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Science-Fiction : FantasmEngine – Chapitre 2

Science-Fiction : FantasmEngine - Chapitre 2



Je laisse la porte de ma chambre claquer derrière moi, avant d’entendre le petit bruit de verrou électronique. Je finis d’ajuster ma combinaison et regarde si j’ai bien pris mon ordinateur personnel, fixé autour de mon poignet. Je m’engage dans les escaliers et quitte la réception dans une bruyante indifférence.

Il est déjà midi, j’ai décidément trop dormi cette nuit et me sens décalée avec la réalité. Mais quelle nuit… Aurai-je seulement cru en posant mon tas de ferraille dans cette station orbitale que je mettrai à jamais à mal ma vision de la sexualité et du plaisir ?

Je passe le repas, car je n’ai pas faim de nourriture, mais je suis affamé par la vérité. Mon enquête commence aujourd’hui. Qui est ce Zack qui m’a donné l’accès à la version "Reproductrice" de mon FantasmEngine ?

Je décide de me rendre aux archives de la station, afin d’y consulter les registres des résidents. Ce mystérieux inconnu est forcément ici. Et sur 2000 personnes environ, je pense avoir mes chances.

Les archives se trouvent dans un local du secteur 3, le quartier administratif de la station. C’est un bâtiment qui rouille à vue d’il, un délabrement qui se ressent à l’intérieur : ça sent la poussière et les vieux ordinateurs ! Je vais dans une salle des archives et vérifie qu’il n’y ait pas trop de gens attablés.

Je repère un terminal et approche mon ordinateur personnel de l’unité centrale, avant de retirer brusquement ma main. Si ce Zack contourne allègrement les lois en vigueur, il y a de fortes chances que faire des recherches sur lui éveille les soupçons sur moi.

Je réfléchis quelques instants et décide de rechercher dans mes dossiers personnels une vieille puce d’identité piratée. Je m’en suis servi il y a quelques années pour rechercher les fameux livres interdits parlant ouvertement de sexualité. Je branche la puce sur mon appareil et le redémarre.

J’approche de nouveau mon ordinateur personnel de la station du terminal des archives et l’écran s’éclaire.

— "Bienvenue Chloé Dithmarse"

Parfait ! À croire que ce vieux tromblon n’a pas accès aux fichiers d’identité centraux et n’a effectué aucune vérification.

Je commence à consulter les fichiers des personnes. Je trouve le moteur de recherche après quelques minutes et note un simple prénom : "Zack". L’ordinateur fait une recherche assez rapide… 30 photos s’affichent alors à l’écran. Eh bien, heureusement que je n’ai pas fait de pari !

Je fais défiler les photos, attentive à la moindre ressemblance avec l’homme croisé au bar la nuit dernière. Trop vieux… trop jeune… trop moche… Et bientôt : l’éclair de la vérité.

Putain, c’est lui ! Avec son regard, très mémorable. Je clique.

— "Salut, Zack Herzel", dis-je en chuchotant, sans doute un large sourire aux lèvres.

35 ans, habitant sur une station orbitale pas très loin d’ici : Bêta, à environ 1 semaine de voyage d’ici. Métier : trader. Tiens tiens… Là encore, les apparences sont trompeuses. Il n’avait pas l’air d’être l’un de ces millionnaires en costume élégant. Plutôt un homme du peuple, j’aurai dit un transporteur ou un pilote, comme moi. D’autres informations semblent grisées, mais cela ne m’étonne guère : je ne fais pas partie des forces de sécurité.

Je recherche par hasard si la localisation de ce bel individu ne serait pas indiquée… Je parcours les informations inutiles de son profil qui ne m’apprennent pas grand-chose sur lui. De toute manière, son visage est ancré dans ma mémoire.

Ah : "Localisation"… bon… voyons voir…

Le bruit que produit l’ordinateur me fait sursauter. Celui-ci éteint bruyamment son écran. Mon cur se met à battre. Quelques (longues) secondes passent. Il finit par redémarrer et afficher un simple message d’erreur : "Registre en cours de maintenance".

Une goutte de sueur perle de mon front et vient goûter sur l’écran de mon ordinateur personnel. Je baisse mes yeux vers lui, l’air un peu perdu, inquiète de cette étrange interruption de service. Je vois alors le symbole de localisation de mon ordinateur s’allumer à mon poignet. Je le laisse toujours éteint d’habitude…

Je déglutis et frénétiquement j’éteins mon ordinateur sans réfléchir. Merde… Je crois qu’on essaie de me localiser… Putain… Je me suis mis dans un gros merdier…

Je quitte la salle le plus discrètement possible, mais j’imagine que ma tête de fille effrayée qui a vu un fantôme me fait remarquer comme le nez en plein milieu d’une figure. Je quitte promptement le bâtiment pour me diriger un peu au hasard dans les rues de la station.

Je marche frénétiquement, sans but ni cohérence. Mon esprit s’affolle de pensées contradictoires. C’est peut être un bug de mon ordinateur, une simple maintenance de routine… mais en pleine journée, comme ça ? Non…ça cache quelque chose. Je masse nerveusement ma nuque comme si cela pouvait m’aider à y voir plus clair.

Chaque regard que je croise me fait douter et me rend méfiante. Que dois-je faire maintenant ?

Je prends le temps de souffler à l’angle d’une rue peu fréquentée. Il faut que je change mon ordinateur personnel. J’éviterai peut-être qu’on remonte jusqu’à moi. Je me mets en route pour le quartier marchand et cherche un magasin qui vend ce genre de périphériques.

Comme une criminelle je me surprends à tenter de trouver le magasin le moins reluisant de la zone. Je rentre dans cette petite boutique au fond d’une ruelle. Une jeune femme m’accueille d’un air aussi froid que ne l’est son gourbi, me toisant un peu. J’achète l’ordinateur personnel le plus vieux possible, en essayant d’éviter les nouvelles technologies pouvant me localiser trop facilement. Chance pour moi, elle se passe bien de me demander mon identité.

Je me permets de relâcher la pression. En rentrant, je me fais une dernière frayeur en croisant une patrouille de sécurité. Celle-ci passe à côté de moi sans réagir. Me suis-je fait peur pour rien ?

Je décide finalement de rentrer à l’hôtel. J’ai pris pour habitude de ne pas donner mon vrai nom, normalement je vais être tranquille un moment. Et avec ce nouvel ordinateur, pas encore connecté au réseau global, je ne peux pas être localisée aussi aisément. Je me sens un instant comme une espionne, ou une dissidente. Alors que je n’en ai ni la carrure ni l’envie.

Le lit grince quand je me laisse tomber dessus, écartant les bras comme une enfant. Je prends une grosse bouffée d’air que j’expire lentement. Je n’ai rien mangé de la journée, mais l’idée de quitter ces quatre murs m’angoisse. J’avale une barre énergétique restée dans mon sac de voyage, avant de me glisser sous les draps. 19h34. Dans 26 minutes, je devrai normalement ouvrir mon FantasmEngine pour une nouvelle claque dans ma vision du monde. Un nouveau scénario érotique qui me tarde de découvrir.

J’en ai le bas ventre qui s’électrise.

Je commence par me déshabiller et me glisser sous les draps. Presque comme si j’attendais ce bel homme avec lequel j’ai eu ce rapport sexuel dans cette chambre d’hôtel imaginaire, j’ai choisi les sous-vêtements que je préfère. Rien de très en accord avec le sujet, forcément ! Il faut dire que nous, qui ne sommes pas des reproductrices, n’avons dans nos habits rien qui pourrait venir semer la zizanie dans les hormones masculines. Mais ne dit-on pas que c’est l’intention qui compte ?

Je ne peux m’empêcher de me caresser nerveusement, entre mes cuisses, alors que quelques minutes seulement me séparent de mon nouveau plaisir interdit.

20 heures. J’allume le FantasmEngine. Et je relis non sans délice la version "Reproductrice" en bas à droite de mon écran. Comme promis, à côté du scénario de la veille dans cette belle chambre d’hôtel, un nouveau est apparu. Je gémis presque d’impatience.

— "Appareil, démarre le second scénario"

Je suis de nouveau mis dans l’ambiance. Mais une ambiance très différente de la première. La lumière chaude d’une chambre d’hôtel luxueuse laisse cette fois-ci place à une lumière plus tamisée d’une lampe de chevet. Dehors, par les grandes fenêtres, je vois la nuit qui tombe sur une grande métropole terrienne. C’est un appartement qui ressemble à un loft, la chambre est immense, décidément ils aiment beaucoup l’argent dans ces scénarios.

— "Salut. Tu as passé une bonne soirée ?"

Cette voix chaude et suave me surprend et je me retourne pour apercevoir un bel homme brun à côté de moi, dans mon lit. Celui-ci est encore habillé dans un costume. Il a un visage plus masculin que mon amoureux virtuel d’hier soir. Une petite barbe, des yeux bleu gris, un regard sombre et profond, il a de quoi troubler mon rythme cardiaque. Alors que je suis déjà en train de le dévorer du regard, l’interface me propose deux réponses : "Très bien, parce que tu étais là." ou "Ah, parce qu’elle est déjà finie ?". Je sélectionne sans hésiter cette seconde option, qui me fait sourire, tant j’aurai été capable de la dire moi-même.

L’homme sourit à cette question. Il s’approche de moi et je vois son visage se coller au mien. Je commence déjà à bouillonner de l’autre côté derrière mon écran. J’ai tellement envie de goûter ces lèvres qui ont l’air si délicieuses. La personnage qui m’incarne semble particulièrement gourmande en la matière. Je sens sa langue qui vient taquiner celle de notre amant, nos deux regards s’embrasent. Le réalisme ne manque pas…

Je bascule sur l’homme, à cheval sur sa poitrine. Et je le fixe d’un regard plein d’envie. Cette initiative semble beaucoup lui plaire. Le FantasmEngine commence déjà à frotter mon entrejambe comme si je me frottais réellement sur celle de ce bel homme.

— "J’ai une surprise pour toi." dit ma personnage à l’homme sous le charme.

Et je vois les consignes de l’appareil s’éclairer pour retirer méthodiquement chaque vêtement que ma personnage porte. Je commence par un joli top noir très moulant. Alors qu’il chute au loin du lit, je découvre avec l’homme probablement le soutien-gorge le plus troublant que je n’ai jamais vu. Adieu brassières blanches et sans vie que je porte tous les jours, bonjour soutien-gorge noir à dentelle parfaitement ajusté qui me donne des airs de déesse. Ma poitrine, même virtuelle, gonfle de fierté.

Si l’homme pouvait baver devant moi, il le ferait sûrement vu le regard qu’il me lance.

Je décide de continuer mon petit jeu de charme en retirant mon bas, sorte de legging très moulant lui aussi. Je découvre une petite culotte en dentelle noire assortie à mon haut. Je suis immédiatement caressée par le regard de ce mâle en chaleur qui me fait me sentir terriblement belle et désirable. C’est la première fois que je découvre ce sentiment complètement grisant…

De l’autre côté du casque de réalité virtuelle, je tremble sous mes draps. Frénétiquement, je me caresse d’envie, autant enthousiasmée par mon plaisir que par cette sensation vaniteuse d’être un objet de désir intense.

Comme enivrée par cette sensation, je commence à me déhancher sur le bienheureux, frottant mon sexe contre son torse encore habillé, contre la bosse de son pantalon, approchant mes lèvres des siennes sans me laisser attraper. J’adore jouer avec lui. Le torturer de mon regard. Comme une araignée avec sa proie.

Je commence à défaire chaque bouton de sa chemise lentement, comme si j’ouvrais un papier cadeau. Et j’ai terriblement envie du cadeau… Je dévoile son torse parfaitement dessiné, livré à mes baisers. Je caresse ses clavicules, ses épaules contre lesquelles j’ai envie de m’appuyer. Je déguste son cou comme mon dîner. Je déboutonne son pantalon pour le baisser en espérant découvrir mon dessert. Un dessert bien fourni dirait-on, dissimulé derrière un boxer bien trop moulant pour être conservé.

Voilà son sexe offert à moi. Déjà tout excité par ma danse charnelle et mon regard de braise. Je le veux. Je retire doucement ma petite culotte non sans faire lambiner cet homme qui pour l’instant n’ose en rien contester mon petit jeu.

Je commence à caresser mon sexe humide à souhait sur mon vigoureux jouet du soir. Je sens qu’il apprécie. Et mes doigts dans ma petite culotte semblent bien fade comparé à ce que doit être cette belle verge se frottant frénétiquement sur mon intimité. Mon bas-ventre a des papillons qui voudraient bien s’envoler. A défaut je serre un peu plus le FantasmEngine contre moi pour qu’il me donne encore plus de plaisir.

Le scénario semble me proposer de jouer encore plus avec cet élégant personnage. Je décide de mettre en application ce que j’ai appris hier soir et baisse ma poitrine au niveau de son sexe pour le caresser entre. Puis mes lèvres descendent au contact de son gland, entrant doucement entre mes lèvres. Pourquoi le FantasmEngine n’a t-il rien pour m’occuper la bouche ?

Je commence à faire de lents et longs vas et viens dans ma bouche virtuelle. Et je vois cet homme prendre beaucoup de plaisir. Ce qui m’excite encore plus. Ce qui me fait encore plus le désirer. Je ne sais pas jusqu’à quand le scénario me permettra d’aller, mais j’ai envie de jouer avec ses limites. Je continue ma petite gâterie de très longues minutes. Plus mes mouvements de main et de bouche s’accélèrent, plus il semble perdre le contrôle. Que va-t-il se passer si je le pousse à bout ?

Je vois sa main saisir les cheveux de ma personnage, l’empêchant de retirer sa tête de sa verge profondément enfoncée dans ma bouche. Le jeu semble encore plus se pimenter. Je vois son sexe qui s’agite dans ma bouche comme s’il voulait prendre le contrôle de son extase. Je le laisse faire, accompagnant parfois son gland qui rentre et qui sort d’un coup de langue qui semble le faire défaillir un peu plus.

Instinctivement je viens rapprocher le bras mécanique du FantasmEngine près de ma bouche, pour pouvoir sucer quelque chose, faute de mieux. Mon entrejambe délaissé se console avec ma main tandis que le scénario continue de plus belle.

— "Oh, ma chérie, que c’est bon, tu vas me faire jouir…"

Si je trouve au premier abord l’idée excitante, je me demande si le scénario était conçu pour laisser permettre ça. Après tout… un homme peut-il éprouver du plaisir à "finir" autre part qu’en moi ? Le doute me prend, mais je décide de laisser les choses suivre leur cours. L’idée de découvrir quelque chose d’encore plus hors norme et original m’excite encore plus.

Les mouvements de bassin dans ma bouche s’accélèrent. Mes lèvres physiques enrobent le bout de l’appareil comme si c’était cette verge que j’ai tellement envie de sentir prendre ma bouche. Ce doit être tellement chaud et doux. Est-ce que cela a un goût particulier ou une senteur ? Je ne peux que l’imaginer. Non sans commencer à rentrer un premier doigt entre mes cuisses.

Alors qu’il accélère encore le rythme, je l’entends gémir de plaisir, son corps se contracter. Un puissant jet d’eau chaude me surprend totalement, arrosant à moitié le casque électronique. L’homme arrose l’intérieur de ma bouche qui se ferme vite de surprise avant que le reste de sa jouissance se perde sur mon menton et dans mon cou.

A vrai dire je ne sais pas si cela est bien réglementaire. Mais paradoxalement, malgré la surprise, je me surprends à adorer l’idée que rien était prévu ni attendu… les hommes peuvent-ils ainsi jouir partout sur mon corps ? Cela me laisse réfléchir l’instant d’une seconde à de nombreux endroits où j’aimerai être ainsi arrosée…

Un petit son me fait sursauter dans le scénario, avec la voix du contrôleur du scénario.

"Débloqué : éjaculation buccale et faciale"

Le FantasmEngine affiche une notification alors que le scénario se met en pause.

— "Voulez-vous charger le scénario alternatif ?"

Un scénario alternatif ? Suis-je allée au-delà du scénario initial ? Encore bouillante d’envie et d’excitation, peinant à calmer mes doigts et mon plaisir qui monte petit à petit, je réponds à la machine dans un petit gémissement.

— "Ouiii."

La scène se coupe et retourne, comme lors de la sauvegarde, à cet instant où je chevauche ce beau mâle en rut. Je porte encore ma petite culotte et mon soutien-gorge. Je sens toutefois encore la chaleur et la dureté de son membre moulé dans son sous-vêtement.

Je décide de retirer nos deux bouts de tissus et de ne garder que mon soutien-gorge, ne pouvant m’empêcher, un peu narcissique, de mater mes seins qui ne seront jamais aussi parfaits.

Dégoulinante d’envie, je commence à me doigter sans me ménager. J’aimerai tellement que cet homme soit réel pour le sentir en moi. Je saisis son sexe virtuel et rapproche le bras du FantasmEngine pour le coller plus à moi que de raison, tandis qu’il vibre à l’entrée de mon vagin.

Je me vois me baisser doucement sur cette verge tendue, se glisser en moi, le dominant de tout mon corps que je sens désirable et désiré si durement. L’appareil vibre encore plus, comme pour me consoler de ne pas sentir son membre me remplir.

Je bouge mon bassin contre lui. Je mime ce mouvement dans la réalité pour sentir l’appareil encore plus profondément qu’il ne le peut normalement déjà. Imaginer cet homme entre mes reins s’enfoncer en moi au rythme de mes ondulations me fait gémir de plaisir.

Je me sens… confiante… forte. Cet homme est à moi. Rien qu’à moi. A ce moment précis, je sens que je contrôle tout. Une sensation rare et grisante qui m’est offerte. Sentir son désir dégouliner de ses yeux partout sur mon corps me fait me sentir belle. Je semble rayonner, tant de plaisir que de charme. Ma respiration s’accélère alors que je savoure ce même contrôle que j’avais sur lui alors qu’il était dans ma bouche.

Je joue avec son envie d’abandonner la partie en me retirant au moment opportun pour, semble-t-il, le laisser reprendre ses esprits, avant de reprendre de plus belle. Finalement, il ne peut bientôt plus se contenir sous mes assauts. Je vois un homme jouir en moi pour la première fois, yeux dans les yeux. Le FantasmEngine fait gicler l’eau bouillante entre mes cuisses et le réalisme est tel que je me surprends à jouir en même temps. Une longue jouissance dont je peine à étouffer le bruit.

Je vois mon personnage s’approcher de ce merveilleux amant afin de sentir ses bras autour d’elle. La chaleur de ses baisers. De son regard, satisfait et heureux. Je suis presque les larmes aux yeux en ne pouvant sentir cet homme rester en moi autant de temps qu’il le pourrait…

Drôle de sensation que de sentir tant de plaisir, de joie et de frustration. De tristesse aussi. Pourrai-je un jour vivre cela avec un homme ? Tous sont si peureux ne serait-ce que d’y penser… Devrais-je les pousser au vice ? Prendre le risque de devenir un paria à cause de mes moeurs ?

Les questions s’enchaînent dans ma tête, mais l’orgasme atteint finit par me détendre à tel point que mes yeux se ferment d’eux-mêmes… le casque encore sur ma tête. Je cède dans un sommeil sans songe, accompagné par la voix de l’appareil :

— "Mise en veille prolongée… activée. Bonne nuit, utilisateur."

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