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Que diable suis-je allé faire dans cette galère – Chapitre 8

Que diable suis-je allé faire dans cette galère - Chapitre 8



Salut c’est votre folle de lycra.

Voilà bien longtemps que je ne vous avais donné des nouvelles de Marie et moi. Nous venions de faire l’amour comme des fous, j’étais vêtu d’un tanga et d’une très douce robe longue en viscose. En fait la sieste que nous venions de faire, avait été plus longue que nous le croyions, bien que le frottement de nos vêtements m’excite de nouveau, il fallait que nous allions manger. Quand nous sommes sortis de la chambre, Gilles et Thierry nous attendaient pour aller manger, car il était convenu que nous mangerions tous les quatre au restaurant du camping. Heureusement que nous étions très complices sexuellement avec nos deux colocataires, car nous sommes sortis tous les deux parés de nos douces robes.

— Tu nous excites toujours autant, quand tu es ainsi habillé.

— Je trouve que tes manies et ta démarche sont de plus en plus féminines.

Je ne savais pas vraiment comment je devais prendre ces commentaires, je préférais le prendre comme un compliment.

De son côté, c’est ce qu’avait l’air de faire ma femme, en même temps, je lui donnais toujours beaucoup de plaisir quand elle me le demandait, voire un peu plus, car j’étais gourmand. C’était notre dernière soirée au camping, car nous reprenions la route du retour le lendemain. C’est à l’occasion de ce dîner que Marie m’a avoué que tout ce que j’avais vécu durant notre séjour avait été prévu à lavance avec le patron du camping. En fait devant Gilles et Thierry, elle m’a expliqué qu’elle avait décelé un côté féminin de plus en plus prononcé en moi, elle voulait le développer durant notre séjour.

— Tu as bien assuré Marie.

— Le résultat est vraiment magnifique.

— Nous avons désormais sans arrêt envie de le baiser.

C’est sur ces mots, très bruts de décoffrage, que Thierry et Gilles commentaient les propos de ma femme.

— Quand j’ai suggéré mon projet au patron du camping, il a sauté sur l’occasion.

— Manifestement mon chéri, tu es son type d’homme.

Cela me faisait tout drôle de savoir que tout avait été planifié à lavance, qu’elle savait que j’allais passer à la casserole durant les répétitions. C’est même elle qui a proposé à Gilles et Thierry de venir passer les vacances avec nous.

— Maintenant je suis sûre qu’à la maison, tout va changer.

— Jusqu’à maintenant, tu aimais juste te faire solliciter tes petites fesses avec un gode.

— Tu portais les petites culottes que je te donnais à mettre.

— Maintenant, quand je désirerais, j’aurais une véritable femme à la maison.

— Ce qui me plaît aussi mon chéri, c’est ton côté soumis.

J’étais en train de me dire qu’il y allait avoir plein de choses qui allaient changer à la maison à notre retour.

Autant moi j’avais fait ressortir ma féminité durant les vacances, autant ce soir durant ce dîner Marie était en train de faire apparaître son côté autoritaire et dominatrice.

Ce qui me dérangeait un peu c’est que Gilles et Thierry étaient en train de s’incruster dans notre vie intime, et cela n’avait pas l’air de déranger ma femme. Nos amis n’habitaient pas loin de chez nous, dans la même résidence, faire des folies de temps à autre, je n’y voyais aucun inconvénient, mais de là à ce que cela devienne une habitude, cela commençait à m’indisposer. Le lendemain nous sommes passés à l’accueil, régler la note, je n’ai pas pu éviter un roulage de pelle de la part du patron, accompagné d’une main au cul. Cela faisait sourire ma femme et nos deux amis, je vais vous avouer que je commençais à être pressé de quitter le camping. Nous sommes rentrés chacun de notre côté, nos amis prenant un itinéraire différent. Au bout de huit heures de route nous sommes rentrés à la maison et moi j’étais assez désireux de ma femme du coup je lui ai sauté dessus en arrivant. Seul hic, elle m’a demandé que j’enfile une douce robe longue, si je voulais m’occuper d’elle.

— Si tu ne veux pas t’habiller comme je te le demande mon chéri, on va se coucher et on dort.

Je vais vous avouer que vu mon état d’excitation, j’ai cédé à sa demande, j’ai enfilé la douce et longue robe qu’elle me tendait. Il n’y a pas à dire j’adorais être ainsi vêtu, dès que je l’ai enfilée, mon érection a fortement augmenté.

— Tu vois mon chéri ? Le simple fait de l’enfiler te met dans tous tes états.

— Désormais, tu ne baiseras qu’une fois habillé en femme.

Elle n’avait pas tort, et pendant que je finissais de me vêtir, Marie était déjà en train de me caresser. Avec ma douce culotte en lycra et ma robe en viscose, je me sentais très bien et j’avais une énorme envie de sauter sur ma femme. Ses attouchements sur mes fesses me faisaient les contracter, mais aussi donner des coups de reins. Elle m’a pris par la main pour m’emmener dans notre chambre. Elle s’est assise sur le lit, a écarté les jambes, m’a fait accroupir entre, puis m’a invité à descendre à la cave.

Arrivée à la hauteur de son minou, il n’y a pas de doute, ma femme avait aussi envie de moi, elle transpirait cela sentait bon le désir. J’adorais me délecter de ses sécrétions intimes, cela m’excitait encore plus pendant les préliminaires. Il m’aurait été impossible de me lasser de donner des coups de langue sur son entrejambe, tant le goût et l’odeur étaient formidables. J’étais maintenant accroché à ses cuisses dénudées, elles étaient sans fin, d’un galbe irréprochable et surtout d’une grande douceur. Elle a relevé sa robe pour la poser par-dessus ma tête et mes épaules, maintenant elle avait saisi ma tête et en plus de l’appuyer sur son vagin et son clito, elle me la faisait monter et descendre. Jamais elle n’avait dirigé les opérations de cette façon jusqu’à maintenant mais cela me plaisait énormément. Cela me chauffait d’ainsi m’offrir à elle, il n’y a pas à dire Marie aussi avait l’air de beaucoup aimer diriger des opérations ; nous étions faits pour nous entendre.

Marie a rapidement pris son pied en poussant de grands cris, de mon côté, il ne m’a fallu que quelques secondes pour ensuite la pénétrer. Vous n’imaginez pas le plaisir que je prenais à la pénétrer, sa cyprine était très compacte, cela me donnait un plaisir monstre chaque fois que j’honorais ma femme. De temps à autre, elle me faisait sortir de son vagin, pour s’imprégner ses doigts de sa mouille et ensuite venir me barbouiller le visage avec. Par-dessus cela, elle me caressait à travers ma robe, et j’en savourais pleinement la douceur. Avec un tel traitement, moi non plus il ne m’a pas fallu longtemps pour prendre mon pied, Marie a veillé à ce que je lui balance un maximum de liqueur au fond de ses entrailles. Elle contractait toujours plus fort son vagin, conjugué à mon sexe qui perdait vigueur, il m’était de plus en plus dur de la repénétrer chaque fois que je sortais. En plus d’être une femme magnifique, Marie avait un tempérament de feu, et c’était vraiment un coup unique.

De mon côté je me suis allongé le temps de reprendre mes esprits, pendant que ma belle partait prendre une douche.

— Désormais mon chéri, j’aimerais bien que tu dormes toujours ainsi vêtu.

Au fond de moi cela ne me dérangeait pas, car je trouvais ça très agréable au niveau du contact, et en plus c’était entre nous, cela augmentait notre complicité déjà très importante. Voilà comment j’ai pris l’habitude de dormir habillé en femme, avec systématiquement un collant fendu, une culotte ou un tanga, et surtout une longue et douce robe, avec ou sans manches longues. Au niveau de nos relations sexuelles, cela ne changeait strictement rien, si ce n’est, peut-être, un peu mon excitation croissante à l’égard de ma belle. Puis un samedi soir, ma chérie m’a fait la surprise d’inviter Thierry et Gilles, bien que les connaissant intimement j’ai été très gêné de les accueillir habillé en femme. Il n’y a pas à dire, de leur côté cela ne les dérangeait pas du tout, et sous les yeux de ma chérie, ils ne se sont pas privés de me caresser tous les deux.

— Alors Miss camping, tu t’es remise de tes vacances.

— Nous avions beaucoup aimé ta prestation dans ton rôle d’une femelle.

Cela me faisait tout drôle qu’il me rappelle ces souvenirs, que j’avais presque réussi à oublier. Marie avait l’air attendrie, à les entendre parler de nos vacances d’été tous les quatre.

— À ce sujet mon chéri, j’ai invité Gilles et Thierry pour t’informer d’une chose qui va changer entre nous.

— Désormais quand je partirai voir ma mère le week-end, plutôt que de rester tout le week-end seul à la maison, j’aimerais bien que tu ailles le passer chez nos voisins.

— En fait je vais t’avouer, que j’ai toujours peur que tu me sois infidèle et que tu ailles courir une autre femme.

— Nous nous sommes mis d’accord tous les trois et tu passeras les week-ends avec eux.

Avec le timbre de voix de Marie, je savais que je n’avais pas le choix. J’essayais de relativiser en me disant que ma belle n’allait pas voir sa mère toutes les semaines, mais plutôt une fois par mois où toutes les six semaines.

Cela me faisait tout drôle d’être habillé en femme, devant ces deux hommes qui ne pensaient qu’à une chose, me baiser. Marie était consciente que j’avais de fortes chances de passer à la casserole ce soir et c’est Thierry qui est passé le premier à l’assaut. Aidé de son ami, il m’a fait m’agenouiller sur le canapé, pendant que Gilles me tenait les mains d’un côté Thierry était en train de relever l’arrière de ma robe. Je le sentais maintenant en train de déposer de la salive et par moments je pouvais même voir son sexe en érection libéré de son pantalon.

— Ne dis rien ma chérie

— Nous sommes déjà rentrés dans tes entrailles, et je ne te ferai pas de mal.

Nos deux voisins étaient en train de me parler au féminin, et en plus il faisait de moi ce qu’il voulait de moi. J’étais comme résigné et je n’osais pas faire de bruit pour ne pas attirer l’attention de ma belle. Ce fut peine perdue car Marie est revenue de la cuisine et m’a surpris sur le point de me faire prendre par-derrière.

— Quand on y goûte une fois on ne peut plus s’en passer.

— Je suis contente mon chéri, que tu n’aies pas perdu cette habitude.

Je me demande comment Thierry, Gilles et Marie avaient négocié entre eux, pour que je me retrouve à leur merci les week-ends où ma belle ne serait pas là. Ça y est Thierry avait posé son sexe sur ma rondelle et je le sentais commencer à pousser. Voilà près de deux mois que personne n’était passé par là, immédiatement, j’ai retrouvé les sensations qui m’avaient tant plu pendant les vacances. Mon partenaire m’a saisi par les hanches et je commençais à le sentir progresser en moi, je ne sais pas ce qui m’a retenu de ne pas crier de plaisir, mais je ne pouvais que fermer les yeux de satisfaction. Pendant ce temps Marie était en train de libérer le sexe de Gilles, pour me le présenter afin que je le suce. Marie avait du mal à préparer Gilles car il me tenait les mains, j’adorais me retrouver à la merci de ces deux hommes car ils étaient très doux avec moi. J’ai commencé maintenant à sentir l’odeur de sexe de Gilles, c’est Marie qui dirigeait les opérations, elle tenait maintenant le sexe qui allait bientôt finir au fond de la gorge. De son côté, Thierry avait trouvé le rythme pour me besogner et trouver du plaisir, il me faisait tellement de bien maintenant, que j’envoyais mes fesses en arrière pour qu’il aille le plus loin possible en moi.

Ça y est, ma chérie était en train de me caresser le visage, avec le sexe bien rigide de Gilles. J’adorais l’odeur de ton sexe et régulièrement Marie venait me caresser des lèvres avec. Dès que je sortais la langue pour lécher ce sexe, Marie l’emmenait me caresser les joues, les yeux, le menton, le front. En ayant causé à plusieurs reprises avec eux je savais qu’ils se masturbaient mais ne s’enculaient pas.

— Je prends toujours autant de plaisir à me glisser dans tes entrailles.

— Ta façon de contracter ton sphincter, me fait toujours autant d’effet.

Au moment où j’avais trouvé inspiration pour lui donner réponse, j’étais sur le point d’ouvrir ma bouche, Marie a décidé que c’était le moment de me coller de sexe de Gilles dedans. En plus de l’odeur qui me faisait toujours autant d’effet je me suis retrouvé avec le goût dont j’avais toujours un très bon souvenir. Cela faisait donc plusieurs mois que je n’avais pas fait du pipe et j’avais l’impression que c’était là une première pour moi.

Ça y est, mes deux partenaires étaient en train de me baiser avec fermeté, pendant que ma chérie m’embrassait, me caressait les cheveux, me pinçait les tétons et me masturbait aussi. Entre la précision des caresses de ma belle, ces deux hommes qui me baisaient, je me sentais vraiment un objet sexuel. J’étais fermement maintenu mais aussi fermement secoué, en même temps, j’essayais de donner le plus de sensations avec ma langue.

— Ton mec suce toujours aussi bien.

Ça pour un compliment c’était un compliment.

— Vivement que tu partes voir ta maman, qu’on puisse profiter de ton homme tout un week-end et en faire notre petite femme.

— Je suis persuadé que ton homme prend du plaisir, pendant que je le baise.

J’avais trouvé inspiration pour répondre, mais j’étais dans l’incapacité de le faire, vu que j’avais la bouche pleine. J’aimais beaucoup le goût très prononcé, mais surtout fort, du sexe de Gilles, en même temps, la saveur était en train de partir.

Marie, tout comme moi, avons été très surpris, quand Thierry m’a collé plusieurs claques sur les fesses, des claques très bruyantes et je peux vous dire qu’elles étaient aussi douloureuses. Cela me faisait mal, mais en même temps j’ai beaucoup aimé sentir l’impact de ses mains sur mes fesses. Je me sentais à lui ou à eux, je ne sais pas vraiment. De son côté Gilles me tenait la tête et donnait des coups de reins de plus en plus puissants lui aussi. Chaque fois qu’il arrivait au fond de ma gorge, j’étais à deux doigts de vomir car il allait me toucher la luette. Les deux hommes étaient synchronisés en ce sens où ils rentraient en même temps en moi en ressortaient au même rythme. J’avais une érection formidable et il n’y avait pas que les caresses de ma belle qui y étaient pour quelque chose, je pense que le fait de subir un tel traitement m’excitait aussi énormément. Finalement Marie nous a quittés pour aller s’occuper de la cuisine, pendant ce temps-là, les deux hommes étaient en train de finir de prendre du plaisir en moi.

— Ne bouge plus ma chérie c’est en train de venir.

— Nous allons te balancer la purée dans quelques secondes.

Je n’ai pas eu beaucoup à attendre avant de les sentir se contracter et commencer à me vider leur semence en moi. À ma grande honte, moi aussi j’ai éjaculé dans ma robe, mais j’ai fait attention à ce qu’ils ne s’en rendent pas compte, même si je pense que je ne pourrai pas le leur cacher longtemps.

— Il n’y a pas à dire ma chérie tu es toujours aussi bonne.

Pendant que Thierry était en train de me parler, je le sentais m’envoyer ses derniers jets de liqueur. Quant à Gilles, il avait fini de se vider dans ma bouche, mais maintenant il me confiait son sexe à nettoyer, bien évidemment. Marie est revenue de la cuisine, nous avons eu droit à un commentaire plein de poésie.

— Ça sent l’homme dans le coin, je dirais même mieux, ça sent la bite.

En même temps j’étais en train de réaliser que pas une goutte de sperme n’avait quitté mes petites fesses, ni de ma bouche et qu’en fait l’odeur de sperme était la mienne, celui qui s’était répandu dans ma robe. Il n’a fallu que quelques secondes à Marie pour constater que j’avais souillé la robe.

— Je vous félicite car vous avez réussi à faire jouir mon étalon.

— Je pense qu’il est bon à venir faire la femelle chez vous, quand je partirai voir ma mère.

J’espère que vous aurez eu le courage d’aller voir les chapitres précédents, pour vous remémorer l’histoire.

En espérant que ce chapitre vous a plu, je vous fais de gros bisous.

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