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Seconde année d'IUT – Chapitre 1

Seconde année d'IUT - Chapitre 1



Je m’appelle Saya, j’ai eu 20 ans le mois passé. Comme mon nom l’indique, je suis d’origine asiatique, cependant, j’ai été adoptée très jeune par une famille Française, et j’ai passé toute ma vie en France.

Physiquement, je mesure 1m72, je pèse 47kg, j’ai les cheveux noirs, longs, les yeux marrons, je porte des lunettes, ma poitrine est assez petite, c’est du 80B

Je suis de nature très froide, je m’habille principalement en noir, je ne souris que très rarement, je n’aime pas m’attacher aux gens, du au fait que ma scolarité s’est assez mal passée, mes camarades se moquaient de moi et de mon origine jusqu’à la fin du collège

Je n’ai jamais eu de petit ami, et je n’ai aucun ami dans la vraie vie à proprement parler.

Très tôt, je me suis tournée vers internet qui me permettait d’être moi même sans que les autres me jugent sur ma nationalité. Ma vie sur internet est tout le contraire de ce qu’elle est en dehors. J’y suis chaleureuse, accueillante et j’y ai beaucoup d’amis c’est pour ça que je fais des études dans l’informatique. Je suis actuellement en seconde année de DUT informatique.

Je considérais ma vie en dehors d’internet morne et sans intérêt jusqu’à il y a quelque temps …

C’est arrivé en début d’année scolaire, je me souviens encore de ce jour comme si c’était hier, c’était un dimanche matin.

Alors que je viens de me réveiller, je remarque qu’une lettre a été glissée sous la porte de ma petite chambre universitaire. Sur le moment, je me dis que c’est sûrement une lettre de la concierge sans grande importance, mais ce n’était pas le cas, la lettre était assez courte, voici ce qu’elle contient :

"Bonjour Saya

Tu es une vraie fille modèle IRL, mais sur internet, tu es une petite chienne lubrique.

Ne t’inquiètes pas, je vais t’aider à t’assumer IRL."

Il n’y a aucune signature, mais avec la lettre se trouve des photos de moi entièrement nue en train de me caresser.

Après la lecture de la lettre et avoir vu les photos mon cur s’est arrêté

C’est pas moi sur les photos ! Elles sont truquées !

J’ai passé le reste du dimanche apeurée dans ma chambre, à réfléchir à qui pouvait bien être l’expéditeur de la lettre …

Mais je n’ai pas ressenti que de la peur, j’étais aussi un peu excitée … Et que quelque chose comme ça m’excite, ça me fait vraiment honte …

Le lendemain, en rentrant des cours, j’ai reçu une nouvelle lettre :

"Ma chienne,

Demain, à midi tu enlèveras ta petite culotte puis tu iras la laisser dans les toilettes des hommes du bâtiment B, celles au 2nd étage. Tu passeras la fin de la journée sans sous-vêtements."

Cette lettre ne comportait rien d’autre, mais la personne qui m’envoyait ces lettres savait que mon derniers cours de la matinée du mardi se déroulait dans le bâtiment B, au second étage, peut être quelqu’un de ma classe …

Comme a la réception de la première, j’ai ressenti beaucoup de peur, de stress, mêlé à de l’excitation.

Le lendemain, plus midi approchait, plus cette sensation s’accentuait. Ce n’était pas désagréable, au contraire même, ça me faisait beaucoup d’effet

Puis midi finit par sonner, et le stress monta en flèche.

Je me suis arrangée pour être la dernière à sortir de la classe, puis je me suis dirigée vers les toilettes, lentement.

Mes jambes tremblaient, mon cur battait fort, mais j’étais vraiment excitée, j’avais envie de me toucher.

Mais un éclair de lucidité me traversa, et j’ai décidé de passer mon chemin, ça aurait été une vraie folie de faire ça.

Une partie de moi fut très déçue.

Mais la journée s’est passée sans aucun incident, ainsi que les jours suivants, jusqu’au vendredi soir …

Alors que je sortais de la douche publique de la cité U, en maillot de bain, avec une serviette autour de la taille, quelqu’un m’agrippa par la taille, il marracha violemment la serviette bloqua mes bras dans mon dos et me fit tomber, je me suis retrouvée, face contre terre, immobilisée en moins de quelques secondes.

Malgré mes cris et mes efforts pour me libérer, personne ne vint me sauver …

Il posa son genou sur ma tête, et il dit :

— La prochaine fois t’obéiras petite pute !

— Lais … Laisses moi partir …

Il ne me ménageait pas, sa poigne me faisait vraiment mal aux poignets, si bien que j’allais commencer à pleurer, mes cris se transformaient petit à petit en sanglots.

Il resta une éternité comme ça, puis il glissa sa main dans le bas de mon maillot, il caressa mes fesses, et alors qu’il s’approchait de mon sexe :

— A … Arrêtes … J’o…J’obéirais …

Dis-je avec une voix défaillante. Sa main s’arrêta

— Alors arrête de chouiner salope

Pendant que j’essayais de me calmer, et il dégrafa et enleva le haut de mon maillot de bain puis baissa le bas :

— Putain quel cul !

— Arrêtes !!! J’ai dit que j’obéirais !

Voyant que je me débattais de plus en plus :

— Ta gueule salope !

Il martela mes fesses d’une violente claque après chaque voyelle de sa dernière phrase, ce qui finit par me faire pleurer et qui le fit rire.

Il prit un feutre et il se mit à écrire quelque chose sur mes fesses. Il attendit ensuite quelques minutes, puis il enleva complètement le bas de mon maillot et il m’attrapa par mes cheveux, les tira pour me faire me lever.

J’étais nue, en pleurs, totalement à sa merci.

Il s’approcha d’une toilette, ouvrit la porte et m’y poussa à l’intérieur, puis il referma la porte derrière moi, et d’un ton sec :

— Tu restes là jusqu’à ce quelqu’un se pointe

Il m’a fallu plusieurs minutes pour reprendre mes esprits. Je ne pouvais pas masseoir, mes fesses me faisaient trop mal, j’attendais que quelqu’un vienne utiliser d’autres toilettes, en repensant à ce qui venait de se passer.

Il aurait pu me violer … Il aurait pu me tuer … Il aurait pu faire tout ce qu’il voulait …

L’attente m’a paru durer des heures alors que je me repassais la scène dans la tête, lorsqu’une personne entra dans la pièce et s’enferma dans des toilettes.

J’attendis patiemment qu’il ressorte de la pièce pour ouvrir timidement la porte, et courir jusqu’à ma chambre, en cachant ma poitrine et mon sexe.

J’étais soulagée d’être rentrée dans ma chambre, et je pensais être en sécurité, jusqu’à ce que j’aperçoive sur mon lit le maillot de bain qu’il m’avait enlevé, avec une autre de ses lettres …

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