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Renée et Odile ou la cinquantaine merveilleuse – Chapitre 3

Renée et Odile ou la cinquantaine merveilleuse - Chapitre 3



Voilà donc la suite de cette semaine inoubliable qui marqua le début d’un tournant de ma vie

Mardi

Je dormais comme un bébé quand mon réveil sonna. Avec difficulté, je sortis de mon lit et me précipitai dans la salle de bains pour qu’une bonne douche me réveille.

Je me préparai rapidement et il était un peu moins de sept heures quand j’arrivai dans la cuisine.

Je fus tout surpris d’y trouver Renée, qui pleurait assise à la table.

Je passai derrière elle, entourai ses épaules de mes bras, l’embrassai tendrement et lui dis

— Renée, que fais-tu ici à cette heure ? Pourquoi pleures-tu ?

Entre deux sanglots, elle dit

— Pierre, je n’ai pas dormi une minute ; ce qui s’est passé entre nous hier soir dans la salle m’obsède complètement. On a fait une très grosse bêtise et pourtant, je ne me sens pas coupable, car je te jure que j’ai aimé ce moment de folie, mais cette folie ne peut durer qu’un temps et c’est pour cela que je suis descendue pour te parler en dehors de la présence des autres.

— Mais que veux-tu dire, tu ne veux quand même pas arrêter là ……..

— Pierre, je t’ai entraîné dans une histoire impossible et à tête reposée maintenant, je veux arrêter tant que c’est encore possible. Après, ce sera trop tard. Imagine que si on continue et que l’une de nous, et pourquoi pas les deux se mettent avec le temps à éprouver des sentiments amoureux partagés ou non, tu vois la situation, tu te vois sortir avec une vieille de presque vingt de plus que toi ? Même si aujourd’hui, je ne suis pas encore trop laide, que le maquillage et les vêtements peuvent donner le change de loin, d’ici quelques années, ma peau deviendra plus molle, flétrie, commencera à avoir des taches de vieillesse, mes seins, mon ventre tomberont peut-être, tu prendras mon corps en grippe et cela me fait horreur. Chaque génération doit rester à sa place et ne pas transgresser les réalités, c’est tout

Il ne faut pas rêver. Ce fut une belle aventure d’une nuit et pas plus et d’ailleurs, je me demande si je ne vais pas aller à l’hôtel dès ce soir jusqu’à la fin du salon

Je ne dis rien. C’est vrai qu’elle avait raison, cette histoire ne pouvait pas avoir une issue durablement concrète ; c’était une attirance sexuelle irrésistible, l’envie d’une femme mûre qui m’avait fait franchir le pas mais je ne me voyais pas tomber amoureux d’une femme qui pouvait par la différence d’âge, être presque ma mère.

Je lui dis seulement :

— Renée, pour ce qui est d’aller coucher à l’hôtel, c’est impossible, tu sais très bien qu’ils sont tous complets à Paris et puis que vont dire Odile et Chantal ? , que nous nous sommes engueulés alors que c’est tout l’inverse qui s’est passé ? Je ne veux pas que tu partes ……. Promis, puisque tu ne le veux plus, je ne m’approcherai plus de toi, je te laisserai tranquille, je ne veux pas que tu te tortures à ce point. Je ne veux pas que tu souffres ainsi, tu ne le mérites pas.

— Merci Pierre, je suis sûre que j’ai raison

— Comment vas-tu faire pour aller au salon ce matin ?

— Je ne suis pas en état d’y aller, je vais dormir un peu et ça ira sûrement mieux cet après-midi. Je partirai avec Odile puisque je crois qu’elle revient à la mi-journée se faire masser, non ?

Tout à l’heure, peux-tu informer Odile et Chantal de ce contretemps ? Tu n’auras qu’à dire que j’ai eu une migraine folle et que je t’ai téléphoné pour te dire que je voulais dormir ce matin et que j’irai au salon cet après-midi avec Odile.

— Ce sera fait Renée; promis ; allez, s’il te plait, monte te coucher et essaie de dormir. Veux-tu un calmant ?

— Non, merci.

Elle se leva, m’embrassa sur les deux joues me remercia et disparut.

Je restai sonné par ce qui venait de se passer et avec retard, je commençai à ranger la salle à manger et préparai le déjeuner pour trois.

Vers huit heures, des bruits de voix vinrent de l’escalier, Odile et Chantal arrivaient

— Et encore une fois Renée est en retard dit Chantal

— Non Chantal, Renée m’a téléphoné ce matin, elle n’a pas dormi, car elle a une énorme migraine et a décidé de n’aller au salon que cet après-midi avec toi Odile quand tu repartiras après le massage de ton dos.

— A ce sujet, j’ai changé d’avis, j’ai un peu moins mal au dos , alors le massage de la mi-journée attendra ce soir, je resterai toute la journée à Paris et Renée n’aura qu’à nous téléphoner quand elle arrivera pour qu’on se retrouve.

Elles mangèrent les croissants, burent le café au lait et partirent en taxi vers la porte de Versailles.

Et bien mon vieux Pierre, la journée est bien mal engagée., le refus de Renée, un lapin avec Odile, bref, il ne me restait plus qu’à aller bosser au plus vite.

Je griffonnai un petit mot à l’attention de Renée lui indiquant où se trouvait le nécessaire pour faire son petit-déjeuner, posai le mot sur la table et me promis d’appeler Renée vers onze heures.

Je partis au travail.

J’avais cinq patients à traiter à mon cabinet, le dernier venant à dix heures quinze me permettrait de repartir à la maison vers onze heures pour voir Renée ; finalement, je préférais la rencontrer plutôt que lui téléphoner pour prendre de ses nouvelles.

La matinée avançait et mon téléphone portable sonna,

— Allô Pierre, c’est Renée

— Comment vas-tu

— Bien mieux, j’ai un peu dormi et aussi réfléchi ; tu vas penser que les femmes sont bien étranges, mais je crois que j’ai un caractère bien compliqué. J’ai dû te blesser avec ce que je t’ai dit ce matin, non ? Puis je passer à ton cabinet pour te parler

— Non Renée, vois-tu, j’ai encore un patient et j’avais décidé de revenir chez moi à onze heures pour prendre de tes nouvelles. Est-ce possible ?

— Bien sûr, c’est ta maison, pas la mienne. À toute à l’heure donc

Quelques minutes plus tard, après avoir franchi le jardin, j’étais devant la porte et elle s’ouvrit toute seule, non, Renée l’ouvrit.

Elle était habillée d’un ensemble crème type Chanel et me fit un grand sourire, j’entrai et refermai la porte derrière moi.

Je me mis face à elle, posai mes mains sur ses épaules

— Alors comment vas-tu maintenant ?

Pour toute réponse, je reçus Renée qui vint se coller à moi

— Au fait, que je te dise, Odile ne revient pas à midi

— Excuse-moi Pierre, je suis une idiote. Avec mon age, j’avais oublié qu’il fallait toujours profiter des bons moments qui se présentent ; on dit bien que les plats ne repassent lamais deux fois, et j’ai négligé ce précepte alors que c’est ce que nous appliquons Odile et moi durant nos voyages.

— Quoi, tu es en train de me dire que toi et Odile passez du bon temps avec quelques virilités locales des pays que vous visitez ?

— Non pas toujours, mais ça nous est parfois arrivé.

— Et moi, Renée, je suis donc une virilité locale de la banlieue Sud, lui répondis-je ironiquement.

Elle se figea, son visage se ferma, elle se détacha de moi, recula et des larmes vinrent perler sur ses yeux. J’étais allé un peu trop loin avec mes mots blessants et je le regrettai de suite.

Je l’attirai vers moi, et tout en effleurant sa bouche de mes lèvres, je lui demandai pardon pour mes mots blessants et aussi stupides qu’inutiles.

— S’il te plait Renée, excuse-moi ; peux-tu oublier la connerie que je viens de te dire, je n’ai pas réfléchi, j’ai été méchant, mais ce que tu m’as avoué m’a tellement surpris.

Elle leva de nouveau son visage vers le mien et mes lèvres se soudèrent sur les siennes nos langues se rencontrèrent, se reconnurent et dansèrent une sarabande endiablée que ni l’un ni l’autre ne voulut arrêter. À ce régime, on se retrouva vite en apnée et avec regret, j’arrêtai ce long baiser. Mes mains allèrent sur ses seins et les palpèrent à travers ses vêtements.

Dans mon slip, mon sexe commença à grossir de désir.

— Pierre, tu es sûr qu’Odile ne va pas revenir à midi.

— Elle m’a dit ce matin qu’elle restera au salon toute la journée et ne reviendra que ce soir avec toi et Chantal

— Alors, allons dans ta chambre, j’ai envie de toi, de te sentir en moi. Tu peux, malgré ton travail ?

— Oui, j’ai trois heures devant moi

Nous montâmes l’escalier serrés l’un contre l’autre et arrivés dans ma chambre elle dit

Assieds toi sur le lit et ne bouges pas.

Elle se mit à quelques mètres de moi et en dansant, initia un strip-tease. Renée me faire un effeuillage, jamais je n’aurais cru cela possible.

Une fois la jupe et le chemisier envolés, elle se retrouva juste habillée d’un slip et une guêpière ivoire retenant des longs bas de soie sur ses jambes élancées

Je n’en pouvais plus. Elle avait tout prémédité la diablesse.

— Mais dis-moi, tu es venu chez moi depuis Reims avec la guêpière ? Aurais-tu eu, avant de partir, une idée derrière la tête ?

— Ooooh non, dit-elle avec un sourire enjôleur.

Ses mèches blondes dansaient sur son visage sur le même tempo

— Pierre aide-moi à la dégrafer, je n’y arrive pas

Je ne me fis pas prier et après avoir fait ce qu’elle me demandait, j’empoignai ses deux seins dans mes mains. Ils débordaient, mais mon dieu quelle douceur. J’écartai légèrement les doigts pour juste laisser dépasser les mamelons, je m’amusai à les faire rouler entre mes phalanges.

Je la retournai contre moi et finis par lui sucer la poitrine.

Elle défit ses bas, fit tomber la guêpière qu’elle avait encore dans sa main et se retrouva en slip. J’aurais déjà voulu être à sa place de sa culotte, mais cela allait venir dans peu de temps……….

Je me déshabillai avec hâte et fis doucement basculer Renée sur mon lit. Nos corps s’emmêlèrent, se décollèrent, se soudèrent, firent des nuds, je passai une main entre ses cuisses et la caressai au niveau du sexe. Elle rejeta la tête en arrière

— Pierre enlève ma culotte, elle va nous gêner

Quand après de longs préliminaires de caresses, de cunnilingus, de fellations, de baisers disséminés sur le corps, je sentis que j’étais plus que prêt pour la pénétrer, je lui écartai les cuisses et dans la traditionnelle position du missionnaire, je commençai à pénétrer son vagin. Je voulais trop voir son visage quand viendrait sa jouissance. J’accompagnai le mouvement de va et vient de mon sexe dans le sien avec une caresse appuyée sur son clitoris et comme la veille, au bout de quelques minutes, elle gémit, un rictus apparut sur ses lèvres. Puis ses joues devinrent plus rouges, elle se mit à haleter et à pousser des sons inintelligibles et soudain son corps fut pris de tremblements non contrôlés , son corps se raidit sous le mien et un long aaaaaaah sortit de sa bouche, sa jouissance était là. Elle était belle dans son plaisir. J’accélèrerai le mouvement de mon bas-ventre, et j’éjaculai dans son vagin, des giclées de sperme.

— Donne, donne, donne-moi tout Pierre, ah, je te sens bien au fond de moi, encore, donne, donne,

Je ne pus rien donner de plus, j’étais dans le rouge avec mes couilles maintenant vides, il fallait reconstituer les réserves.

Je me retournai sur le dos et m’allongeai à son coté, elle avait les yeux clos et sa respiration redevint peu à peu calme.

— Pierre, tu es fou, tu te rends compte de ce que tu m’as fait depuis hier. Mon cur ne va pas résister à un tel régime.

— Mais qui te dit que cela va continuer ?

— Ah non, ne dis pas ça, je veux que tu me fasses jouir, l’absence de sentiment amoureux m’importe peu mais disons que j’ai terriblement besoin de tendresse et surtout de caresses prodiguées par toi; j’ai envie de toi, oui, de pouvoir assouvir tes désirs et les miens en profitant l’un de l’autre, appelons ça de l’hygiène sexuelle ……..!!! Dit-elle en rigolant et me narguant

Je l’embrassai et lui dis

— Bon, viens on va prendre une douche ensemble, ça aussi c’est de l’hygiène….

Ce n’était pas très confortable, mais on s’est savonné mutuellement, rincé, on s’est caressé et tout d’un coup, elle s’est agenouillée et a gobé mon sexe encore mou.

Par de savants mouvements de langue et de sucions du gland, elle réussit à le faire durcir. Je ne voulais pas qu’elle continue, mais ce fut plus fort que moi, je ne pus pas arrêter en si bon chemin ces prémices d’une superbe pipe.

Elle releva les yeux vers moi, sortit sa langue et la passa tout autour de mon gland puis enfourna mon sexe dans sa bouche ; elle entreprit d’absorber toute ma bite comme l’avait fait Odile la veille. Elle eut un peu de mal. Je ne bougeai plus, j’attendis et quand la jouissance venant de mon de mon bas-ventre sembla incontrôlable, je plaquai avec mes deux mains, sa tête sur mon pubis.

Elle ne pouvait plus bouger et fut obligée de recevoir au fond de sa gorge le sperme que je crachais.

Au bout de trois ou quatre mouvements de mon sexe, l’éjaculation finie ; je relâchai la nuque de Renée.

Imperturbable, elle continua son mouvement de longues minutes et mon sexe triomphant se fit baudruche dégonflée ; elle se releva, ouvrit grand sa bouche et dit

— Tu as vu, j’ai tout avalé, c’est la première fois que je le fais de ma vie ; il parait que le sperme est bon pour le teint de la femme.

Nous continuâmes à prendre notre douche commune et il fut temps de s’habiller pour aller, elle à son salon de mode et moi, à mon cabinet.

Nous nous quittâmes avec un nouveau baiser nous promettant de faire encore mieux au plus vite.

Ce soir, j’avais réservé une table au restaurant gastronomique de la ville d’à côté et nous devions y être à vingt heures trente

Vers dix-huit heures, toutes les trois rentrèrent et partirent se relaxer dans le jacuzzi puis se préparèrent pour aller au restaurant.

La soirée se déroula au mieux et j’eus droit au résumé des visites de la journée.

À partir de demain mercredi, Chantal travaillait, mais restait néanmoins chez moi jusqu’à samedi matin pour passer les soirées avec nous.

Après être rentrés, je proposai de regarder un film, mais mon idée n’eut aucun succès et c’est ainsi que vers minuit chacun alla dormir. Ce repos ne pourrait qu’être profitable pour nous tous.

Odile que je questionnai remit au lendemain midi son massage et j’avoue que cela m’arrangea, car je ne me voyais pas devoir succomber une seconde fois le même jour, sous les charmes ravageurs de ces femmes mures tellement merveilleuses et séduisantes.

La semaine continuera avec le prochain chapitre consacré à la journée de mercredi

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