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Rencontre au Malmont – Chapitre 1

Rencontre au Malmont - Chapitre 1



Mon histoire n’est pas vraiment qu’un fantasme. Cette aventure a réellement eu lieu mais en plusieurs fois.

Mon problème est que je ne sais dans quelle rubrique je dois la classer. Donc en "divers" je pense qu’elle pourra être acceptée.

Le 22 octobre 2015. Une journée plutôt fraiche si lon ne sexposé pas au soleil.

Ma femme étant partie voir sa sur, je me retrouve seul à la maison et je me fais suais à en mourir.

Alors, pour passer le temps, je mépile les sourcils puis, pour rire, je me maquille les yeux avec les nouveaux produits que ma femme venait de sacheter. Oh, et puis lancé dans mon délire, jenfile des bas avec les portes jarretelles de la même couleur (Noir) plus une belle petite culotte noire avec de la dentelle rouge sur les bords. Je lui prends un soutient gorges rouge que je garnis de mousse. En me regardant dans la glace et je me trouve « belle ». Même sans perruque.

OH !… LHORREUR ! Je nai pas mis de rouge à lèvre. Je rectifie de suite cet oubli.

Après avoir mis un beau chemisier presque transparent avec des volants le long du boutonnage et le bas se terminant en ailes dhirondelle. Une fois les pointes attachées, jai le ventre à lair. Jenfile un pantalon (qui a bien du mal à couvrir le haut de ma raie fessière) et une paire de chaussures à talons compensés. Je décide de ne pas mettre de perruque et je pars pour le Malmont

Après cinq ou six kilomètres, me gare à lombre de trois petits arbustes qui me protègent de la vue des éventuels arrivants. Puis je vérifie mon maquillage. Tout est ok, alors jarpente le chemin qui mène à la table dorientation en regardant chaque départ de sentier Mais personne en vue, donc je retourne à la voiture pour une attente.

Après vingt minutes et aucune voiture arrivant je commence à trouver le temps long. Je vois la cuve de réserve deau en cas dincendie, je me dis quil serait possible que des types soient en train de se palucher derrière. Je prends mon sac où jai mon matériel de femelle en rut et me dirige vers la cuve mais personne. Aujourdhui cest le désert.

Je continu donc à avancer mais avec des talons haut la chose nest pas aisée, la zone nest constituée que de caillasses qui glisse ou roule sous les chaussures. Je me tords les pieds tous les deux mètres parcourus.

Brusquement jentends une voiture arriver. Je me retourne pour voir qui cela peut-bien être. Le véhicule se gare juste à côté de la mienne. Un homme en descend.

« ah il est seul ».

Puis il ouvre la portière arrière.

« Oh pas de chance il est surement là pour dégourdir les pattes de son chien »

Alors je mapprête à faire demi-tour quand je le vois sortir un sac à dos. Il referme sa voiture et avance dans ma direction. Alors je reprends mon chemin dans la descente. Mais je suis curieux de savoir qui il est, aussi je marrête et donne lillusion que je regarde la petite route en contre bas. Il ne sécoule pas une minute quand japerçois la tête du type apparaitre au sommet du monticule de caillasses, aussi je reprends doucement ma marche avec lespoir quil me rattrape.

Jentends les pierres qui glissent sous ses pas. Ils deviennent de plus en plus distincts et de plus en plus proches. Jai un petit pincement au ventre.

« Pourvu quil cherche la même chose que moi »

Je ressens une excitation me gagner de plus en plus forte. Instinctivement, je marche en balançant le cul. « Mon dieu ! Il est juste derrière moi ».

Brusquement cest comme un coup de tonnerre.

— Alors ma salope Le sexe shop ne te suffit plus, que tu viennes tassouvir au Malmont ?

Je ne le reconnais pas de suite mais je lui dis quand même bonjour.

— Puisque que tu es là, à faire appel en remuant ton popotin, plus bas je connais un coin où tu vas pouvoir me vider les burnes. Lautre jour tu mas fait ça très bien mais jen veux plus Allée vient.

Tout en le suivant comme un idiot, jessaie de me souvenir quand et où je lai vu Et brusquement la mémoire me revient.

Effectivement il y a de cela trois semaines je me rendis au sexe shop de la ville dans un accoutrement similaire à aujourdhui. Je pris un DVD porno et payai une heure de cabine. Le gérant mattribua la cabine numéro trois. Une fois dans la cabine je me mis à laise (cest-à-dire sans pantalon pour montrer que je suis dispo, avachis dans le fauteuil, à regarder la vidéo avec ma petite culotte baissée et mon manche bien en main). La scène présentait un minet qui pompe un gros dard. Je regardai la scène avec envie. Jaurais bien pris la place du minet et je me mis à bander grave.

Il faut dire que le dard était si gros quil avait bien du mal à tout lengloutir. Mais son propriétaire semblait en avoir cure et lui plaquait la tête pour lobliger de lavaler. Quand le gros bambou ressortait, des filets de bave reliaient la bouche du minet au gland.

Cest à ce moment-là que je vis, par la lucarne de droite de la lumière scintillait.

« oh chouette ! Il y a un occupant à la quatre ».

Il faut dire que chaque cabine est équipée, de chaque côté, dune lucarne en relation avec les cabines voisines. Chacune delles ont des opercules permettant de sisoler ou non, et ceux communicants entre la trois et la quatre étaient tous les deux ouvertes. Aussi je me précipitai pour voir qui fut mon voisin. Je le vis complètement nu. Les jambes tendue, le cul juste sur le bord du fauteuil et allongé de tout son long. Il caressait son manche. Il me vit, Il me sourit, puis continua à regarder son film. Je fus très déçu, jespérai le voir venir et me présenter son outil, ou de me faire signe de le rejoindre. Mais là rien, il continua à se caresser.

Dépité je retournai à mon fauteuil et regardai mon film. Le minet était à quatre pattes sur le bord dun lit et le type lui léchait la rondelle. Je pouvais voir la langue lui titiller lanus et le môme couinait son plaisir

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Mais pour linstant, au Malmont, je continus de suivre le type en slalomant entre les blocs de pierres et les arbustes. Il me guide avec une main sur mes fesses et je sens même un doigt qui est à la recherche de mon petit trou. Cela fait que je me sens toute drôle.

— Tien nous allons nous arrêter là Nous serons à labri des regards et, par contre, nous pourrons voir ceux qui passeraient par là.

Je dois reconnaitre que lendroit est bien choisi. Cela démontre aussi que cest un habitué du Malmont. Quatre très gros blocs de pierre masquent louverture que forment les arbres. Nous nous y engageons. Lespace est très étroit puis va en sélargissant, jusquà représenter une largeur de presque deux mètres. Une partie du sol est recouvert de feuillages séchés et deux gros blocs de pierres peuvent servir de sièges.

— Aller ma salope, tu sais ce que tu dois faire.

En effet je sais parfaitement ce quil attend de moi, il na pas besoin de me le répéter une seconde fois.

Je pose mon sac sur lun des blocs et les yeux dans les yeux, je déboucle sa ceinture et déboutonne la braguette. Je descends doucement le pantalon, toujours en le fixant moi aussi je me baisse et finis la course à la bosse de son slip. Jembouche au travers du tissu je sens son sexe qui commence à se réveiller, mais aussi pour moi les souvenirs du sexe shop remonte à la surface.

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Au bout dun moment à attendre et ny tenant plus, je me relevai pour retourner à la lucarne. Le type navait pas changé de position mais par contre il pointa une de ses triques !

« Au putain ! Il ne va pas rester ainsi ? »

Alors je glissai ma main et lui fis signe de sapprocher Aucune réaction. Dépité je retournai à ma place. A la vidéo le minet se faisait défoncer à fond et il narrêtait pas de couiner. Bien entendu le film est en anglais et en lui défonçant la chatte je ne compris pas ce quil dit au minet.

La scène est suffisamment torride pour me faire bander à nouveau. Alors je me mis en position pour mastiquer le manche.

Je bandai dur et commençai à sentir la sève monter quand je vis une jolie verge pointer à la lucarne. « Quel joli bâton damour » Elle devait avoir une bonne longueur car malgré lépaisseur de la cloison elle dépassa dau moins douze centimètres. Il la fit monter et descendre, un peu comme je le fis avec mes doigts quelques instant plutôt.

« Mon dieu, quel joli morceau ! Si je ne veux pas la voir disparaitre je dois me remuer le cul ».

Alors je me levai du fauteuil et alla à la rencontre de cette clef du paradis.

Je lexaminai sous toutes les coutures. La hampe, bien droite, partait légèrement en cône depuis la base en allant vers le gland qui était bien enflé et de forme un peu allongé. Je tendis un doigt et touchas lattache entre le gland et la hampe. La réaction fut immédiate et elle bondi en lair. Alors je pris la verge et mis le gland en bouche.

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Mais revenons au Malmont. À présent le slip commence à être bien mouillé. Jallais enfin voir si elle est aussi belle que le souvenir de sa vision au sexe shop. Jagrippe les bords du slip pour le descendre, mais le type me retient et me relève.

— Je ne comprends pas !… Cest bien ce que tu souhaites ?…

— Bien sûr, cest bien mon désir Mais tu ne mas pas sauté au paff comme sy prennent la majorité les pédés. Tu ty prends comme une femelle. Tout en douceur Et cest si rare que nous allons nous y prendre autrement.

Et là il mattire à lui et me serre dans ses bras en me roulant une pelle à me faire tomber à la renverse. Je sens sa langue me pénétrer et jouer avec la mienne qui ne demande plus que ça.

Ma réaction semble lui plaire. Je sens son sexe plaqué sur mon bas ventre se raidir. Ce qui mexcite au plus haut point. Ses lèvres commencent à voyager sur les ailes de mon nez, puis derrière les oreilles et descendre dans le cou.

Avec toutes les caresses quil me prodige je me sens fondre, une chaleur étrange embrase tout le corps. Je maffole tant ces caresses me font vibrer.

Je ne sais plus qui je suis. Jai le sentiment de devenir femme pour de bon et cest le paradis sur terre.

Il séloigne un peu et, tout sourire, commence à me déboutonner le chemisier, je sens ses doigts courir le long de la boutonnière et je frissonne comme une pucelle, je souris à mon tour en le regardant faire.

« Mon dieu ! Je suis en train de fondre pour lui. Quest-ce quil est beau »

Le chemisier est tombé à terre. À présent cest moi qui déboutonne sa chemise alors que je sens ses doigts sattaquer à ma ceinture et dé zipper mon pantalon. La chemise tombe alors que mon pantalon glisse jusquaux pieds.

— Ouah !… Mais tai nippé comme une vraie femelle !… Le soutient gorge Petite culotte Porte jarretelle, Bas. Putain mais tu me fais bander à mort ! Tien regarde.

Moi qui navais pas cessé de le regarder dans les yeux, je parviens à les baisser les miens et là je vois le joli membre qui dépasse le haut du slip.

« Mais cest vrai quil a la trique ! Quelle belle verge ! Elle est comme dans mes souvenirs »

Je relève les yeux, je lui souris et je mapprête à descendre vers la chose.

— Non, pas maintenant.

Je le regarde, étonné de son ordre. Il me reprend dans ses bras et je lui tends de suite mes lèvres. Quand elles entrent en contact et que sa langue mexplore à nouveau je me sens de nouveau, fondre comme une femelle. Alors que je sens ses mains me parcourir les fesses. Je ferme les yeux pour mieux les apprécier. Instinctivement les miennes caressent sa poitrine. Je sens le petit bouton de ses seins et je me mets à les faire rouler sous mes doigts.

Sa réaction est de me serrer en me plaquant son ventre. Je sens son bâton damour vibrer. Il est gros et dur. Il me caresse et se frotte à moi durant plusieurs minutes.

Aussi, dimpatience je descends mes caresses vers cette zone. Je rencontre son slip. Je glisse les doigts dedans et le descends doucement en le regardant. Jattends quil mautorise ou non de continuer mon mouvement.

— Elle te plait hein ? Tu en as envie ?

— Oh oui chéri. Très envie. « Mais, cela ne va pas mon vieux ? Pourquoi « chéri » ? »

— Mais tu es une vraie coquine Houai une coquine mais salope, voilà ce que tu es. De toute façon tu mas trop excité.

Donc il mautorise à poursuive ma descente. Et je ne men prive pas. Dailleurs il a mis ses mains sur mes épaules et me force tout en douceur à descendre.

Je suis à genoux, je sens au travers le feuillage les pierres qui me font mal. Mais doucement je tire sur le slip. Le bout de sa pine est pris par le bord du slip. Puis, brusquement se libère pour se redresser juste sous mon nez.

« Ô quelle est belle ! Même plus belle quau sexe shop ».

Je la serre à sa base et passe le bout de ma langue au niveau du frein. La réaction est immédiate, elle se redresse entièrement et je lentends aspirer de plaisir. Après avoir ouvert la bouche, jenglobe le gland, resserre mes lèvres derrière ce gland et le ressort puis recommence de nouveau. La séance dure ainsi une ou deux minutes. Avec ce beau bâton damour je me caresse les lèvres et les joues. Japprécie sa douceur et je suis prise dune folle envie de lui faire le plus de plaisir possible.

— ô la putain ! Que cest bon Houai Continu à me la bouffer comme les putes. Oh ouiiii cest bbooon !

« Houai mais au sexe shop tu nas pas gueulé ainsi quand je te lai fait. Attend »

Je reprends la hampe en main et la redresse pour gober une prune puis la seconde et enfin, quand elles sont bien mouillée, je prends ses couilles en bouche pour les triturer. Bien entendu, pour quil garde bien la forme en même temps je lui astique le manche.

Maintenant il a un sexe droit comme un « i » et raide comme bois. Je peux attaquer la vraie gâterie car il est à point. Aussi jenfourne la pine jusquau contact de ma gorge. Puis je la serre de mes lèvres, alors que dune main jenserre la base. Puis je pratique des va et vient. Quand elle sort de ma bouche, ma main remonte vers lextrémité. Quand ma main descend vers la base, sa pine senfonce jusquau fond de ma bouche. Cette petite séance dure depuis un certain temps. Bien sûr elle est entre coupée par des massages avec mes lèvres ou de ma langue sur son gland. Ses réactions deviennent de plus en plus saccadées. Sa respiration devient courte et par instant il gémit. Ses mains ont prises appui sur ma tête et sa pine va de plus en plus loin. Il me baise vraiment la bouche

— houai, suce-moi comme ça Putain que cest bon Lève ton cul que je puisse tester ta rondelle.

Je déplie les jambes et me retrouve plié à léquerre, alors quil me place sur le côté.

Sa main se met à frotter mes fesses, puis remonte sur le bord de ma petite culotte. Ses doigts se glissent sous lélastique et soriente vers ma raie fessière. Il descend en suivant cette raie et arrive au contact de ma corole. Je nattends plus que ça, aussi je me cambre un max pour quil comprenne que je suis consentante.

Maintenant je nai quune peur. Quil sy prenne comme au sexe shop. Je men souviens parfaitement.

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Au travers de la lucarne, je le suçai comme un malade quand il se retira. Sur le coup je ne compris pas pourquoi. Lui avais-je fait mal ? Alors je regardai par la lucarne et le vis sortir de sa cabine. « Bon, je ne sais pas pourquoi il part. Mais cest fichus » Et je retournai à mon fauteuil quand, avant davoir attend celui-ci, ma porte souvrit. Je le vis, encadré dans louverture en contrejour. Toujours nu avec sa verge aussi droite quà la sortie de la lucarne.

— Tu baises ?

La question me surpris, persuadé que cétait à leau.

— Euh Et bien si je suis là, ce nest surement pas pour regarder les cerises !

— Surtout à cette saison.

Alors il referma la porte, mis le verrou et se planta devant moi.

— Suce.

Lordre fut donné sur un ton nautorisant aucune réplique et il mappuya sur les épaules pour le confirmer. Aussi je me remis à louvrage. À entendre sa respiration saccélérer je compris quil prenait son plaisir.

— Met-toi à genoux dans le fauteuil.

Ce que je fis en toute confiance. Il se plaça derrière moi et je sentis son gland pointer mon petit trou. Jeux une réaction qui le surprit, en me relevant brutalement. Et je me mis à hurler : – Eh ça ne va pas ?

— Tu as bien répondus oui quand je tai demandé si tu baisés ?

— Oui Mais tu nas pas de préservatif !

— Quest-ce que cela peut faire ?

— Que je tiens à la vie.

— Mais je suis sain !

— Cest écrit où ?… Pas de prev, pas de baise.

— ESPECE DALLUMEUSE !… Tu mas mis à cran. Je vais te montrer de quel bois je me chauffe.

Il me tira brutalement du fauteuil. Me fit pivoter sur moi-même et mappuya fortement sur la tête. En moins de temps quil nen faut pour le dire, je me retrouvai à genoux face à son dard qui pointait mon visage.

— Maintenant tu vas me la sucer jusquau bout Ah ma salope ! Tu ne veux pas que je te baise ? Tu vas en avoir pour ton compte Attend.

Empoignés par les cheveux, il pointa et força ma bouche de son pieu au point que je dû louvrir et quil me lenfila jusquau fond de la gorge. Pour être baisé, je le fus (peut-être pas par lanus certes, mais par la bouche assurément). Ses va et vient étaient brutaux. Il poussa loin ses coups de reins au point que jeu un mal de chien à respirer. Je me sentis défaillir. Je hoquetai. La bave me coula le long du menton.

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Mais au Malmont, son doigt me titille la rondelle et je me sens tellement femme que je me cambre encore plus pour lui faciliter le travail. « Oh oui ! Continu ainsi. Si tu savais comme jaime tes caresses anales ».

— Alors ma petite cochonne cela te plais ? à voir la cambrure que tu adoptes, ne me dis pas le contraire.

Je lâche sa pine pour lui répondre. -Oh ouuiii.

— On va retirer ta petite culotte de gonzesse et je vais te bouffer le cul.

Quand il a fini sa phrase, la petite culotte se trouve déjà à mes pieds. Alors je lève les pieds lun après lautre pour la retirer et il la lance avec mon pantalon au pied de lun des blocs de pierre.

— Tien, viens là et prends appuis sur le tronc de larbre.

Bien entendu je ne me fais pas prier. Je prends appuis assez bas et je reprends ma cambrure.

Dans linstant qui suit, je le sens mécarter les fesses et sa langue toute chaude tournicote autour de ma rondelle. « Oh la vache Putain que cest bon » Le plaisir est immense, je sens ma rondelle se relaxer et cest vrai que jai une envie folle quil me pénètre.

Au bout de quatre ou cinq minutes le traitement a évolué. Jai toujours sa langue qui explore mon petit trou. Mais celui-ci est aussi exploré par un, puis deux et maintenant trois doigts. Je geins. Je respire fort et je le supplie de passer à plus.

— Ah ma salope ! Tu la veux dans le cul ? Hein, dis-le. Tu la veux dans ton cul de chienne en chaleur ?

— oh ouuiii chériiiis Baise moaaa.

— Que dis-tu ?

— BAISE Moaaa. Je ten supplie Jen ai trop envie.

— Attends Il me reste encore un doigt.

— Oh nooonnn. Dans mon sac !

— Que dis-tu ?

— Lubrifiant et capote dans mon saaacc.

Là il retire sa main et jai limpression quun courant dair est entré. Il attrape mon sac et farfouille.

— Putain Mais cest un vrai sac de pute !

Il en sort le gel lubrifiant siliconé et deux préservatifs. Il garnit ses doigts de gel et me met, sans ménagement, les cinq doigts dans le fion.

— Aïe ! Mais tu me fais mal !

— Je te fais mal ?

— Houai. ! Tes passé de trois à cinq doigts.

Mais il ne mécoute pas. Sa main tourne dans un sens puis dans lautre. Il pousse et moi les larmes à lil Jai horriblement mal au cul.

— Non, arrête. Tu vas me déchirer le cul Je ten supplie, pas ça.

Pourtant, il continu mais en appuyant avec moins de force. Jai vraiment limpression quil va me déchirer. Alors je sens sa main avancer millimètre après millimètre. Je ne dis plus rien. Je ne sais pas si la diminution de cette impression de déchirure est due au fait de lhabitude ou si ce sont mes chaires qui se sont détendues.

À force dinsister, toute sa main est passée. (Encore aujourdhui je me demande comment il a pu faire). Cest ainsi quil ma tripoté les boyaux jusquau moment où le plaisir a remplacé, ou supplanté, la douleur et où je peux regarder un peu autour de moi. « Putain quelle trique il a ! » En effet tout en me massant les boyaux il se masturbe et sa trique est au diamètre maxi.

Son poignet étant plus étroit que sa main, tout le plaisir de me faire pénétrer a repris sa place. Mais sans rien lui dire il la compris et il essai de retirer la main. Le retrait est moins difficile mais tout aussi douloureux.

— Ô cest dommage que lon nest pas une glace. Tas le cul tellement ouvert que lon y voit même ton boyau. Ma queue va se perdre la dedans.

Il prend un des préservatifs quil ma soutiré et lenfile sur sa verge. Et, enfin il me baise. De nouveaux je suis aux anges.

Puis vient le moment où, dans une suite de râles, il lâche tout dans le latex et sécroule sur le bloc de pierre. Il est terrassé par son orgasme.

Moi, je masseyais sur lautre bloc et le regarde. Il est tout en sueur, comme moi dailleurs, et le visage rougis par les efforts quil vient de fournir. Sa verge est toute flasque mais garde quand même une bonne dimension. Le préservatif est garni par un ou deux centimètre cube de son bon jus. « Il ny a pas à dire, il est bel homme, il baise bien, il est endurant et a les burnes bien garnies ».

— Et bien ma salope tu mas complètement vidé. Tas un cul !…

Puis silence.

— As-tu déjà participé à une double pénétration ?

— Non Pourquoi ?

— Je suis sûr que tu es taillé pour ça Si tu es intéressé jai quelques copains qui pourraient être partants.

— Non merci. Ta main ma largement suffit comme expérience. Je ne souhaite pas poursuivre dans ce type de pratique.

— Dommage ; Tes une bonne pute On se revoit au sexe shop ?

— Si loccasion se présente Je my rends souvent le lundi après-midi.

— Ok, alors à lundi.

Il se lève et ramasse ma petite culotte et mon pantalon pour les mettre dans son sac à dos.

— ça, cest comme souvenir de toi.

— Eh ! Mais je fais comment pour entrer chez moi ?

— Pas de problème Dans ton sac jai remarquais que tu ne manques pas de fringues. Démerdes-toi.

Il se revête, prend son sac à dos et il sen va. Au travers du feuillage je le vois remonter le monticule de pierre puis disparaitre. Cest le silence complet, juste le bruissement du feuillage balancé par un léger souffle. Puis je me mets à frissonner et fini par revenir sur terre. « Le salaud, il ma laissé tomber comme une chaussette ».

Aussi je me lève pour prendre mon sac. Je ressens une fraicheur anormale aux fesses. Je me retourne, le bloc de pierre est tout entaché. Il y a ma sueur cest sûr, mais aussi un dépôt visqueux et légèrement blanchâtre. Cela me fais sourire car jai là laffirmation que moi aussi jai pris mon pied. Mais à mon âge et dans le feu du plaisir je nai rien ressenti.

« Bon ce nest pas tout Maintenant je dois rejoindre la voiture ». Je sais que dans mon sac il sy trouve une minijupe noire, mais pas de petite culotte. Je vais donc devoir rester le cul nu jusquà la maison. Jenfile la minijupe et avant de sortir du coin, je massure quil ny est personne dans les parages. Alors je pars pour la voiture. Là, cette fois, je ressemble vraiment à une pute en plein turbin. Avec une jupe qui finit à cinq centimètre au-dessous de mes fesses. Ce qui ne cache pas les attaches des portes jarretelles, ni le haut de mes bas.

Enfin, je parviens à ma voiture sans mauvaise rencontre. Jouvre la voiture puis le coffre où je range mon sac. Je souri car pour mettre le sac dans le fond du coffre jai dû me plier en deux et si dans lune des voitures parquées derrière moi, il sy trouve quelquun je suis sûre quil vient de voir mon cul complètement ouvert, une horreurs de la guerre. Par sécurité je regarde les voitures et deux sont occupées mais personne ne bouge. Je me dirige vers la portière quand mon téléphone sonne. Cest mon épouse qui me demande daller la chercher deux heures plus tard que prévu. Au moment où je pose la main sur la poignée, une autre me plaque les fesses.

— Alors la pute Tu prends combien pour me sucer ?

He bien ! Jai le cul qui me brûle encore mais je crois que mes deux heures de liberté vont être fort occupées. Seulement là cest une autre aventure et peut-être un autre récit.

PS :

Aujourdhui le 28 Février 2016. Je reviens du sexe shop où pour la quatrième fois jai rencontré Roger (le type du Malmont) qui, comme chaque fois que lon se retrouve, ma encore défoncé la chatte anale. Mais cette fois avec deux de ses copains qui, bien sûr, ont profité de mes services. Je les retrouve lundi pour une défonce avec une double pénétration. La vache ils mont vraiment embobiné.

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