Histoires de sexe travesti Premières histoires de sexe

souvenir avec papa – Chapitre 2

souvenir avec papa - Chapitre 2



3 – Papa me fais jouir…

Je me réveillais à nouveau tôt, j’avais emmené une nuisette courte et la passais pour descendre au petit-déjeuner. Papa ne se levant pas je préparais 2 tasses et montais. Mon père ouvrit les yeux et sembla ravi, je m’assis au bord du lit.

— j’ai pris 2 tasses cette fois papa…

— oui je vois ça…allonge toi à côté…

Je me mis donc sur le lit, ma nuisette découvrait bien haut mes cuisses, papa regardait.

— t’es vraiment bien foutue Véro. Encore mieux quavant

— merci papa…

— mais c’est la vérité…des cuisses pleines, une superbe poitrine et des fesses à claquer…

On prit notre café, papa me jetait des coups d’il en souriant, je le laissais là et allais m’habiller pour la plage. Désormais je ne mettais plus du tout de soutien-gorge et faisais bronzer ma poitrine, à chaque fois que je passais de la crème solaire papa n’en perdait pas une miette, et c’était toujours lui qui me la passait dans le dos, il en profitait un peu pour bien en étaler sur mes flancs effleurant au passage mes seins.

Pendant 2 jours il ne se passa rien, nous allions juste flâner à la plage. L’envie de fessée me taraudait mais je n’osais pas faire de nouvelles provocations, préférant attendre les ordres de mon père. Malgré tout si il ne se passait rien je renverserais le plat du soir, après la douche je me fis sexy : jupe courte et dessous de dentelle vert pâle. Au moment où je posais le plat sur la table je le fis basculer.

— oh zut !

Je regardais aussitôt mon père.

— eh oui…on verra çà après avoir mangé…

J’en avais des picotements au bas du dos. Le repas et la vaisselle terminée je me présentais au salon, jattendais devant lui les yeux baissés. Il me fit basculer, releva ma jupe et commença à me claquer.

— puisque tu as du mal à comprendre je vais y aller plus fort…

Les claques étaient bien plus fortes qu’avant, je gémissais, la chaleur montait plus rapidement Comme la dernière fois l’autre main glissa sous moi, elle engloba mon sein. Javais maintenant envie de la sentir directement sur ma peau, j’attrapais le poignet de papa, il cessa aussitôt pensant sûrement que je refusais ce contact, je fis glisser la main sous mon t-shirt, elle remonta de mon ventre jusqu’au soutien, les doigts palpèrent plus fort pendant que les claques s’abattaient sur mes fesses.

— tu ne mérites que çà idiote ! Tu le sens j espères…

Je ne savais pas de quoi il parlait exactement.

— oui papa tu as raison je suis ton idiote de fille à claquer…

Les doigts cherchaient maintenant à dégager mon sein du bonnet, ma poitrine était dure, j’adorais.

— bien Véro…et quoi d’autre ?

Je perdais la tête, mes fesses me brulaient et la chaleur gagnait mon ventre.

— je suis aussi ta petite conne à peloter !

— oh Véro oui tu as raison !

Les doigts attrapèrent mon téton et le tirèrent.

— tu te rappelles de çà aussi  ?

Ce souvenir m’échappait mais je comprenais mieux pourquoi ma mère avait interdit les fessées. Mais maintenant et je le voulais.

— non papa mais maintenant je veux que tu le fasses…comme tu veux papa…

Il me claque encore et me pinça le téton. Les larmes coulèrent et le plaisir monta en moi sans que je ne puisse lutter. Je poussais un long gémissement. Papa cessa, ses mains quittèrent mon corps, je restais immobile, il caressa mes cheveux.

— çà c’était une bonne correction ma conne…

— oh oui papa je le méritais…

Je lui étais totalement soumise, il m’aida à me relever, je me blottis à côté de lui pendant le reste de la soirée. Je sentais que mon sexe était trempé, dans ma chambre je me caressais encore si il avait voulu aller plus loin je suis sûre que je me serais laissée faire. Je m’endormis de suite.

4 – Exhibition à l’extérieur et punition

Cette fois quand je me levais papa était déjà dans la cuisine.

— il faut aller faire des courses aujourd’hui Véro…fais toi bien sexy, j’aime sortir avec une jolie fille à mes côtés…

Je décidais de ne pas décevoir mon père. Je passais les dessous qu’il m’avait offert puis je cherchais la jupe la plus courte que j’avais, un simple t-shirt blanc complétait le tout. Papa me détailla des pieds à la tête et sourit.

— pas mal du tout Véro ! Allons-y…

Assise dans la voiture la jupe remontait à la limite su shorty, papa lançait souvent des regards vers mes cuisses nues. La ceinture de sécurité faisait bien ressortir ma poitrine. Dans le supermarché pas mal d’hommes me lançaient des regards.

— tu as vue comme tu te fais mater Véro ?

— oui papa j’ai remarquée…c’est drôle mais j’aime ça…

Plusieurs fois mon père me prit par la taille, il me murmura même:

— dommage que ça ne ballote pas sous son t-shirt Véro çà aurait été encore mieux…

Je lui souris et lui promis que la prochaine fois il serait satisfait. Quand on passât devant le rayon des vêtements il me demanda sil me fallait quelque chose.

— non papa je n’ai besoin de rien…

— et si tu avais besoin dun soutien ? Un peu comme celui de ton premier maillot de bain…

— euh oui c’est vrai, je vois ce que tu veux dire…mais je croyais que tu préférais sans…

— oui Véro tu as raison…d’ailleurs tu me donneras ceux que tu as dans ton sac en rentrant…

Il trouva ce qu’il voulait, un modèle très ajouré en dentelle il le prit 2 tailles trop petites.

— on dirait que ça te plaît d’être regardée ?

— en fait oui…je n’avais jamais fait çà avant papa…

— jespère bien ma fille ! Tu es jeune encore et tu as plein de choses à découvrir…

Sur le chemin du retour, étant arrêtés à un feu, une moto se plaça à notre hauteur, le motard regarda vers moi, papa le remarqua.

— ouvre un peu les cuisses Véro, fais-lui plaisir…

Je le fis, il devait voir mon shorty. Mon père posa une main à l’intérieur de ma cuisse et me fit encore plus écarter, le motard fis un petit signe de remerciement. Je sentis quand même le rouge me monter aux joues. On redémarra, il n’y eu plus d’autres feux jusqu’à la villa.

— dommage que tu n’aies pas eu un chemisier Véro ! Tu aurais pu en montrer plus…

— oh papa tu aurais voulu çà ? Tu me l’aurais ouvert ?

— bien sûr !

— tu aurais pu soulever le t-shirt alors…

Il ne répondit pas mais saisit le bas de mon t-shirt et le releva, découvrant mon soutien.

— ah oui tu portes ce soutien, il est vraiment beau mais on ne voit même pas tes bouts !

— alors il faudra que je m’en passe pour sortir ?

— oui Véro laisse ta grosse paire libre ! Cest l’été profités en !

On arriva, tout en rangeant les courses je demandais :

— je lessaye quand le nouveau soutien papa ?

— ce soir Véro après le dîner…

L’après-midi on retourna à la plage. Jattendais le soir avec une certaine impatience. Une fois le repas prit et la vaisselle faite je rejoignis papa au salon.

— je vais chercher le soutien papa ?

— oui vas-y et reviens ici…

J’en profitais pour lui amener les autres comme je lui avais dit.

— tiens papa, comme çà je serais sans…

Je gardais à la main celui acheté ce jour.

— tu m’aides ?

Je lui tournais le dos et retirais mon t-shirt. Il se leva, il me fit pivoter face à lui.

— quelles tétines tu as ! Plus grosses encore que celles de ta mère !

Il posa la dentelle sur mes seins, me passa les brettelles me fit retourner et l’accrocha, j’étais très serrée, la poitrine écrasée, les bonnets avaient du mal à contenir mes seins.

— je suis vachement serrée papa …

— je vais détendre les bretelles au maximum…

Cela allait mieux, mes seins débordaient largement de la dentelle.

— alors papa tu en penses quoi ?

Il approcha la main et tira les bonnets vers le bas, mes aroles dépassaient à moitié.

— comme çà c’est très bien…ils semblent encore plus gros…et puis ces bouts…magnifiques…

— tu m’en achèteras d’autres alors ?

— bien sûr Véro…allez assieds-toi…

Puisqu’il ne me proposait rien d’autre je tentais le tout pour le tout.

— tu ne me punis pas ce soir ?

— j’ai failli oublier ! Allez idiote par ici…

Il me tira sur ses genoux.

— et puis non…debout Véro !

Jobéis, je ne savais pas ce qui allait se passer mais j’adorais çà.

— tu te souviens comment tu les recevais avant tes fessées ?

Il voulait donc me claquer fesses nues !

— oui papa…cul nu…enlève ma culotte alors…

Je lui tournais le dos, ayant honte de lui montrer ma fente lisse. Je relevais ma jupe, ses mains attrapèrent mon shorty et le tirèrent vers le bas, je l’enjambais puis me retrouvais couchée sur lui. Les premières claques tombèrent, c’était plus sec sur ma peau nue, comme les fois précédente l’autre main chercha ma poitrine elle pinça le sein qui dépassait largement du bonnet mais n’arrivait pas à le sortir tant il était serré.

— oh papa dégrafe le ! Il me serre trop…

Il cessa et ses doigts décrochèrent rapidement le soutien, la main reprit vite sa place, malaxant sans gêne ma poitrine. Il s’y prenait vraiment bien, je n’avais jamais été pelotée comme çà.

— alors petite conne tu les sens mieux comme çà ?

— oui papa ! Dérouille moi comme tu dois le faire…je n’en ai pas assez eue quand jétais ado!

Il frappa encore plus fort, mon poitrine était gonflée et le plaisir montait déjà en moi.

— oh papa tire mes bouts !

Il s’en empara et les tira lentement mais de plus en plus fort, je gémis et me mis à pleurer.

— oui papa ! Claque et tire ! Fais-le ! Jai si honte d’être conne ! Punis-moi !

Il continua de plus belle, je me tortillais sur lui. Je poussais un cri de plaisir et il arrêta. Je restais immobile.

— puisque tu te comportes comme une gamine je vais te traiter comme telle ! Vas dans le coin !

Je me levais, ma jupe retomba sur mes fesses, jallais me placer dans le coin du salon, nez vers le mur.

— tes fesses te chauffent Véro ?

— oui papa…

— mets les a l’air et mets-toi à genoux alors !

Je fis carrément tomber ma jupe et me mis à genoux, mains sur la tête.

— je vois que tu comprends bien pour une petite conne…restes comme çà…tes fesses sont bien rouges, tu as vraiment le cul fait pour être claqué !

J’avais honte mais éprouvait du plaisir ! Je restais sans bouger, après quelques minutes papa me dit de le rejoindre sur le canapé, je ramassais ma jupe pour cacher ma nudité; je me mis à côté de lui.

— tu es belle ma Véro avec tes larmes…

Sa main se posa sur mon visage et essuya mes joues, son pouce accrocha mes lèvres, je le laissais faire. Je savais bien que tout çà était malsain mais rajoutait encore plus de plaisir. Il me serra contre lui.

— tu seras toujours ma petite conne Véro…quoiqu’il advienne…

— oui papa je le veux, je suis majeure maintenant et je sais que je veux t’obéir…

On regarda le film comme çà, il caressait mes cheveux et mes épaules. Pour rejoindre ma chambre je gardais ma jupe devant moi. Une fois encore je me caressais comme une folle.

Une nouvelle fois j’amenais le café au lit, je me mis à côté de papa. Je ne savais pas ce que la journée allait encore me réserver.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire