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Retard de paiement – Chapitre 7

Retard de paiement - Chapitre 7



Dès que les filles eurent quitté la salle, Adèle, Jasmine et Manuelle discutèrent à voix haute de mon cas. La Sénégalaise, particulièrement galvanisée, usait son stylo sur le carnet d’Adèle à force de surcharger la liste des sévices qu’elle comptait me faire supporter. Jasmine, déconcertée, tempérait ses ardeurs. Adèle, en femme d’expérience, ne retenait que le meilleur pour moi.

    – Pas question, ma fille! Pas de demi-mesure avec elle. Encore moins de pitié! Je vous préviens que je serai intransigeante si je constate que ses épreuves ne sont pas à la mesure de la vigueur que je devine en elle.

De souffre-douleur, mon statut venait de passer à celui de martyre. J’étais tellement excitée que les horreurs qu’elles me promettaient me faisaient jubiler. Manuelle vint me rejoindre sur le podium. Elle m’empauma le sexe avec une telle force que mes pieds quittèrent quasiment le sol.

    – Tu voulais vivre une expérience masochiste avec une maîtresse impitoyable, je t’en offre une vingtaine qui te traitera de façon inhumaine. Est-ce que cela suffira à ton bonheur?

    – Si tu savais à quel point je suis impatiente de devenir votre pantin. Je vis un rêve éveillé. Tu ne me jugeras pas si je t’avoue que, depuis des mois, je me projette en tant qu’héroïne d’une tournante sadique orchestrée par des femmes sans scrupules. Je suis à deux doigts de réaliser mon fantasme. Je présume que vous allez me faire souffrir tant et plus mais je crains de flancher. Promets-moi de ne pas t’apitoyer sur mon sort si je commence à pleurnicher! Je veux vivre cette expérience à fond. Quoiqu’il m’arrive ou que vous me fassiez, je ne veux pas de compassion.

    – Tu es décidément trop mignonne. Je pense comprendre de mieux en mieux ton état d’esprit. J’aimerais simplement que tu me confies plus clairement tes désirs. Fais-moi confiance si tu souhaites vraiment que je t’aide à t’accomplir!

    – En toi, j’ai toute confiance. Je sais que tu es capable de me démonter sans état d’âme. Ma grande crainte serait qu’Adèle sous-estime mon endurance et vous impose des bornes stupides sous prétexte de m’épargner. Mon instinct me dit que tes amies sont également désireuses de m’infliger des supplices atroces en accord avec mes aspirations. Les regards cruels qu’elles me lancent quand elles détaillent mon corps ne trompent pas. J’ai aussi perçu leur jubilation complice à lidée de torturer sans concession une blonde européenne.

    – Tu as mis dans le mille. Je les connais toutes personnellement depuis des lustres. Je n’ai pas le temps de t’expliquer pourquoi. Avant toutes choses, il faut que tu saches que nombre de mes compagnes sont rompues aux techniques de tortures, particulièrement orientées sur ..disons…les particularités anatomiques de la féminité! Je n’ai aucun doute sur les infamies qu’elles sont capables de t’infliger au risque de déplaire à Adèle. Je pars les rejoindre. Elles ne vont pas manquer de m’interroger sur les limites qu’Adèle va imposer au jeu. Si tu veux vraiment t’éclater et que ta chatte bénéficie d’un "traitement de faveur", sans attirer l’attention de la directrice, je vais t’expliquer ce que tu devras faire quand elles reviendront dans cette salle. Réfléchis bien! Je te préviens que, sous aucun prétexte, tu ne pourras plus revenir en arrière.

    – Tu vas vraiment me rendre folle, Manu. Dis-moi vite ce que je dois faire?

    – Parfait! Garde la pose! Le contraste entre lacajou de ta peau et l’étoffe blanche est du plus effet. Ta jupette ne cache rien du tout en fait, sauf que tu as drôlement le feu là où je pense. En principe, Adèle et Jasmine seront assises derrière toi. Tu remonteras discrètement ta jupette pour offrir ton pubis affolant à la vue de toutes. Tu la passeras au-dessus de la barre sur laquelle tu te frottes depuis une heure. Du majeur et de l’index de ta main gauche, tu écarteras ta fente de sorte que ton clitoris soit parfaitement décalotté. Tu le feras ostensiblement rouler entre le pouce et l’index de ta main droite. Tu le pétriras jusqu’à ce qu’il soit complètement érigé.

    – Comme ça?

    – Oui, comme ça. Il est vraiment très gros. N’hésite pas à nous faire admirer la splendeur de ton superbe bouton en écartant bien ta fente si tu veux les encourager à le martyriser comme il le mérite.

    – Oh oui….je le ferai! Regarde comme il darde déjà bien! Quand il est aussi dodu, si je lui effleure tout doucement la tête, je peux me rendre dingue.

    – Si tu veux me faire plaisir, tu continueras à stimuler ton bel organe sans jouir jusqu’à la limite de tes forces. Je te garantis qu’elles comprendront le message.

    – Dis, Manu,! Surtout, n’oublies pas de me recommander pour le traitement de faveur?

    – Ne t’inquiètes pas, c’est comme si c’était fait! Il faudra penser à demander à Jasmine de te mettre des bracelets aux chevilles et aux poignets, histoire de nous permettre de t’enchaîner plus rapidement. Je compte sur toi aussi pour ne pas oublier.

    – Je lui demande tout de suite. Je ne saurai jamais te remercier assez, Manu! Tu as définitivement brisé ma carapace et si justement décrypté mes désirs.

*

La salle se remplit rapidement. J’étais littéralement en transes, profondément imprégnée de mon rôle de martyre en devenir. Dès que Manu prit la parole, je remontai ma jupette jusqu’au nombril et commençai à stimuler mon clitoris qui pulsait déjà comme un cur.

    – A l’unanimité, nous avons acceptons la chienne dans notre groupe à condition qu’elle accepte sans pleurnicher tout ce que nous lui imposerons. Je demanderai à la direction, qu’en cas de désobéissance, les châtiments corporels soient la règle.

La directrice ne manqua pas de saisir la balle au bond.

    – Excellente idée! Inutile d’ailleurs d’attendre une désobéissance pour la châtier. Le fessier admirable qu’elle nous présente est, en lui seul, un appel à la sauvagerie. Retourne-toi!

J’avais envie qu’on me fasse plein de choses vicieuses sauf de m’obliger à me retourner. Constatant l’état de ma vulve, elle s’empara d’une longue baguette qu’elle avait intentionnellement préparée pour me fustiger.

    – Déshabille-toi complètement et pose tes mains sur ta nuque !

Une cinglée brutale ponctua sa directive en me sciant la face postérieure des deux cuisses.

    – Que les choses soient claires! Ici, nous te donnons des ordres et tu obéis sur le champ. Un point c’est tout. Pour que nous puissions te châtier plus efficacement sur toutes les parties du corps, tu proposeras tes galbes juvéniles sans entraves, c’est à dire entièrement nue, dès que lune dentre nous ten fera la demande. Oui, Manuelle! Une question?

    – La petite gueuse m’a demandé de bénéficier, à votre insu, d’un traitement de faveur de notre part. Elle nous a narguées en remontant sa jupe et en se tripotant le clitoris jusqu’à la limite de l’orgasme.

    – Manon! Qu’as-tu à répondre à cela?

    – Pardonnez-moi, Tante Adèle! Vous m’avez toutes tellement attisée en me promettant le martyre que j’ai cru que vos paroles dépassaient vos intentions. Quand Manuelle m’a confié que plusieurs de ses amies avaient acquis une grande expérience dans la torture des femmes, j’ai stupidement pensé qu’elles prendraient beaucoup de plaisir en malmenant mon bouton d’amour.

    – Ainsi, tu as cru que nous bluffions en te promettant de vivre un calvaire. Très bien. Je vais te prouver le contraire immédiatement. Jasmine! Mets-lui les bracelets aux poignets et aux chevilles et scelle-les!

La fille d’Adèle se glissa derrière moi en me flattant la croupe.

    – Tu es magnifique, ma beauté, quand tu es troublée. C’est vraiment plaisant de jouer avec toi. Il suffit de prononcer le mot "supplice" pour bouleverser tes sens et ta raison.

    – Je sais. C’est mal. Je fais partie des filles pour lesquelles le danger monte rapidement à la tête comme un puissant stimulant. Je pense que, même au pied de l’échafaud, je mouillerai encore.

Tante Adèle se nourrissait de mes paroles et de mon trouble. Le ton de sa voix avait changé du tout au tout.

    – J’imagine mais ce genre de réaction paradoxale ne serait, hélas, que trop limitée dans le temps, ma poulette. Plutôt que de te couper la tête, tes amies s’efforceront de prolonger ton martyre en distillant les tortures pour te faire durer autant que possible. Moi, je me contenterai du plaisir incommensurable de te voir décliner peu à peu.

Jasmine remonta mes longs cheveux pour en faire un chignon bien serré.

    – Ces bracelets sont extraordinaires. Leurs aimants sont si puissants qu’un seul suffirait pour suspendre une charge de cent cinquante kilos en le mettant en contact avec un élément en métal. Une fois collée, nous devrons nous y mettre à trois pour te libérer. Vous deux, venez nous rejoindre! J’aimerai vous instruire sur l’usage de ses bracelets magnétiques. Soulevez cette barre métallique! Prenez garde, elle pèse vingt kilos! Placez-là dans le creux de ses reins. Parfait! Manon va tenter de s’en saisir en passant ses mains dans le dos et faire connaissance avec son nouveau statut.

    – Me prenez-vous pour une demeurée? Chacune sait comment fonctionne un aimant.

    – Je ne te prends pas pour une demeurée mais pour une fille qui va, de son plein gré, se laisser enchaîner en sachant pertinemment qu’elle va subir la torture et les vexations jusqu’à son dernier souffle de vie. Est-ce que je m’exprime clairement, Manuelle?

    – Parfaitement, Mademoiselle la directrice ! Finalement, rien ne change vraiment pour toi, Manon. Tu vas mourir à petit feu sous la torture, à moins qu’avant cela, tu ne meures de plaisir comme initialement prévu.

Pour tout vous dire, je ne croyais pas une seule seconde qu’elles allaient m’exécuter. Pour moi, il ne sagissait que dun jeu érotique qui fouettait fabuleusement ma libido. Ma main glissa une dernière fois sur mon sexe complètement saturé de mouille. Mon clitoris, de la taille d’une grosse framboise, exprimait sa sensibilité exquise par des oscillations pulsatiles pré orgasmiques. Mes futures tortionnaires avaient quitté leurs sièges et m’encerclaient. Elles ne quittaient plus des yeux mon sexe métamorphosé par l’érection surprenante de mon bourgeon, me rassurant au passage sur lattrait quil suscitait toujours.

    – Ecarte tes nymphes et montre leur ton " bijou" si tu souhaites toujours qu’il bénéficie d’un "traitement de faveur"!

    – Joli nom "Bijou" pour un souffre-douleur! Tu es soit très déterminée, soit très stupide en leur offrant de façon aussi aguichante lépicentre de ta sensibilité.

Depuis toujours, je n’en fais qu’à ma tête. Je m’arroge le droit de diriger ma vie comme je lentends.

    – Voici mes poignets! Vous pouvez me faire tout ce qui vous passe par la tête. Je suis prête. Dites-moi, tante Adèle! Je suis affligée d’une curiosité maladive. Puisque je suis à votre merci maintenant, pourquoi m’avoir choisie moi? Depuis hier, tout va trop vite. Je ne crois pas au hasard mais plutôt à une machination orchestrée par un tyran mystérieux pour abuser sadiquement de mon corps parfait.

    – Décidément, tu possèdes une très haute opinion de ton anatomie. C’est une longue histoire que je comptais te raconter plus tard. Je crois que tu y trouveras l’explication de certains faits inexplicables que tu as remarqué ces derniers temps comme la disparition de tes papiers d’identité.

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