le repas du soir.

A peine suis-je installé

— Tu vas revoir cet homme alors, il semble avoir fait impression sur toi.

— Il est gentil et puis il aime la nature aussi.

— Oui, mais bon faudra me le présenter au moins, que je sache ce qu’il vaut.

— Je t’assure qu’il est bien, il m’a promis de me raconter ses voyages.

— On verra.

Le lendemain, après un sommeil agité de rêves, je suis le jouet d’un géant barbu qui profite de moi par tous les moyens, je me réveille en sueur, j’ai souillé mon drap. Sur le ventre et les cuisses, j’ai du sperme séché, je passe rapidement à la salle de bain, puis mon petit-déjeuner avalé, je vais au jardin, il fait déjà chaud et je pense aux sous-bois, il doit y régner une douce fraîcheur… des images me viennent encore…

Je dois faire vite, me secouer, sinon je n’aurai pas fini et maman me retiendra toute l’après-midi.

Vers 13 heures, je rentre trempé de sueur et souillé de poussières, je prends une douche rapide, avale le repas de maman.

— Tu n’as jamais travaillé avec autant d’ardeur mon chéri, décidément je serais heureuse de connaître l’homme qui a le pouvoir de te faire travailler à ce point.

Elle sourit, je souris aussi, puis me lève pour faire la vaisselle

— Non ça ira, va-t’en, file vite, tu en meurs d’envie.

Je l’embrasse sur les deux joues et me voilà parti, il y a plus ou moins ¾ d’heure de marche, avec ce soleil, j’aurai sans doute très soif, j’espère qu’il aura amené du vin et que je puisse récupérer mon appareil.

J’entre dans le bois, la fraîcheur me surprend un peu mais c’est très agréable, en quelques minutes, j’atteins la clairière, il est là, enfin la porte est ouverte et j’entends du bruit.

Dès que mes yeux se sont habitués à la pénombre, j’aperçois sa silhouette, de profil, torse nu, le ventre retombant sur le haut des cuisses…

Au fur et à mesure que mes yeux s’habituent à l’obscurité, je me rends compte qu’il est nu, la table me cache ses jambes, mais je sais maintenant qu’il m’attend.

— Approche, j’ai déjà préparé ton verre.

— Merci, c’est encore du vin ?

— Oui, mais cette fois j’ai pris du blanc et je l’ai refroidi, ça fait du bien.

Il pivote un peu pour m’accueillir, écarte les genoux, je ne vois pas son pénis, caché par les plis de son ventre, il m’attire contre lui et m’embrasse à pleine bouche, sa langue me pénètre et, bien que je l’espérais, je suis surpris de la promptitude du geste, je lui rends son baiser, laissant mes mains courir su sa poitrine, pétrissant ses seins poilus… Il ne reste pas inactif, des deux mains il me baisse short et slip, une main derrière qui triture mes fesses, crispant ma chair de ses ongles, cherchant la raie et mon anus, l’autre main me branle, je suis déjà bandé, ma verge disparaît entièrement dans sa main.

Il a trouvé mon entrée et tente de me pénétrer, mais son doigt est trop gros et surtout trop sec, il le retire, le glisse entre nos bouches récupérant toute la salive qu’il peut, puis il me lâche, me penche en avant.

— Ecarte avec tes deux mains, voilà comme ça !

Son doigt tâtonne un peu et puis entre facilement, il me redresse, me prend contre lui, de dos, le doigt toujours bien planté, il m’embrasse dans le cou, l’autre main qui m’avait lâché un moment me pince les tétons, me griffe le ventre, remonte sur ma poitrine, il me pénètre alors à la façon d’une bite allant et venant presque sorti et puis bien à fond, ce qui me fait jouir sans toucher mon pénis, j’envoie des giclées à quelques centimètres, puis quelques gouttes résiduelles près de mes pieds. Sans ôter son doigt, il s’accroupit et suce ce qui reste à sortir de mon sperme, jouant de sa langue avec mon prépuce, puis

— Hé bien, ça te fait de l’effet de te faire enculer !!

Il se recule, s’assoit sur la table, cuisses ouvertes, ce qui me permet d’apercevoir sa bite molle qui dépasse de son ventre

— Viens, suce, caresse, fais-moi bander !

Je m’approche, mon visage tout contre ses cuisses, du bout de doigts, je guide son gland vers mes lèvres, je suis surpris par son odeur, transpiration avec odeur de mâle, le goût assez âcre sur ma langue, mais loin de me rebuter, je me sens comme attiré, je le tète comme si je prenais un biberon, il grogne, s’allonge sur la table, écarte encore plus les jambes me donnant accès à ses testicules que je caresse doucement, continuant vers son anus, des effluves montent vers moi, mais continuent de me stimuler, au point que je sens mon érection renaître. Quant à lui, j’arrive juste à lui obtenir une augmentation de son volume avec une petite fermeté, mais je continue.

Après quelques minutes au cours desquelles, je l’ai entendu grogner, gémir, haleter, un petit soubresaut le secoue et quelques gouttes de sperme arrivent sur mes lèvres, je me dis que ce n’est pas fini et je continue, mais il me repousse…

— Laisse, c’était bon, je dois être fatigué et puis hier tu m’as donné tant de plaisir. Déshabille-toi totalement, j’aime te voir nu, tu me rappelles un garçon-fille que j’ai beaucoup aimé loin, si loin…

— Qu’est-il arrivé ?

— Nous avons vécu des moments merveilleux, dans ces contrées, il est fréquent que des garçons s’habillent en fille pour attirer les hommes, ils sont plus ou moins comme toi, sauf qu’ils sont plus minces, mais une petite bite toujours prête, un cul en permanence offert, mummm.

— Tu trouves que je suis trop gros ?

— Non, non, j’adore ça, et même si tu grossissais des seins et du cul, tu serais superbe.

— Pas du cul, il est déjà gros et large.

— Non, je ne trouve pas, avance un peu, tourne, bouge, remue tes fesses comme si tu dansais la samba…

Mon côté exhibitionniste prend le dessus et je me trémousse en minaudant, puis j’ai l’idée de dissimuler mon sexe entre mes cuisses et je me retourne face à lui, ses yeux me fixent intensément, il saute de la table, s’approche, caresse mon ventre, mes seins et mon pubis

— Une vraie salope, mummm, viens.

Il dégage ma bite qui se dresse dure et ferme, la caresse un moment, puis se penche, s’appuyant à un tabouret, il me présente son cul immense, il écarte ses fesses des deux mains

— Baise-moi ! Prends-moi, remplis-moi !

Eberlué, je me sentis plutôt comme celui qu’on baise et voilà qu’il veut que je lui fasse.

— Je ne suis pas certain d’y arriver, je ne l’ai jamais fait et puis je ne saurai pas aller loin, je suis trop court…

— Entre ce que tu sais, mais entre et crache tout ton foutre, je veux te sentir dans mon cul

Je m’avance, il plie les genoux pour se mettre à ma hauteur, je glisse dans sa chair, en "aveugle", je sens qu’il oriente son corps et tout à coup, je suis comme aspiré

— Aahhh ! C’est bon tu y es, vas-y, bouge !

Je fais des petits mouvements, car je me sens au bord quand je recule, puis je pousse comme si je pouvais y entrer tout mon corps. Je continue quelques minutes, je ne l’ai jamais fait, mais ça me plaît, j’ai envie d’exprimer ma virilité

— T’aimes ça alors gros cochon, te faire défoncer par une petite bite

Je ne sais pas ce qui m’est passé par la tête, c’est sorti tout seul. Je le tiens par les hanches je crochète dans sa graisse, mes doigts sont poisseux de sa sueur, son odeur s’est répandue dans toute la cabane, je fais des bruits de succion suivis du claquement de mes cuisses sur ses fesses, ça m’excite de plus en plus, soudain je me cale tout au fond et sans plus bouger, je sens les jets de mon sperme sortir, me procurant un orgasme violent. Je manque de le faire tomber tant la pression de mon corps contre lui est forte, je l’entends haleter, lentement, je me retire…

Il se redresse et je constate qu’il a éjaculé, le sol est souillé et des gouttes perlent encore sur son prépuce.

Il s’approche, s’agenouille et entreprend de me nettoyer consciencieusement, les résidus de mon éjaculation mêlés à quelques saveurs de son intérieur.

Quand il a fini, il nous sert à boire, chacun nu et assis sur un tabouret

— Parle-moi de ton ami (e)

— "Elle" avait des petits seins comme toi, je la trouvais trop maigre, mais son petit cul de garçon m’excitait et je la prenais souvent, à l’époque, j’étais plus fringuant, puis un jour elle m’a dit de me tourner et sans prévenir m’a poussé sa queue dans le cul, j’ai éjaculé presque tout de suite, c’était comme une révélation, j’aimais beaucoup ça !

— Il semble que tu aimes encore

— Toi aussi tu aimes ça, tu réussis à le faire sans te masturber, juste être enculé !

— Je joue à ça depuis longtemps, ça me rappelle des souvenirs…

Tout en parlant, mes yeux font le tour de la pièce et je vois mon appareil posé sur le coin de la fenêtre

— Ouf, je suis content de l’avoir retrouvé.

— Tu fis souvent des photos ?

— Oui, je les fais développer au village, il y a un labo de développement chez le photographe.

— Oui, je sais, je connais, mais tu fais des gens aussi ?

— Non, je ne le fais que si maman demande.

— Tu fais des portraits ?

— Non, c’est souvent dans des fêtes de famille, ah si une fois j’ai pris des photos de maman qui s’amusait à poser pour moi, c’était à la plage, nous étions en vacances.

— Elle portait son maillot ?

— Oui, bien sûr, même qu’elle était gênée de savoir que le photographe la verrait comme ça.

— Tu sais ils ont l’habitude et puis parfois il y en a aussi qui les font tout nus. T’aimerais pas ça toi ?

— Quoi, faire des photos de gens tout nus ? Non, je ne crois pas.

— Et toi, si je te prenais en photos tout nu, que dirais-tu ?

— Je ne sais pas mais le photographe les verrait, alors je ne peux pas.

— Allez, on va faire semblant, je ne vais pas appuyer sur le déclencheur, place-toi au milieu de la pièce.

De nouveau mon côté exhibitionniste qui prend le dessus.

— Voilà, regarde-moi, tourne-toi, cambre-toi un peu que je voie bien tes jolies fesses rondes… Oui, c’est bien, tourne la tête en restant comme ça, fais un joli sourire, oui, envoie un baiser.

Nous "jouons" comme ça pendant quelques minutes.

— Alors, ça te plaît ?

— Oui, mais c’est aussi parce que personne ne verra des photos comme ça, je suis plus à l’aise.

Il est temps de se rhabiller, il faut rentrer, de nouveau il confisque mon slip. Encore une explication à trouver pour maman.

Au moment de se quitter, il me dit ne pas pouvoir être là demain mais le lendemain et il ajoute :

— Tu sais, le photographe au village, c’est mon frère, on pourra aller le voir si tu veux.

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