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Souffre-douleur – Chapitre 2

Souffre-douleur - Chapitre 2



J’avais mis mon réveil à six heures vingt afin darriver à la fac en avance pour mon premier cours. La première minute je n’ai pas pensé à ma vie en miettes mais tout m’est revenu ensuite. J’avais honte de ce que j’avais laissé mon beau-père me faire mais mon tempérament parvenait tout de même à reprendre le dessus: S’habiller, aller en cours, travailler; Il fallait recommencer à mettre un pied devant l’autre.

J’ai fait une toilette rapide, remis de la crème apaisante là ou vous pouvez l’imaginer et je me suis habillée. Quand j’ai vu Frédéric dans la cuisine je me suis figée, j’avais espéré qu’il soit encore au lit. Lui m’a fait la bise comme si tout était normal et il m’a servi mon café.

— "Bien dormi ? Tu as quoi comme cours aujourd’hui" ?

— "Heu… oui j’ai dormi. Et j’ai initiation au Russe ce matin".

Il a croqué dans une tartine en se comportant exactement comme il l’aurait fait d’habitude.

— "Je passe aux courses en rentrant ce soir. Il te faut quelque chose ?"

— "Heu… non je ne sais pas. Des céréales sil n’y en a plus".

Il semblait vouloir tirer un trait sur ce qui s’était passé la veille, je me disais quil devait regretter et souhaiter que nous reprenions nos vies: J’étais d’accord. Notre famille allait avoir suffisamment à gérer avec l’infidélité de ma mère sans en rajouter. J’ai tout de même pris mon courage à deux mains:

— "On dit qu’il ne s’est rien passé et on n’en reparle plus jamais ? Daccord ?"

— "Ça me va… Tu es sûre que tu n’as pas besoin de shampoing ou de gel douche ?"

— "… du démêlant si tu en trouves; Tu sais: celui avec la boite verte".

Il prenait cela tellement à la légère, c’en était surréaliste. Au moins, nous étions d’accord pour enfermer cette horreur dans une boite au tréfonds de nos mémoires: C’était mieux comme cela.

J’ai passé ma journée de cours à peu près normalement même si je n’ai pu m’empêcher de repenser aux dernières quarante-huit heures: ma mère, ma famille… et la nuit précédente. Je me revoyais brailler en me faisant "prendre par derrière". Putain, il ne m’avait pas ratée !

Je devais être complètement folle mais à cette pensée j’ai rigolé au milieu de l’amphithéâtre comme une idiote. Cela devait être nerveux mais il valait mieux que ça plutôt que de faire une dépression.

Le soir à la maison tout sest passé à peu près normalement. Maman a appelé, j’ai dit que tout allait bien et j’ai menti en prétendant que Frédéric était sous la douche. Il m’a fait à manger, nous avons regardé ensemble un programme que nous avions l’habitude de suivre en famille puis il m’a embrassé sur le front en me disant qu’il allait dans son bureau. Cétait la tendresse habituelle sans insinuation et sans équivoques; cela semblait dingue mais nous avions passé outre nos ébats en moins de vingt-quatre heures.

Je suis allé papoter avec mes copines sur Facebook avant de me coucher comme je laurais fait une semaine plutôt, c’était vraiment comme si la soirée précédente n’avait jamais eu lieu.

La journée suivante se déroula à peu près à l’identique jusqu’à vingt- heures trente. Je sortais alors de la salle de bain après avoir pris une longue douche chaude simplement vêtue d’un de mes habituels t-shirts xxl qui m’arrivaient à mi-cuisse. J’ai ouvert la porte de ma chambre, Frédéric était là, assis sur mon lit.

J’ai eu un instant de frayeur; Evidemment je repensais à la soirée où il m’avait baisée mais j’essayais de me raisonner: c’était derrière nous et cela ne se reproduirait plus.

J’ai souri comme je pouvais et j’ai avancé vers mon lit; Mon beau-père s’est levé puis il approché de moi pour saisir mon bras et me balancer à plat ventre sur mon bureau. Je me suis retrouvé le torse sur le plateau en appui sur la pointe des pieds tant il avait failli me faire passer de l’autre côté.

J’ai senti son bras appuyer sur le bas de mon dos pour m’immobiliser et de son autre main il a relevé le tissu qui couvrait encore mes fesses. Je l’ai entendu saliver sur ses doigts et j’ai perçu le contact humide dans ma raie: Il allait recommencer, me prendre comme il l’avait fait deux jours plus tôt.

-"Arrête… Ne me fais pas ça… Ça ne t’a pas suffi la dernière fois ?".

— "Ta gueule !"

Il a pris un cadre avec une photo de ma mère et il l’a posé fermement à quelques centimètres de mon visage.

— "Elle a téléphoné il y a une demi-heure en disant de ne pas la rappeler parce quelle voulait se coucher tôt aujourdhui. Tu crois qu’elle est en train de faire quoi ?"

Je n’ai pas osé répondre, il avait sûrement raison: Maman le trompait sans doute à ce moment précis. Il a articulé froidement:

— "Elle est en train de baiser… alors moi aussi".

Je ne savais pas quoi dire, c’était sans doute déraisonnable mais je le comprenais. J’ai oscillé entre protestation et capitulation un instant puis j’ai choisi mon destin: j’ai arrêté de me débattre, jai posé mon visage contre le bureau et j’ai soufflé: "D’accord".

J’ai fermé les yeux et j’ai senti ses doigts enduits de salive venir au contact de mon illet. Il m’a caressé plutôt doucement en prenant suffisamment de temps pour que mon corps soit prêt lorsqu’il a enfoncé ses doigts en moi. Je ne sentais pas de rage en lui contrairement à la première fois: Il agissait froidement et savais exactement ce qu’il faisait. Il n’avait pas bu, il ne pétait pas les plombs et d’une certaine manière c’était encore plus déroutant.

Il m’a massé longtemps et il a glissé ses doigts en moi pour m’ouvrir à ce qui sannonçait puis quand il sest enfoncé entre mes fesses, il a été assez doux: il ne voulait sans doute pas me faire mal, j’étais un simple dommage collatéral: Il enculait la fille de l’ingrate qui le trompait, c’était la seule réponse qu’il avait trouvé.

J’arrivais mieux à gérer mon corps lors de cette seconde expérience, je parvenais à me détendre et à décontracter au mieux mes muscles intimes. Bien sûr je ressentais toujours un inconfort important et mes cris trahissaient des moments franchement douloureux quand il me prenait plus profondément ou lorsqu’il cramponnait mes hanches pour me besogner plus brutalement mais ce n’était plus une punition comme cela l’avait été deux jours plus tôt.

La pièce ne résonnait plus que du frottement de nos corps, de sa respiration et de mes réactions tantôt soupirs larmoyants, tantôt grognements ou cris aigus. Je n’aimais pas ça, c’était bestial, irrespectueux, quasi-incestueux et je n’étais que l’outil d’un règlement de compte qui me dépassait mais c’était une expérience plus intense que tout ce que j’avais vécu dans ma vie de femme; Je ne pouvais nier une certaine fascination pour ma propre capacité à m’en accommoder.

Je luttais toujours pour ne pas me contracter quand j’ai senti la pression des mains de Frédéric se faire plus forte sur mes hanches. Il a continué à coulisser au même rythme puissant jusqu’au moment où ses gestes sont devenus moins maîtrisés, il a poussé de toutes ses forces en grognant et en semblant hésiter entre se planter au fonds de moi ou donner un ultime coup de rein pour sentir la caresse de mes chairs sur sa verge. J’ai poussé un cri rauque en me sentant prise au maximum et il a cessé de retenir son plaisir; J’ai senti les salves de sperme s’échapper en moi puis rapidement après quitté mes entrailles, mon partenaire m’a abandonnée pour me laisser seule dans ma chambre.

Comme la première fois, je fus surprise de mon calme après une telle expérience et une douche chaude se révéla suffisante pour me remettre en état et m’assoupir très vite.

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