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Randonnée avec ma grande cousine infirmière – Chapitre 10

Randonnée avec ma grande cousine infirmière - Chapitre 10



Chapitre 10

Aaaaah ! Merde, j’ai failli tomber du lit ! Je me suis rattrapée en posant une jambe au sol mais c’était moins une. Jean est toujours près de moi. J’essaie de le pousser un peu pour me recaler Allez mon gars ! Bouge-toi ! Je le pousse de mes fesses Je sens sa queue. Mais c’est pas vrai ! Il bande encore ! Il est vraiment chaud comme la braise ce Jeannot ! Je me retourne. Je le regarde. Il dort vraiment. Comme une masse. Mais il bande. Hum hum Regardons d’un peu plus près l’engin qui m’a dépucelé le cul Taille très respectable monsieur, bel outil Huumm j’ai faim. Je glisse dans le lit Ma tête part à la rencontre de son pubis je hume, je tourne autour ma main s’aventure vers ses testicules je les caresse remonte sur son manche Jeannot se tourne sur le dos. J’ai l’impression qu’il dort toujours Je commence à le lécher Huummmm Je le lèche tout du long descends sur ses couilles remonte, tourne autour de son gland. Enfin je le prends en bouche

–    Hummmm Solène ma belle Solène.

Jeannot me caresse les cheveux. Je continue à le pomper, goulument.

–    Viens viens près de moi

Je délaisse mon ouvrage non sans embrasser sa verge et je remonte près de lui.

Jeannot me regarde. Il m’embrasse. Nos langues s’emmêlent longuement, tendrement. Puis il me fait basculer sur le dos, et se glisse entre mes jambes. Il me regarde fixement intensément. Je sens sa queue sur mon pubis, ses couilles contre ma fente Il me caresse la joue, m’embrasse les lèvres tellement doucement longuement Puis sa bite descend vers ma chatte Elle écarte mes lèvres, trouve la porte secrète et me pénètre à nouveau. Lentement, précautionneusement Je soupire profondément. Enfin Jeannot arrive au bout Il repart, revient en fouillant la paroi avant il traverse mon point sensible je réagis il revient toujours Mon dieu il est tellement attentif pour un mec de 18 ans. Elle a fait du bon boulot cette Cécile !

Petit à petit, le mouvement accélère. Je lui pétris les fesses purée quel beau petit cul il a ce mec ! Il me baise il s’est dressé sur ses bras, il me prend il pilonne le fond de mon trou la jouissance je gémis je gémis il me met la main sur la bouche faut pas réveiller la cousine c’est entre nous, seulement pour nous deux il soupire et se mord les lèvres. Se tend éjacule éjacule pas vraiment l’abondance, elle a déjà tout pris cette cochonne il s’écroule sur moi…. .

Jeannot c’est rendormi je crois. Il est toujours allongé sur moi Je caresse ses cheveux, son dos, ses fesses C’était bon tellement bon partagé doux. Je n’ai pas eu d’orgasme comme tout à l’heure Pas grave. J’ai quand même joui longuement et je suis contente qu’il ait enfin joui en moi Elle a raison Cécile il est très mature ce Jeannot il sait y faire Et il est gentil, drôle, un peu timide mais c’est attendrissant Dommage qu’il reparte demain j’aurais bien continué un peu nos petits jeux à deux. Qu’est-ce qui va se passer maintenant ? On verra bien Dans une heure max je dois me lever Est-ce que je retourne déjà dans ma chambre ? C’est sans doute mieux J’essaie de repousser Jeannot sur le côté. Il est lourd ce con !

–    Solène ma belle Solène.

–    Jeannnot il faut que je parte je dois aller bosser tout à l’heure, il faut que je retourne à ma chambre pour me préparer, prendre une douche.

–    Ah oui t’es sûre que tu peux pas rester encore un peu ?

–    Faut pas que je me rendorme

–    Viens juste contre moi. Un dernier petit câlin.

–    T’es drôle, Jeannot… T’es un gros tendre, en fait, toi !

–    Pas toujours Mais t’aimes pas ça la tendresse ?

–    Si si. C’est juste un peu étonnant pour un mec

–    T’as un mec qui te bat ?

–    Non non. J’ai pas de mec en ce moment Mais je n’en ai jamais connu un comme toi.

–    Ah Et c’est bon signe ou mauvais signe ?

–    Je sais pas encore. Plutôt bon. Surtout vu tes talents cachés

Nous restons quelques instants collés l’un à l’autre. Il m’enlace, les bras repliés sur ma poitrine. De temps en temps il pose un baiser sur mon épaule. Je lui embrasse la main. Mais il faut vraiment que j’y aille

–    Allez Jeannot. Faut que je retourne dans ma chambre.

–    On se reverra ?

–    Tout à l’heure à la réception !

–    Arrête

–    Je sais pas Jeannot. La vie est compliquée Surtout la tienne, avec Cécile Mais on habite tous les deux Paris

–    Oui alors on se reverra peut-être

–    C’est ça mais t’es un mec super ce serait sûrementbien de mieux se connaître

En lui disant cela je me suis levée, j’ai ramassé mes affaires et enfilé ma robe sur mon corps nu. Je me rapproche du lit nous nous embrassons une dernière foisun vrai et long baiser français. Je sors de la chambre.

*********

Je me réveille. Jeannot dort toujours. Seul. Solène est partie. 7h30. Elle doit déjà bosser. Jeannot est nu sur son lit. Je le regarde. Il est beau. Je les ai entendus Solène et lui tout à l’heure. Même s’ils faisaient tout pour être discrets. Apparemment ils ont bien baisé, et il a joui. Quelle petite connasse ! Quel petit con !

Mais non. C’est ce que je voulais. Même si je crève de jalousie. Il le fallait. Il faut qu’il se détache de moi. C’est dur  Moi aussi il faut que je passe à autre chose

Notre car est à 10h. Je vais essayer de prendre ma douche sans le réveiller.

*********

Je me réveille. J’entends le bruit de la douche. Cécile doit être dans la salle de bains. 7h45. J’ai encore un peu le temps. Je reste au lit.

La douche s’arrête. J’entends le sèche-cheveux. Je frappe à la porte.

–    Je peux prendre ma douche pendant que tu finis ?

–    Viens.

Je m’approche de Cécile. Elle est nue face à la glace et se sèche les cheveux. Je lui donne un baiser sur l’épaule. Elle me fait un sourire, un peu crispé.

–    Solène est partie tôt ?

–    Oui. Elle préférait finir la nuit dans sa chambre pour se préparer ce matin. Elle doit déjà bosser.

–    Vous avez baisé ?

On peut dire que la question est directe. Et son ton pas particulièrement chaleureux. Factuel. Je prends un temps avant de répondre, tout aussi froidement :

–    Oui.

–    C’était bien ?

–    Oui.

–    Elle est vraiment chaude cette Solène. Moi aussi j’ai bien aimé la baiser.

–    Arrête

–    Vous allez vous revoir ?

–    Je sais pas.

–    Tu devrais.

–    Peut-être.

–    Franchement. Elle est belle, intelligente, bonne au pieu et vous avez certainement beaucoup de choses en commun.

–    Et ça ne te fait rien que je baise avec une autre ?

–    Si. Ca m’emmerde grave.

–    C’est pour ça que tu veux la salir ? Pourtant tu l’as carrément jetée dans mes bras.

–    Parce que je sais que c’est mieux comme ça. Parfois il faut savoir se faire violence pour éviter de souffrir encore plus un peu plus tard.

Elle se retourne vers moi. Elle a les larmes aux yeux. Je la prends dans mes bras. Nous restons ainsi enlacés, nus, quelques instants. Je l’embrasse dans le cou.

–    Tu es beau mon Jeannot.

–    Toi aussi Cécile. Plus que Solène.

–    Arrête

–    Je t’assure que si. Je ne sais pas si j’ai envie de la revoir. Pas si je dois t’oublier.

–    Je ne te laisserai pas le choix de toute façon. A Paris ça doit s’arrêter. C’était merveilleux mais c’est fini, point. Alors, mieux vaudrait pour toi avoir une branche à laquelle te raccrocher, ce sera moins douloureux. Même si c’est pas très glamour comme façon de voir les choses, saisis-la.

–    Et toi ?

–    Je survivrai. N’oublie pas, je suis une super-woman.

–    Tu es dure

–   Tu verras dans quelques années on apprend forcément à s’endurcir pour ne pas trop souffrir. Va prendre ta douche maintenant mon Jeannot, sinon on va finir par être en retard.

Je me douche. Cécile s’habille devant moi. Qu’est-ce qu’elle est belle. Ses fesses, ses seins, ses hanches C’est impossible

Je termine ma douche et m’habille à mon tour. Nous préparons nos sacs et descendons petit déjeuner. Solène est seule à la réception. Elle nous salue très professionnellement.

Après le petit-déjeuner nous passons la voir pour régler la note. Il y a d’autres clients qui attendent derrière nous. Elle reste tout aussi professionnelle, mais nous sourit un peu plus chaleureusement, coquinement ? Avant de partir, Cécile lui dit :

–    En tout cas mademoiselle je vous remercie pour vos conseils. Nous avons passé une excellente soirée hier soir et la deuxième partie fut particulièrement réussie. J’ai adoré ce moment de détente. Quel bon défoulement !

–    J’en suis ravie madame. J’espère que nous vous reverrons dans notre établissement.

–    Votre établissement est absolument charmant et le personnel très accueillant ! Mon cousin et moi avons adoré. Nous serions certainement ravis de vous rendre visite à nouveau. N’est-ce pas Jean ?

–    Heu oui, très certainement le personnel très joli et euh accueillant, c’est ça.

–    Merci beaucoup. Ce fut également un plaisir de recevoir des hôtes aussi charmants et sympathiques. Prenez notre carte tenez. Je vous souhaite un excellent voyage.

–    Merci beaucoup et à bientôt.

Nous prenons nos bagages et nous éloignons. Derrière nous, les clients suivants, des curistes, lui demandent :

–    Quel est donc cet endroit où l’on passe de si bonnes soirées mademoiselle ?

–    Ah, euh, oui, un restaurant et un bar sur la place du marché… Mais vous savez, c’est plutôt une ambiance jeune et assez bruyante

Nous pouffons.

–    Elle t’avait donné son 06 ?

–    Non. Il y a Facebook de nos jours ma Cécile !

–    Je suis au courant, merci. Mais regarde la carte qu’elle t’a donnée.

–    Ah effectivement.

–    C’est clair, non ?

–    Sans doute

–    Allez ! C’est sûr, elle veut te revoir, vite. Mais je serais toi je n’attendrais pas qu’elle revienne à Paris. 3 mois d’été, pour une fille comme elle

–    Et comment veux-tu que je fasse ?

–    Je sais pas moi, débrouille-toi. Tu peux peut-être trouver un job d’été dans le coin toi aussi.

–    Mouais

–    Eh mon gars, faut pas croire que tout va toujours te tomber tout cuit dans la bouche (enfin c’est plutôt toi qui es tombé dans sa bouche à ce que je crois) !

–    Très drôle

–    En tout cas, faut te bouger un peu si tu veux pécho !

–    OK. Supposons que je trouve un job d’été, il faudrait que mes parents soient d’accord.

–    Alors là, tels que je les connais si tu leur dis que c’est pour travailler au lieu de prendre du bon temps, ils trouveront ça formidable. Et je leur dirai que tu es un petit gars très sérieux et qu’ils peuvent sans problème te faire confiance pour ne pas faire de bêtises. Et puis, bon, tu as 18 ans ! Faut t’affirmer !

–    Ouais, mais c’est quand même eux qui m’entretiennent, et pour encore un bon moment. Mais bon, sur le côté « mieux vaut bosser que s’amuser », t’as pas tort.

–    Alors à toi de jouer.

Nous arrivons sur la place de la mairie. Encore ½ heure avant le bus. Le bar d’hier soir est en train de rouvrir. Le patron, qui installe la terrasse, nous reconnaît et nous salue.

–    Alors, vous nous quittez ? J’espère que c’est pas ce poivrot de Jean-Louis qui vous a fait peur.

–    Non, non, c’était prévu.

–    Bon, alors bon voyage, j’espère que vous reviendrez par chez nous. Vous verrez les gens sont sympa ici.

–    Vous inquiétez pas, on en est convaincu, lui réponds-je. D’ailleurs vous ne connaîtriez pas quelqu’un qui aurait besoin de renfort pour la saison ? Là il faut que je rentre pour les résultats du bac mais ça me dirait bien de revenir bosser ici cet été.

–    Ah ben c’est un peu tard pour chercher, mon gars. Les saisonniers sont déjà prévus. Mais ceci dit On a parfois besoin de renfort au service ou à la plonge pour les coups de bourre, surtout de la deuxième semaine de juillet à mi-août. Moi, si ça t’intéresse et que tu bosses bien, je pourrais peut-être te proposer quelques heures. Pas un temps plein. Peut-être que d’autres commerçants aussi. Faut être là. Et faut être sérieux et courageux, mais j’ai l’impression que tu l’es.

–    Ca oui, je peux vous le garantir. Mon cousin est un sacré bosseur ! Et, comme vous le voyez, il est très sportif et résistant, j’ai pu le constater dans notre rando.

–    Alors appelle-moi dans une semaine, je te dirai. C’est quoi ton prénom ?

–    Jean. Ce serait super cool, monsieur.

–    Moi c’est Roger. Alors à la prochaine, appelle-moi. Bonne route !

Le car arrive. Nous montons.

*********

Nous voilà dans le TGV en route vers Paris. Jean m’a surprise tout à l’heure. Je le croyais trop timide pour chercher vraiment un job, et encore plus pour saisir l’occasion de parler au patron du bar. Il doit être sacrément motivé pour revoir Solène ! Quelle petite salope

Mais non. C’est bien comme ça. C’est ce que je voulais. Elle a l’air gentille et en même temps affirmée et pas trop sage, elle sera parfaite pour lui.

Je le regarde. Il dort appuyé contre la vitre. Mon Jeannot. Mon petit mec. Il va tellement me manquer

Il faudrait que je passe à autre chose moi aussi Terminée ma vie de nonne ! Il faut que je me réveille si je ne veux pas finir vieille fille !

En attendant, profitons encore de ces quelques heures avec mon cousin chéri. La fatigue me gagne moi aussi. Je ferme les yeux et pose ma tête sur l’épaule de Jeannot.

*********

Cécile dort. Elle s’est allongée, les pieds repliés, la tête sur mes genoux. Je lui caresse les cheveux. Elle est belle tellement belle.

Qu’est-ce qui s’est passé ? C’était un rêve ou la réalité ? J’ai l’impression d’avoir vécu quatre jours complètement hors du temps, et maintenant que je reviens dans la réalité, d’avoir pris un ou deux ans d’un coup. Et Solène ? Elle existe vraiment ? Je regarde la carte de l’hôtel. Le numéro. Machinalement je prends mon téléphone.

Contact > nouveau > Solène.

Nouveau message > Solène : « Coucou ! C’est Jean. Tu tiens le coup ? ». Envoi ? . . Envoi.

Pas de réponse. Cécile se réveille. Elle me sourit. Elle m’embrasse sur la joue. S’il n’y avait pas les voisins

Ding ! Nouveau message. Mon cur bat à 180. Je n’ose pas regarder.

–    Eh ben, tu ne regardes pas ton message ? C’est peut-être tes parents

–    Si si. Tu as raison.

Open > Nouveau message de  Solène > « Coucou. Ca va, je tiens le coup. Je finis bientôt. Tu m’as tuée avec ta cousine. »

Bof. Pas très explicite. Le mien non plus faut dire.

Ding !

Nouveau message de Solène > « Mais j’ai adoré. T’es un drôle de mec. A bientôt. »

–    C’était elle ?

–    Oui.

–    Ah.

Je regarde Cécile. Elle a l’air triste, mais fait quand même un effort pour me sourire. Je la serre contre moi.

Le train file à travers la France Voilà les tunnels. On approche de Montparnasse. Il commence à ralentir.

Voilà. C’est fini.

*********

12 juillet. Paris l’été. Je bosse à l’hôpital. Déprimant. Je repense sans cesse à cette randonnée Mais pourquoi donc ai-je aidé Jean à convaincre ses parents de le laisser y retourner ?

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