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RER Magique – Chapitre 1

RER Magique - Chapitre 1



RER Magique

Enfin une belle journée dhiver, et je décide daller me promener et faire un peu de shopping dans Paris.

Sortir un peu de ma banlieue Sud, certes verdoyante, mais aussi oublier les cours que je donne, et prendre une journée rien quà moi.

Moi, la cinquantaine, un peu enrobé du fait de lâge, mais toujours avec mes yeux verts pétillants et mon sourire de charme.

Vers le milieu de laprès midi, envie de rentrer chez moi, tranquille, et ne voulant pas subir la cohue, je me dirige, serein, vers la Gare de Lyon..

Un train arrive presque désert, heureusement, et je monte à létage où quelques voyageurs sont assis, aussi sereins que moi.

Je me cale dans mon siège, au milieu du compartiment, sans beaucoup de monde autour de moi, et je commence à farfouiller dans mon sac à la recherche de mon livre, pour maccompagner pendant ce trajet long denvers 45 minutes.

En levant les yeux, japerçois un jeune homme qui montait aussi à létage.

Un mec immense, très grand, très mince, presque maigre, 25 ans à peu près Je ne savais pas trop. Mais il était fascinant. Sourire en coin, et un air de prédateur

Je nai pu mempêcher de le fixer, je me sentais envoûté par ce mec, et son regard indescriptible avec son sourire en coin Je lai regardé de haut en bas, toisé, ses yeux, son visage, son corps, son entrejambe Et jai pu constater une bosse, mais, comment dire, une bosse dans son survet assez moulant, qui semblait si proéminente quelle en devenait indécente Mes yeux étaient scotchés sur lui, sur ce grand haricot vert, à lallure si dégingandé et au regard si perçant

Alors que le wagon était presque vide, il sest assis devant moi, toujours avec son regard ironique et je ne pouvais pas détacher mon regard sur lui, lui dont le sourire devenait de plus en plus ironique.. Lair de dire. « Content de mater ?»

Il sest assis devant moi en écartant les jambes, presque en enserrant les miennes et toujours avec ce regard me fixant profondément.. Il a vu que jétais gêné, mal à laise, ayant devant moi le summum de la virilité absolue, du mâle..

De plus, quelques instants après, je sentais une odeur particulière dans mes narines

Celle de la testostérone, celle des phéromones Putain, ce mec sentait le mec à plein nez et jen avais les odeurs plein le nez, le corps, pire de 100 fioles de Popers ambulant

Et lui, toujours avec son sourire démoniaque commençait à me scruter, et à se caresser devant moi Dun coup, je nai plus eu une bosse devant mes yeux, mais une barre de chair, qui grossissait, qui grandissait, pour atteindre une taille exceptionnelle, surtout sa largeur, dépassant tout ce que javais pu voir ou supporter en moi.

Putain de mec. Il fait quoi la. Il joue, il samuse à mexciter ?

Dun coup, je le vois descendre un peu son jogging, me montrer ses poils drus autour de son sexe dun diamètre, vraiment, hors du commun. A mon regard exorbité, jai pu voir quelques secondes des couilles, lourdes, pendantes, plaines de ce bon sirop dhomme que jadore

Une station plus tard, toujours la même fascination et personne dans le compartiment, un regard furtif de sa part autour de nous et sans rien dire, il prit ma main et la posa sur cet objet. Exceptionnel

Je nai pu mempêcher de caresser, de vénérer ce membre si viril et ce mec, si extraordinaire

Enfin un son de sa voix. Voix de mâle, métallique, mâle sûr de lui.

« Je te veux »

Moi, cinquantenaire, caressant une bite hors norme dun mec dont javais le double de son âge ????

« Pourquoi moi ? »

« Parce que je te veux, parce que je naime pas les petits minets incapables de me supporter, et parce que, dès que je suis rentré dans ce train, jai vu que tu étais une vraie salope accro aux vrais mecs. Ok, ça te va comme réponse ? »

« Oui, mais jai le double de ton âge. Ca ne te gène pas ? »

« Non, vraiment pas, bien au contraire.. Tu vis seul ? »

« Oui »

« Tu moffres un café chez toi ? »

« Un café ou plus que ça ? »

« Je nai rien à faire ce soir, à part moccuper de toi, cet après midi, ce soir et cette nuit. Ça te va ? »

Que répondre Ce mec mavait bouleversé, javais trop envie de lui. Il le savait avec son air macho qui mavait complètement conquis

« Je veux une vrai femelle qui encaisse, ok ? Jai toujours envie de baiser, ok ? Jai trop de mal avec la taille de ma queue Tu prends ? Plusieurs fois ? »

Au moins, le problème était posé.

Le RER arrivait à son terminus.

Jai plongé mes yeux verts dans les siens et je lui ai pris la main..

Jallais enfin sortir de ma routine et me donner à un homme.. Exceptionnel

A bientôt pour la suite.

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