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Rencontre par internet – Chapitre 1

Que la montagne est belle ... - Chapitre 5



SALUT c’est votre folle de lycra.

Cette histoire est à 90 % réelle j’ai ajouté quelques petits détails, Histoire de la pimenter

Voilà quelques années; j’avais déposé une petite annonce, coquine je le reconnais, pour rencontrer un homme dominant.

J’ai fini par rencontrer quelqu’un qui habitait pas très loin de chez moi et qui était prêt à m’accueillir chez lui.

M’étant vendue comme travesti, il m’avait demandé d’amener ce qu’il fallait pour me faire belle chez lui.

Il m’a expliqué qu’il voulait faire de moi sa chienne obéissante.

Le jour venu je me suis rendue chez lui avec tout ce qu’il fallait pour me faire belle, dans mon sac à dos.

Je fis attention à ne pas me garer trop près de chez lui, histoire de ne pas attirer l’attention du voisinage.

J’avais une boule au ventre car pour moi c’était quand même une première, mais c’est l’excitation qui me guidait.

Il habitait une petite maison discrète dans une résidence. Sa maison était clôturée de hauts thuyas d’au moins 2 mètres 50, intimité assurée.

J’ai sonné et quelques instants après il est arrivé et il m’a accueilli comme si j’étais une femme.

Ce qui m’a le plus déstabilisé, c’est sa main au cul juste en fermant la porte de la maison.

J’étais désormais chez lui et désormais à lui…

Il était grand sans doute un mètre 88 et la soixantaine, un corps bien entretenu.

En arrivant dans la maison il m’a fait déshabiller immédiatement, histoire que je me transforme devant lui.

Pour me faire belle, j’avais amené une grande robe longue ainsi que de beaux escarpins très hauts, un doux collant en lycra opaque.

J’avais apporté une deuxième tenue, des fois que celle-ci ne lui plaise pas.

Il a ajouté la finition en me mettant un large collier en cuir sur lequel il a déposé de nombreuses gouttes de poppers.

Il m’a aussi attaché les chevilles avec de larges colliers en cuir attachés l’un à l’autre.

Le but de cette opération était de me limiter mes enjambées, le but était atteint.

Mes enjambées étaient divisées par 3 ou quatre cela faisait tout drôle.

J’avais l’impression de porter une robe longue très étroite.

J’en avais plusieurs à la maison et j’adorais cette sensation.

C’est ainsi qu’en 10 minutes j’étais devenue une petite femme soumise, mais aussi parfaitement offerte et totalement à sa disposition.

Déjà grâce au poppers je commençais à être en chaleur artificielle si je puis dire.

Il m’a fait déambuler dans le séjour, j’ai traversé ce dernier dans tous les sens pour avoir une démarche la plus féminine possible.

Nouveauté pour moi, quand cela n’allait pas le droit, j’ai eu droit à des coups de cravache.

C’était une première pour moi, mais en fin de compte ce n’était pas désagréable.

J’irai même jusqu’à dire que vue la situation, c’était même excitant…

Il s’est assis dans un large et confortable le fauteuil pour me regarder continuer à me déplacer dans le séjour.

Mon maître se prénommait Claude il était fermé et en même temps il était attachant par son regard.

Il m’a demandé de m’approcher de lui, chose que je fis de la façon la plus docile.

Il m’a invitée à venir m’agenouiller à côté de lui, à sa droite, j’avais compris qu’il voulait que je lui fasse une petite pipe.

Avec mes chevilles entravées, il ne m’a pas été évident de m’agenouiller. 

Mais en fait il voulait juste m’embrasser, m’embrasser goulûment, m’embrasser amoureusement.

C’est lui qui dirigeait les opérations et il voulait me le faire savoir.

De mon côté je n’en avait pas douté une seconde.

Sa langue venait me fouiller la bouche pendant que sa main gauche venait me caresser les tétons, ce qui n’était pas pour me déplaire.

Ça y est il me tenait, j’étais à lui et la soirée s’annonçait chaude.

Pendant de nombreuses minutes, il m’a embrassé, il m’a trituré, sa main droite me tenait fermement les fesses.

Ça y est maintenant, il était en condition, il désirait que je lui fasse une fellation.

Il a fallu que je vienne me positionner entre ses jambes et surtout lui libére son sexe qui manifestement était de grande taille.

Pour plus de facilité, je me suis déplacé à quatre pattes pour arriver entre ses genoux.

Ses jambes étaient largement écartées.

En me déplaçant à genoux, j’avais un peu peur pour mes collants, mais ces derniers étaient épais.

Je lui ai ouvert son pantalon pour libérer le monstre, c’était la première fois que je faisais ça.

C’était aussi la première fois que je me retrouvais nez à nez avec un sexe autre que le mien, qui attendait sa mise en bouche.

Son sexe était manifestement propre mais il sentait le désir et ça cela ne me laissait pas indifférente.

Moi qui me trouvais bien loti avec un sexe de 20 par 4.7; Claude devait faire 22 par 5.

Quand j’ai approché son sexe de ma bouche j’ai commencé par un petit coup de langue timide puis j’ai pris confiance.

Ma langue a fait la connaissance de son sexe sur toute sa longueur et dans les moindres recoins.

J’ai pris confiance et j’ai commencé à lui faire un bisou sur le prépuce puis un gros bisou…

Ensuite j’ai pris en bouche son prépuce puis la totalité de son sexe.

C’était vraiment très agréable de sentir ce morceau de chair se promener dans ma bouche.

Pendant que son pieu était dans ma bouche ma langue se promenait tout autour et surtout dans les endroits sensibles.

Je partais du principe que les endroits sensibles sur mon sexe devaient être aussi sensibles sur le sien.

J’ai essayé de croiser son regard pendant que je le suçais.

Je trouve que c’était une jolie forme de

Quand je l’ai entendu soupirer profondément, j’en ai conclu que manifestement il n’y avait pas erreur sur ses zones érogènes.

J’ai continué de plus belle ma fellation, j’y prenais goût très rapidement.

Maintenant il tenait ma tête pour donner le rythme, j’aimais bien me faire diriger pour une telle opération.

J’ai pris l’initiative de lui sucer aussi les boules et manifestement ça aussi il aimait.

Ma pipe a duré plus d’une demi-heure, je venais de découvrir mes talents de suceuse.

De temps à autre il baissait le rythme car je pense qu’il avait peur de partir trop tôt dans ma bouche.

Par moment il me caressait les cheveux que j’avais laissé pousser. Je trouvais ça très agréable.

Il me caressait aussi le corps à travers ma douce robe pendant que j’avais la bouche pleine…

Par moment il s’égarait jusqu’à ma raie culière et là c’était l’extase.

À ces moments-là j’avais envie qu’il me doigte voire plus encore mais pour l’instant il me chauffait et me mettait en condition.

Puis à ce petit jeu il a fini par partir dans ma bouche en me balançant de grandes giclées de liqueur. 

Il s’est mis à me traiter de tous les noms du style: ma salope, ma traînée, ma suceuse, ma pute, ma cochonne, ma soumise…

L’une d’entre elle est partie directement au fond de ma gorge mais les cinq ou six autres sont restées dans ma bouche. 

Je l’ai gardée en bouche, histoire de savourer le goût de cette semence.

J’ai continué à le sucer car je ne voulais pas perdre une goutte, peut-être était-ce aussi de la gourmandise…

Toujours est-il qu’il était à 2 doigts de tournée de l’ il tant ma fellation était efficace après son éjaculation.

Ensuite il m’a invitée à cesser de le pomper car apparemment c’était trop intense.

En obéissante que je suis, je me suis retirée et je l’ai laissé reprendre ses esprits

La première fois de ma vie, j’étais là entre les jambes d’un homme à qui je venais de vider les burettes…

La sensation n’était pas désagréable.

Par contre ce qui me plaisait le plus, c’est ma soumission totale à cet homme.

Peut-être que le poppers a aidé quand même.

Le premier chapitre parle du passage à l’acte

Le prochain parlera du passage à la casserole…

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