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SADO MASO SOFT – Chapitre 1

SADO MASO SOFT - Chapitre 1



PREAMBULE:

Cette histoire vraie est traitée sur un mode humoristique, car s’il est vrai que par moment cette relation était un peu hard , ça n’en demeurait pas moins un jeu sexuel librement consenti et apprécié , dont on rie après coup (si j’ose dire)

Viviane est une belle fille. Elle n’est pas jolie au sens restrictif du terme, mais elle a un charme fou. C’est dans un petit cercle d’amis que nous nous sommes connus. Dès les premières rencontres je sentis qu’il allait se passer quelque chose entre nous. C’ est donc tout naturellement , que sous un prétexte futile, elle me propose de venir chez elle, effectuer une petite réparation. J’arrive donc avec ma caisse à outil, car il s’agit de travaux électriques et réussit à effectuer la réparation sans m’électrocuter, malgré le trouble et l’excitation qui m’a vite gagné. Je n’imagine pas autre chose, après le café, qu’une fin d’après-midi sexuelle et c’est effectivement ce qui arrive.

Les "premières fois", laissent rarement (tout au moins en ce qui me concerne) de très bon souvenirs. La méconnaissance des corps, des goûts et des attentes de chacun sont des obstacles à un accouplement harmonieux et jouissif. Je ne fus donc pas étonné que, malgré de longs préliminaires, Viviane ne puissent arriver à l’orgasme, malgré des coups de boutoirs , que j’imaginais pourtant irrésistibles. Beau perdant, épuisé, je renonçai donc et retirais un piston for irrité mais d’une grande inefficacité. Elle me consola, m’expliquant qu’elle avait énormément de mal à jouir , tout en me terminant obligeamment à la main.

Les deux rencontres suivantes se passèrent de la même façon et je commençais a avoir de sérieux doutes sur mes compétences de maître queue!

En cette fin de troisième "séance", les abdominaux bloqués, le dos en feu, je m’ effondrai sur le côté , comptant reprendre mon souple pour repartir au combat . Elle m’expliqua alors qu’elle n’avais jamais eu d’orgasme grâce à un sexe masculin et que par contre , elle pouvait jouir si je sollicitais avec mon doigt un point bien précis de son anatomie interne, qu’elle même avait l’habitude de caresser avec son godemiché. Cette nouvelle me rassura et je m’empressai de partir en exploration à la recherche de ce point . On n’allait pas jouer "à la recherche du temps perdu" mais "à la recherche du point G".

Je partis donc quérir mon graal. Elle me guidait , sollicitant mes caresses!

– Plus haut, plus à gauche

– Oui là, appuie bien

– Non tu n’y es plus!!!!!!

– Remonte un tout petit peu et appuie bien

– Tu y es presque!!

Quelqu’un qui n’aurait pas vu la scène aurait pensé à n’importe quelle séquence de bricolage et non à une recherche d’orgasme.

L’inconvénient, c’est que le dit point était profond, ,m’obligeant à "étirer" mon doigt (parfois j’en mettez deux pour agrandir la surface d’exploration) .Si on rajoute à cela que c’était situé vers le haut, nécessitant un repli "en crochet" et que la surface était limitée , vous comprendrez l’ampleur de la tâche. Cette recherche quasi chirurgicale, demandait une telle concentration que ma libido en disparaissait. Quand j’avais trouvé le bon angle d’attaque et que la belle m’expliquait que "c’était bon" "que ça allait venir" , il ne fallait surtout pas se relâcher car tout dérapage aurait été fatal et demandé un nouveau départ . C’était épuisant car , en outre , on aurait pu classer Viviane dans la catégorie des "longues à démarrer" mais aussi des "longues à finir". On aurait dit ces gens sur la plage qui courent pour faire monter leur cerf volant: Ils courent, ils courent, le cerf volant décolle et brusquement il s’affaisse et il faut recommencer. C’était exactement pareil, je la sentais s’exciter, s’approcher de l’extase et puis patatras, une légère erreur de doigté et tout s’effondrait. Cela durait parfois une heure pour qu’enfin elle jouisse. Je sentais son ventre se crisper, sa voix devenait rauque et soudain c’était l’explosion ….vocale. Je n’ais jamais entendu quelqu’un jouir si bruyamment. c’était une sorte de grognement bestial, à mi chemin entre le brame du cerf et un meuglement taurin, d’une puissance incroyable, qui devait franchir toutes les cloisons de son appartement, mais aussi des appartements voisins. je lui disais : arrête, arrête, on va croire que je t’égorge, mais rien n’y faisait. Tout s’arrêtait d’un coup, trempée de sueur , elle s’effondrait à mes côtés pendant que je massais mon doigt tétanisé par les crampes.

Nos "accouplements" étaient donc très spéciaux . Quand je la quittais, je m’attendais chaque fois à être interpellé par des policiers, alertés par des voisins apeurés par ses cris.

Afin de faciliter mes digitales opérations, j’avais coutume de lui proposer des thérapies préparatoires en visionnant des films pornographiques .Cela n’avait pas grand effet, il faut bien le dire, mais un après midi j’eu la révélation!!

j’avais décidé, ce jour là, d’utiliser un godemiché (j’avais bien noté que c’était ainsi qu’elle se "travaillait"). j’y voyais un instrument pratique capable de soulager un mode opératoire manuel très complexe devenant rapidement terriblement épuisant.. Ce n’était pas l’invention de la roue , mais ce pouvait être source de progrès pour l’humanité. En outre le god , permet des jeux sexuels multiples et excitants aussi bien pour la femelle que pour le mâle. Ne rechignant pas sur la dépense , j’avais profité d’un passage dans la capitale régionale, pour acquérir, dans un sex shop un instrument d’un tout autre calibre que la jolie petite chose dorée qu’elle utilisait.. Il représentait un sexe masculin à la perfection , rien ne manquait: la couleur rouge foncé, la consistance: souple mais raide sur la longueur, les veines en surépaisseur……..J’ avais choisi le modèle XL ( ça allait du S au XXXL). d’un diamètre de 4cm pour une longueur de 20. Il portait , en outre, à l’intérieur , deux piles qui animaient un petit moteur qui donnait au gland un mouvement à la fois rotatif et vibratoire. Une vraie bite à tête chercheuse, capable , telle une sonde lubrique, d’explorer toute la surface de son vagin.

Dés qu’elle fut à poil (nous ne nous embarrassions plus de préliminaires tant l’envie de baiser était forte) je lui "présentai" l’objet. Au moyen âge on "présentait" les instruments de torture au futur supplicié pour le faire parler instantanément,. là ce fut la même chose , elle parla pour dire:

-met le vite!!!

Et ouvrit instantanément les cuisses.

Le sexe animé fit rapidement son effet . D’après ses commentaires , je compris que dans sa rotation , le gland effleurait , peu ou prou, le fameux point en question . il suffisait de l’orienter plus ou moins en fonction de l’effet désiré. et cela permettait selon son expression de "faire durer"!!!

La machine , en libérant l’homme est source d’épanouissement . Je mettais aussitôt cette maxime en pratique en lui rentrant ma bite dans la bouche

– Maintenant tu vas pouvoir me sucer en même temps

– Ne vas pas trop vite que tu puisse me pomper longtemps

– Elle "borborygmisa" ce que je déchiffrais en:

– Surtout pas!!!! c’est trop bon de sucer une bite!!!

j’étais terriblement excité , car je la sentais réagir aux "attouchements" du vibro. A chaque "passage", elle m’aspirait goulument, il suffisait de régler la vitesse du moteur pour avoir le même effet dans ses allers retours buccaux. En voulant plus , je me contorsionnai, faisant bien attention de ne pas déranger la bite chercheuse, je mouillai mon doigt, lui caressai la rondelle et essayai de lui enfoncer dans le cul. Je craignais un:

– Arrête ça fait mal!

mais à ma grande surprise se fut :

– Salaud!!!! tu veux m’enculer, met moi l’autre god!!!

Je ne niai pas l’évidence et , sortant difficilement ma queue de sa bouche , car elle aspirait comme une pompe à vide, j’ouvrai frénétiquement le tiroir de la table de nuit , en quête de l’objet espérant que mes mouvements n’interrompent pas l’exploration vaginale en cours. Je m’inquiétai pour rien car elle maitrisait parfaitement la technique du godage vibratoire . Elle avait même profité de cette interruption pour se mettre à genoux, m’offrant une vue splendide sur son cul et l’engin qui avait vite retrouvé sa niche. Alors que je me masturbais complaisamment devant ce spectacle elle me rappela à l’ordre:

– Qu’est ce que tu attends pour le mettre

– Je vais te doigter un peu avant

– Non met le direct

– Mais ça va te faire mal

– Non!!! direct!!! salaud enfonce moi le

je lui crachai malgré tout dans l’anus avant de m’exécuter. J’hésitai quand même, de peur de lui faire mal , mais elle insistait lourdement.

– Défonce moi!!!!! – fais moi mal!!!

Elle avait retiré l’autre engin et a genoux ,fesses en l’air, m’exhortait de sa voix, soudainement devenue rauque, Celle que je connaissais bien

– Je suis ta pute!!!claque moi les fesses !!!!

Alors que j’y allais avec modération , elle insistait

– Fait moi mal, claque fort!!!!

Et soudain , perdant toute conscience, je lui claquai durement le fessier et retirant le good, lui enfonçai ma queue au plus profond de son anus.

son orgasme fut encore plus violent que d’habitude . j’étais abasourdi en l’écoutant et en regardant mon sperme couler de son rectum.

Cette fois c’était sur , les flics allaient m’interpeller.

A suivre

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