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Soumise, sinon rien. – Chapitre 19

Soumise, sinon rien. - Chapitre 19



Partie 19

Avec ce que Steph m’avait annoncé avant, récupérer Léa comme soumise était une possibilité, voire une très bonne idée. De plus, quand Steph aurait accouché, il y aurait toujours une personne pour veiller sur l’enfant, pendant que je jouerais avec les autres…

C’était une idée. Et avec ces filles, des idées, j’en avais pléthore.

Je basculais à nouveau la tête de Léa vers l’avant. Elle était toujours à genoux, son magnifique cul bombé (pas aussi beau que celui de Steph, mais très bien quand même mieux que Fabienne), relevé et son plug orné d’un brillant rose était devant moi.

J’ôtais le plug et lui fourra dans la bouche.

— Garde-le bien en bouche et ne le recrache pas. Sinon, je le scotcherai et ça ne sera pas forcément agréable.

Je rajoutai :

— Putain, je vais te démolir le cul, petite pute.

Je posai mon gland sur son anus et commençai à pousser. Ca rentrait tout seul. Surement l’effet du plug. Au début j’y allai doucement, puis, petit à petit, je suis allé plus loin, plus fort.

Je choppai la télécommande de l’uf et positionnai la vitesse et l’intensité sur maximum. J’attrapai sa longue chevelure blonde et tirai vers l’arrière pour que sa tête soit bien relevée.

Puis, je lui mettais de grandes claques sur les fesses. Je vins prendre ses deux seins dans mes mains et la plaquai à nouveau contre moi, malaxant ses seins fermement, faisant rouler ses tétons, tirant dessus.

Enfin, sentant la jouissance arriver, je sortis de son cul, lui ôta le plug dans la bouche et lui enfourna ma bite à la place, lui tenant bien la tête pour qu’elle me prenne jusqu’à la garde. L’attrapant à nouveau par les cheveux, je faisais maintenant des vas et viens avec sa tête. Je lui baisai littéralement la bouche, sous les yeux de Steph, qui elle, transpirait à grosses gouttes, toujours les seins tirés vers le haut.

La pression était telle que cette fois-ci, je ne pus me retenir et déchargeait dans la bouche de Léa une quantité phénoménale de sperme.

— Vas-y, bouffe salope, bouffe bien tout mon sperme. Sale petite pute. C’est bon hein ! T’aimes ça. Si tu viens avec moi, c’est tous les jours que tu en boufferas, et pas qu’un peu.

Des larmes coulaient de ses yeux. Son maquillage n’existait plus. Elle n’était à ce moment qu’une décharge à foutre.

— Allez, avale tout. Et maintenant, je veux que tu me suces pour rendre ma bite complètement propre.

Elle avala l’énorme quantité de sperme, puis continua de me sucer et de me nettoyer la bite. Au bout d’une minute, je relâchai enfin sa bouche.

— La vache ! Ce que tu m’as mis. Les claques sur les fesses, ça fait trop mal. Et cette quantité de sperme. T’avais pas déchargé de la semaine ou quoi ???

— Vous m’excitez tellement toutes les 2. 2 bonnes petites salopes, 2 bonnes petites putes.

— Ouais. On te fait plaisir… c’est sûr. Par contre, toi, tu ne nous fais pas plaisir. Je n’ai toujours pas joui, moi. Et là, je n’en peux plus. Putain, j’étais à 2 doigts…

— C’est voulu. Et ce n’est pas fini.

— Non, c’est bon. Arrête, je ferais tout ce que tu veux, mais putain, fais-moi jouir, j’ai trop envie.

Je m’adressai alors à Steph.

— Steph, tu en penses quoi ? Tu penses qu’elle peut déjà jouir ou est-ce encore trop tôt ?

— Je pense, cher maître, qu’elle devrait attendre encore un peu. C’est tellement bon d’attendre.

— Ok. Sinon, ça va toi. Tu es bien comme ça ?

— Je kiffe. Je suis ultra-excitée moi aussi. Mes tétons sont tendus à l’extrême. Je mouille que j’en peux plus. J’ai envie de me faire baiser, de hurler comme une chienne.

— Je vais te libérer Steph et tu vas aller prendre une douche pour calmer tes ardeurs. Il m’est difficile de devoir satisfaire 2 belles salopes comme vous. Par contre, tu le sais, interdiction de te masturber. Je veux que tu restes excitée.

— Oui Fabien, je sais.

Je relâchai la corde et les chaînes qui tiraient sur ses seins. Je déliais les cordes qui l’entravaient. Je la pris dans mes bras et l’embrassai tendrement, lui mettant une petite claque sur les fesses quand elle partit se doucher.

Je revenais vers Léa. Elle se tenait à genoux, la tête posée sur le canapé.

— Définitivement, me dit-elle, ça vaut plus le coup d’être soumise que chienne.

— Il y a des avantages et des inconvénients. Mais encore une fois, il faudra que tu en parles avec elle.

— Quand est-ce que je pourrais jouir, sil te plaît.

— Ecoute, moi, là, je suis vidé. D’ailleurs, c’est toi qui m’as bien vidé. Alors je ne suis pas trop d’attaque pour te rebaiser maintenant. Je pourrais te faire lécher par Steph, mais j’ai aussi envie qu’elle se relâche. Donc, soit tu attends encore, soit je peux essayer de trouver une autre solution.

— Attendre ??? J’en peux déjà plus depuis un certain temps. Il me faut juste l’étincelle et je sens que vais gueuler comme une truie.

— Donc, j’ai 2 solutions pour toi. Richard ou les collègues de Steph. Richard est un SDF qui vit au sous-sol, dans les caves. Il rend de menus services à la résidence et en contrepartie, on lui a aménagé 2 caves pour qu’il puisse rester là. Les collègues de Steph, je ne sais pas sils sont dispos tout de suite.

— Va pour Richard.

— Ok, allons-y.

— Quoi, comme ça ? A poil ? Les mains attachées ?

— Ben oui. C’est ça, ou tu attends encore. Comme tu veux.

— Ok, c’est bon.

Elle se leva. Je récupérai juste une veste que je lui plaçai sur les épaules et on sortit. On tourna tout de suite à droite pour prendre les escaliers et descendre aux caves.

Un véritable dédale, jusqu’à arriver à une porte, par laquelle passait un peu de lumière. Je frappai à la porte, m’annonçant.

— Entrez ! fit une grosse voix virile.

Je poussai la porte. Un gros chien vint me faire la fête. C’était Gaspard, le berger allemand de Richard. Le chien fit aussi la fête à Léa, attardant son museau entre ses cuisses.

— Arrête le chien, ça suffit.

Richard siffla. Le chien s’arrêta net et retourna s’asseoir aux pieds de son maitre. Puis il me demanda ce qui m’amenait.

— Voilà Richard. J’ai un petit service à vous demander. J’ai avec moi Léa, une bonne petite salope qui a énormément envie de jouir. Malheureusement, je l’ai déjà baisée et je n’ai plus de jus. Je me demandai donc si vous ne pouviez pas faire quelque chose pour elle.

— Tu veux que je la baise la petite ?

— Oui, exactement. Tu as carte blanche. Tu peux lui faire tout ce que tu veux.

— On peut voir la marchandise avant. Non, parce qu’avec Gaspard, on aime choisir.

Léa me regarda avec de grands yeux !

— Non, pas avec le chien me dit-elle.

— Ben, apparemment, c’est ça ou c’est rien.

Elle ferma les yeux et s’avança. J’enlevai la veste.

Richard se leva et s’approcha d’elle. Il lui malaxa les seins, leur mit au passage des petites gifles. Il la fit tourner, pelota son cul, la refit tourner, et enfourna 2 doigts dans sa chatte. Il récupéra l’uf et me le tendit.

— Tiens. Garde ton truc. Elle n’en aura pas besoin. Bon, c’est ok. On va te rendre service. Tu repasses la prendre dans une heure.

— OK, ça me va.

Puis m’adressant à Léa, je lui souhaitais "Bonne bourre". Et je rajoutai avant de partir.

— Ah, Richard. C’est une bouffeuse de sperme. Fais-en lui en bouffer.

— Celui de Gaspard aussi.

— Tout je te dis. Amuse-toi bien. A++

Je pris congé du petit groupe et la porte se referma.

Richard s’adressa à elle.

— Allez, à genoux, pétasse. Tu vas commencer par me sucer.

Il enleva son pantalon. Il bandait déjà. Son sexe était assez gros et long. Surtout très poilu. Léa approcha sa bouche de cette queue. Une odeur de malpropre la dérangeait.

— Allez, fais pas ta pimbêche. Ouvre la bouche et suce. Lui dit-il en forçant lui-même le passage.

Elle ouvrit la bouche et commença sa fellation. Pendant ce temps, Gaspard, le chien, avait le museau plaqué sur son cul et de sa langue râpeuse, lui léchait l’anus et la vulve.

Au bout de 5 minutes, Richard décida qu’il était temps de passer à autre chose.

— Bon, c’est pas mal, tu suces bien, salope. On va voir si mon chien sera aussi content que moi. Pour ma part, je vais baiser ta petite chatte.

Il attrapa son chien et le coucha devant Léa. Lui, fit le tour et se positionna pour la prendre en levrette. Puis il lui dit.

— Voilà. Maintenant, tu suces le chien et moi je te baise. Tu arrêtes, j’arrête.

Léa était dans un tel état, elle bouillonnait, qu’elle ne pouvait refuser. Avec sa bouche, elle alla chercher le sexe du chien qui était à moitié sorti de son fourreau, le lécha un petit peu.

— Fais pas tant de manières, vas-y carrément, il aime ça.

Elle goba donc le sexe du chien et commença à le sucer. Plus elle le suçait, plus le sexe du chien grossissait. Pendant ce temps, Richard la besognait en levrette. Léa était contente. Elle sentait l’étincelle qui déclencherait son orgasme arriver.

Ca y est, ça arrivait… Elle sentait le plaisir monter et l’envahir. Tellement, qu’elle n’avait pas senti le nud du chien presque tripler de volume, à tel point qu’il ne pouvait plus sortir de sa bouche. Richard la baisait fortement. Elle partit. Elle jouissait enfin. Elle voulait hurler mais sa bouche était remplie par le sexe du chien qui lui aussi commençait à déverser sa semence canine dans sa bouche. C’était un flux continu de sperme canin qu’elle était obligée d’avaler.

Richard, lui jouissait aussi, maculant sa matrice. Ça a été pour elle 1 minute de jouissance non-stop. Jamais elle n’avait connu ça. Si Richard sortait de sa chatte et s’essuyait la bite sur son cul, le nud du chien, dans sa bouche, n’avait toujours pas dégonflé et envoyait toujours des rasades de sperme.

— T’en as pour 2/3 minutes à rester comme ça. Après, ça va dégonfler et il pourra sortir. En tous cas, t’es vraiment bonne à baiser. Tu reviens quand tu veux voir Tonton Richard.

Quelques minutes plus tard, effectivement, le nud du chien dégonfla et il put sortir son sexe de la bouche de Léa. Elle n’en revenait pas d’avoir fait ça. Mais elle pensait aussi au pied qu’elle avait pris.

— On a encore une petite demi-heure devant nous. Tu veux rester ou je te ramène, poupée.

— Ramenez-moi, sil vous plaît.

Il la couvrit du manteau, et ils firent chemin jusqu’à chez moi.

Il frappa à ma porte. Steph lui ouvrit, nue.

— Je vois qu’ici, on ne s’embête pas. Je ramène la poule. Elle a bien joui, et nous aussi. Bye.

Une fois entrée, je demandai à Steph de la détacher et lui donnai l’ordre d’aller se laver car elle puait.

On débrieferait après.

Fin partie 19

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