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SIMPSONNERIES DEFENDUES – Chapitre 21

SIMPSONNERIES DEFENDUES - Chapitre 21



Les jours suivants, au lycée, Janey suivait Lisa comme son ombre, si bien que Bart ne trouva jamais l’occasion d’aborder la jeune fille. Il voulait recommencer les attouchements auxquels il s’était livré sur elle, et aller plus loin. Comme ils n’étaient pas dans la même classe, il n’y avait guère qu’au moment des récréations que les deux ados pouvaient se voir.

    Janey évita Bart pendant deux semaines, jusqu’à la Spring Break (pause du printemps). . Quelques jours avant le début des vacances scolaires, Marge annonça gaiement à ses enfants que tout était arrangé avec les Powell. Ils viendraient les chercher en camping-car le dimanche matin et partiraient au bord de la mer pendant dix jours. Lisa était folle de joie. Bart, lui, faisait la tête.

Dix jours avec cette gamine qui se fiche de moi, ça va être gai !

Elle ne se fiche pas de toi, Bart, lui confia sa sur. Elle voulait te faire la surprise.

    Regard dubitatif du garçon.

Fais pas cette tête-là, ironisa Lisa, on dirait Papa ! Janey voulait m’inviter et c’était pratiquement d’accord. Mais après la séance de piscine de l’autre fois, elle voulait que tu viennes aussi. Elle en a parlé avec ses parents et j’en ai parlé à Maman. Mais tant que rien n’était décidé, on ne voulait rien te dire. Pour que tu ne sois pas déçu si ça ne se faisait pas.

Tu veux dire que Janey n’est pas fâché contre moi ?

Non. Je crois qu’elle t aime bien. Même beaucoup. Et puis depuis qu’elle a vu ton…

    Lisa se tut aussitôt, se rendant compte qu’elle venait de se trahir. Son frère allait se douter de quelque chose, la questionnerai jusqu’à ce qu’elle lui dise la vérité. La gamine redoutait les conséquences d’une telle révélation. Et devait-elle avouer à son frère qu’il s’était fait déniaiser par sa propre mère ?

Oui, bon, d’accord, j’ai bandé un peu à la piscine…

    Lisa souffla de soulagement. La discussion n’alla pas plus loin et elle se dit qu’elle devrait enfouir les souvenirs de cette fameuse nuit dans un coin de son cerveau, et ne plus en parler.

Bart ! lui demanda-t-elle alors qu’il s’apprêtait à rejoindre Homer devant la télévision. Ça t’a plu d’aller à la piscine tout nu ?

    Les joues du garçon rosirent à cette évocation.

Un peu. On voit plein de gens à poil, même si on est tout nu…

Tant mieux, parce que, là où on va, c’est une plage naturiste ! lui apprit-elle avant de grimper les escaliers en riant.

    Bart resta tétanisé au beau milieu de l’entrée. Lisa était-elle sérieuse ou voulait-elle se moquer de lui ? Il se dit que pour poursuivre ses explorations polissonnes sur son propre corps et sur celui de Janey, il était plus simple d’être nu. Mais là, il y aurait ses parents, les voisins du camping, les vacanciers de la plage, d’autres garçons, d’autres filles, tous nus, et lui, à poil, au milieu de tout ce monde-là. Même si Lisa avait appris de sa petite copine que dans un camp naturiste, personne ne s’attache à la nudité de l’autre, Bart savait qu’il ne pourrait pas faire autrement que de regarder. Peut-être seulement au début.

    Le garçon voulut en avoir le cur net et aida sa mère à faire sa valise. Les Powell lui avait donné un trousseau détaillé et entre les slips, les chaussettes et les tee-shirts, aucun maillot de bain, pas même un boxer-short. Bart attendit le dimanche matin sans enthousiasme et monta dans le camping car comme s’il s’agissait d’un aller simple pour le pénitencier. Monsieur Powell était au volant et sa femme du côté passager. Ils accueillirent les jeunes Simpson avec gaieté et un grand sourire. Bart eut un coup au cur lorsque Janey l’embrassa sur les deux joues pour lui souhaiter la bienvenue. Les trois ados s’installèrent à l’arrière et le voyage commença.

    Monsieur Powell alluma la radio et se mit à reprendre à tue-tête tous les tubes qui étaient diffusés. Sa femme l’accompagna, avec bientôt Janey et Lisa en qualité de choristes. Seul Bart restait dans son coin, tentant de gérer le stress de garçon pudique qui le mettait mal à l’aise. Avant la fin de la journée, beaucoup de personnes sauraient comment il est gaulé.

    Lorsqu’il fut lassé de son jeu vidéo sur sa DS-3D, le garçon jeta un il aux filles, qui avaient cessé de chanter. Les jambes de sa sur étaient écartées, et sous sa jupe, sa vulve était parfaitement visible. Bart caressa sa quéquette à travers son short et vit Janey glisser sa main entre les cuisses de sa copine. Puis elle enfila un doigt dans le vagin de Lisa. Les filles regardaient ailleurs et faisaient comme si ce à quoi elles étaient en train de se livrer était anodin et innocent. Cela ne calma pas Bart, et il redoutait le moment où il baisserait son short, pour se retrouver dans le plus simple appareil. Il pressait sa main contre son sexe.

    Le camping-car venait à peine de quitter l’état de Virginie que, déjà, les embruns chargés d’iode se faisaient sentir.

Attention les enfants, il y a cinquante cents pour le premier ou la première qui verra la mer !

Bart, Lisa et Janey se collèrent le nez aux vitres et scrutèrent l’horizon. La vue fut un instant bouchée par des immeubles et soudain, derrière un pan de mur, se détacha une tâche d’un bleu limpide, agitée de rouleaux.

Là ! hurla Lisa dans l’oreille de son frère, en pointant son doigt dans la direction en question.

    Madame Powell et sa fille félicitèrent Lisa en tapant des mains et en riant. Bart était affligée et se sentait de plus en plus mal à l’aise.

    Le camping-car bifurqua et passa à proximité d’un parking. Bart vit alors une fille, peut-être de son âge ou de celui de Lisa, toute nue, mais de dos.

Monsieur Powell ! s’écria le gamin. Combien on gagne si on a vu la lune ?

Ah, rien du tout, Bart.

    Le garçon se dit que ce n’était pas la peine d’insister. Il se tut et resta les bras croisés, à sa place.

    Le camping-car s’immobilisa à proximité d’une immense propriété délimitée par une haute palissade et une haie de pins maritimes. Monsieur Powell se tourna vers les enfants.

Nous sommes presque arrivés les enfants. Au-delà de cette limite, les vêtements sont interdits ! Descendez pour vous mettre en tenue.

    Les Powell descendirent du véhicule, visiblement ravis de se foutre à poil. Bart retint sa sur par le bras, alors qu’elle se décidait à rejoindre la sympathique famille. Il l’interrogea du regard. Lisa haussa les épaules et se retrouva au soleil, sur une petite route rocailleuse. Le père de Janey était déjà torse nu, tandis que sa femme, en slip et soutien-gorge, pliait soigneusement sa robe estivale. Janey n’avait plus que sa petite culotte, et elle attendit que Lisa soit là pour la retirer. L’adolescente prit son temps et sa copine se délecta de la vision de ce jeune corps qu’on mettait à nu. La petite Simpson prit son courage à deux mains et fit tomber sa jupe et passa son tee-shirt par-dessus sa tête. En se tournant pour montrer ses fesses à Janey, quand elle baisserait son slip, elle tomba sur la nudité intégrale de Monsieur Powell. Il avait des pectoraux développés, couverts de quelques poils, un corps grand et massif et une bite de bonne taille. Lisa la trouva plus agréable à regarder que celle du maître-nageur et un peu moins grosse que celle de son père, pour autant qu’elle se souvînt.

Mais où reste ton frère ? lui demanda Madame Powell.

    Entièrement nue, elle monta à l’arrière du camping-car et en redescendit, moins d’une minute plus tard, tenant Bart par la main.

Il était endormi, le pauvre chéri, expliqua Madame Powell.

    Le garçon se frottait les yeux. Lisa regarda son frère d’un air agacé, les bras croisés sur sa poitrine, lui exhibant sa nudité la plus intime sans aucun complexe. Est-ce que Bart banderait, quand il baisserait sa culotte ?

    Sous le regard subjugué de sa sur, il commença à se faire déshabiller par la mère de Janey. Surpris par cette initiative, il se laissa faire. Le tee-shirt fut prestement retiré, les tennis et les chaussettes, puis le pantalon… La jeune femme parut hésiter, puis agrippa le slip à la ceinture et le descendit jusqu’au chevilles de Bart. Lisa et Janey furent ravis de lire de l’humiliation dans les yeux de Bart. D’ailleurs, dès qu’il se retrouva en tenue d’Adam, le garçon croisa ses mains devant son sexe flapi.

Qu’est-ce que ça veut dire ? le gronda gentiment Madame Powell, en lui retirant les mains. Janey ? (se tournant vers elle) Tu n’as pas prévenu tes amis qu’il s’agissait d’un camping naturiste ?

Mais si, Maman !

Mon frère doit toujours faire des manières, intervint Lisa pour prendre la défense de sa camarade.

On va marcher jusqu’à notre bungalow, ça nous habituera ! décida la mère de famille.

    Janey empoigna la main de sa fille, puis celle de Lisa. Celle-ci voulut prendre celle de son frère, mais Bart resta prudemment en arrière, se cachant derrière les filles comme il put.

    Durant les derniers mètres les séparant de leur bungalow, les Powell furent saluer de loin par les habitués du camping. Bart était persuadé que tout le monde le regardait et faisait des commentaires sur ce qui pendouillait entre ses cuisses. En voyant adultes, ados et enfants complètement à poil, Le garçon eut un coup au cur. Il y avait des filles de son âge ou beaucoup plus vieilles, avec des seins et des poils.

(à suivre…)

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