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Quel cul ! – Chapitre 14

Quel cul ! - Chapitre 14



Nous avons fréquenté pendant plusieurs mois ce sex-shop, y faisant souvent de bonnes rencontres qui nous satisfaisaient tous les deux : elle lexhibitionniste, et moi le voyeur.

Louise avait pris lhabitude de se vêtir très court, de ne pas mettre de culotte ou de string lorsque nous nous déplacions ensemble.

Nous prenions de temps à autre lautoroute et lorsque nous doublions un camion, et si la circulation le permettait, je restais à la hauteur de la portière du conducteur et Louise remontait sa jupe entièrement, allongeait son siège, mettait une jambe sur le tableau de bord, et dévoilait sa chatte, se caressait parfois. Cela va sans dire que lorsque nous accélérions, nous avions droit à une multitude dappels de phare ou de clignotant pour nous inciter à nous arrêter à la prochaine aire !

Parfois nous pouvions être ensemble une bonne partie de la journée. Alors nous nous déplacions vers dautres villes et cest ainsi quun après-midi nous nous sommes retrouvés dans un grand sex-shop de Lille ou il y avait de nombreuses cabines mais aussi une grande salle de cinéma où passait en permanence des films pornos.

Il y avait dans cette salle une douzaine dhommes de tous âges. Nous nous sommes installés vers le milieu.

Quelques sièges devant nous, derrière et sur le côté gauche étaient occupés.

Nous nous sommes un peu intéressés au film ce qui fit monter un peu plus lexcitation.

Louise à ma gauche, nétait pas très rassurée : il y avait beaucoup dhommes pour elle seule !

Lorsque ma main trouva un de ces seins et commença à le caresser, elle commença à se lâcher. Sa main droite trouva rapidement ma braguette : elle eu du mal à louvrir tant à lintérieur ma bite était tendue. Elle réussi à la sortir, promenant ses doigts tout le long de cette tige dure.

Nos mouvements avaient attiré les regards des autres spectateurs et quelques mouvements se firent dans la salle.

Les fauteuils devant nous furent vite occupés par des voyeurs de tous âges.

Louise plongea sa bouche sur ma queue et lavala prestement. Je profitai de sa position pour lui relever, difficilement, la jupe, dévoilant ses cuisses aux regards ; aussitôt elle entreprit de relever la jambe gauche dévoilant ainsi sa chatte nue car elle navait pas mis de culotte.

Je la forçai à se redresser, ouvrait son chemisier pour sortir ses deux seins aux mamelons bien tendus, preuve de son excitation, et les caressai fortement pendant que sa main me tripotait toujours la bite.

Un des hommes derrière nous commença à lui caresser le cou, un autre devant essayait de remonter sur ses cuisses écartées. Elle voulu résister mais je lui demandais à loreille de se laisser faire, décarter plus les cuisses, de se glisser plus en avant sur le fauteuil pour pouvoir mieux se montrer et se faire caresser. Dautres « cinéphiles » sétaient rapprochés et nous étions entourés de près par ces hommes qui caressaient ce quils pouvaient atteindre. Louise, les yeux fermés, se laissait faire : on lui triturait les seins, lui écartait les cuisses, la pénétrait avec les doigts : elle commençait à haleter de plus en plus fort et soudain elle jouit en faisant de petits soubresauts. Elle chassa les mains qui la pelotaient, se leva et vint sempaler sur ma verge. Javais, entretemps, baissé mon pantalon, ce qui facilita la pénétration.

Dès quelle fut sur moi, je lui empoignais les fesses et la fit monter et descendre sur ma bite.

Des mains se posèrent de nouveau sur ses seins, dautres lui caressaient les cuisses, la chatte, essayaient de se glisser vers son petit trou. A ce rythme là ma jouissance vint très vite et je lâchais mon foutre à grandes giclées dans sa chatte. Des mains compatissantes nous tendirent des serviettes en papier pour nous essuyer. Lun des voyeurs proposa à Louise de lui lécher la chatte pleine de jus. Il était plutôt jeune, assez beau gars et je lui dis ok sans tenir compte de lavis de Louise. Elle était debout entre les deux rangées de siège : je luis pris la main pour quelle arrête de se nettoyer, lui pressait lintérieur des cuisses pour quelle écarte les jambes et notre homme vint se mettre à genoux devant elle, lui ouvrit délicatement les lèvres et glissa sa langue sur sa chatte grande ouverte. Jembrassai Louise à pleine bouche. Ma main se dirigea vers sa cuisse et lincitait ainsi à mettre un pied sur le fauteuil. Notre inconnu continua à la lécher pendant quelques instants puis il se retira et partit sans dire un mot. Des mains sétaient à nouveau portées sur le corps ainsi offert et nous eûmes un peu de mal à leur faire lâcher prise.

Nous nous rhabillâmes et nous avons échangé quelques mots avec ces spectateurs ravis dune telle aubaine. Plusieurs dentre eux pensaient que cétait une pute que javais emmené dans cette salle et me félicitèrent davoir une telle femme à mes côtés.

Nous sommes rentrés par lautoroute et nous nous sommes arrêtés sur une aire où Louise me tailla une pipe magistrale : javais encore devant les yeux le spectacle de laprès-midi.

A suivre

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