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Salope de belle-fille – Chapitre 10

Salope de belle-fille - Chapitre 10



SALOPE DE BELLE-FILLE. Chapitre 10 : De pire en pire, la mère plus la fille enceinte.

Passage à la douche, je les quitte, les laissant ressasser seuls le « don de mon corps » en un partage familial ! Au bout du troisième mois, ils m’annoncent enfin (ou déjà) la bonne nouvelle, Jade est enceinte. Dire que je vais être papa une nouvelle fois !

Mais avec une telle famille entre la mère et la fille, l’histoire va-t-elle s’arrêter là ? Je ne sais pas…

Déjà le sixième mois de grossesse. Je leur rends visite de temps en temps, mais en évitant de me retrouver seule avec Jade, on ne sait jamais. Aujourd’hui, elle passe une visite prénatale et sa mère l’accompagne. Je les attends chez mon fils, mais sa mère Sylvie revient seule, Jade a décidé d’aller voir une copine avant de rentrer.

Je me retrouve donc seul avec sa mère et j’ai beau faire l’indifférent, comme sa fille, elle ne pense qu’au cul ! Elle vient me rejoindre sur le divan et pose sa main sur mon ventre, le caresse un instant, puis remonte plus haut, en direction de mon bras droit qu’elle prend pour le poser sur sa poitrine.

Elle respire plus vite, son cur s’emballe quand elle pose ma main que je referme sur son sein gauche, pelotant la chair à travers ses habits. Presque instantanément, j’en sens le bout durcir sous mes doigts. Elle reste passive, me laissant disposer d’elle, de ses seins. Elle ne peut détourner son regard de ce que je suis en train de lui faire, restant lascive. Je presse fermement son sein, comme pour juger de sa fermeté,

Sylvie a un spasme, ses paupières se ferment à nouveau une fraction de seconde. Ma main abandonne son sein, descend sur son ventre, le caresse puis lentement descend vers son pubis sans rencontrer la moindre résistance.

Mes doigts la touchent, s’incrustent sous sa culotte, palpent sa peau. Elle gémit à nouveau, mais se laisse faire. Son corps frémit, ses lèvres s’ouvrent, elle souffle, le regard agrandi par la montée du plaisir, avant de me susurrer.

Tu en as envie, toi aussi, mon corps te réclame … Huummmpppffff !

Mes doigts s’enfoncent entre ses cuisses, les forçant à s’écarter et crochètent son sexe.

Je vois que tu aimes que je te touche là !

Sylvie se pâme sous l’émotion ressentie, ses cuisses se séparent, s’ouvrant aux caresses. Mes doigts jouent avec son sexe, je lui caresse la vulve à pleine main après avoir retroussé la robe. Ma main masse son pubis, glisse sur sa fente, mes doigts s’incrustent entre ses lèvres, déclenchant un spasme sous ma caresse. Elle plaque ses mains sur la mienne, s’abandonnant définitivement aux caresses, accompagnant la pression de mes doigts sur son sexe.

Oh ooouuuiii !

C’est bon, hein ? Tu as envie que je te l’enfile, tu as envie d’être caressée. Montre-moi tes seins, tes seins merveilleux, montre-les !

Oh ! Ooouuuiii !

Elle dodeline de la tête le regard trouble. Elle retire son haut, suivi de son soutien-gorge, se retrouvant seins à l’air. J’approche la main à nouveau de sa poitrine. Mes doigts prennent possession d’un bourgeon et le font rouler délicatement, déclenchant un spasme de Sylvie.

Ouuuaahhh ! C’est bon ! J’adore quand tu me prends les seins, goûte-les…

J’approche ma bouche du téton durci et le gobe. Sylvie se trémousse sous mon attaque buccale, mais ne se dérobe pas. Elle adore se faire sucer les seins et en gémit de plaisir. Je sens son ventre se nouer sous ma main, je glisse deux doigts entre ses cuisses ouvertes qui écartent ses lèvres humides et agacent son clitoris. Un nouveau spasme lui vrille le ventre, son bassin va au-devant de mes doigts qui l’explorent, au-devant de la pénétration qu’elle réclame maintenant avec impatience.

Son ventre se donne, elle me veut en elle. Et soudain, elle crie, un cri de plaisir. Un doigt s’enfonce dans son ventre, lui enfile la chatte:

Oôôôaaaahhhh ! Ooouuuiii !

Ta chatte me réclame tellement elle coule, elle a envie de ma pine, je vais te prendre, je vais prendre ta chatte !

Ohhh ! Ohh oui !

Toujours empalée sur mes doigts qui la forent en profondeur, elle s’active sur ma braguette pour en sortir ma verge.

Mais Patrick ! Tu ne bandes pas !

Non ! Il faut que tu me dises que tu veux me sentir en toi, que tu as besoin que je te prenne. Dis-le et mon outil se réveillera !

Oui ! Oui … Oh, prends-moi Patrick, fore-moi avec ta grosse forêt !

J’abandonne son vagin, je l’ai amenée à se donner elle-même, à m’offrir son corps. Je la prends dans mes bras, la force à se tourner et la penche en avant.

Sylvie pose ses bras sur l’accoudoir du divan, croupe offerte, écartant les cuisses sans même que je le lui demande. Je relève sa robe sur son dos et pose mes mains sur ses hanches. Sylvie ne s’attendait pas à ce que je sois si vite en érection et tressaille quand ma queue raide et chaude se frotte entre ses lèvres humides. Elle sent bien ma verge tout contre sa fente, impatiente d’être pénétrée, de me sentir m’enfoncer dans son ventre. Elle pose sa tête entre ses bras et ferme les yeux, goûtant l’instant merveilleux de la pénétration, se donnant sans réserve.

Tu es en moi ! Oooohhhh que c’est fort !

Je vais te la mettre bien au fond Sylvie !

Huuummmppfff !

Je pousse avec une infinie lenteur pour qu’elle sente pénétrer mon rostre dans son ventre. Sa chatte s’ouvre, s’étire sous la poussée de ma grosse queue qui se propulse en elle et la remplit totalement. C’est incroyablement bon et fort ! Elle tremble sur ses jambes, comme prise de vertige.

Je la lime en profondeur et immédiatement, elle se met à crier, laissant s’exprimer son plaisir !

Oh oui que c’est boon … Encore, encore … Baise-moi, baise-moi fort !

Je m’active sans compter, la faisant plusieurs fois défaillir.

Je vais te remplir la moule Sylvie ! Je vais venir en toi …

Oh ! Oh oui … oui … c’est si bon !

Je viens Sylvie … je viens !!!

Ouuuuaaaahhhh ! Je le sens ! Que c’est fort ! Ooouuuiii, tu te vides en moi !

Elle sent ma queue gonfler au fond d’elle, se raidir encore et reçoit ma première obole au fond de son ventre, tout au fond, consciente que j’explose en elle, la remplissant de ma semence. Complètement submergée par le plaisir d’être prise, elle s’abandonne au plaisir de se laisser remplir la chatte. La jouissance la submerge elle aussi.

Mais que faites-vous ? Oh nooonnn ! Vous n’avez pas honte ? Maman, que penserait papa que tu te laisses culbuter par le père de ton gendre ? Et toi Patrick… Tu n’es vraiment qu’une bite sur patte ! Tu veux quoi ? Mettre aussi en cloque ma mère ?

Putain c’est pas vrai ! Tout à notre plaisir, nous n’avons pas entendu Jade rentrer. Pris en flagrant délit la queue en l’air ! Mais après un moment de flottement, Sylvie réalise ce que vient d’avouer sa fille.

Mais que veux-tu dire par là Jade ? Le père de ton enfant, c’est Patrick ?

Euuuhh, et bien… Oh et puis zut ! Oui… C’est Patrick le père, et c’est un sacré salaud de se taper aussi la grand-mère de son futur enfant !

Là, elle y va fort. Mais cette mytho cynique pousse encore plus loin :

Patrick, puisqu’il n’y a que ça qui t’intéresse, et bien maintenant, je veux que tu nous baises toutes les deux pour que je ne crie pas tout ça sur tous les toits.

Mais tu es enceinte Jade ?

Et alors ! Ce n’est pas une maladie. Et avec Damien qui n’ose plus me toucher…

Bon d’accord ! S’il n’y a que ça pour te faire plaisir… Et si ta mère est d’accord…

Sylvie est un peu interloquée par toutes ces révélations, mais après un temps de réflexion :

Je ne te croyais pas si dépravée, ma fille, mais comme toi, j’aime trop faire l’amour avec Patrick, c’est un merveilleux amant. Et je sais que pour lui, ce sera loin d’être la première fois qu’il se tape deux filles en même temps.

Si elles savaient comme elle a deviné juste… Ce ne sera pas la première fois que je me fais en même temps une mère et sa fille… Ni la deuxième, ni la troisième d’ailleurs. Il m’est même arrivé de tirer trois générations en même temps (le gite 15 et 16). Mais ce sera la première fois que je sauterai une fille enceinte jusqu’aux yeux avec l’assentiment de sa mère ! Jade est si assoiffée de sexe qu’il ne lui faut que quelques instants pour se dénuder.

A suivre…

(L’arbre généalogique de Patrick et de sa famille est prêt, il paraîtra à la fin de cette histoire. L’auteur.)

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