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Road trip aux U.S.A. – Chapitre 4

La cité de Cracassonne - Chapitre 1



J’étais complètement perdu. Pourquoi avait-elle dit ça ? Dans quoi étions-nous embarqués ?

Je m’accroupis auprès d’Aurélie et l’aidai à se relever.

— Pourquoi lui as-tu donné ton accord enfin tu es malade ?

— Que veux-tu que l’on fasse d’autre ? Me demanda-t-elle énervée.

Il a nos papiers et maintenant cette vidéo tu t’imagines si nos proches reçoivent ce film de mes exploits ?

— Je… Elle me coupa

— On va à sa soirée demain et puis on se barre directement après qu’il nous a rendu nos affaires.

Elle faisait preuve d’une force de caractère à toute épreuve j’étais impressionnée par sa lucidité malgré la situation. Je lui demandai :

— Mais tu penses que tu vas pouvoir le faire demain ?

— Je ne sais pas. Je boirai quelques Gin Tonic pour oublier ! Bon je vais me laver parce qu’il ne m’a pas raté. Elle me montra son corps qui était toujours recouvert de foutre.

Je la regardai partir. Son magnifique cul bombé perché sur ses belles jambes montait les escaliers pour rejoindre la salle de bain.

Je m’assis de nouveau sur ma chaise pour remettre de l’ordre dans ma tête. Que d’émotions !

Après sa douche, nous n’avons pas échangé énormément de mots. Je ne savais pas trop quoi lui dire en fait.

Nous sommes allés nous coucher vers 21h ce soir-là. J’eus beaucoup de mal à m’endormir.

J’étais vraiment partagé car cette situation m’excitait quand même au plus haut point mais en même temps on exploitait ma dulcinée.

Je me demandais ce qu’Hubert nous réservait pour le lendemain.

Le lendemain matin, je fus réveillé par des voix et des rires qui provenaient du rez-de-chaussée.

C’était plus précisément des hommes qui parlaient fort et cela semblait venir du salon.

Curieux, je descendis les escaliers tout doucement pour ne pas me faire remarquer.

La porte était entrouverte et je pouvais donc voir ce qu’il se passait par l’entrebâillement sans être aperçu.

Il y avait 3 hommes dans le sofa d’Hubert et celui-ci était debout à côté de sa télévision.

Sur l’écran de la TV, le film d’Aurélie qu’il avait tourné hier. Je n’en revenais pas.

Ce monstre était en train de divulguer cette vidéo à ses potes.

— Alors les gars que pensez-vous de ma petite beauté ?

Les commentaires allaient bon train.

Je profitais de leur conversation pour discerner un peu mieux les personnages.

L’un était vraiment horrible, il devait au moins peser 150 kilos et avait des cheveux gras qui lui tombaient sur les épaules. Il s’appelait Josh

Le deuxième était d’origine mexicaine je crois. Il état de corpulence normale avec un bon bide à bière et avait une grosse moustache. Son nom était Pedro.

Le dernier quant à lui était un petit chauve tout mince prénommé Arthur.

Leur seul point commun est qu’il était vraiment répugnant. Il buvait une bière en cannette qui ne devait pas coûter plus d’1$ l’unité.

Ils étaient au passage où Aurélie léchait les couilles d’Hubert tout en le masturbant. Le gros Josh s’exclama :

— Putain Hubert mais quelle pute tu nous as dégotée là ! Elle te bouffe les boules comme une chienne !

— Je vous l’avais dit les gars ! Ce soir elle est à vous si vous le voulez. Il stoppa net la vidéo.

— Bon parlons business les amis ! Il se posa sur sa chaise placée à côté de la télévision.

— Ce soir je vous l’amène sur un plateau au Corner Cabaret les enfants ! Je me suis arrangé avec Gerard et il ferme le club pour ce soir. Il n’y aura qu’elle et nous. Elle dansera comme une salope à la barre et vous videra les couilles moyennant finance ! Je compte sur vous pour amener du monde j’aimerais vraiment me faire de la thune sur ce coup-là ok ?

Le petit Arthur qui semblait excité comme une puce se redressa et lui demanda :

— Ouais je vais appeler la bande à Thomas en partant ! Dis-nous quels sont tes tarifs !

— Si vous voulez un show privé avec elle c’est 50$, si vous voulez gicler c’est 100$ !

— Arrête c’est super cher Hubert tu plaisantes ! s’exclama le mexicain.

— Oh Pedro t’as vu le morceau que je ramène ? Même dans les films de cul t’as jamais vu une beauté comme elle ! Elle a un visage d’ange sur un corps de putain ! T’as vu ce petit cul et ces super nibards bien lourds ? Rien que quand elle marche dans la rue devant toi tu te casses le slip ! Alors si t’es pas content retourne baiser tes vaches !

— Bon ok… On peut la baiser à ce prix-là ?

— Non pas de pénétration les gars je…

Sans faire express, je glissai d’une marche ce qui eut pour conséquence de faire un léger bruit. Ils se tournèrent tous les trois dans ma direction et j’eus juste le temps de remonter quatre à quatre les marches pour ne pas me faire repérer.

Je rentrai à nouveau dans notre chambre et Aurélie dormait toujours. J’avais peur, je ne savais pas quoi faire.

C’est horrible ce que cet enfoiré était en train de préparer mais que pouvais-je bien faire ? Pas grand chose malheureusement.

Les copains d’Hubert partirent et je l’entendis monter et se diriger vers notre chambre. Il entra sans frapper !

— Ooh vous pourriez frapper quand même ! m’exclamais-je

— Pourquoi t’as peur que je voie ta fiancée toute nue ? ricana-t-il

Aurélie se réveilla en sursaut et se redressa légèrement.

— Bon ma jolie je vais t’expliquer le programme de ta journée. J’ai été faire quelques courses hier pour t’habiller de la plus belle des manières ce soir. Il vida un sac sur le lit. De ce sac tomba une paire de talons hauts ainsi qu’un bout de tissu qui devait sûrement faire office de robe.

— Je veux que tu sois lavée, épilée, habillée et maquillée pour 20h ! Ce soir tu vas me rapporter un paquet de thunes je le sens ! Et il sortit de la pièce en rigolant.

Je regardai Aurélie pour voir sa réaction. Elle observait les affaires déposées sur le lit.

Elle se redressa, attrapa le bout de tissu. C’était une mini robe noire avec de fines bretelles qui laissait présager un décolleté vertigineux.

Avec cela, il lui avait acheté un ensemble sous vêtements composé de bas autoportants, un porte-jarretelle, string et un soutien assorti. Étonnamment c’était de très bon goût !

De la journée, nous nous sommes baladés dans les environs et avons été au supermarché non loin de là pour acheter une bouteille de gin et du tonic.

Ce jour-là, Aurélie avait enfilé un mini short blanc avec un top noir et portait des sandales compensées.

En rentrant à la maison, il y avait une voiture de police garée devant la maison. Ce débile a t-il cru que nous nous étions échappés et à appeler la police ? Qu’allait nous dire ce policier ?

Nous rentrons dans la maison en faisant du bruit pour qu’Hubert comprenne directement que nous étions là.

— Ah les voilà ! J’entendis Hubert crier de son salon.

En arrivant dans celui-ci il était assis dans le divan avec le policier en question. Je m’avançais et Aurélie restait en retrait pour ne pas croiser le regard de notre hôte.

— Les enfants j’étais justement en train d’expliquer au shérif la substance que vous aviez osé ramener à mon domicile !

Je regardai le shérif dans les yeux. Il avait un regard noir et semblait très énervé. C’était un grand gaillard il devait mesurer pas loin de 2 mètres et avait une carrure très imposante.

— Je suis désolé mais vous ne me laissez pas le choix. Notre état est très strict sur la détention de marijuana et vous me voyez dans l’obligation d’appeler la centrale pour vous emmener. dit-il.

Pourquoi est-ce que cet imbécile d’Hubert avait ouvert sa bouche alors que nous avions un accord ? Je le regardais furax droit dans les yeux et lui m’observait avec un petit sourire.

Je tentai d’expliquer et de m’excuser mais le shérif ne voulait rien entendre il s’apprêtait à prendre son talky walky quand soudain Aurélie entra dans la pièce :

— Ne faites pas ça je vous en supplie. Je suis certaine que nous pouvons nous arranger. Elle était au bord des larmes…

Le sourire imbécile d’Hubert apparut sur son visage.

— Eh bien je ne sais pas mademoiselle que voulez-vous trouver comme arrangement ?

Aurélie me regarda droit dans les yeux. Je crus comprendre qu’elle était prête à le faire et me demandait mon autorisation. Nous avons toujours réussi à nous faire passer beaucoup de choses par un simple regard.

Après quelques secondes je plissai mes lèvres et baissai les yeux en guise d’approbation. Qu’allions-nous faire de toute façon ? Nous faire embarquer menottes aux poignets pour finir en prison ?

— Hubert a bien dû vous parler de moi et des mes talents n’est-ce pas Shériff ? Je fus surpris par la voix de chatte en chaleur qu’elle utilisa.

— Il m’en a en effet parlé mais il va falloir être un peu plus gentille que ça avec moi si vous ne voulez pas finir au cachot. Ce n’est pas une branlette qui va me calmer chérie.

Aurélie restait à deux mètres du divan dans lequel était assis le Shériff. Elle lui faisait face. Elle commença un strip tease sensuel.

Hubert quant à lui était placé dans le sofa perpendiculaire à celui du shérif. Ils la regardaient avec des étoiles dans les yeux. Elle était à eux et ils le savaient très bien.

Une fois l’ensemble de ses vêtements à terre, elle se mit à quatre pattes et s’avança vers le shérif.

Lui avait déjà eu l’occasion d’enlever sa chemise et son pantalon et la regardait arriver vers lui avec un sourire jusqu’aux oreilles.

— Tu as oublié tes sous-vêtements chérie enlève-moi ça cela ne va pas te servir à grand chose !

Elle se mit sur ses genoux, dégrafa son soutien-gorge et fit glisser son string jusqu’à ses chevilles. Elle était maintenant entièrement nue à quelques dizaines de centimètres du Shériff.

— Eh ben ça c’est une bombe atomique comme on dit tu m’avais pas menti Hubert. Son slip était déformé par la bosse que formait son sexe. J’ai cru qu’il allait exploser tellement il était tendu.

— Approche-toi ma belle ! Aurélie avança encore un peu pour se retrouver entre les jambes du Shériff qui était toujours affalé dans le sofa.

Il s’avança à son tour pour gober à pleine bouche les tétons de ma belle. Celle-ci tourna le regard vers Hubert qui avait déjà eu l’occasion de sortir son manche et commençait un léger va-et-vient. Elle le regardait tantôt dans les yeux tantôt elle braquait son regard sur sa bite déjà bien tendue et qui semblait étonnamment lui donner envie.

— Ta paire de seins est délicieuse ma chérie. A ton tour maintenant de me montrer ce que tu sais faire de ta bouche.

Il leva son cul du divan pour faire glisser son slip. Aurélie l’aida et put découvrir le membre qu’elle allait devoir astiquer durant les prochaines minutes. Celui-ci avait une longueur normale mais était surtout très épais. Ses couilles semblaient très pleines aussi car elles étaient énormes. Elle allait avoir du mal à le prendre en bouche.

Elle prit le sexe du shérif en main et commença par le branler tout en alternant les regards entre Hubert et lui.

Je ne voyais pas son visage d’où j’étais ce qui m’ennuyait. J’aurais voulu voir s’il y avait du dégoût, de l’impuissance, de la résignation, de l’envie ou que sais-je encore dans ses yeux.

Elle prit enfin le shérif en bouche après quelques secondes et entreprit une bonne fellation dont seule elle a le secret.

— Toi lève-toi et prend mon téléphone portable tu vas filmer que je puisse me remémorer cette beauté astiquant ma bite à l’occasion !

— Vous plaisantez je ne vais quand même pas vous filmer pendant que… Il me coupa net !

— Soit tu filmes soit je vous embarque tu choisis. Cette vidéo sera pour mon usage personnel c’est promis.

Je me levai, résigné et agacé, pris le téléphone portable du shérif, enclencha la caméra et m’approcha de l’action. Je vins me placer derrière le sofa pour avoir la même vue que lui.

Je voyais ma belle fiancée, nue, entre les jambes de ce type que nous ne connaissions pas 5 minutes auparavant et en train de lui sucer la queue. L’espace d’un moment j’eus l’impression qu’elle prenait du plaisir.

En effet, elle malaxait maintenant les couilles du shérif tout en suçant son gland gonflé par le plaisir.

Faisait-elle ça pour qu’il jouisse plus vite ou était-elle vraiment excitée par la situation. Je ne sais pas exactement, tout ce que je sais c’est qu’elle était bandante à en mourir.

— Putain mais quelle bouche de suceuse t’as ! C’est pas possible ! Tu kiffes ça que ton petit fiancé te mattes en train de sucer ma grosse queue hein ?

Elle ne répondit pas. Se contenant de branler un peu plus vite sa queue.

Le shérif devait être au bord de l’explosion et fit donc en sorte de calmer le jeu.

— Hubert viens t’asseoir à côté de moi que tu puisses aussi profiter de ce traitement !

Ni une ni deux le gros se leva pour venir s’installer aux côtés du Shériff. En passant derrière Aurélie, il s’agenouilla et glissa sa main vers le sexe de ma fiancée. Elle sursauta dû à l’étonnement de cette caresse et se retourna sur Hubert, tout en gardant l’énorme queue du shérif entre ses doigts.

— Putain mais c’est qu’elle est trempée la salope ! Ça lui plaît apparemment ! Aurélie releva les yeux vers moi comme si elle était honteuse. Je ne réagis pas et restais à ma place, derrière le shérif.

Hubert vint s’installer juste à côté du shérif et en profita pour me lancer un sourire narquois.

— Allez ma belle tu vois bien qu’Hubert en a marre de s’astiquer le manche tout seul va un peu l’aider à gicler !

Aurélie quitta sa place et vint s’installer entre les jambes d’Hubert. De mon côté, je déplaçai la caméra dans le but de suivre son visage. Elle attrapa le sexe d’Hubert qui était déjà bien bandé et commença à le travailler avec ses mains. Encore une fois j’étais impressionné par la taille de son engin, les mains d’Aurélie paraissaient minuscules à côté de son membre.

Elle était maintenant en train de sucer Hubert tout en branlant de sa main droite la queue du shérif. Celui-ci lui lança :

— Ma chérie va nous chercher deux bières au frigo à 4 pattes comme une petite chienne que tu es ! Et toi suis là en filmant son beau petit cul. Il claqua des doigts en m’indiquant la cuisine.

Aurélie s’extirpa des jambes d’Hubert, essuya la bave qui coulait sur son menton à force d’enfoncer le membre démesuré dans sa bouche et partit vers la cuisine en marchant à 4 pattes comme l’avait ordonné le shérif.

Je la suivis, essayant de me concentrer pour filmer cette scène perverse. Ma douce était réduite à faire la pute et se dandiner devant ces deux ignobles gars qui étaient maintenant en train de se masturber en voyant cette déesse partir vers la cuisine dans une position tellement humiliante.

Sa longue chevelure brune tombait sur sa chute de rein, son cul était rebondi comme jamais grâce à sa position et on pouvait aisément observer sa chatte totalement épilée et luisante de mouille, ses deux gros seins balançaient au rythme de ses pas. Quelle uvre d’art… Javais des difficultés à marcher tellement je bandais.

Arrivés dans la cuisine, Aurélie se releva pour prendre les bières dans le frigo. Je cachai l’objectif dans la paume de ma main pour que nous puissions parler entre nous.

— Comment vas-tu ? Tu tiens le coup ? Lui demandais-je.

— Oui ça va. Je n’ai pas le choix de toute façon. J’essaie d’oublier le fait que je sois forcée pour y prendre un minimum de plaisir.

— Je comprends chérie. Allez courage on va s’en sortir !

Nous nous apprêtions à y retourner quand elle me prit le bras et me dit :

— Il va sûrement vouloir me baiser le shérif qu’est-ce que je dis ?

— Si tu peux éviter je préfèrerai ! Elle fit un signe de la tête comme pour approuver ce que je venais de dire.

Elle fit réapparition dans la pièce avec les deux bières à la main et les donna aux deux hommes. Le shérif se leva et demanda à Hubert d’en faire de même.

— Lève-toi Hubert que cette pute nous achève je dois bientôt partir en intervention.

Aurélie se remit machinalement à genoux et les deux comparses vinrent se mettre de chaque côté d’elle avec leurs queues tendues à hauteur de son visage. Quant à moi, j’avais pris place juste en face d’Aurélie et m’apprêtait à filmer la scène finale. Ils n’allaient pas la pénétrer et j’en étais ravi.

Elle prit une bite dans chaque main et les suçait à tour de rôle. Leurs grosses couilles balançaient au rythme des va et viens que ma chérie leur prodiguait.

Et c’est Hubert qui craqua en premier, alors qu’Aurélie était en train de le branler tout en accueillant son gland entre ses lèvres, il l’attrapa à nouveau par ses beaux cheveux et les tiras en arrière de manière à ce qu’elle ressorte la poitrine. Aurélie comprit qu’il allait jouir et accéléra le mouvement. D’un coup je vis un épais filet de sperme venir s’écraser sur sa poitrine et comme la veille, il déchargea à nouveau une énorme quantité de foutre.

A la vue de cette scène, le shérif ne tarda pas et attrapa la tête d’Aurélie, il fourra son épaisse queue dans sa bouche et dit :

— A mon tour sale pute fais-moi gicler ! Aurélie prit ses deux mains et branla le shérif jusqu’à ce que jouissance s’en suive.

— Ouvre bien la bouche ma belle je vais te la remplir.

Aurélie attendait, ses mains posées sur ses deux seins recouverts de sperme, la bouche ouverte que le shérif se vide les couilles dans sa bouche. Il allait exploser et juste avant il me demanda de me rapprocher pour voir la bouche de ma fiancée se remplir. J’approchai l’appareil.

Je vis un puissant jet sortir de son gland et finir sa course sur le palais d’Aurélie. Après ce premier jet, plusieurs jets plus épais vinrent s’écouler dans la bouche de ma douce. Elle avait la bouche pleine et le foutre débordait presque alors que le shérif égouttait les dernières gouttes qui sortaient de sa queue.

— Voilààààààà tu peux tout avaler maintenant. Il ricana en tapant dans la main de son pote Hubert.

Je ne sais pas comment elle a fait mais après plusieurs secondes elle réussit à avaler tout le foutre présent dans sa bouche.

— C’est parfait grosse pute tu as bien vidé nos couilles comme on le ta demandé. Je dois bientôt partir alors nettoie-moi ces queues.

Les deux camarades firent santé avec leurs cannettes de bière alors qu’Aurélie s’appliquait à nettoyer leurs bites de toute tâche de sperme.

Les deux membres bien nettoyés, les deux hommes se rhabillèrent. Aurélie resta quelques instants sur le sol pour se remettre de ses émotions. Le sperme continuait de dégouliner sur ses seins et ses cuisses.

A suivre…

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