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Sodomisé par mon étudiant – Chapitre 1

Le séminaire (ou Jenna, l'allumeuse en bottes) - Chapitre 2



Chapitre 1 La rencontre

Amjad. Il s’appelait Amjad. Comment ne pas le remarquer ? Quant mes étudiants de BTS sont rentrés dans la salle le jour de la rentrée, je n’ai vu que lui.

1,90 m, 95 kilos, la peau mate, le crâne et la barbe rasés mais tellement noirs que l’ombre en reste très marquée sur la peau, comme si elle avait été passée au cirage, bref très viril.

Et une gueule magnifique. La bouche un peu grande peut-être et les lèvres un peu épaisses mais les dents d’une blancheur parfaite et parfaitement alignées pour illuminer son vaste sourire.

Les filles ne voyaient que lui et bavaient littéralement de désir dès qu’elles l’apercevaient, et les mecs aussi n’apercevaient que lui, un véritable rival.

Et moi ? N’y pensons pas ! D’ailleurs un de mes élèves, même majeur, c’est tabou ! Et puis avec 25 ans de plus que lui, qu’espérer ?

En plus il était super sympa. Poli sans obséquiosité, serviable sans bassesse et, malgré un air de nonchalance au départ, très travailleur. Bref parfait !

Il vivait avec sa mère, son petit frère et sa petite sur, leur père étant décédé et, ayant croisé sa maman lors de ces interminables réunions parents-professeurs qui ne servent à rien d’autre qu’à se faire engueuler quand on est élève sans repartir avec rien de concret, je m’étais demandé comment une si petite femme avait pu donner naissance à un tel molosse.

Il fut bien sûr élu délégué de sa classe.

Le projet des deuxièmes années consistait en la préparation d’un voyage à l’étranger. Les étudiants préparent tout de A à Z dans une contrainte budgétaire précise. Réservation des hôtels, billets d’avions, visites… tout.

La destination choisie était le Royaume du Neukistan. Nous devions y passer dix jours.

Nous partîmes donc avec deux de mes collègues féminines et nos 25 élèves.

Mais, dès notre descente à l’aéroport, nous eûmes un problème. Les douaniers neukistanais ne sont pas réputés pour être les gens les plus rigolos du monde. Or, il apparaissait que Amjad avait sur son passeport les traces d’une destination où il était allé. Cela semblait poser problème, le pays en question n’ayant pas de bonnes relations diplomatiques avec le Neukistan.

Ils décidèrent donc de le garder à la douane.

Je ne pouvais faire autrement que de rester avec lui. Mais les douaniers me firent comprendre que dans ce cas, je subirais le même sort. Qu’importe, je restai.

Je dis à mes collègues de ne pas nous attendre plus de 20 minutes car, après, nous avions une visite de programmée, avant même d’aller à l’hôtel, et nous risquions de la rater. Au pire, nous les rejoindrions en taxi.

Nous fumes donc enfermés dans un local sans fenêtre. Nos valises furent vidées sans ménagement.

On nous posa mille questions.

Puis, on nous sépara pour nous réinterroger et on nous remit ensemble. Comme je m’impatientais, on décida de nous fouiller au corps.

Puis on demanda à Amjad de se déshabiller. A nouveau je protestai devant ce que je jugeais comme humiliant. On m’ordonna donc de me déshabiller aussi. Je fis savoir que j’informerai mon ambassade.

Mais il n’y avait rien à faire. La nudité intégrale fut la règle. J’étais gêné. Il était encore plus beau que je n’imaginais. Il avait de plus un sexe magnifique, gros, avec une circoncision qui permettait de bien mesurer toute l’ampleur d’un gland magnifiquement taillé et splendidement ourlé, et des couilles très pendantes, notamment celle de gauche. Ses burnes étaient lisses, magnifiquement épilées ainsi que sa bite. Il n’avait laissé qu’une toison pubienne très entretenue. C’était magnifique. Qu’allait-il penser de moi avec mon sexe « dans son jus » ?

Fort heureusement, la situation état suffisamment grave pour que cela ne m’excite pas trop et ne me donne pas envie de bander.

Quand, à nouveau, on nous laissa seul, Amjad me dit :

–  Merci m’sieur.

–  Merci de quoi ?

–  Ben, de m’avoir accompagné.

–  C’était normal.

–  Ben ouais mais maintenant la situation est peut-être génante pour vous.

–  Elle l’est en effet.

–  Je suis désolé.

–  C’est rien. Pas de votre faute, les autres connards !

–  En tout cas j’apprécie ce que vous venez de faire.

–  C’est à dire?

— Vous laisser mettre nu pour que je ne me sente pas humilié…

–  J’aimerais que cela reste entre nous.

Nous eûmes ce petit dialogue alors qu’il nous était formellement interdit de parler.

Nos gardiens revinrent donc aussi sec, nous ayant sûrement épiés.

La fouille recommença mais, comme nous étions nus, de façon beaucoup plus intime…

Ils commencèrent par lui. Il dut se pencher sur une table, la mienne étant un peu en retrait de la sienne. L’un des pandores enduit ses doigts gantés de vaseline et commença à lui fouiller l’anus d’une façon plus prolongée et plus approfondie que l’enquête ne le désirait. L’autre faisait de même avec moi.

Je ne déteste pas qu’on me fouille le cul, au contraire! Mais là le sentiment d’humiliation était tel que j’en pleurais d’impuissance et de rage. Légèrement devant moi, à ma gauche,le type tournait et retournait ses doigts dans le trou d’Amjad. Je vis que ce dernier bandait, une bonne grosse bandaison. Une queue magistrale, très belle. Je me mis à bander aussi du coup avec finalement un peu moins de scrupules en voyant l’effet que cela lui faisait..

 Les mecs qui nous doigtaient riaient entre eux et plaisantaient, sur notre dos sans doute, dans leur langue barbare.

Je finis par dire que c’était assez.

Ils se calmèrent et cessèrent.

Puis ils nous rendirent  nos vêtements et nos valises et nous libérèrent sans un mot d’excuse.  La garde à vue avait duré trois heures et demie.

Nous prîmes un taxi.

–  Ça va Amjad ?

–  Ça va monsieur, ça va… et vous.

–  J’enrage. Je me sens… je me sens…

–  Tout ça c’est de ma faute !

–  Vous n’y êtes pour rien…. on est tombé juste sur des gros porcs vicieux….

–  Vous allez raconter cela à vos collègues ?

–  Sûrement pas ! Quelle honte ! Je… je compte sur votre discrétion auprès de vos camarades.

–  C’est clair. D’ailleurs il faudrait peut-être qu’on s’accorde sur ce que l’on va dire ?

–  Oui, vous avez raison. Alors qu’est-ce qu’on va raconter ?

Le reste du trajet fut donc consacré à mettre au point un scénario qui passerait sous silence la fouille anale et la mise à poil. Les embouteillage nous permirent de nous mettre d’accord et d’évacuer un peu la gène que nous ressentions. Nous essayâmes même de faire un peu d’humour pour détendre l’atmosphère.

Nous parvînmes  à l’hôtel juste après l’arrivée du groupe qui avait eu sa visite et s’inquiétait pour nous.

–  Alors ?

–  On vous racontera. Là, on a juste besoin d’une douche avant le repas.

–  Oui, bien sûr.

Mais un nouveau problème se posa. Il y avait erreur dans les réservations. Il manquait un couchage, les étudiants étant placés dans des chambres de deux ou trois, non mixtes. C’est le genre d’incident que nous analysons au retour pour voir d’où vient l’erreur et comment la réparer.

Aucune autre chambre n’était disponible dans l’hôtel. Mais collègues féminines qui occupaient la même chambre ne pouvaient pas accueillir d’étudiante, faute de lit. Ma chambre au contraire en avait deux. La solution était que je prenne un élève avec moi.

Amjad se proposa spontanément :

–  Avec les soucis que je vous ai causés aujourd’hui, je peux bien rendre ce service.

J’acceptais, soulagé. Après tout, l’expérience vécue ensemble dans cet affreux bureau des douanes nous avait donné une certaine intimité et je préférais cela à la gène de me retrouver avec un autre étudiant dont je ne connaissais rien, d’autant plus que peu se précipitaient pour partager la chambre avec un prof. C’est beaucoup moins drôle qu’avec les copains.

Nous gagnâmes donc notre chambre.

Il y avait un grand lit à deux places et un plus petit juste au dessus à la perpendiculaire en mezzanine.

–  Vous prenez lequel Amjad ?

–  J’vous laisse le grand si vous voulez.

–  Merci. Tenez prenez votre douche le premier. Vernis comme nous sommes vous verrez qu’il n’y aura bientôt plus d’eau chaude. Autant que vous en profitiez.

Amjad rangea ses affaires dans la penderie et se mit à poil devant moi. Je tournai le regard. Il s’en aperçut.

–  Oh excusez-moi Monsieur. Je crois que je vous ai gêné. J’ai pensé qu’après tout à l’heure… et puis l’habitude des vestiaires de sport.

–  Non… non… aucune gène… Si c’est bon pour vous…Enfin c’est comme à la douane… que cela reste entre nous… vous comprenez…. et si une de mes collègues ou un de vos camarades frappent à la porte…

–  Oui… oui… je comprends….

–  Mais surtout, vous avez raison… après ce qu’il s’est passé, plus de gène entre nous. D’ailleurs, vous voyez, je me mets à l’aise aussi.

Et je me déshabillais devant lui, avec une posture un peu artificielle, c’est vrai, faussement à l’aise mais pas si mécontent que cela de m’exhiber face à lui. Il me fit un grand sourire plein de candeur, du genre  » j’aime mieux ça… j’ai eu peur d’avoir fait une bêtise ». Complètement rasséréné, il prit sa douche et j’en fis de même après lui.

Puis nous descendîmes pour le dîner.Nous étions à des tables séparés. Chacun racontait ses expériences de la journée et mes collègues m’interrogèrent abondamment sur notre détention à la douane et je m’en tins au discours que nous avions élaboré avec Amjad.

Je remontai me coucher. Amjad me suivit.

–  Vous ne restez pas avec vos camarades.

–  Non Monsieur. Je ne veux pas vous empêcher de dormir et vous réveiller au retour. D’ailleurs ces émotions m’ont claqué aussi.

Après nos toilettes réciproques, je m’alitai, torse nu comme à mon habitude, lui, en boxer léger qui laissait bien deviner le gros paquet qui flottait en dessous, grimpa l’échelle pour rejoindre sa couche.

–  Bonne nuit Monsieur.

–  Bonne nuit Amjad.

Et le silence se fit. J’avais encore la tête pleine des images de la journée… son corps magnifique, son dos courbé et ses jambes écartées pendant qu’un mec lui forçait l’anus avec ses doigts… je bandais et portai machinalement la main à mon sexe pour le caresser en discrétion. La chaleur m’avait amené à baisser le drap jusqu’à mon nombril.

Au bout d’une dizaine de minute Amjad demanda à voix basse.

–  M’sieur, vous dormez ?

–  Non je n’y parviens pas.

–  Moi non plus….j’voulais vous dire…. pour tout à l’heure… j’sais pas comment vous remercier.

–  On trouvera bien une occasion. Ne vous tracassez pas.

Nouveau silence.

–  M’sieur ?

–  Oui ?

–  J’voulais vous dire !

–  Oui ?

Et là je l’entendis bouger. Il faisait très noir mais mes yeux s’y étaient habitués et je devinais ses jambes qui pendaient du rebord de son lit, ses pieds balançant dans le vide à quelques centimètres de hauteur à gauche de ma tête.

–  Quand les… les brutes nous ont fouillés….

–  Oui ?

–  J’veux dire… quand ils nous ont fouillé… l’anus….

–  Oui ? Répondis-je inquiet.

— J’ai eu… j’ai eu une érection.

–  J’ai vu.

–  Et… j’ai vu que vous aussi.

Silence embarrassé. Très embarrassé…

–  M’sieur ?

–  ….

–  M’sieur ? J’veux vous dire… j’vous trouve très beau…

–  Euh… merci Amjad… mais… On peut peut-être oublier ça maintenant ?

–  Pour moi ce sera pas possible.

Et je sentis la lourdeur de sa masse tomber à côté de moi. Puis il se roula et vint se mettre sur moi, ses genoux de part et d’autre de mon ventre.

–  Amjad, qu’est-ce que vous faites ?

Il était nu. Je sentais ses roustons sur mes abdos. Il bandait.

–  J’suis amoureux de vous M’sieur. J’suis gay. Y’a longtemps que vous me faites flipper.

–  Amjad, arrêtez !

–  J’vous aime…

De sa main, il fouilla derrière lui et rencontra mon sexe tendu à mort.

–  Et vous, pourquoi vous bandez, c’est moi qui vous met dans cet état là ? Vous m’aimez ?

–  Amjad, c’est impossible. Arrêtez, vous êtes mon élève…

–  Et alors? J’suis majeur !

–  Je sais, mais pour moi, déontologiquement, cela ne change rien.

–  Et si je n’étais pas votre élève ?

Il s’allongea de tout son long, nos sexes écrasés l’un contre l’autre, nos torses se rencontrant tétons presque contre tétons, sa t^te contre la mienne, tournée vers moi, ses lèvres effleurant ma joue.

–  Mais vous l’êtes !

–  M’sieur, je déconne pas! J’suis vraiment amoureux de vous. Faut me croire. C’est pas un fake !

–  Retournez dans votre lit Amjad et on oublie tout cela? Dis-je avec un ton que je voulus ferme et autoritaire mais qui cachait mal sans doute l’absence de conviction.

–  Vous n’êtes pas libre ?

–  Si… si, mais ce n’est pas la question.

Et de fait ma femme avait demandé le divorce depuis un peu plus d’un an. Notre couple ne marchait pas. Elle avait dû comprendre secrètement que j’étais attiré par les hommes. On avait arrêté les frais au bout de 19 ans d’union.

–  Alors c’est quoi la question ?

–  Regagnez votre lit, je vous l’ordonne.

–  OK, OK… Mais  à une condition.

–  Laquelle ?

–  Que vous m’expliquiez pourquoi vous bandez là, alors que je suis sur vous.

–  Il n’y a rien à expliquer.

–  Monsieur, si vous me dites que vous bandez juste par ce que vous avez envie de tirer un coup, OK je me casse… Ou alors dites-moi que vous m’aimez aussi.

Il m’avait pris au piège… je ne pouvais pas lui mentir…. pas lui dire que j’avais juste envie de baiser. Certes j’étais très chaud, certes j’aspirais à faire l’amour avec lui mais il m’avait deviné. J’étais amoureux de lui.

–  Ô ! Amjad, Amjad…

Il se rapprocha encore de moi. Nos lèvres étaient à un millimètre les unes des autres. Il dit tout bas.

–  Alors…. dites-moi que vous ne m’aimez pas. Jurez-le moi… et je m’en vais. Je ne parlerai à personne. Personne ne sait que je suis gay… sauf vous… et je vous aime éperdument… On en restera là….

Sa lèvre inférieure effleura ma lèvre supérieure, les deux lèvres se caressèrent, timidement, amoureusement. Nos souffles s’échangèrent.

–  Amjad mon amour… Amjad… il ne faut pas !

Nos baisers devinrent de plus en plus appuyés, puis nos langues partirent à la découverte l’une de l’autre, très doucement, très longuement et enfin nous nous libérâmes en nous embrassant à bouche-que-veux-tu, avec toute l’ardeur d’un nouvel amour. Mes bras se refermèrent sur ses larges épaules, mes jambes se replièrent sur ses fesses, nos corps tortillèrent l’un sur l’autre sous la chaleur de l’étreinte. Et pendant de longues minutes, ce ne fut que des « Je vous aime… mon amour » et il disait que c’était le plus beau jour de sa vie.

–  Je vous aim… je t’aime… merde, comment on va dire ?

–  Il faut que pour tout le monde tu restes mon élève et que je reste ton professeur.

–  Mais… tu es mon amant désormais… je ne veux plus me passer de la chaleur de ton corps…. de toi.

–  C’est fou, Amjad mon amour. Nous n’aurions pas dû. Mais si on veut éviter les gaffes il faut continuer à se vouvoyer. Même si tu es majeur, si on apprend notre relation… je suis foutu. Je serai obligé de quitter le lycée devant le scandale.

–  Non, non… jamais ça, je tiens trop à vous…. à toi….

Et il m’embrassa fougueusement.

Je dois convenir que ces heures étaient délicieuses, les plus belles même de ma vie sentimentale et sexuelle. Nous restâmes ainsi très longtemps à nous embrasser et à nous dire des mots doux, puis, lentement, il descendit sur mon corps….. il me suça les tétons.

Puis il alla encore plus bas en me léchant les abdos.

–  Tu fais tu sport toi, hein ?

–  On va pas arriver à se vouvoyer! Ça va être impossible !

–  On fera attention avec les autres. J’suis trop bien avec toi. Alors, le sport ?

–  Karaté, muscu…

–  T’es beau… si beau…

–  Pas autant que toi…

Et il continua à descendre en me léchant le ventre, le nombril… si près de mon gland. Son menton rencontra mon sexe. Il empoigna ma bite et ouvrit la bouche.

–  Non arrête… on fait une connerie Amjad… J’eus un dernier éclair de lucidité.

–  Quoi ?

–  Tu te rends compte de la situation ? Je suis ton prof, j’ai l’âge d’être mon père…

–  Tu n’es pas mon père et je ne suis pas ton fils…. d’ailleurs j’aime les mecs plus âgés que moi, les daddies bien gaulés dans ton genre… physique et expérience… et si tu es mon prof, tu es le meilleur que j’ai jamais eu… et derrière ce prof, je vois un homme extraordinaire, sensible, humain, drôle, enfin tout quoi… dont je suis raide dingue.

Et ayant dit cela, il reprit son mouvement et me suça. Sa fellation était délicieuse. Pendant ce temps, je ne cessais de lui caresser la tête ou les épaules. Tout retour en arrière était impossible désormais.

Il me léchait aussi les couilles.

–  Excuse-moi, j’aurais peut-être dû les épiler… je  ne pouvais pas savoir…

–  T’inquiète…. poilues ou pas, ça me va très bien.

Puis, il me souleva les cuisses et se mit à me lécher la rondelle.

J’avais soigneusement lavé mon trou suite à la fouille anale que j’avais ressentie comme un viol. Jamais il n’avait été aussi propre. Il y introduisit sa langue, le plus loin qu’il put, m’emmenant avec lui dans des contrées que j’avais à peine explorées depuis mon divorce.

A suivre

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