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Quel cul ! – Chapitre 18

Quel cul ! - Chapitre 18



A peine entrés dans la chambre nous nous sommes déshabillés. Louise ne garda que ses bas auto-fixant et gagna les toilettes. Lorsquelle en sortit nous étions allongés sur le lit. Elle vint se loger entre nous et se blottie dans mes bras. David commença à lui caresser le dos, le ventre, les seins tout en lui donnant de petits bisous.

Louise, je le sentais, se détendait. Elle prenait confiance et de ce fait commença à prendre quelques initiatives. Sa main chercha le sexe de David qui prenait du volume. Elle le regarda et du le trouver à son goût car elle changea de position, se tourna vers lui, se pencha sur sa queue offrant à mes lèvres son cul rebondi. Sa langue se promenait sur le méat, descendait en léchant jusquaux couilles puis remontait. Elle prit alors cette bite en bouche, lenfonçant profondément et commença de longs va et vient. David sallongea en travers du lit et me fit signe quil voulait lui bouffer la chatte en même temps, faire un 69.

Louise se positionna de telle façon quil puisse lui lécher le minou. Elle semblait apprécier son coup de langue, ses fesses ondulant de plus en plus fortement. Pour ma part je les regardais en me caressant, réalisant que Louise cette fois ne sétait pas montrée en train de baiser comme elle lavait fait jusque maintenant, mais avait commencé à baiser directement avec David.

Je me mis à genoux devant Louise lui présentant ma bite à sucer. Elle suçait alternativement le deux queues. Je pris ses seins les pelotant fortement, tirant sur les bouts, presque à lui faire mal. Elle gémissait doucement mais se laissait faire. Je délaissais sa bouche et me mis, difficilement, derrière elle. Je présentai ma bite à sa chatte mais aussi à la bouche de David. Je voyais sa langue titiller le bouton, entrer dans sa chatte et glisser vers sa rosette. Il prit ma bite dans la main et la promena sur la chatte. Il lui faisait caresser le clito et la présentait à lentrée de la chatte. Sa langue allait et venait, de la chatte à la bite et soudain il la prit en pleine bouche. Il savait sucer le bougre ! Javais pris les fesses de Louise à pleines mains et je la pelotais sans ménagement, tirant sur les deux globes de façon à bien faire ressortir sa grotte secrète que jespérais voir se faire prendre. David commençait à bien mexciter et je sentais le plaisir arriver. De même à la façon dont il bougeait je devinais quil était aussi prêt à jouir.

« Je vais te baiser maintenant, tu veux ? »

Elle se mit sur le dos près de David, remonta les jambes pour bien dégager le chemin et me dit « vient ».

Je rentrai facilement, son sexe étant inondé par son excitation. Pendant que je la besognais, David se mis à genoux devant son visage et lui posa la queue sur les lèvres quelle entrouvrit. Il lui branla le bouton augmentant les ondulations. Sa main glissa vers le cul soulevé et, après avoir mouillé un doigt avec du jus, il commença à lui cajoler la rosette. Louise tenta bien de repousser sa main mais finalement se laissa faire. Il profita de la situation pour lenfoncer un peu ; en même temps je sentais ses doigts frôler mes couilles ce qui activa mon plaisir et je lâchais ma semence provoquant lorgasme de Louise.

« Si tu as une capote, tu peux la baiser maintenant, à moins quelle ne veuille pas, mais comme je la vois, cela métonnerait ! »

Aussitôt dit aussitôt fait. Il mit son préservatif et pris ma place besognant Louise à grand coups de bite.

« Mets toi à quatre pattes, je pourrai mieux te lenfoncer ! »

Elle se positionna aussitôt et il lui balança ses coups de reins. Je voyais les fesses de Louise recevoir les coups de bas ventre de David et visiblement cela lui plaisait.

Je mis ma bite sur les lèvres de Louise quelle ouvrit pour lavaler. Elle nettoyait le jus avec sa langue. David se mit à haleter et se raidit. Il jouissait et Louise appréciait.

Après quelques minutes de repos, le temps pour David et moi de récupérer un peu de vigueur, le temps pour Louise de passer aux toilettes se rafraîchir, nous reprîmes nos ébats. Louise appréciait, et je vis que je ne métais pas trompé, David était bien le type dhomme qu’elle appréciait. Elle le laissait faire ce quil voulait et jétais, pour cette « deuxième séance » plus spectateur quacteur. Il lui fit prendre des positions impossibles quelle accepta sans aucune retenue. Elle lui prenait la bite à pleine bouche, lentrant jusquau fond de la gorge, allant jusqu’à hoqueter, pendant que un doigt dans la chatte et un doigt dans le cul il la faisait jouir. Ses seins étaient rouges davoir été malmenés, tiraillés dans tous les sens. Elle était à plat ventre, les jambes écartée, la bite de David dans la bouche et je voyais les doigts lui donner du plaisir.

« Il te baise bien, tu es une vrai salope, hein que tu aimes ça ! »

« Tend tes fesses que je les caresse, cela te rappellera des souvenirs ! »

Et dexpliquer à David, que parfois, lors dexhibition en voiture, je la claquais sur les fesses. Jaime la baiser quand ses fesses sont bien rouges, de plus elles sont chaudes et elle aime ça ! Jai remarqué quaprès avoir reçu une fessée bien dosée, sa chatte était trempée. Parfois il arrivait quelle ne mouille pas, pour une raison ou pour une autre. A chaque fois la fessée permettait de remédier à cela.

Je commençai à lui frapper les fesses, doucement puis de plus en plus fort. Les doigts de David senfonçaient de plus en plus. Je voyais son index pénétrer presque entièrement dans lanus. Il glissa un second doigt qui entra facilement. Mes claques commençaient à rougir les fesses de Louise. Elle se dandinait dans tous les sens, maintenue par David qui lui tenait fermement la tête pour quelle ne lâche pas sa queue.

« Arrête, tu commences à me faire mal ! réussit-elle à placer ! »

« Encore un peu salope, jarrêterai lorsquil jutera dans ta bouche ! »

Elle se mit alors à sucer plus fort, plus vite, sa main branlant cette queue à toute vitesse.

« Avale tout, jusqu’à la dernière goutte, sans cela je tencule à sec ! »

Dun coup, David,poussa un petit cri. Il jouissait. Louise hoqueta sous la pression du jet. Il lui lâcha la tête, mais elle continua à aller et venir avec sa bouche, avalant le jus qui sécoulait, lui léchant la queue de haut en bas.

Jarrêtai de frapper ses fesses qui étaient devenues rouge cramoisi, et je la regardais. Je la pris dans mes bras et lembrassai à pleine bouche, avalant un peu du jus de David.

Nous étions exténués mais détendus. Quel pied !

Nous venions de passer pratiquement deux heures à baiser comme des fous. Louise pour cette première fois dans un lit ma laissé entrevoir des perspectives plus qualléchantes ! La voir soffrir, comme je lavais vu pendant des années aux regards, aux mains et aux langues, la voir se faire prendre dans la forêt, tout cela nétait rien à côté de cet après midi.

Javais découvert une vraie salope, qui avec lâge aimait de plus en plus la bite, le plaisir à donner et à recevoir. Il semblerait quelle nai plus aucune limite.

Nous discutâmes longuement en nous désaltérants et en fumant une cigarette. Il est à remarquer que nous ne fumions quà cette occasion et seulement si notre visiteur était fumeur et avait des cigarettes.

David était fonctionnaire, bougeait beaucoup et était facilement libre. Nous décidâmes dun autre rendez-vous.

Puis nous rentrâmes.

A SUIVRE

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