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Quel cul ! – Chapitre 7

Quel cul ! - Chapitre 7



Notre relation durait depuis plus de quinze ans. Pas toujours évident de trouver du temps pour nos rendez-vous. Mes obligations professionnelles et les siennes faisaient que nous avions un peu moins de temps pour nos rencontres. Mais son appétit pour le sexe grandissait en permanence. Elle voulait faire lamour souvent. C était devenu une sorte de drogue pour elle.

Le chemin que nous fréquentions nétait plus accessible. Des habitations ont été construites prés de son entrée, et pour la discrétion ce nétait pas lidéal. Nous nous mîmes en chasse dun autre chemin. Pas facile à trouver. Il fallait quil soit facilement accessible, praticable en toute saison, avec une entrée discrète, suffisamment long pour que nous ne soyons pas aperçus de la route. Nous parcourions les petites routes à la recherche de cet endroit idéal. Et puis un jour, par hasard, nous vîmes sortir deux voitures d un chemin que nous navions pas repéré. Nous avons laisse les véhicules s éloignés et sommes allez visiter cet endroit. Un long chemin avec des cailloux par endroit, goudronne à d autre. Long de plus dun kilomètre, il menait après plusieurs changements de direction, dans un cul de sac, au milieu des champs. Il nous convient aussitôt. Des mouchoirs en papier usages sur le sol prouvaient quil y avait des visiteurs.

Nous le testâmes aussitôt. Il devint notre nouveau refuge.

Nous avions pour habitude à cette époque de nous y retrouver le samedi matin. Nous baisions dans la voiture ou dehors si le temps le permettait. Un jour que je besognais Louise agenouillée sur le siège, japerçu une voiture au loin. Je ny prêtais pas trop attention, les cultivateurs venant parfois visiter leurs cultures. Mais celle là sarrêtait, redémarrait, faisait quelques dizaines de mètres, sarrêtait à nouveau, repartait

Je continuais de sauter Louise tout en surveillant du coin de lil cet intrus. Soudain le véhicule stoppa sur le côté à une cinquantaine de mètres environ et un homme en sortit. Il nous regardait de loin et je vis quil avait sorti son sexe et quil se masturbait. Au bout de quelques instants, certainement après quil eu joui, il remonta, fit demi tour et partit. Louise navait rien vu. Cette visite mavait excite, elle me rappelait des souvenirs. Je jouis énormément, lâchant de gros jets de sperme dans la chatte de Louise qui adorait sentir le jus couler dans sa vulve.

Il vint nous rendre visite tous les samedis, quel que fut le temps. Louise lavait repéré depuis longtemps et cela lexcitait de le voir arriver. Elle disait que tant quil restait au loin ça lui allait très bien, quil pouvait continuer à se branler, pour le peu quil voyait Mais je sentais quand même dans ses propos une sorte de regret

Un samedi, alors que Louise me taillait une pipe, je le vis arriver. Il se gara comme dhabitude et sortit. Il était un peu plus proche cette fois. Le fait que nous continuions à baiser lorsquil était là devait le rassurer sur nos intentions non belliqueuses. La vitre de la voiture était ouverte. Je passais mon bras par la fenêtre et lui fit signe de sapprocher. Après de longues minutes dhésitation il sapprocha. Je dis à Louise, « continue de sucer, il arrive près de la voiture ». Elle avait le cul à lair, son chemisier ouvert laissait apparaître ses seins sortis du soutien-gorge. Tout en continuant de sucer elle remit la jupe en place sur ses fesses et referma son chemisier, sans toutefois remettre les boutons. Lindividu sapprocha de la voiture, non pas de mon côté mais du côté apposé, là ou le cul de Louise reposait. Je lui fis signe de venir près de ma portière mais il me fit signe que non, il restait là. De lendroit où il était il ne pouvait voir grand-chose, si ce nest les mouvements de tête que faisait ma salope en me suçant. Jai tenté de remonter la jupe de Louise mais elle la repoussa fermement. Il passa sur le devant de la voiture et pu en voir un peu plus. La bite à lair il se masturbait. Soudain il jouit, sessuya et partit sans un mot. Nous nous sentîmes frustrés. Pas une parole, pas un geste..

Vivement samedi prochain..

Le samedi suivant, personne ! Ni celui daprès !

Nous nous étions fait à lidée que notre inconnu ne reviendrai plus.

Erreur ! Le samedi suivant, alors que Louise, ma queue bien rentrée dans sa chatte, assise sur moi, me bouchait la vision du chemin, dis tout dun coup : quelquun vient. Jetant un coup dil je reconnus la voiture de notre visiteur. Nous arrêtâmes nos mouvements et Louise se remit sur son siège.

Contrairement à son habitude, il se gara à une dizaine de mètres de notre voiture et descendit.

En survêtement et chaussures de sport, il avait lair dun joggeur matinal. De taille moyenne, dallure sportive il restait près de sa voiture et attendait. Je voyais sa main sagiter dans la poche de son pantalon. Il se caressait sans bouger. Je dis à Louise de me sucer. Elle se pencha et dun coup sa tête disparue du champ de vision de notre voyeur. Voyant cela il commença son approche. Passant ma main par la vitre ouverte de la voiture je lincitai à approcher davantage. Ce quil fit dun coup et sarrêta près de nous, regardant par la vitre la bouche de Louise engloutir ma verge.

« Bonjour »

Sa première parole. Nous le saluâmes à notre tour. Louise sétait redressée et me tenait le sexe dans la main.

Que cherchez-vous ici ? demanda telle.

Rien, je profite du paysage, répondit il.

En se redressant Louise avait laissé ouvert son chemisier et ses seins attiraient le regard de notre inconnu. La jupe remontée laissait apparaître ses bas et son porte-jarretelles.

Suce moi encore dis-je à mon amie qui aussitôt se remit à luvre, se penchant légèrement afin de mieux montrer ce quelle faisait. Profitant de ce quelle était inclinée, jen profitai pour lui remonter la jupe en haut des fesses ce qui fit apparaître son derrière. Elle ne dit rien. Notre voyeur, la main sagitant toujours dans le pantalon, fit le tour de la voiture pour mieux découvrir ce cul. Dès quil fut près de la vitre, je caressais Louise, des deux mains jécartais ses fesses afin de mieux lui montrer sa rosette et sa chatte. Elle ne disait toujours rien, mais je sentais à ses succions que lexcitation montait. Je la redressais et la fit sallonger sur le siège mis en position couchette. Les yeux fermés, elle sexposait. Je lui titillais le bout des seins, caressais son ventre, glissait un doigt dans sa fente. Regarde sa queue lui dis-je soudain ! Il avait sorti une bite ma foi de fort belle taille et se branlait en regardant. Louise ouvrit les yeux et le regarda faire. Elle soffrit plus encore au regard, montant sa jambe gauche elle prit appui sur laccoudoir, offrant ainsi une vision totale de sa chatte. Soudain il jouit, laissant échapper des jets de sperme. Il sortit un mouchoir, sessuya et il partit en nous lançant « Au revoir ».

Pendant quil regagnait sa voiture je demandai à Louise de descendre et de venir me rejoindre. Je quittai moi aussi mon siège et dès que Louise fut près de moi, je linclinai sur le siège et la pénétrait profondément. Je la baisais fortement à grand coups de rein. Il nous regardait, tout en manuvrant sa voiture pour faire demi-tour. Tout en lui caressant le clito, je lâchais une tonne de jus dans la chatte de Louise qui jouit à son tour. Quel pied nous avions pris !

Et il revînt, pratiquement tous les samedis ou nous y étions.

Il sapprochait, regardait, se branlait et repartait. Nous avions beau essayer de lexciter davantage le rituel était le même. Louise me suçait, portière ouverte, à genoux sur son siège, uniquement en bas et porte-jarretelles, le séant bien relevé, ou alors lui montrait comment elle avalait mon sperme, ou encore en lui exposant sa chatte engloutissant ma bite, rien ny fit. Il approchait, regardait, se branlait et repartait.

Nous en étions presque frustrés. Il nous manquait un petit quelque chose pour être totalement satisfaits !!

A suivre

Notre relation durait depuis plus de quinze ans. Pas toujours évident de trouver du temps pour nos rendez-vous. Mes obligations professionnelles et les siennes faisaient que nous avions un peu moins de temps pour nos rencontres. Mais son appétit pour le sexe grandissait en permanence. Elle voulait faire lamour souvent. C était devenu une sorte de drogue pour elle.

Le chemin que nous fréquentions nétait plus accessible. Des habitations ont été construites prés de son entrée, et pour la discrétion ce nétait pas lidéal. Nous nous mîmes en chasse dun autre chemin. Pas facile à trouver. Il fallait quil soit facilement accessible, praticable en toute saison, avec une entrée discrète, suffisamment long pour que nous ne soyons pas aperçus de la route. Nous parcourions les petites routes à la recherche de cet endroit idéal. Et puis un jour, par hasard, nous vîmes sortir deux voitures d un chemin que nous navions pas repéré. Nous avons laisse les véhicules s éloignés et sommes allez visiter cet endroit. Un long chemin avec des cailloux par endroit, goudronne à d autre. Long de plus dun kilomètre, il menait après plusieurs changements de direction, dans un cul de sac, au milieu des champs. Il nous convient aussitôt. Des mouchoirs en papier usages sur le sol prouvaient quil y avait des visiteurs.

Nous le testâmes aussitôt. Il devint notre nouveau refuge.

Nous avions pour habitude à cette époque de nous y retrouver le samedi matin. Nous baisions dans la voiture ou dehors si le temps le permettait. Un jour que je besognais Louise agenouillée sur le siège, japerçu une voiture au loin. Je ny prêtais pas trop attention, les cultivateurs venant parfois visiter leurs cultures. Mais celle là sarrêtait, redémarrait, faisait quelques dizaines de mètres, sarrêtait à nouveau, repartait

Je continuais de sauter Louise tout en surveillant du coin de lil cet intrus. Soudain le véhicule stoppa sur le côté à une cinquantaine de mètres environ et un homme en sortit. Il nous regardait de loin et je vis quil avait sorti son sexe et quil se masturbait. Au bout de quelques instants, certainement après quil eu joui, il remonta, fit demi tour et partit. Louise navait rien vu. Cette visite mavait excite, elle me rappelait des souvenirs. Je jouis énormément, lâchant de gros jets de sperme dans la chatte de Louise qui adorait sentir le jus couler dans sa vulve.

Il vint nous rendre visite tous les samedis, quel que fut le temps. Louise lavait repéré depuis longtemps et cela lexcitait de le voir arriver. Elle disait que tant quil restait au loin ça lui allait très bien, quil pouvait continuer à se branler, pour le peu quil voyait Mais je sentais quand même dans ses propos une sorte de regret

Un samedi, alors que Louise me taillait une pipe, je le vis arriver. Il se gara comme dhabitude et sortit. Il était un peu plus proche cette fois. Le fait que nous continuions à baiser lorsquil était là devait le rassurer sur nos intentions non belliqueuses. La vitre de la voiture était ouverte. Je passais mon bras par la fenêtre et lui fit signe de sapprocher. Après de longues minutes dhésitation il sapprocha. Je dis à Louise, « continue de sucer, il arrive près de la voiture ». Elle avait le cul à lair, son chemisier ouvert laissait apparaître ses seins sortis du soutien-gorge. Tout en continuant de sucer elle remit la jupe en place sur ses fesses et referma son chemisier, sans toutefois remettre les boutons. Lindividu sapprocha de la voiture, non pas de mon côté mais du côté apposé, là ou le cul de Louise reposait. Je lui fis signe de venir près de ma portière mais il me fit signe que non, il restait là. De lendroit où il était il ne pouvait voir grand-chose, si ce nest les mouvements de tête que faisait ma salope en me suçant. Jai tenté de remonter la jupe de Louise mais elle la repoussa fermement. Il passa sur le devant de la voiture et pu en voir un peu plus. La bite à lair il se masturbait. Soudain il jouit, sessuya et partit sans un mot. Nous nous sentîmes frustrés. Pas une parole, pas un geste..

Vivement samedi prochain..

Le samedi suivant, personne ! Ni celui daprès !

Nous nous étions fait à lidée que notre inconnu ne reviendrai plus.

Erreur ! Le samedi suivant, alors que Louise, ma queue bien rentrée dans sa chatte, assise sur moi, me bouchait la vision du chemin, dis tout dun coup : quelquun vient. Jetant un coup dil je reconnus la voiture de notre visiteur. Nous arrêtâmes nos mouvements et Louise se remit sur son siège.

Contrairement à son habitude, il se gara à une dizaine de mètres de notre voiture et descendit.

En survêtement et chaussures de sport, il avait lair dun joggeur matinal. De taille moyenne, dallure sportive il restait près de sa voiture et attendait. Je voyais sa main sagiter dans la poche de son pantalon. Il se caressait sans bouger. Je dis à Louise de me sucer. Elle se pencha et dun coup sa tête disparue du champ de vision de notre voyeur. Voyant cela il commença son approche. Passant ma main par la vitre ouverte de la voiture je lincitai à approcher davantage. Ce quil fit dun coup et sarrêta près de nous, regardant par la vitre la bouche de Louise engloutir ma verge.

« Bonjour »

Sa première parole. Nous le saluâmes à notre tour. Louise sétait redressée et me tenait le sexe dans la main.

Que cherchez-vous ici ? demanda telle.

Rien, je profite du paysage, réponditil.

En se redressant Louise avait laissé ouvert son chemisier et ses seins attiraient le regard de notre inconnu. La jupe remontée laissait apparaître ses bas et son porte-jarretelles.

Suce moi encore dis-je à mon amie qui aussitôt se remit à luvre, se penchant légèrement afin de mieux montrer ce quelle faisait. Profitant de ce quelle était inclinée, jen profitai pour lui remonter la jupe en haut des fesses ce qui fit apparaître son derrière. Elle ne dit rien. Notre voyeur, la main sagitant toujours dans le pantalon, fit le tour de la voiture pour mieux découvrir ce cul. Dès quil fut près de la vitre, je caressais Louise, des deux mains jécartais ses fesses afin de mieux lui montrer sa rosette et sa chatte. Elle ne disait toujours rien, mais je sentais à ses succions que lexcitation montait. Je la redressais et la fit sallonger sur le siège mis en position couchette. Les yeux fermés, elle sexposait. Je lui titillais le bout des seins, caressais son ventre, glissait un doigt dans sa fente. Regarde sa queue lui dis-je soudain ! Il avait sorti une bite ma foi de fort belle taille et se branlait en regardant. Louise ouvrit les yeux et le regarda faire. Elle soffrit plus encore au regard, montant sa jambe gauche elle prit appui sur laccoudoir, offrant ainsi une vision totale de sa chatte. Soudain il jouit, laissant échapper des jets de sperme. Il sortit un mouchoir, sessuya et il partit en nous lançant « Au revoir ».

Pendant quil regagnait sa voiture je demandai à Louise de descendre et de venir me rejoindre. Je quittai moi aussi mon siège et dès que Louise fut près de moi, je linclinai sur le siège et la pénétrait profondément. Je la baisais fortement à grand coups de rein. Il nous regardait, tout en manuvrant sa voiture pour faire demi-tour. Tout en lui caressant le clito, je lâchais une tonne de jus dans la chatte de Louise qui jouit à son tour. Quel pied nous avions pris !

Et il revînt, pratiquement tous les samedis ou nous y étions.

Il sapprochait, regardait, se branlait et repartait. Nous avions beau essayer de lexciter davantage le rituel était le même. Louise me suçait, portière ouverte, à genoux sur son siège, uniquement en bas et porte-jarretelles, le séant bien relevé, ou alors lui montrait comment elle avalait mon sperme, ou encore en lui exposant sa chatte engloutissant ma bite, rien ny fit. Il approchait, regardait, se branlait et repartait.

Nous en étions presque frustrés. Il nous manquait un petit quelque chose pour être totalement satisfaits !!

A suivre

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