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Rue des camélias – Chapitre 2

Rue des camélias - Chapitre 2



Troublés par ma rencontre de la veille je ne pus que me masturber cinq ou six fois dans la nuit n’arrivant pas à trouver le sommeil.

Cette femme, dont je ne connaissait même pas le nom, m’avait soumis à elle comme un vulgaire toutou. Et le pire c’est que j’y prenais du plaisir. J’avais envie de voir jusqu’où cela pourrait aller. Mais après je serais à son emprise totale. Je ne pourrais plus reculer. Je ne savais que choisir.

Je mis le petit string noir sur moi décidé à y retourner. En arrivant dans la rue, je me mis à trembler. Je ne savais plus si il fallait que je continu de marcher pour me jeter dans la gueule du loup ou si je faisait demi-tour pour sauver le peu de dignité qu’il me restait. Finalement je continuais dans la rue.

J’hésitais tellement longtemps que j’arrivait avec 5 minutes de retard. Lorsque je frappa à la porte, elle était la, dans la même tenue qu’hier, en rouge. C’est alors que, la porte ouverte elle m’engueula car j’était en retard. Elle me fis me mettre à quatre pattes sur le paillasson devant sa porte d’entrée. Elle me fis entrée après deux ou trois coup de cravache.

Elle me demanda de me déshabiller et me dis que désormais dès que j’était rentré chez elle je devais me dévêtir et aller enfiler le sous vêtement qui était accrocher à coté de la porte. Une fois entièrement nu je parti chercher ce sous vêtement. C’était un petit string rouge, disposant d’une ouverture au niveau des fesses et d’un anneau au niveau de l’entrecuisse.

Je l’enfilais et me dirigeais vers ma maitresse. Je commençais a apprécier ce traitement, malheureusement je n’étais pas au bout de mes peines. Elle m’ordonna de me remettre à quatres pattes et me mis une cagoule sur le visage pour que je ne puisse pas voir. La cagoule était pourvu d’un trou au niveau de la bouche.

Je la senti accroché quelque chose à l’anneau du string. C’est alors qu’elle me passa une corde entre les fesses, et tira tellement qu’elle me rentra dans la raie. Je décrochais une petit cris de douleur et recevais instantanément un fort coup de cravache sur les fesses.

Elle m’emmena dans une grande salle mal éclairé. Elle m’attacha à quatres pattes par terre à des anneaux qui étaient la. Je ne pouvais plus bouger les mains et les pieds. Elle avait pris soin de m’écarter les cuisses. Elle sorti mon sexe de son string et commença à me branler. Au bord de la jouissance elle s’arrêta.

Maintenant tu jouiras que quand je le voudrais. Si tu jouis alors que je ne l’ai pas voulu ma punition sera terrible, tu as bien compris.

Oui madame.

Elle remis mon sexe dans son étui rouge et commença à me caresser les fesses. Je sentais ses doigts se balader de plus en plus près de ma raie. Alors qu’un de ses doigts effleurait ma rondelle je reçu une fessée.

Tu ne bouge pas, tu dois accepter ce que je te fais, tu n’as pas le choix.

Bien madame, je ferais ce que vous voulez.

Elle commença à me titiller la rondelle et j’y prenais du plaisir. Elle porta un de ces doigts à ma bouche pour que je le lèche. J’ouvris légèrement la bouche et suça son doigts dans son intégralité. Je sentais mon sexe se durcir de plus en plus. J’était proche de la jouissance mais je ne devais pas jouir sous menace de représailles. Elle retira son doigt et me l’enfonça d’un coup dans l’anus. Je lachais ma semence dans mon string en un flot immense.

Elle le remarqua bien sur et me frappa sur les fesses.

Je t’avais dis de ne pas jouir, tu ne m’as pas écouté.

Pardon madame, mais ce que vous faite est si bon.

Je ne te demande pas ton avis.

Bien madame.

Je senti alors deux de ses doigts venir au plus profond de mon anus. Cherchant la clé du plaisir. Je n’eu à peine le temps de pousser un petit cri de plaisir que ces deux doigts étaient déjà dans ma bouche accompagné de deux autres que je devais lécher. Je savais ou ces quatres doigts allait finir.

Ce que je craignais c’était d’avoir mal. Je n’avais jamais eu de relation anale avant ce jour et c’était plus plaisant malgré la douleur. C’est alors que je sentis quatres doigts fin s’insérer dans mon anus. J’avais mal, je ne voyais rien, et ne pouvais me fier qu’a ces doigts dans mes fesses. Elle s’arrêta d’enfoncer ces doigts en moi, j’était trop inexpérimenté pour une première fois.

Elle détacha mes mains et les attachas en hauteurs. Elle sorti mon sexe de son string et commença de doux vas et viens. Je sentais la douceur de ces mains sur mon sexe et j’adorais cela. Je ne voyais toujours pas la scène se déroulé. Un moment je sentis une douceur plus forte que précédement, puis j’entendis un bruit de succion. Elle me suçait et j’y prenais beaucoup de plaisir. En un rien de temps mon sexe était prêt à jaillir mais je n’avais pas le droit.

Tu vas avoir le droit de te déverser sur mes seins, me fit-elle.

Je senti mon sexe entre ses deux beaux seins bien rond. Je jouis en une fraction de secondes en quelques jets bien puissants. Je du lui en foutre partout sur la poitrine.

Elle se leva, me détacha les mains et les pieds et m’ordonna de venir nettoyer ce que je venais de faire. Ne comprenant pas ce qu’elle voulait, je me reçu un coup de cravache.

Lave mes seins de ton sperme jusqu’à la dernière goutte !

Oui madame.

Je m’approchais d’elle à tâtons et dès que je senti son sein je léchais, dans le moindre recoins.

Une fois sa toilette fini elle m’enleva la cagoule. J’étais dans une petite salle sombre rempli de cages, d’anneaux et de croix dont je n’imaginais même pas à quoi elles pouvaient bien servir.

Elle m’ordonna de me mettre les mains contre le mur, les jambes écartés, en cambrant les fesses le plus possible. Elle arriva derrière moi et m’enfonça quelque chose dans l’anus.

C’est un plug anal. Tu le porteras 24h/24. Si je vois ou j’apprend que tu ne le porte pas, je te punirais comme il se doit.

Bien madame.

Maintenant rhabille toi, et reviens me voir dans trois jours.

Je pris mes vêtements et rentrait chez moi l’esprit chargé d’émotion. Je revoyais cette femme magnifique, son visage d’ange, son corps de démon, ses seins rond et fermes, son beau petit cul. Je m’arrêtais sur la route et me masturbais dans un recoin tranquille.

Quelque minutes après j’était chez moi.

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