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Service clients – Chapitre 13

Service clients - Chapitre 13



Jour 24 (3ème partie)

« Je suis fier de toi. » jai prononcé ces mots avec de la chaleur dans la voix et les yeux dans les yeux. Chaleur dont jenlève toute trace pour mon ordre suivant : « Maintenant, à poil ! Tends les bras devant toi et écarte les jambes ! »

Elle est un peu surprise par le changement de ton radical mais se remet vite et laisse glisser le peignoir sur sa peau encore un peu rougie. Je prends dans larmoire des bracelets en cuir doublés de tissu, et équipés danneaux métalliques, et lui enfile en les sanglant fermement. Puis je ramène une barre métallique dont les extrémités portent le même type de bracelet, mais cette fois pour ses chevilles, ce qui loblige à bien les écarter. En tirant sur une corde qui pend au plafond, je fais venir une chaîne accrochée à une poulie, et jy lie ses poignets. Puis je tire sur la chaîne, ce qui lève ses bras, puis la force à se mettre sur la pointe des pieds, ce qui est dautant plus difficile quils sont éloignés de plus dun mètre à cause de la barre. Je la laisse dans cette position inconfortable le temps daller chercher un baîllon-boule dans un des tiroirs de la table et de revenir avec.

« Allez, ouvre la bouche bien grand, tu connais maintenant lusage de cette chose. Tu sais donc que je vais te faire crier dans quelques instants et que je ne veux pas être incommodé ! »

« Ququallez vous me faire, Maître ? »

« Tss tss petite curieuse : tu le sauras bien assez tôt. Disons que tout plaisir se mérite, et tu comprendras vite la signification de ces paroles. Allez, ouvre maintenant ! » je lui aboie dessus pour quelle ait le réflexe de mobéir en écartant ses mâchoires. Immédiatement, je place la boule dans sa bouche et jattache les sangles derrière son crâne. Je passe un doigt sur ses lèvres pour les caresser et insiste en lhumectant à lintérieur de sa lèvre du bas. Puis je le descend jusquà son sexe forcément accessible, bien que fermé. Jécarte ses petites lèvres pour chercher son clitoris, que je titille et jagace avec mon ongle, puis que je fais rouler entre mon pouce et mon index, avant de le travailler dun mouvement circulaire. Pendant ce temps, je suis passé derrière elle et je mordille la base de son cou puis en remontant, jusquà ses lobes doreille. Je dépose de petits coups de langue sur la peau sensible, et je lâche de temps en temps le clitoris pour caresser sa poitrine.

Je continue ainsi durant quelques minutes, et je commence à mapercevoir que je ne la laisse pas indifférente. Sa respiration commence à saccélérer, elle ne peut sempêcher de laisser échapper un gémissement de temps en temps, et surtout mon doigt peut aisément chercher une lubrification qui accélère son excitation au sein même de son vagin, dont lentrée est aisément accessible. Lorsque jestime quelle est suffisamment excitée, jarrête mes caresses et lui donne une petite claque sur les fesses pour lui indiquer quelle restera à cet état de son désir. Elle ne peut sempêcher de pousser un long gémissement de frustration. Je sors un morceau de tissu noir de ma poche et lui bande les yeux avec. Puis je me baisse pour délivrer ses chevilles de la barre décartement, ce qui lui permet de reposer facilement sur sa plante de pied pour soulager ses bras toujours suspendus. Elle mentend mécarter, ouvrir la porte de larmoire et revenir, puis un bruit qui lui est familier mais quelle narrive pas à identifier dans ce contexte se fait entendre. Elle commence à comprendre lorsque je commence à enrouler ses chevilles, puis ses mollets et ses jambes avec du film plastique. Je lui passe plusieurs couches serrées de film demballage et immobilise ainsi ses jambes, mais pas sur leur totalité. En effet, je passe entre ses jambes un vibrateur électrique dont la tête ronde est mise en contact direct avec son clitoris, après avoir écarté les chairs intimes qui le protègent. Je maintiens le vibrateur en place grâce à une nouvelle couche de film plastique en laissant ses parties intimes non recouvertes. Je recommence lopération dès son bassin en remontant le long de ses hanches, puis de son buste, où sa poitrine connaît un écrasement dans sa gangue de plastique. Je marrête denrouler seulement arrivé sous les bras. Je me recule pour admirer mon uvre : une momie plastifiée, mais dont les bras sont suspendus au-dessus de sa tête. Et si les momies égyptiennes avaient eu un tel vibrateur entre les cuisses, elles auraient sans doute arboré un sourire pour léternité ! En attendant, Gaëlle, elle, ne peut vraiment sourire mais elle a les lèvres largement écartées par la boule de caoutchouc noir qui laisse apparaître ses dents, et la fait baver un peu.

« Voilà, maintenant tu es prête pour la partie finale : ça fait longtemps que je souhaitait tinfliger une bonne fouettée, tu las mérité avec toutes les épreuves que tu nas pas réussies ce matin. Mais comme il nétait pas question de marquer ta jolie peau au-delà de ce week-end, je lai protégée par ce film demballage. Oh, ne tinquiètes pas : tu ressentiras bien la douleur, mais elle sera plus diffuse et surtout elle ne te laissera pas de traces ! Mais comme je ne suis pas un monstre, jai pensé que je pouvais te procurer un peu de plaisir pendant ce temps, enfin, si tu arrives à te concentrer dessus. Car cest bien là le but de cette punition ou de cet exercice ?- : parvenir à oublier ta douleur pour ne te concentrer que sur le plaisir. Cerise sur le gâteau : comme tu ne vois rien, tu ne sauras pas quand et doù viendront les morsures du cuir. Profites-en bien ! ».

Ces paroles déclenchent chez elle une vague de panique, elle essaie de se décrocher de la chaîne, bien entendu sans succès, tout en tentant darticuler des paroles si déformées par le bâillon quelles en sont à peine compréhensibles. Tout juste si jentends (en traduisant) les mots « détachez-moi, pitié, pas mal ». Pendant quelle déblatère pour rien, je branche le vibrateur électrique à une rallonge et il se met immédiatement à vibrer comme un beau diable entre ses cuisses, ce qui lui arrache un cri étouffé. Je décide de commencer avec un petit martinet que jai déjà utilisé et qui nest pas vraiment douloureux. Jattaque ses cuisses, son ventre, son dos, ses seins, elle pousse des petits cris mais plus de peur que de mal, car le plastique protège sa peau. Puis je labandonne au bout de deux minutes pour un modèle aux lanières plus épaisses et plus longues. Cette fois, ses cris sont plus réels, elle commence à ressentir la morsure du cuir sur sa peau malgré sa carapace de protection, dautant que je mattaque davantage à ses parties sensibles comme le haut de ses cuisses, sous ses fesses, ses flancs ou sa poitrine. Je la travaille ainsi plusieurs minutes en laissant des fois une dizaine de secondes entre chaque mouvement du bras, afin que langoisse de lattente fasse partie du jeu. Je la laisse plus dune minute se reposer un peu et savourer le vibrateur qui continue son travail sur son clitoris et qui semble ne pas la laisser indifférente, car elle pousse parfois de longs gémissements qui sont dus sans conteste plus à la montée dun orgasme quà la souffrance. Bien entendu, à chaque fois que je la sens venir, je brise sa concentration par un coup plus vicieux pour la ramener sur terre. Je finis sa séance avec un fouet long et fin que je fais claquer dans lair plusieurs fois, pour la terroriser avant même quelle ne commence à sentir sa morsure. Je ne lutilise que 6 fois, dont deux fois sur sa poitrine, une fois sur ses fesses et une fois juste au-dessus de son pubis, mais chaque coup est suivi dune torsion de douleur de son corps, malgré limmobilité que lui oblige sa gangue de plastique. A un moment pourtant, un de ses mouvements suivi dun long gémissement nétait pas du à la souffrance mais bien au plaisir : je suis à peu près certain que Gaëlle a pu atteindre un orgasme clitoridien. Je débranche peu après le vibrateur et la laisse récupérer un peu, le temps de ranger le « matériel ». Puis je prends des ciseaux et commence à découper sur toute la hauteur les bandes de film pour la libérer. Elle est en nage, ce genre de saucissonnage faisant transpirer abondamment sans même bouger, alors en subissant une correction et un massage du clitoris en même temps ! Une fois totalement dégagée, jessuie son corps avec une serviette et jen profite pour vérifier que, même si sa peau est rougie par endroits sous les coups, les traces sont très peu profondes et disparaîtront rapidement. Je dégage le vibrateur qui tombe naturellement lorsque jenlève le film qui la maintient entre ses jambes, et passe une main sur son sexe : il est trempé. « Alors, petite salope, on dirait que tu as apprécié ? Est-ce que tu en as profité pour jouir ? Réponds en hochant la tête ! » Je la regarde tout en introduisant deux doigts dans son vagin et en imprimant à ma main un lent mouvement de va et vient. Elle obéit au bout de quelques secondes, de haut en bas. « Cest bien ce que je pensais ! Je savais que tu aimerais ça ! Et ça, tu aimes aussi ? Ecarte tes jambes si tu veux en profiter davantage ». Le problème en écartant plus ses jambes, cest quelle est obligée de se mettre sur la pointe des pieds pour rester en équilibre, et ses bras commencent à la faire souffrir à force de rester étirés au-dessus de sa tête. Encore une fois le choix entre la souffrance et le plaisir. Pourtant elle ne peut sempêcher de moffrir lintérieur de ses cuisses, et je ne me prive pas de la parcourir avec deux, puis trois doigts, jusquà ce que sa respiration saccélère suffisamment pour mindiquer la montée de son orgasme. Je marrête alors, provoquant un long gargouillis de frustration. Je regarde son visage, ses yeux sont toujours aveuglés, son menton est recouverte de bave qui sest échappée de sa bouche de manière incontrôlée, à tel point quelle a coulée le long de son buste et jusque sur sa poitrine. Je libère sa bouche en dégrafant le bâillon et lui fourre mes trois doigts emplis de ses sucs intimes en lui grondant « Suce ! Tu as déjà goûté ton excitation de chienne en chaleur ? Je veux que mes doigts soient bien propres avant de passer à autre chose. Allez : active ta langue, lèche bien ». Elle sactive autour de mes doigts comme sil sagissait dune sucette au goût addictif, elle est dans un état second et, privée de la vue, elle senivre de sa propre odeur. Elle pense peut-être quen mobéissant avec volontarisme, je reprendrai ma caresse là où je lai laissée.

Pourtant, après mêtre fait nettoyer consciencieusement, je mécarte delle pour détacher la corde qui maintient la chaîne de ses bras, lui permettant de les baisser enfin. Elle a toujours ses bracelets de cuir autour des poignets, jen profite pour y passer une corde et lentraîner vers une longue table située près du mur du fond et placée perpendiculairement à ce mur sans y être collée. Sa particularité est dêtre parcouru au milieu, dans le sens de la largeur, par un billot de bois coupé en deux dans le sens de la longueur, et lisse.

Je lui ordonne dune voix qui ne supporte pas la contestation « Couche-toi sur la table et tends tes bras en arrière ». Elle se rend vite compte que le demi-rondin se place à hauteur de ses lombaires, et la force à se cambrer exagérément, ce qui offre un accès à son sexe plus aisé. Jattache ses bras tendus en arrière grâce à la corde et je procède de même avec ses jambes, après avoir pris soin de lui enfiler les mêmes bracelets en cuir aux chevilles. Je tend bien la corde afin que son corps forme un arc-de-cercle autour du rondin central, et lui provoque un grognement de douleur. Elle sait pourtant que ce nest que le début et nose pas se manifester davantage.

« Tu sais que tu es très belle comme ça ! Savais-tu que ce type de table de torture était déjà utilisé au Moyen-Age, notamment par lInquisition ? En effet ça devient vite très douloureux pour le sujet dêtre cambré ainsi, surtout lorsquon continue détirer ses membres jusquà les rompre. Mais ne tinquiète pas : je nai pas lintention de te faire subir ce sort là , je veux que tu restes entière ! En revanche ça fait longtemps que je ne me suis pas occupé des tes seins, si attirants quils réclament une attention toute particulière ». Elle me regarde prendre une fine corde de chanvre et suit le mouvement de mes mains lorsque je commence à lenrouler autour de son sein gauche, en faisant plusieurs tours et en enserrant bien sa base pour la rendre plus étroite que le sommet, puis en faisant un huit et en procédant de même autour du sein droit. Je passe la corde derrière son buste puis autour de son cou pour quelle soit bien maintenue et lui fasse un « soutien-gorge » à ma façon. Ainsi comprimés, dici quelques minutes jaurai deux bulbes turgescents et hyper sensibles, le sang étant prisonnier dans ses extrémités.

« Maître, vous me faites mal. Relâchez-moi, je saurai vous prouver que je peux vous servir plus agréablement et je vous obéirai sans discuter »

« Jai presque terminé, mais je constate que jai oublié un élément important. Tu ne sais pas encore te taire, alors tu me vois contraint de tobliger à le faire ! » Sur ces paroles je lui remets le bâillon-boule une nouvelle fois, encore humide de sa salive.

« Tu as oublié que tu as encore plusieurs punitions à recevoir pour ta paresse matinale. Heureusement que je suis là pour te le rappeler ! Ton sexe est bien offert, dans cette position, et appelle à être maltraité. Quen penses-tu ?

Ses yeux sécarquillent en entendant mes paroles et elle secoue énergiquement sa tête tout en protestant dans son bâillon Mmmhhhhhh Mffff Nnnnn

« Ah, tu es daccord ! Je suis heureux de te lentendre dire. Nous allons commencer dans un instant, ne timpatiente pas, je reviens. » Jouvre un tiroir de la table et je reviens avec une tapette dune quarantaine de centimètres.

« Nous allons commencer par le chauffer avec ceci. Tu es prête ? ». Bien entendu la malheureuse secoue une nouvelle fois sa tête de droite à gauche et essaie de me supplier mais cela na pour effet que de mexciter davantage. Je commence par lui tapoter le pubis, des petits coups à peine portés, mais ça la fait déjà sursauter. Oh, de peu, car ses liens sont bien tendus et elle ne peut donc se soustraire à sa punition. Puis je déplace la tapette sur la partie antérieure de son sexe, et donne quelques petits coups plus forts sur les petites lèvres qui protègent son clitoris. Elle réagit en poussant des petits cris étouffés et en essayant cette fois de se déplacer latéralement, sans plus de succès.

« Arrête de bouger, sinon je vais devoir accentuer encore mes coups ! » Je lui prouve immédiatement en plaçant 4 coups plus vicieux juste à lentrée de son vagin. Puis je continue en frappant lintérieur de ses cuisses, à la base de ses fesses, puis de nouveau la surface de son sexe. Son bassin danse la gigue mais ne peut éviter aucune frappe de la tapette. Enfin, jécarte ses grandes lèvres avec mon index et mon majeur et jachève mes coups par un final directement sur lentrée sans défense. Un cri perçant toujours étouffé- me laisse penser que jai visé juste.

Je la laisse récupérer un peu et je range la tapette, pour léchanger avec un martinet dont lextrémité est en caoutchouc et ressemble à un phallus assez fin. Je caresse son corps avec les lanières courtes et souples, quelle suit du regard comme si elle pouvait les repousser par sa seule volonté. Puis je me positionne du côté gauche de la table et je donne les premiers coups sur son entrejambe. Elle se tortille dans tous les sens et émet des « Rrrrrrrrrraaahh » et des « aaarrrrrrr », mais ne peut empêcher les lanières datteindre leur objectif. Je donne essentiellement des coups de poignet, ce qui donne une correction limitée, mais fait tout de même rougir les chairs tendres dordinaire réservées au plaisir. Au bout de quelques minutes je considère quelle a été assez punie, dautant que de la bave sest échappée de son bâillon-boule le long de ses joues et a coulé jusquà son cou, et quà la fin elle na pu sempêcher de laisser ses yeux se remplir de larmes qui ont également dévalées ses joues. Elle ne se rend pas compte de suite que jai arrêté de la frapper et nose pas encore me regarder. Je passe ma main sur ses joues pour recueillir ses larmes et sa salive, et la passe comme un baume apaisant sur son sexe. Elle sursaute à ce contact, pensant que je veux la martyriser à nouveau. Puis elle se calme en se rendant compte que je ne fais que caresser doucement lentrée de son vagin, et je sens ses muscles se détendre. Une nouvelle fois je titille un peu son clitoris et je profite du produit de sa souffrance pour écarter ses grandes lèvres puis introduire deux doigts dans son vagin. Dabord en restant près de lentrée, puis en poussant un peu plus loin mon exploration dans ses muqueuses encore un peu sèches. Je laisse momentanément son sexe pour me diriger vers son visage, que je prends entre mes mains en lissant ses cheveux en arrière. Je décide de défaire la sangle de son bâillon-boule et de lui retirer. Aussitôt elle ferme ses mâchoires crispées à force de rester ainsi écartées, puis les ouvre à nouveau un peu pour protester. Je pose un doigt sur ses lèvres en lui intimant de se taire, et elle comprend quil vaut mieux, dans sa position, mobéir, dautant que jai arrêté de la torturer. Je pose le bâillon sur la table près du mur et retire dun des tiroirs un autre objet, que japproche de son visage.

Je lui ordonne « Ouvre grand ta bouche ! ». Elle émet un grognement, pensant que jen avais fini, mais elle mobéit. Je place alors un anneau écarteur entre ses dents, se terminant par des lanières élastiques qui se fixent derrière son crâne. Son beau visage comporte désormais une bouche grande ouverte et totalement accessible à tous mes fantasmes mais qui, je lavoue, lui donne un aspect bizarre et ne lembellit pas vraiment. Je reprends le martinet que javais posé juste à côté delle et dirige lextrémité du manche vers sa bouche. Elle comprend à présent pourquoi elle est équipée de la sorte et conteste par des « hon ! Hon ! » vite étouffés lorsque jintroduis le manche en forme de phallus au travers de lanneau écarteur. « Lèche-le ! Après tavoir fait souffrir, il va te donner du plaisir. Mais pour linstant tu es encore un peu sèche, alors passe ta langue dessus. Allez ! ». Gaëlle se sent sans doute humiliée de devoir humecter avec sa propre salive un instrument que je vais bientôt utiliser comme un sexe factice, mais elle a passé le cap de la fierté mal placée, et ne désire plus quobéir pour atteindre le plaisir qui sommeille encore en elle et qui a à peine été entamé par sa dernière jouissance. Elle lèche donc tant bien que mal le manche noir en caoutchouc que joriente un peu dans sa cavité buccale pour que la totalité soit recouverte de salive. Jessaie de lintroduire un peu plus profondément mais le retire vivement lorsquelle a un haut le cur. Je présente ensuite le manche devant son vagin, dont jécarte les lèvres qui gardent soigneusement lentrée, et je pousse un peu pour tester la résistance. Je nen rencontre que très peu, aussi je pousse un peu plus, un peu plus encore. Puis je le retire doucement, presque totalement, pour le réintroduire un peu plus profondément. Après quelques va et vient de la sorte, le manche est introduit à plus de la moitié et tient tout seul. Je ly laisse quelques secondes, le temps de récupérer le vibreur électrique et de le rebrancher. Japproche sa grosse tête ronde de son clitoris, que je dévoile de deux doigts, et commence à la poser dessus. Cest comme si javais piqué son sexe avec un aiguillon électrique : Gaëlle se cabre et fait presque ressortir le manche du martinet, tout en poussant un cri plus du à la surprise quà une quelconque douleur. Jappuie sur son bassin pour la maintenir en place, ce qui mest facilité par le « soutien lombaire » en bois. Puis je repose le vibreur sur son clitoris tout en commençant à la branler avec le manche. La première surprise passée, Gaëlle commence à séchauffer sous caresse vibrante doublée de la pénétration. Au bout dà peine quelques minutes, elle halète et laisse échapper des feulements entrecoupés de « Hooo » et de « Haaaa ! » qui trahissent la montée de son plaisir. Je continue encore un peu jusqu’au moment qui me paraît opportun pour retirer le manche de son sexe, ce qui me vaut un long râle de dépit de sa bouche grande ouverte, et le léger soulèvement de son bassin autant que ses liens lui permettent- pour mieux coller au vibrateur, et atteindre lorgasme en train de lui échapper. Je reprends le manche gluant en main et lui administre quelques coups de martinet sans trop donner de force à ses seins devenus presque violacés à force dêtre ligotés. Elle ne peut sempêcher de pousser un hurlement strident dès que son esprit se rend compte que ce quelle ressent sur sa poitrine irrite incomparablement plus ses nerfs que ce que son clitoris pouvait lui communiquer comme sensations. Cest comme si je lavais brûlée avec des tisons ardents, ou électrifiée avec du 220 volts. Elle tire sur ses liens et tressaute, et je décide darrêter mes coups par peur quelle ne se blesse vraiment. Elle met plusieurs secondes avant de se calmer, puis son corps retombe et elle ferme les yeux de soulagement.

Jenlève dabord son anneau buccal et la regarde attentivement. Elle a rouvert les yeux lorsque jai libéré sa mâchoire et me regarde fiévreusement. Elle ose finalement prononcer quelques mots « Sil vous plaîtplus de souffrance ! Laissez-moi jouir ! Je vous le demande, non : je vous demande la permission de jouirMaître ! Faites-moi ce que vous voulez, mais laissez-moi jouir ! Jen ai besoinje nen peux plus ! Jamais de ma vie je ne me suis humiliée autantmais je men fous ! Je veux jouir, jen ai besoin ! »

« Ques-tu prête à faire pour que je te laisse jouir ? »

« Tout ce que vous voulez, Maître ? »

« Es-tu prête à devenir mon esclave sexuelle ? A faire tout ce que je tordonne, sans discuter ? »

« Oui, Maître ! Prenez-moi, remplissez-moi ! Votre esclave vous veut en elle ! »

« Es-tu prête à souffrir comme je viens de te faire souffrir pour chaque once de plaisir que je taccorderai ? »

« Oui, Maître ! Ce que vous voulez ! »

« Attention ! Car si tu tengages et que tu ne mobéis pas aveuglément, je te punirai encore plus durement que ce que tu viens de subir. Alors, es-tu prête à tout ça ? »

« Ouiiiiii, Maître ! Je suis prête ! Prenez-moi ! »

« Non, Esclave ! Pas comme ça. Tu vas devoir attendre encore quelques minutes. Mais tu ne le regretteras pas. Maintenant tais-toi pendant que je te détache. » Après avoir libéré ses quatre membres et lavoir aidée à se relever, je la laisse assise sur le rebord de la table, car elle a encore du mal à tenir debout. Ses seins sont toujours ligotés, et elle les a massés un peu pour faire circuler le sang avant que je lui ordonne de les lâcher. Son sexe est humide et baveux, et je la surveille du coin de lil afin quelle nessaie pas de se caresser furtivement. Pendant ce temps je rassemble un peu de matériel pour le final de la matinée, qui est déjà fort avancée. La faible luminosité de la cave et son éclairage rendu fantomatique par les jeux de miroirs ne permet pas à Gaëlle de se situer dans le temps, pourtant nous avons déjà dépassé midi, et son corps doit être fatigué de toutes les épreuves quil a subi depuis ce matin, dautant quelle est levée depuis un bon moment. Quant au mien, il réclame son dû dont il a été privé depuis trop longtemps, et il menace à tout moment de prendre le contrôle de mon esprit en me jetant sur Gaëlle pour assouvir mes besoins sexuels. Ce qui serait vraiment dommage après avoir réussi à respecter si rigoureusement le plan que jai construit peu à peu.

Je mapproche donc de Gaëlle avec un vêtement en cuir ressemblant un peu au bustier que je lui avais offert. Celui-ci est pourtant un peu différent.

« Tiens-toi debout, bien droite, les mains sur la tête ! »

Elle mobéit aussitôt, impatiente de voir son désir assouvi, même sil lui paraît déjà parti pour de bon. En effet, autant pour nous, les hommes, le fait de ne pas jouir après une forte excitation ne rend que meilleur le moment où nous pouvons atteindre lorgasme, autant pour les femmes que jai rencontré, il fallait tout reprendre depuis le début lorsque je les laissais trop longtemps patienter. Je me dépêche donc de lui enfiler son bustier en cuir, et de le lacer bien serré. Celui-ci ne couvre absolument pas ses seins mais les maintient seulement. Ils nen ont pas besoin actuellement, turgescents comme il sont. Par ailleurs, il comporte plusieurs anneaux métalliques dans le dos. Je passe une corde dépaisseur moyenne dans les anneaux et je tire Gaëlle vers le centre de la pièce, où se trouve encore la chaîne qui a servir à la suspendre par les bras. Je relie la corde à la chaîne et massure quelle est solidement attachée. Une fois ce travail accompli, je tire sur lautre extrémité de la chaîne de toutes mes forces et Gaëlle se soulève peu à peu dans les airs, à lhorizontale, en laissant échapper un petit cri de surprise

« Tais-toi, esclave, je sais ce que je fais, tu ne crains pas de tomber ! »

« Pardonnez-moi, Maître, je ne my attendais pas »

« Maintenant nous allons devoir nous assurer que tu ne seras pas gênée par tes bras et tes jambes »

Je lui remets le collier en cuir autour du cou et relie ses anneaux des bracelets de poignets à ceux du collier, afin que ses bras soient immobilisés. Pour ses jambes, jai prévu des les lier de manière plus inconfortable : je réalise plusieurs passages de cordes afin quelles soient pliées en arrière et que chacune soit écartée largement de lautre, afin de me donner un accès total à son sexe. Enfin, je tire ses cheveux en arrière pour lui faire une queue de cheval, que je relie à ses chevilles, lobligeant soit à tordre le cou en arrière soit à se cambrer et à plier ses jambes au maximum. Ainsi immobilisée et offerte, elle est prête pour le final. Elle ne peut sempêcher de trembler en se sentant si vulnérable, et se demande sans doute ce que je vais encore exiger de son corps pour la laisser atteindre un orgasme.

Je sors de son champ de vision pour me déshabiller et je reviens me placer devant son visage, nu et le sexe en érection. Mon corps pas plus que mon sexe nont rien dexceptionnels, même si jai su me maintenir en forme et ne pas prendre le poids classique lorsquon atteint la quarantaine. Pour ma part je suis resté plutôt svelte, et mon mètre quatre-vingt me donnent une allure assez élancée. Je ne me fais néanmoins pas dillusion et je nai pas ce quon peut appeler un corps dathlète. Pourtant, lorsque Gaëlle me voit enfin nue, jai le plaisir et la fierté de constater que son regard sallume et quelle ne peut sempêcher un petit sourire timide.

« Comme tu peux le constater, mon esclave me plaît, ainsi offerte. Que va-t-elle faire pour plaire encore davantage à son maître, qui lui accordera peut-être le droit de jouir ? »

« Tout ce que veut son maître ! »

Je me rapproche delle, et à la hauteur où je lai positionnée, mon sexe en érection se trouve devant son visage, sa grosse veine pulsant sur les trois quart de sa longueur, la tête découverte et rougie. Elle comprend vite où je veux en venir

« Votre esclave aimerait avoir le sexe de son maître dans sa bouche, pour le goûter » continue-t-elle dun ton gourmand.

« Si tu le demandes poliment, peut-être accéderais-je à ta demande »

Toute honte bue, Gaëlle na désormais plus aucun amour-propre et na plus quun but. Elle nhésite donc pas une seule seconde pour supplier « Sil vous plaît, Maître, votre esclave aimerait avoir votre belle queue dans sa bouche pour la sucer. Me feriez-vous cet honneur ? »

« Cest demandé si poliment que je ne saurais refuser » Japproche mon sexe de sa bouche mais ne fait aucun effort pour quelle le happe. Cest donc elle qui doit se tordre le cou en arrière pour arriver à se positionner au-dessus et laisser ses lèvres attraper le gland. Je ressens un choc presque électrique lorsque sa bouche engouffre dun coup la totalité du gland et que sa langue commence à senrouler autour. Les sensations de plaisir se propagent jusquà mes orteils. Ce nest pourtant pas la première fois que je me fais faire une fellation, mais jamais dans un tel contexte et en sachant que cest le fruit dun travail de si longue haleine. Pendant que mon esprit repasse en revue à toute vitesse les événements du mois écoulé, Gaëlle a continué de sactiver, désireuse quelle est de me satisfaire totalement afin quà mon tour je lui permette datteindre ce quelle attend depuis si longtemps. Après avoir enfourné la moitié de la hampe à plusieurs reprises dans un mouvement de va et vient, elle a activé sa langue sur le gland puis la avalé à nouveau sur la même longueur. Elle simpose à présent un travail qui tire sur les muscles de son cou, en allant et venant tout en laissant échapper des bruits de succion. Elle ne se débrouille pas trop mal mais jen veux plus, et je lui fais savoir en me retirant, à son grand dam.

« Maître ! Ca ne vous plaît pas ? Je ne vous suce pas assez bien ? »

« Ce nest pas mal pour un début, mais effectivement tu vas devoir aller plus loin. Est-ce que tu as déjà pratiqué le « deep throating » ? »

« Non, Maître. Quest-ce que cest ? »

« Tu vas mavaler, jusquà ce que la tête de mon sexe entre dans ta gorge »

« Mais je ne pourrai pas ! Cest trop long ! »

« Tu me flattes, mais ce nest pas vrai. Ne tinquiète pas : nous allons y parvenir progressivement, et avec un peu dincitation ». Sur ces mots, je mécarte delle pour prendre dans un tiroir de la table du fond une nouvelle chaîne à seins, qui comporte à chaque extrémité des pinces mais dont la puissance des mâchoires est réglable, contrairement à la précédente. Je me place en-dessous delle et je fixe les pinces lune après lautre sur les tétons érigés, arrachant malgré elle des cris de douleur à Gaëlle, car ses seins sont ultra-sensibles après voir été ligotés si longtemps. Puis je me relève et me place à nouveau devant sa bouche, mais en tenant cette fois le milieu de la chaîne, tirant ainsi légèrement ses seins et tout son corps, lui arrachant une grimace de douleur.

« Quest-ce quon dit ? »

« Merci, Maître, de me permettre de prendre votre sexe dans ma bouche. Puis-je le sucer à nouveau ? »

« Oui, esclave, et va profond cette fois ! »

Gaëlle lenfourne de plus de la moitié mais elle relève la tête et recommence un mouvement de va et vient comme tout à lheure. Je tire un peu sur la chaîne pour lui rappeler son engagement. Elle pousse un grognement de douleur qui me procure dagréables sensations car cette fois son bâillon est fait de chair. Elle essaie de mavaler davantage. Je lencourage « Allez ! Encore ! Encore ! Encore ! » mais elle a un hoquet et est obligée de relâcher son effort. Elle recommence à deux reprises mais ne parvient pas à mengouffrer totalement. Je décide de laider un peu en lâchant la chaîne et tenant son visage dans mes mains. « Prends une profonde inspiration. Voilà. Allez, maintenant, tu vas jusquau boutallez ! Allez Encore un peu Oui ! » Son nez se retrouve dans mes poils pubiens et mon gland frotte contre son épiglotte. Malheureusement ce simple contact lui donne un haut le cur et je suis obligé de faire machine arrière rapidement par peur quun mauvais réflexe lui fasse refermer les mâchoires et me mordre involontairement. Elle se met à tousser et à cracher des glaires, qui finissent par terre, entre mes pieds. « Cest un début. Tu auras tout le loisir de tentraîner, ne tinquiètes pas. Mais je suis quand même obligé de te punir pour avoir failli »

« Non .cof, cof.Maître, je vais recommencer et y arriver »

« Non, esclave, pas maintenant » Je la laisse se demander quelle va être sa punition quelques secondes durant lesquelles jouvre la porte de larmoire pour en sortir des poids de cent grammes avec un crochet, et que jagite devant ses yeux. « Voilà pour tes seins, je pense que la gravité va se rappeler douloureusement à eux »

« Non, pas mes seins ! Pitié Maître ! Ils me font déjà assez mal comme ça ! »

« Comment ? Si près du but tu abandonnerais ? Tu oublies ton rôle et ta position ? Non seulement je vais les accrocher, mais cest toi qui va me le demander, comme gage de ta soumission » Je prononce ces mots en souriant, mais pas vraiment chaleureusement.

Elle me regarde en faisant un effort pour maintenir sa tête en arrière, ce qui tire sur les muscles de son cou et la force à grimacer un peu «Nnon ! Je ne peux pas, ça fait trop mal ! »

« Bon, hé bien tant pis. Je suis déçu car je pensais que tu étais prête. Je me suis trompé » Je prends un air attristé en disant cela. Puis je soulève un sourcil en la regardant et en tournant un peu la tête de côté « Dans ce cas, je ne vais pas pouvoir te permettre de jouir. Je vais donc seulement te remettre la culotte vibrante tu sais celle que tu as portée au travail lautre jour ?- et je lactionnerai de temps en temps, pendant que jirai vaquer à mes occupations là-haut. Evidemment tu nauras pas besoin de lumière. »

Elle réfléchit quelques secondes et je vois sur son visage quelle prend ma menace très au sérieux. Elle simagine écartelée, sans défense, en suspension et excitée suffisamment pour quelle reste tous les sens en éveil, mais pas assez pour quelle atteigne un orgasme. Et le tout dans le noir et le froid de la cave.

Elle ne me regarde pas mais lâche « Daccord, vous avez gagné ! »

« Pardon ? Je ne comprends pas ce que tu dis »

« Allez-y, vous pouvez accrocher les poids à mes seins »

« Je nai toujours pas compris à qui tu tadressais ainsi. Si cest à moi, tu oublies ta position ! »

« Pardon, Maître. Maître, sil vous plaît, pouvez-vous accrocher vos poids à la chaîne des seins de votre esclave ? »

« Aaahhh, voilà qui est mieux. Comme quoi tu sais quoi dire, mais tu as tendance à oublier un peu, nest-ce pas ? Comme tu as tant tardé à te décider, je ten accrocherai un de plus ! »

Elle gémit pour toute réponse mais nose pas protester davantage. Ce sont donc 5 poids de 100 grammes que jaccroche à la chaînette, un par un, en veillant à ce quils ne tombent pas. Les pointes de ses seins sétirent douloureusement vers le sol, mais la morsure des pinces ne lâche pas et la ligature des bases empêche que les mamelles se rejoignent. Je suis toujours sur son côté gauche, et je pose une main sur son dos pour la pousser un peu en avant et la relâcher. Je lui imprime ainsi un mouvement de balancier, ce qui fait également balancer les poids sur la chaîne, et lui provoque un grognement de douleur. Je joue avec elle quelques dizaines de secondes ainsi, pour tester sa résistance, puis je me place derrière elle, entre ses jambes. Elle se balance toujours un peu et je dois larrêter pour la stabiliser. Je suis un peu trop bas, aussi je quitte son entrejambe pour reprendre la corde et la dénouer, puis je donne du mou pour la faire redescendre un peu. Ce qui a pour effet de la surprendre elle pousse un cri- et dagiter à nouveau les poids accrochés à la chaînette de poitrine elle pousse un deuxième cri, mais cette fois de douleur-. Puis je raccroche fermement la corde en vérifiant que cette fois elle est à la hauteur idéale.

Je me place donc une nouvelle fois entre ses jambes et, après avoir enfilé un préservatif que javais préparé, japproche mon sexe toujours tendu de sa vulve offerte et toujours humide. Je joue dabord un peu avec elle, frottant ma verge à ses petites lèvres pour énerver son clitoris. Puis, au bout de plusieurs aller retour, je positionne mon gland devant louverture et je teste lhumidité et la résistance de son vagin : jai limpression de rentrer à la fois dans du beurre et en même temps je sens ses chairs élastiques. Je ne peux mempêcher de lui dire ce que je ressens « Mmmmhh, mais cest que tu es toute chaude et accueillante ! Et en même temps tu enserres ma bite comme tu le faisais avec ta bouche tout à lheure. On dirait que tu apprécies aussi ce que je tai fait jusquà présent. Jespère que tu vas aussi aimer la suite. Moi je sens que je vais adorer ! »

Elle attend le moment où je vais la pénétrer plus profondément, et cela lexcite visiblement de ne pas savoir à lavance comment ça sera ni quand exactement. La douleur quelle doit ressentir sur ses seins occupe une partie de son esprit, mais il lui reste suffisamment desprit pour tourner ses autres sens sur son sexe. Pour linstant elle ne répond que par un râle léger lorsque je commence à mintroduire en elle.

Je me retire presque totalement et reviens à peu près à la même profondeur, en dirigeant mon sexe sur la partie antérieure puis postérieure de son vagin. Je recommence à plusieurs reprises le même manège, ce qui lamène à devenir plus bavarde et à finir par perdre patience « Maître, sil vous plaît, prenez-moi ! Enfoncez-vous en moi ! Je veux vous sentir plus profond ! »

« Mmmh, cest assez bien demandé. Je pourrais me laisser tenter. Mais je suis sûr que tu peux le demander encore mieux » et je continue mon petit va et vient et mon massage vaginal. Jy ajoute, pour lexciter davantage, deux doigts sur son clitoris, qui est totalement offert à ma caresse.

Cela a pour effet de la faire sursauter et de faire monter sa tension dun cran « Maître, votre esclave vous supplie de la baiser ! Mettez-moi votre queue profond ! Prenez-moi fort ! »

« Dans ce cas . » et je menfonce dun seul coup jusquà la garde en elle.

« Raaahhhhhhhh ! Ouiiiiiiii ! » Elle lâche un cri rauque provenant du fond de son être.

Enfin je suis fiché en elle, enfin je peux savourer cet instant magique où nos deux corps sont unis, quoique seulement par leurs sexes. Je la tiens fermement par les hanches et commence à me retirer pour me replonger en elle dun grand coup, lui arrachant à nouveau un « Haaaaa » de plaisir. Ses fesses ondulent un peu sous mon ventre, et les ombres mes signalent que les poids ont également repris un mouvement de balancier. Pourtant, Gaëlle ne semble plus les sentir, ou à peine, tout son esprit étant focalisé sur les sensations émanant de son sexe.

Je commence à présent un lent mouvement de va et vient, prenant soin de ne pas ressortir mais me retirant à la limite, puis me replongeant avec délice dans le fourreau chaud et humide. Au bout de quelques minutes, je commence à accélérer mon mouvement, en la tenant toujours par les hanches et provoquant des balancements plus accentués de ses poids, ce qui provoque à nouveau une certaine douleur dans sa poitrine. Je continue à la pistonner, de plus en plus vite. Je sais que je ne tiendrai pas longtemps, car jattends cet instant depuis une éternité. Elle monte vite également dans léchelle du plaisir, et commence à haleter et à donner des signes annonciateurs dun orgasme. A chaque coup de butoir, jai désormais droit à un « Haaaa ! » en guise de réponse. Une boule est en train de se former au creux de mes reins, annonciatrice de ma propre explosion. Je déplace mes mains peu à peu vers sa poitrine, et jempoigne ses deux seins durcis par leur ligotage et étirés par les masses accrochées aux tétons. Je suis obligé de me pencher en avant pour continuer à la pénétrer, et je perds donc un peu en profondeur, ce que je compense en faisant frotter mon sexe sur la paroi antérieure de son vagin. Le simple fait de toucher ses seins depuis trop longtemps comprimés la fait hurler et je manque dêtre éjecté. Pourtant je maccroche et déplace mes doigts peu à peu vers ses tétons, en prenant soin de ne pas provoquer de douleur supplémentaire. Pas maintenant. Je reprends mon coït, de plus en plus vite, et elle recommence à monter dans léchelle du plaisir, ne faisant plus attention quà ce qui se passe là où elle ne peut rien voir, mais où elle ressent apparemment de plus en plus de sensations, compte tenu de sa lubrification abondante. Je sens ses muscles des jambes se tendre et elle ne peut sempêcher de crier « Oooh ! Ohhh ! Ouiiiiiii ! ». Cest le moment que jattendais : mes doigts posés autour de ses tétons décrochent les mâchoires des pinces en même temps et laissent tomber la chaîne et ses poids. Instantanément, le sang afflue dans ses extrémités ultra-sensibles et la réaction ne sa fait pas attendre. Elle sarc-boute dans ses liens, sempale sur moi encore davantage, dautant que jai un peu relevé mon buste, et hurle devant la double sensation qui menace de la submerger « OOAAAAAAAARRRRRRRRGGGGGGGGHHHHH !!!! ». Elle est prise de convulsions et tire sur ses liens, quils soient à ses bras ou à ses jambes. Je ne peux plus me retenir davantage et devant cette furie, je me mets moi-même à crier et à éjaculer à longs traits brûlants. Je nai jamais ressenti un tel plaisir, la vue, louïe, les sensations et le contrôle total de ce corps et de cet esprit offerts totalement me procurent une jouissance extraordinaire. Nous restons soudés ainsi durant plusieurs dizaines de secondes, et cest au bout de seulement tout ce temps que son corps commence à se relâcher. Elle est en sueur, je le suis également, mais jéprouve une plénitude totale.

Pourtant, après plus dune minute passé à reprendre mes esprits, je me retire doucement delle. Elle ne bouge plus, seule sa tête est obligée de se maintenir à peu près droite, à cause de ses cheveux tirés en arrière. Mon sexe est encore tendu. Je retire le préservatif plein et le jette au sol. Puis, je quitte son entrejambe et la contourne pour me placer devant son visage. Elle a les yeux fermés, et sa respiration est encore rapide.

Je lui commande « Ouvre les yeux ! »

Elle mobéit et la première chose quelle voit est mon sexe poisseux de sperme, qui nest quà quelques centimètres de son visage.

« Avant de te détacher, tu vas me nettoyer. Cest lheure de lapéritif alors ne laisse pas une goutte et applique-toi ! »

Elle ne peut sempêcher de grimacer devant ce pieu de chair recouvert de sperme gluant. Elle na sans doute jamais avalé, ce sera loccasion de débuter. Elle nest plus en mesure de refuser quoi que ce soit, elle ouvre donc sa bouche et laisse apparaître une jolie langue rose, sur laquelle je dépose aussitôt mon membre. Elle lèche le gland puis devant mon mouvement de rein est obligée de vite absorber une bonne partie de la hampe. Je prends son visage entre mes mains pour la bloquer dans cette position

« Lèche, suce, régale-toi ! »

Sa langue sactive autour de mon membre, à lintérieur de sa bouche, et la première répulsion passée, elle met de lardeur à la tâche ingrate qui lui incombe. Pour la première fois depuis bien longtemps, je sens mon membre qui recommence à durcir quelques secondes à peine après avoir commencé à débander. Mon excitation remonte dun cran, et je commence de petits mouvements de rein pour laider dans sa fellation. Elle sactive à présent pour garder sa bouche suffisamment ouverte pour me permettre daller et venir plus profondément, et ses lèvres parcourent la chair fine de mon sexe tendu. Je ne pousse pas plus loin pour ne pas provoquer un haut le cur comme tout à lheure mais je savoure cette pénétration différente mais tout aussi agréable. Je tiens toujours son visage et le caresse avec mes pouces, mon esprit concentré sur mon sexe. Sa langue se tortille tel un petit serpent et titille mes terminaisons nerveuses. Au bout de quelques minutes, je ne peux mempêcher de reprendre un mouvement de va et vient en prenant soin de me limiter pour ne pas buter sur sa gorge. Elle sactive toujours assidûment et mamène inexorablement à un nouvel orgasme. Je ferme les yeux et penche la tête en arrière, crispe mes doigts sur son visage et pousse un grognement rauque et prolongée, et lâche ma semence au fond de sa gorge. Elle sattendait à cela, et comprend vite quil lui faut déglutir rapidement pour ne pas être noyée par le deuxième jet de sperme qui sannonce juste après le premier, puis le troisième et le quatrième, moins productifs car la source se tarit. Elle continue pendant ce temps à sucer mon phallus pour le vider de toute sa substantifique moelle, pour mon plus grand plaisir. Je baisse à nouveau la tête et rouvre les yeux pour voir son mouvement se ralentir peu à peu, mon sexe commençant à devenir plus mou , ses mouvements de succion plus relâchés. Finalement, doucement, je me retire et constate que, sil reste luisant de salive, il ny a plus aucune trace de sperme. Je suis vidé. Elle aussi, certainement. Je me penche vers elle et la regarde dans les yeux

« Tu mas donné beaucoup de plaisir. Je vais te détacher. Relaxe-toi à présent, tu las mérité. Je moccupe de tout. »

« Merci, Maître. Moi aussi jai ressentiune jouissance comme je nen avais jamais eu. Mais jai honte en même temps »

« Honte de quoi ? »

« dêtre ligotée et utilisée comme un vulgaire objet, et den ressentir un tel plaisir, un tel abandon de soi. Vous mavez fait souffrir quand vous le vouliez, vous mavez faite jouir quand vous le vouliezet cest bizarremais jen éprouve du plaisir, de la honte aussi, mais le plaisir lemporte, cest si simple daccepter ce que vous voulez, de me laisser aller »

« Alors naies pas honte. Tu as compris ce que je voulais : que tu tabandonnes totalement entre mes mains, que tu me laisses te diriger, que tu mobéisses sans discuter, pour ton propre plaisir et le mien. Es-tu prête à continuer ? A aller plus loin avec moi ? »

« Oui, Maître, je crois. Non. je le VEUX. Exprimez vos désirs, jy obéirai. Tant que je reste près de vous. »

« Je reste près de toi, ne tinquiète pas. Et jai bien lintention de te faire obéir, comme cest le cas depuis le début ! Mais il reste encore du chemin à parcourir pour que ton apprentissage soit complet. En attendant, nous allons dabord te libérer ! »

Je détache la corde qui la maintient en lair puis la dépose doucement sur le sol. Je défais lensemble de ses liens, puis lui retire son corset. La partie la plus délicate est lorsque je défais les cordes autour de ses seins, car elle recule sous la douleur de lafflux sanguin. Je la prends dans mes bras, son dos contre mon torse, et tout en défaisant peu à peu les derniers liens, masse doucement sa poitrine. Elle ne peut sempêcher de pleurer de douleur, jessuie ses larmes et men sert pour apaiser les chairs distendues de sa poitrine. Puis je lui redonne le peignoir et lui demande de me suivre. Nous quittons la cave et remontons ensemble vers la salle de bain. Là, nous prenons une douche ensemble (et nous inondons à moitié la pièce, car dans ces anciennes demeures il ny avait rien de prévu dautre que des baignoires !) et je prends soin delle en la savonnant doucement et en caressant son corps. Après sêtre laissée faire, à son tour elle me savonne le torse puis le sexe et les jambes, en déposant un petit baiser au passage sur lorgane qui la explorée intimement quelque

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