Histoires de sexe à l'école Histoires de sexe mobiles Histoires érotiques

SIMPSONNERIES DEFENDUES – Chapitre 11

SIMPSONNERIES DEFENDUES - Chapitre 11



Marge entra directement dans la cuisine depuis le garage, des sacs de courses pendant au bout d’un bras, Maggie, son cartable sur le dos, à la traîne. Elle abandonna les provisions sur la table et se rendit au salon, d’où se faisant entendre la télévision allumée. Elle s’attendait à voir Bart affalé sur le canapé, et s’apprêtait à lui passer un savon afin qu’il aille faire ses devoirs.

Qu’elle ne fut pas la surprise de Marge en constatant qu’il s’agissait dHomer. Il tenait une cannette de bière à la main, l’autre introduite dans un paquet de chips. Ainsi vautré sur le divan, le ventre de son mari paraissait plus proéminent qu’il ne l’était vraiment.

Homer, tu es déjà rentré ?

Flanders m’a donné mon après-midi, mon minou, répondit l’intéressé en zappant.

Même si sa vie sexuelle était au point mort avec Marge, Homer essayait de se montrer gentil avec elle… quand il était chez lui. Entre le magasin et les passages obligés chez Moe, le père de famille était un vrai courant d’air. Sa femme, qui avait une complète et entière confiance en son mari, et elle savait quil ne la trompait pas. A la réflexion, elle aurait préférée.

Son magasin marche de moins en moins bien, expliqua Homer avec un léger sourire de satisfaction, ne réfléchissant pas aux conséquences.

Pauvre Ned ! soupira Marge. Il avait mis tant d’amour dans sa boutique.

Et de sexe ! Homer fit un effort surhumain pour penser ça, tout en se concentrant sur une publicité pour Mc Donald.

Un Big Mac…, bava-t-il en sentant sa femme set sa fille ’asseoir à côté de lui.

Elle prit délicatement Maggie contre elle, lui présentant un sein opulent, qu’elle sortit de sa robe. Le néné était généreux, surmonté d’une aréole brune, ronde comme une soucoupe, coiffée d’un mamelon gonflé comme une outre. Marge dirigea l’appétissant téton jusqu’à la bouche de Maggie. Elle commença à téter instinctivement, avant de fermer les yeux, rassurée par la chaleur et la douceur de la poitrine maternelle.

En voyant le sein de sa femme, un sein qu’il n’avait plus vu, ni touché depuis presque un an, Homer sentit une érection le gagner. Il n’avait jamais réalisé la générosité des formes que sa femme lui avait offertes depuis leur rencontre. Et là, il était presque jaloux de sa fille benjamine qui tenait en bouche l’un de ses préliminaires préférés du temps où il faisait régulièrement l’amour avec Marge.

Cette dernière décolla sa fille endormie de son sein, qu’elle rangea soigneusement et se leva, s’apprêtant à monter l’escalier pour la coucher dans son lit. Mais lorsque Homer zappa sur la chaîne pour la jeunesse, Maggie ouvrit les yeux et se mit à se passionner pour son dessin animé préféré dont elle reconnut lindicatif.

Marge fit volte-face, l’installa assise devant l’écran et se rassit dans le canapé.

Tu sais, Marge…

Chut, Homer. Laisse-moi regarder.

Renfrogné, Homer se tut. Mais il posa une main sur la cuisse de sa femme. Elle ne fit rien pour se dégager. Enhardi, l’autre main de son mari la prit par les épaules. Complètement hypnotisée par les images du téléviseur, Maggie ne remarqua pas que ses parents étaient à nouveau dans les bras l’un de l’autre et s’embrassaient à pleine bouche.

Maggie…, articula maladroitement Marge, en échappant aux lèvres voraces d’Homer.

Bah, laisse-la ! Elle regarde la télé.

Marge s’allongea sur son mari et se débarrassa de sa robe. Homer lui dégrafa en un instant son soutien-gorge et lui baissa son slip. Sans fausse pudeur, elle déboutonna la chemise de son mari, déballant son étonnante masse corporelle. Elle déboucla la ceinture, fit sauter le bouton du pantalon et baissa le zip de la braguette de manière empressée. Si jamais Bart, Lisa ou Maggie avaient la mauvaise idée de surgir à cet instant… Mais Homer était loin de penser à ça. Marge, de son côté, n’avait peut-être attendu que cet étonnant rapprochement. Celui qui sauverait certainement son couple.

Le zob d’Homer s’extirpa comme un paratonnerre. C’était une des caractéristiques qu’il l’avait séduite, quand elle avait commencé à fricoter avec lui, à l’université. Et c’est en revoyant des photos de cette époque que Marge se rendit compte à quel point son amour de jeunesse avait subi les outrages du temps. Il était chauve, ce qui n’était pas sa faute mais surtout, il était gros, énorme, carrément obèse. Il n’avait jamais envisagé le moindre régime et avec trois enfants qui mangeaient tout ce qu’ils voulaient sans prendre un gramme, ce n’était pas du tout évident de se restreindre. Se passer de bières, de donuts, de côtes de porc, c’était trop demander à Homer.

La main de son épouse tripotait sa queue, l’épluchant avec délicatesse, et la chose gonflait et durcissait en s’érigeant encore un peu plus. La vision du corps nu de Marge, de ses seins dressés d’excitation, de ses hanches généreuses et de ce discret triangle de poils entre les cuisses lui faisait perdre tout contrôle de ses sens. Elle se pencha vers son organe et donna quelques petits coups de langues, avant de l’embrasser tout du long, jusque dans les poils frisés, avant de remonter en goûtant la saveur du bâton de chair tumescent. Puis, elle enroula une langue volubile autour du gland, l’engloutit et s’enfonça une bonne moitié de la longueur de la bite dans la bouche. Elle se rendit compte qu’elle allait s’étouffer. Elle se retira de quelques centimètres en guettant l’approche de l’orgasme sur le visage d’Homer. Celui-ci regardait la tête de sa femme aller et venir entre ses cuisses, les yeux hagards, la bouche entrouverte et la langue pendante. Marge abandonna l’organe et colla ses lèvres contre celles de son mari. Les langues se scellèrent et s’enroulèrent l’une contre l’autre dans un mouvement enivrant.

Puis, s’appuyant sur les épaules masculines, Marge se suréleva. D’une main, elle sécarta les grandes lèvres adipeuses et vaginales de son sexe. Elle se positionna à la verticale du pieu imposant de son mari, le saisit à la base de son autre main. En équilibre sur la pointe des pieds, ouvrant son entaille sexuelle, elle se laissa glisser sur l’instrument démesuré d’Homer, qui étouffa un feulement de plaisir. Quand Marge sentit l’organe franchir les petites lèvres et pénétrer dans les nymphes écarlates, elle ne put retenir un soupir jouissif. Les deux amants firent un mouvement de balancier avec leurs bassins collés l’un contre l’autre, en se mordant la langue pour ne pas hurler leur plaisir. Et leur bonheur de s’être retrouvés. Ce n’est pas que ça gênait Homer de sodomiser Ned Flanders ou de lui offrir sa pine à sucer, mais il commençait à trouver le temps long, ne sachant plus vraiment à quoi ressemblait une femme. Il en avait même été réduit à reluquer sa fille ado, à éprouver du plaisir en la voyant nue et s’était même consolé avec elle.

Mon dieu, si elle en parlait à Marge !

Mais Homer se dit qu’il n’y avait aucune raison.

Marge, elle, se disait qu’elle en avait assez de ces dîners en tête-à-tête avec ses enfants, de ces soirées solitaires avec la télévision pour seule compagnie et le cachet du soir, avalée avec un demi-verre d’eau pour dormir comme une masse, évitant cauchemars, insomnies et libido.

Homer se libéra de son sperme, qu’il retenait jusque-là, en inonda les entrailles de sa femme, en continuant un va-et-vient frénétique avec son gros bas-ventre. Marge inondait cette partie de l’anatomie de son époux de sa mouille chaude et au parfum suave. Le zob se ratatina et les deux amants se regardèrent en se dégageant de la possession sensuelle et sexuelle de l’autre. Ils échangèrent encore un patin, et lorsqu’ils se redressèrent pour se rhabiller, Maggie les regardait tranquillement. Elle avait abandonné la contemplation de la télévision, qui diffusait un dessin-animé qui, apparemment, ne lui plaisait guère. En voyant les seins nus de sa mère, elle tendit les bras vers eux.

Marge souleva sans effort sa fille et l’installa contre son sein. Maggie se régala du lait maternel. Homer ne put s’empêcher de se masturber en voyant ce petit bout se délecter du nectar mammaire de sa femme. Une épouse qui lui lança un regard noir en découvrant son onanisme. Son mari avait dû porter la main à son pénis sans s’en rendre compte car il baissa les yeux pour voir ce qu’il faisait, et la retira de sa braguette comme s’il s’était brûlé.

D’oh !

(à suivre…)

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire