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SIMPSONNERIES DEFENDUES – Chapitre 20

SIMPSONNERIES DEFENDUES - Chapitre 20



Les jeunes Simpson raccompagnèrent Janey jusque chez elle. Ils se dirent « Au revoir ! » et se donnèrent rendez-vous le lendemain matin au lycée.

    C’est le cur léger que Bart rentra chez eux. Il n’avait pas pu approfondir ses découvertes du corps de la copine de sa sur et, d’un autre côté, il enviait Lisa.

    L’adolescente se précipita dans la salle de bains et se déshabilla entièrement. Debout face à la psyché, elle regarda son corps nue. Un corps en plein changement, qui se formait de plus en plus. Un corps qui attirait le regard des garçons, à l’exception de Bart. Celui-ci se tenait à l’entrée de la pièce et regardai tranquillement sa sur en train de s’exhiber. Nullement préoccupée, Lisa remarqua que le regard de son frangin tentait de se poser ailleurs qu’à l’endroit de sa nudité intime. Elle prit Bart par la main, elle enserra ses bras autour de sa taille puis se blottit contre son corps chaud. Le garçon ne sut pas quoi faire et il se contenta de poser sa tête sur l’épaule de sa sur. Puis, timidement, il l’étreignit, pressant sa poitrine contre celle naissante de la jeune fille. Cette dernière était complètement nue, tandis que son frère portait encore son maillot de bain. Ils étaient crasseux, la peau fripée d’être restée dans l’eau chlorée, les cheveux en bataille et décolorés.

Bart, dit Lisa en cessant de l’étreindre. Je voulais prendre une douche !

Bonne idée ! répondit le garçon d’un ton goguenard.

    Il fit un clin d’il et adressa un sourire cochon à sa sur en allant ouvrir les robinets.

Mais, Bart, tenta de protester l’adolescente. On ne peut pas prendre une douche ensemble.

Et pourquoi pas ? répondit Bart en se retournant vers elle.

    Lisa n’eut aucun geste de pudeur pour cacher sa vulve, et d’ailleurs, son frère ne regarda même pas.

Y a assez de place pour deux ! continua-t-il. Homer et Maman, ils en prennent souvent une ensemble.

Oui, mais Papa et Maman, c’est pas pareil. Cest pour…

    Lisa ne termina pas sa phrase. Elle manquait d’arguments, et son frère savait aussi bien qu’elle ce qui se passait, lorsque leurs parents prenaient une douche ensemble. La libido de l’un et de l’autre s’éveillait et ils finissaient toujours pas faire l’amour sous le jet d’eau chaude, entre les flacons de shampooing et de gels douche.

    En relevant les yeux, Lisa remarqua que Bart commençait à bander sous son maillot. Ses yeux brillaient. Il n’avait aucun souvenir de la nuit précédente, où son corps avait connu les premières extases des plaisirs hétérosexuels. Lisa était tentée de tout lui raconter, histoire de le voir se décomposer, se mettre à pleurer peut-être, et s’enfermer dans sa chambre pour ne plus jamais en sortir. Il perdrait de sa superbe, le frangin. Mais, l’adolescente était à mille lieux de ses réflexions. En voyant le renflement du lycra juste à la naissance des cuisses minces de Bart, elle devinait sans peine sa bite, aussi glorieux que la nuit dernière.

    Lisa alla fermer la porte de la salle de bains et elle rejoignit son frère. Celui-ci avait enlevé son maillot et s’était jeté sous le jet d’eau délicieusement chaude. Elle vit tout d’abord ses fesses, puis quand il se tourna vers elle pour l’accueillir avec le même sourire cochon, elle vit son vit. Il bandait avec peine, sans atteindre les mensurations qu’elle lui connaissait. Le prépuce restait obstinément en place, ne dévoilant pas un millimètre de gland. Elle avait tant aimé apercevoir son petit méat urinaire. Elle était si excitée qu’elle tremblait sur ses jambes. S’adossant au carrelage qui ornait le mur dans lequel la douche avait été construite, elle attrapa la main de son frère et l’encouragea à la tripoter, en commençant par les seins. Le fait de se retrouver nue avec Bart lui fit oublier toutes ses résolutions.

    D’abord hésitant, et surpris part tant de docilité, le garçon passa sa main sur la poitrine à peine formée de sa sur. Mais elle vibra sous la caresse. Lisa se cambra, écarta les jambes pour indiquer à son frère où glisser sa main. Souriant de toutes ses dents, il abandonna les jeunes nichons pour s’aventurer sur le ventre plat, tritura le creux du nombril du pouce, flatta le pli de l’aine et atteignit le pubis glabre. Il farfouilla le long de la vulve enfantine, mais ne descendait pas assez bas pour tripoter l’orifice vaginal.

Plus bas, Bart ! gémit Lisa dans un souffle court. C’est pas là…

    Le garçon eut alors l’idée de s’agenouiller, de façon à avoir le sexe à hauteur des yeux. Il put détailler à loisir la fente intime de sa petite sur. La cicatrice était verticale, marquée d’un pli à la naissance de la vulve, et semblait disparaître entre les cuisses. Il y avait peu de poils, encore du duvet.

    Bart posa ses mains de part et d’autre des deux petites peaux. Il tira dessus et, en dévoilant le vagin, il fit béer les grandes lèvres. Il enfonça un doigt dans le con, pour ne pas avoir besoin de le chercher à nouveau. Ce qui fit sursauter sa sur. Lisa se cogna la tête en la rejetant en arrière, terrassé de plaisir. Elle voulait indiquer à son frère la marche à suivre, mais elle était incapable de parler. Elle s’abandonna aux caresses interdites.

    Bart tritura l’intérieur du sexe de sa sur, comme s’il s’agissait d’un café-crème qu’il aurait touillé du doigt. Il introduisit les deux premières phalanges dans le vestibule vaginal. Le sphincter l’enserra et, excité par cette sensation de chaleur et d’humidité, le garçon se mit à bander de manière plus conséquente. Lisa n’en prit pas conscience, trop occupée à tenter de reprendre son souffle, tant son frère lui faisait du bien. C’était différent des caresses de Janey, ça n’avait rien à voir avec ce qu’elle avait pu apprendre de la part des jumelles Terri et Cherry, et son père n’avait fait que la sucer. Son père… Et maintenant, c’était au tour de son frère.

    Contre toute attente, Bart tira une langue qui ripa contre le haut de la vulve. Mal ciblé, ce léchage fit rire Lisa. Se mordant les lèvres pour ne pas avoir l’air de se moquer, elle saisit l’ado par les cheveux et le força à coller sa bouche contre son sexe. Pour ne pas étouffer, il bécota le pubis et la fente vulvaire, au hasard. Il embrassa la naissance du sexe, lécha le méat urinaire, suçota un instant les lèvres intimes. Le contact n’était pas désagréable, mais novice en la matière, Bart n’avait qu’une envie : se branler pour se débarrasser d’une érection qui commençait à devenir douloureuse. Si seulement sa sur acceptait de le sucer. Il se redressa et coupa l’eau avant de plonger ses yeux au fond de ceux de Lisa. Quand Bart faisait ça, il était irrésistible et il était difficile de lui refuser quelque chose.

J’en peux plus, Lisa ! gémit-il. Faut qu’tu m’suces !

Bart ! s’indigna la jeune fille, faussement outrée.

J’t’en prie !

    L’adolescente baissa les yeux et fixa le braquemart dont était gratifié son frère. Plutôt impressionnant. Elle l’enserra témérairement de sa main et s’amusa à décalotter le gland. Il apparut, gonflé d’un afflux de sang, avec son petit méat. Là, la jeune fille ne pouvait pas laisser passer une nouvelle occasion de sucer son frère. Après tout, elle aimait trop ça ! Si cette activité pouvait lui permettre de conserver son pucelage jusqu’à un âge raisonnable.

Je veux bien te sucer Bart, mais à une seule condition ! exigea Lisa d’une voix douce.

Tout ce que tu veux, répondit Bart.

    Sa queue palpitait dans la menotte de sa sur.

Je veux que tu me lèches pendant que je te suce !

Ouais, d’accord ! Tu veux faire un 69, quoi !

Un quoi ? demanda la jeune fille.

    Bart entraîna Lisa dans sa chambre. Là, il sortit de son tiroir secret le roman-photo « emprunté » à Martin. Le garçon le feuilleta rapidement et montra à sa sur une photo représentant un couple, se suçant mutuellement.

La femme prend la bite de l’homme dans sa bouche, et en même temps, l’homme lèche le sexe de la femme ! C’est ça, un 69.

    Lisa parut décontenancée par les révélations de son frère. Celui-ci remit le livre dans sa cachette et se tourna vers sa sur.

On y va ? lui demanda-t-il d’un air coquin.

    L’adolescente se tortillait d’un pied sur l’autre, comme si elle avait envie de faire pipi. Elle ne quittait pas des yeux ses orteils et Bart fixait sa vulve qui jouait à cache-cache avec la rotondité de ses cuisses. Lisa, visiblement, hésitait à se livrer à cet acte dont elle avait eu l’idée.

Mais je pensais que… je te suçais un p’tit peu… et puis tu m’léchais un coup… J’te suçais, tu m’suçais… Comme ça, à tour de rôle…

    Lisa osa affronter le regard un peu dubitatif de son frère.

J’suis pas chaud ! Un 69, c’est plus pratique, se justifia-t-il.

    Lisa se laissa tomber à genoux devant Bart, le saisit par ses hanches et, comme à son habitude, happa son organe bandé entre ses lèvres. Elle travailla de la langue avec un certain enthousiasme.

A moi d’lécher ! exigea Bart.

    Lisa se releva en s’appuyant sur le bord du bureau. Bart colla sa bouche contre l’orifice vaginal et fit les grosses lèvres pour en aspirer la saveur. Il donna des petits coups de langue, râpeux comme un chaton et fut interrompu par Lisa qui exigeait de reprendre sa pine en bouche.

    Pendant vingt bonnes minutes, le tems ne fut rythmé que par les « A moi d’sucer » de Lisa et les « A moi d’lécher » de Bart. Le frère et la sur mirent deux fois plus de temps à se faire jouir, mais ils prirent autant de plaisir.

    Il fallut bien qu’ils retournassent se doucher. Lisa commença à sa savonner, puis, lorgnant sur l’appendice inerte de son frère, la gamine l’attrapa par le bout et tira Bart vers elle. Debout derrière lui, elle enroule sa main autour du petit organe masculin. Contrôlant ses pensées et sa respiration, Lisa essaya de faire abstraction de ce qu’elle sentait, l’exemple parfait de la virilité immature.

    De sa main libre, l’adolescente attrapa le gel douche et a doucement commencé à frotter le corps de son grand frère, à partir de sa poitrine un peu frêle et délicate. Son autre menotte se mit à se déplacer entre ses jambes. Elle fit rouler les couilles dans la paume de sa main. Cela provoqua une secousse dans le robinet de Bart. Son zob commença à durcir et le garçon acquit un léger début d’érection. Les doigts coururent le long de la trique qui se raidit un peu plus.

Lisa s’agenouilla pour savonner la taille de son frère, ses cuisses sans poils, ses genoux étoilés d’antiques blessures et ses mollets tannés par le feu du soleil. Elle finit avec ses adorables pieds et ses orteils. La gamine se releva et posa sa bouche sur la poitrine de Bart, lui suçant et lui léchant les mamelons. Ils se raidirent sous la caresse buccale.

    Puisqu’il était hors de question que ces deux polissons passent la fin de la journée sous la douche, et que leurs parents finiraient bien par rentrer, La fillette arrêta d’embrasser les nénés du frangin. Elle sentit que son cur battait la chamade. Elle continua à l’embrasser, déposant ses lèvres jusqu’au nombril. La bouche bécota les alentours, jusqu’à atteindre l’organe pubère, qui se dressait au centre du pubis. La langue de sa sur remonta le long de l’organe tendu de Bart. Son rythme cardiaque s’emballa et le garçon fut obligé de s’adosser à la cloison carrelée pour ne pas tomber. Son sexe disparut entre les lèvres de Lisa. De la pointe de la langue, elle rétracta le prépuce et lâcha son sucre d’orge. Le tenant entre trois doigts au niveau de la plante, a jeune fille observa le méat urinaire de son frère et, incapable de résister, l’embrassa.

    Bart se mordit la langue pour ne pas hurler et ferma les yeux pour moins réaliser ce que son corps subissait. Si le garçon avait été conscient la nuit précédente, il se rendrait compte que sa sur se livrait sur lui aux mêmes attouchements. Cette dernière avala une bonne moitié de la longueur de la bite, tout en pétrissant des deux mains les fesses de son frère, qui commençait à gémir. Il se mit à exercer un mouvement de va-et-vient avec son bassin. En avant, en arrière. A tel point que sa petite sur se retrouvait régulièrement avec sa grosse quéquette enfoncée jusqu’à la garde dans sa petite bouche. Elle sentit que son frère était proche de l’orgasme.

    Les fesses de Bart le brûlaient. Lisa cracha le vit gonflé et le récupéra dans sa main. Le garçon n’y tint plus. Il empoigna sa sur aux tétons. Elle fit semblant de se défendre en riant. Mais lorsque la main de son frère toucha son abricot imberbe, elle voulut se retirer. L’enlaçant avec son bras gauche, Bart enfonça son pouce entre les grandes lèvres. Il le fit aller et venir. Cela faisait du bien à Lisa, qui protestait mollement.

    La petite fille tomba à genoux dans la douche. Son frère se jeta sur elle, poussa son visage entre ses cuisses, puis le retira aussitôt. Ses pieds ne trouvaient pas de point d’appui, la position était très inconfortable et l’eau devenait de plus en plus froide. Bart tourna les robinets pour les fermer et aida Lisa à se relever. Son visage était défait et au fond de ses yeux dansait une lueur lubrique. L’adolescente poussa violemment son frère, qui tomba à la renverse, sur la descente de bain. Elle se jeta sur lui et s’excita en se frottant contre son corps brûlant. En même temps, Bart sentit de la sueur et de la mouille se déverser du con de sa sur et lui inonder l’abdomen. Lisa avait pris soin de ne surtout pas se faire dépuceler par son frère. Ce dernier, en regardant droit devant lui, voyait le petit sexe de Lisa se libérer de son trop-plein. La gamine s’était redressée, restant à genoux. Elle porta la main à sa fente et mordit le gamin à l’épaule en atteignant lorgasme.

    Lisa reprit rapidement ses esprits et empoigna à nouveau la queue de son frère, toujours aussi raide. Elle se mit à pomper le dard avec rapidité et dextérité. Bart dut ouvrir les jambes. Son ventre fut pris de convulsions et se secoua. Il laissa échapper une plainte et une éjaculation. Sa bite se détendit en lançant encore des petits jets, et se ramollit en redevenant une quéquette. Lisa se leva, regarda la gaule fraternelle rapetisser à vue d’il. Le garçon gémissait, les yeux fermés. Sa sur s’enveloppa dans une serviette éponge, comme si de rien n’était, puis elle regagna sa chambre.

(à suivre…)

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