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Sept jours – Chapitre 1

Le comte Moch - Chapitre 3



Claire s’ennuyait. Elle était venue à ce mariage pour accompagner sa soeur, mais ne connaissait personne. Petite et menue, on lui aurait donné 17 ans plutôt que les 20 qu’elle venait d’avoir.

    Appuyée contre un mur près d’une porte-fenêtre, elle buvait lentement son verre de jus d’orange, quand elle eut soudain la sensation d’être observée. Elle leva les yeux et aperçut à l’autre bout de la pièce un homme qui la regardait. Grand, brun, environ 45 ans, il fixait sur elle un regard qui ne pouvait tromper sur l’intérêt qu’il lui portait. Elle se sentit subjuguée par ce regard et commença à paniquer quand il se dirigea vers elle. D’une voix ferme et grave, il se présenta:

    – Olivier

    – Claire

    – Vous semblez esseulée et ennuyée, je me trompe?

    La voix de l’homme lui donna des frissons et elle répondit

    – Vous avez raison:je suis seule et je m’ennuie.

    – Alors partons?

    Cela lui sembla fou, mais elle répondit par l’affirmative. Il la prit par le bras et ils quittèrent la réception pour se diriger vers un grosse voiture noire.

    Pendant qu’ils roulaient, Claire se posait des questions : que faisait-elle là dans cette voiture, avec un inconnu ? D’autre part, elle ne pouvait nier qu’il l’intriguait, lui plaisait beaucoup, même, et qu’il ne lui déplairait pas qu’il se passe quelque chose entre eux.

    – Où allons -nous, finit-elle par demander d’une petite voix?

    – Chez moi, à Neuilly.

    Une demi-heure plus tard, la voiture s’arrêta dans un parking d’un immeuble cossu. Il la guida vers un ascenseur, puis lui ouvrit la port d’un vaste appartement qu’elle découvrit meublé avec beaucoup de goût.

    – Un verre?

    – De l’eau, s’il vous plait.

    – Vous avez raison, l’alcool ne vaut rien pour l’amour…

    – Pourquoi dites-vous cela ?

    – Parce que vous êtes belle, faite pour l’amour, et que vous m’avez suivie jusqu’ici… n’est-ce pas une raison suffisante ?

    Claire ne sut que répondre : elle était irrémédiablement attirée par cet homme et commençait à fantasmer sur ce qui allait lui arriver.

    – Faites-moi plaisir : retirez votre robe…..

    Cela ressemblait plus à un ordre qu’à une simple demande, et elle s’exécuta : lentement, elle fit glisser les fines bretelles de sa petite robe noire et dévoila ses petits seins menus dont les bouts se dressèrent aussitôt ; puis la robe continua sa descente et elle resta debout devant l’homme, vêtue simplement de sa petite culotte noire.

    – Vous êtes belle.. quel âge avez-vous?

    – 20 ans

    – Beaucoup d’amants?

    – Non, deux ou trois

    – Ils vous ont donné du plaisir?

    – Pas toujours.

    Olivier la prit dans ses bras et la porta dans une chambre où se trouvait un grand lit sur lequel il la déposa avec délicatesse. Elle ne pensait plus qu’à ce corps d’homme qui allait la prendre et son corps se crispait déjà.

    Il fit glisser sa culotte sur ses jambes fines et caressa doucement ses cuisses nues. Puis elle sentit son souffle sur son ventre et soudain une langue se posa sur ses lèvres intimes et elle faillit crier lorsque il la caressa profondément en lui écartant les cuisses. Sa langue la fit gémir de bonheur et elle connut une première jouissance.

    Pendant qu’elle reprenait doucement ses esprits, elle vit Olivier quitter ses vêtements et aperçut pour la première fois son sexe:tendu et dressé, gros sans être énorme, il lui parut quand même impressionnant. Sans lui laisser le temps de se remettre, il s’allongea délicatement sur elle et de son genou, lui écarta les cuisses. Elle se laissait faire, et sentit bientôt l’homme se presser contre ses lèvres et son gland qui s’appuyait sur son ventre. Elle se cambra pour l’accueillir et le sentit glisser en elle sans effort. Elle cria : c’était une sensation qu’elle n’avait jamais connue. Cette chair en elle, qui la comblait toute, la faisait défaillir de joie. Elle se prêta aux mouvements de l’homme qui glissait dans son vagin et s’écrasait sur elle, la fouillait, la prenait toute. Elle sentit aussi le sexe de l’homme grossir en elle et hurla sa jouissance quand elle le sentit se déverser au fond de son ventre. Elle était prête à tout pour cet homme qui venait de la combler de cette façon et le lui dit.

    Il ne l’avait pas quittée et son sexe était toujours aussi gros en elle. Avec stupéfaction, elle le sentit reprendre ses mouvements de va et vient dans son vagin et elle jouit une nouvelle fois en même temps que lui…..

    Quelques minutes plus tard, il essuya délicatement la sueur qui perlait sur son corps et lui dit :

    – Reposez-vous, petite fille.. nous avons de grandes choses à faire ensemble.

    Sur ces paroles elle s’endormit.

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