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SIMPSONNERIES DEFENDUES – Chapitre 9

SIMPSONNERIES DEFENDUES - Chapitre 9



(Le texte entre parenthèses correspond aux pensées des personnages)

En rentrant du collège, Bart avait rangé son skate-board dans le garage et s’était rué dans la cuisine, pour se préparer une tartine dégoulinante de beurre de cacahuètes. Se trouvant juste en dessous l’une de l’autre, un problème d’isolation permettait, depuis la salle de bains, d’entendre ce qui se passait dans la cuisine, et inversement. Au bruit qui lui parvenait, Bart en déduisit que quelqu’un prenait un bain. A cette heure-ci, c’était plutôt étonnant, car son tour viendrait d’ici une heure. A moins que personne n’y pensât. Mais il avait du mal à y couper.

Il grimpa les escaliers en catimini et s’approcha sur la pointe des pieds de la porte de la salle de bains. Il entendit surtout des clapotis d’eau et des paroles étouffées. Il reconnut la voix de sa sur et il lui sembla qu’elle n’était pas seule. Mais leurs parents avaient été clairs : Bart et Lisa avait la permission d’inviter un de leur amis à venir dormir, mais dans la nuit du samedi au dimanche ou pendant les vacances scolaires. Or, on était jeudi.

Le garçon fut bien tenté d’entrouvrir la porte, à peine, pour identifier les occupants de la baignoire, mais il savait que sa cafteuse de sur n’hésiterait pas à se plaindre à sa mère et il aurait encore droit au refrain habituel et moralisateur de Marge. Il posa la main sur la poignée de la porte. Allez ! Juste un p’tit coup il ! Mais, à sa grande surprise, il renonça.

Bart regagna sa chambre en entendant les clapotis de l’eau et un bruit d’éclaboussure. Il ferma sa porte et s’y adossa, repensant au quatre ados qui venaient de lagresser. Bart alla s’allonger sur son lit et attendit que le temps passât, que le dîner et la nuit vinssent.

C’était un samedi, le jour où Bart avait décidé de faire partager à Milhouse ses récentes expériences homosexuelles. Il était déjà parvenu à faire se déculotter son copain devant lui et, pour que la réciproque soit juste, Bart avait fait de même, puis ils s’étaient adonnés à une partie de compare-quéquette.

Maintenant, il était temps de passer aux choses sérieuses, et quel moment plus propice que celui de la toilette pour se retrouver tout nu sans vergogne, ni complexe ?

Mais Bart, quest-ce que tu fais ? parvint à articuler Milhouse, tandis que son copain se déshabillait prestement

On va aller prendre une douche.

Le binoclard essayait d’éviter de fixait le corps nu de Bart,

Je suppose que tu passes en premier et j’irai après toi.

Non, Milhouse, répliqua le jeune Simpson d’une voix très douce, on va prendre une douche ensemble.

Il empoigna son camarade par le menton et plongea ses yeux au fond de ses verres de lunettes. Milhouse fit signe que « Oui », ce qui fit sourire Bart. Ce dernier tira son copain par la main jusque dans la salle de bains et ferma la porte derrière eux.

Le binoclard se tenait debout derrière Bart, ne sachant visiblement pas quoi faire. Le jeune Simpson lui dit qu’il pouvait le regarder et qu’il n’avait pas à être timide. Il lui saisit le poignet, et posa d’autorité la main inerte de Milhouse sur sa bitoune à demi érigée.

Les doigts hésitants caressèrent timidement la peau, puis touchèrent le gland mis à nu.

C’est… Le binoclard marqua une pause. C’est très agréable : dit-il excité, avec un sourire.

En même temps, il referma sa main sur le priapisme flagrant du jeune pénis. Il se contentait de le tenir, et pour une première fois, cela le contentait autant que Bart.

Tu aimes ? lui demanda ce dernier.

Toi aussi, rétorqua Milhouse avec malice. Quest-ce quil est gros, ajouta-t-il en lorgnant dessus.

Puis, avec des gestes saccadés, des gouttes de sueur perlant sur son front, et le verre de ses lunettes commençant à s’embuer dexcitation, Bart vit son ami glisser ses pouces dans la ceinture de son short et le baisser jusqu’à ses chevilles. Quand il vit la bosse qui gonflait le slip de Milhouse, le jeune Simpson n’y tint plus. Il sagenouilla face à lui, agrippa la petite culotte par les hanches, puis il la baissa dun coup sec. Le petit pénis quil avait maintes et maintes fois exhibé présentait un léger début dérection. Il était tendu comme un radis, le gland calotté par un prépuce présentant un vague phimosis. Il se soulevait par à-coups, dévoilant un scrotum gonflé, à la peau plissée.

Dans la psyché placée derrière son ami, Bart voyait se refléter un magnifique petit cul ferme, avec dadorables petites fossettes là où les cuisses prenaient naissance. Il regarda Milhouse avec un sourire et lui retira ses lunettes, qu’il posa sur le rebord du lavabo.

Non, Bart ! geignit-il. Tu sais bien que je ne vois rien, sans lunettes !

Tu n’as pas besoin de voir, lui répondit-il, tandis qu’il lui retirait son tee-shirt.

Les mains de Bart coururent sur les miches et Milhouse éclata de rire. Un doigt s’enfonça dans la raie culière, jusqu’à appuyer sur la rosette bistre de l’anus.

Non, fit Milhouse ! C’est sale, là !

Et c’est bon, aussi ! compléta Bart.

Ce dernier saisit à présent le zob de son copain. Il le vit et le sentit déjà droit. Il tritura l’extrémité du petit tube et le robinet devint subitement rigide, présentant une trique un peu plus conséquente, sans compter le petit extra du prépuce à croquer.

Bart attrapa ce memebre et attira Milhouse vers la douche. De sa main libre, le jeune Simpson ouvrit les robinets et contrôla la température de l’eau. Le fait de sentir son petit sexe durcir et gonfler encore un peu plus dans une autre main que la sienne, envoyait des frissons électriques à travers tout le corps du binoclard. Il inspirait et expirait profondément. Les deux garçons se jetèrent sous l’eau avec bonne humeur.

Leurs cheveux s’aplatirent sur les crânes, l’eau roula et les corps nus se retrouvèrent striés de gel douche. La mousse coula le long de leur poitrine qui se mit à scintiller. Les mains étaient vigoureuses sur les corps. L’eau savonneuse atteignit les pubis duveteux. Bart avait trouvé le scrotum et les testicules de Milhouse si mignons, qu’il voulait lécher le sac soyeux. Mais il ne voulait pas l’effrayer en se montrant trop téméraire. Il glissa sa main entre les cuisses de son camarade et frotta le gel douche le long de son sac. Cela fit prendre de la consistance à son organe. Milhouse fut comme secoué de spasmes et écarta de lui-même les jambes et se cambra, présentant son érection dans une position obscène. Bart remonta le long de la tige et celle-ci se redressa encore. Saisissant délicatement le prépuce entre pouce et index pour le retrousser, surgit un gland vierge et rose.

Les deux organes étaient dressés en direction l’un de l’autre. Quand les parties dénudées entrèrent en contact, le jeune Simpson attrapa son ami par les hanches, celui-ci par les épaules et, les deux sexes plaqués l’un contre l’autre, s’agitèrent et se branlèrent ainsi. Ils bavaient littéralement, les yeux fermés, s’accrochant l’un à l’autre, de bon cur, et ne ralentirent pas leur va-et-vient du bassin.

Milhouse faillit perdre l’équilibre et, s’en apercevant, Bart le plaqua violemment contre une des parois de la cabine.

Le jeune Simpson atteint l’orgasme le premier, en geignant et déchargeant copieusement. Il se laissa tomber dans les bras de son camarade, qui ne tarda pas à jouir à son tour, mais sans éjaculation. Les muscles se bandèrent et se relâchèrent, vidés de toute vigueur. Les corps inertes des deux garçons tombèrent sur le sol de la cabine comme deux poupées désarticulées. Leur pénis était ratatiné et leur cur cognait dans leur poitrine. Le rouge aux joues, ils reprirent lentement leur respiration et leurs esprits, se regardèrent un instant en souriant, mais n’eurent pas la force d’éclater de rire.

Bart se releva péniblement et aida Milhouse à se remettre debout. Ce dernier soupira avec un sentiment de bonheur. Aucun des deux ne demanda à l’autre s’il avait aimé. C’était évident.

Les deux amis finirent leur toilette, ou plutôt celle du copain. Malgré sa myopie, Milhouse nettoya les fesses de Bart, descendit le long de ses jambes courtes et sans poils et finit par ses adorables petits pieds. Les garçons intervertirent leur place et le jeune Simpson insista sur le bas du corps du binoclard. Il entreprit de lui fourrer à nouveau un doigt dans l’anus. Les globes se séparèrent juste un peu. La pensée d’avoir son doigt à l’intérieur de son petit copain électrisa son cerveau. Bart força et s’abandonna à son désir d’entrer en lui. A sa grande surprise, Milhouse laissa échapper un gémissement aigu.

Passant aux jambes, le jeune Simpson remarqua que les genoux étaient meurtris d’antiques blessures, et expédia les mollets et les pieds.

Tout propre ! commenta Bart avec un sourire, en se relevant.

Les deux garçons s’enveloppèrent dans deux grandes serviettes, mais tout en s’essuyant, le jeune Simpson entreprit de se masturber.

(De toute façon, Milhouse ne voit rien !)

Il aurait eu tort de se priver. Mais le binoclard devinait dans le brouillard la silhouette de son ami. Reconnaissant pour les caresses qu’il lui avait prodiguées, il vint se serrer contre lui, plaqua ses lèvres contre la joue. Surpris, Bart se laissa faire. Milhouse promena sa bouche jusqu’au cou, et remonta jusqu’au lèvres du petit blond. Puis brusquement, malgré l’érection qu’il avait beaucoup de peine à cacher, Bart laissa tomber sa serviette et le haut de son corps fut couvert de baisers.

Les épaules, la naissance du torse, ses mamelons mignons et légèrement tannés se raidirent au contact de la langue, et la bite du garçon aussi. Si Milhouse n’avait pas expédié la poitrine aussi vite, il aurait constaté que le cur de son copain était en train de s’emballer. Mais il continuait ses poutous, bécotant et baisant la peau lisse, allant dénicher le nombril creux. Puis, sentant du menton le pieu pubère, raide comme la justice, les lèvres s’ouvrirent, formant un « O » parfait, et la bouche engloutit un bon morceau. A l’aveuglette, Milhouse saisit le sexe à la base et le suça comme un sucre d’orge. Bart n’en revenait pas. Lui qui ne voulait pas précipiter les choses, voilà que l’élève s’avérait plus audacieux que le maître.

La sensation était suave, enivrante, perverse, obscène, tout ce qu’on veut, mais c’était bon.

(Oh, oui, c’est bon !)

Et tout en se disant qu’il était en train d’y prendre goût, Bart se mit à fourrager les cheveux mouillés de Milhouse. De la pointe de la langue et la retenant serré entre ses lèvres, il avait maintenu la peau du prépuce, élargissant le gland décalotté. De la main, il gratouilla les couilles de son copain, tout en continuant à lui pomper le dard.

La bouche de Bart s’ouvrit, respirant lourdement. Il s’appuya d’une main au lavabo, tentant de se stabiliser. Il sentit alors les doigts de Milhouse pétrir son petit cul, tandis qu’il recrachait son morceau, toujours aussi raide. Il fit des petits aller-et-retours de la langue, tout du long, avant d’emboucher à nouveau la pine.

Bart donna une poussée en avant avec le ventre, comme s’il voulait étouffer son copain avec son instrument. Son corps entier subissait des secousses qui se concentraient dans sa queue. A présent, c’était Bart qui faisait coulisser son sexe dans la bouche de Milhouse, et non plus le contraire. Puis il cessa de s’agiter et se retira de lui-même.

Il était encore un peu jeune pour avoir deux orgasmes consécutifs. Son pénis avait perdu un peu de sa rigidité et l’excitation était passée. Son copain restait a genoux sur la descente de bain, le sexe tendu, la langue pendante, perdu dans le brouillard. Bart attrapa les lunettes et les remit devant les yeux de Milhouse. Quand ce dernier se remit à voir clair, il sourit d’un air béat et continua de s’essuyer.

(à suivre…)

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