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Souvenir d'Afrique – Chapitre 1

Souvenir d'Afrique - Chapitre 1



Une matinée africaine

Après l’expérience de mon ’premier Black’ à DAKAR, je n’avais rien dit à mon ami, gardant pour moi ce délicieux secret. Pourtant, quelque fois il me taquinait encore en me disant, ’que tu devais plaire à Yousouf, il n’arrêtait pas de mater ton cul !.’ Je me gardais de répondre, ressentant encore ces longues pénétrations..

Je me trouvais donc souvent seule à la maison avec le boy, qui s’appelait Norbert, j’attendais une place de comptable dans une société qui était longue à se décider.

Tous les matins, sur l’ordre de mon ami, il me portait le petit déjeuner au lit, où je paressais avant de me lever prendre une douche, l’atmosphère étant toujours chaude et moite.

Au bout de quelques semaines, excitée par ce temps moite et chaud (j’étais souvent excitée). Ce qui plaisait à mon ami qui me le faisait savoir en me prenant dés son retour, après m’avoir jetée sur le lit, cris et soupirs se mélangeaient. Je pense que Norbert devait écouter à la porte mes râles et mes soupirs, car après chaque ’séance’ lorsque nous retournions dans le salon pour boire quelque chose, il était dans le coin, le regard oblique à mon égard, et une belle bosse sous son short.

Je m’étais prise à rêver d’un rut avec cet homme musclé, apparemment bien monté, sous ma coupe, une sorte de prise brutale et sauvage où je pourrais donner le meilleur de moi-même en toute impunité et discrétion, pour me venger en quelque sorte de Yousouf !!. J’étais jeune, une belle poitrine (95), grande (1,70m), brune. Je voulais profiter de la vie, surtout que j’avais souvent des sollicitations des hommes.

Un matin que j’avais pris mon petit déjeuner, le plateau par terre, je m’étais rendormie sur les draps à moitié nue, mes seins à l’air, mais avec une petite culotte, seul rempart à ma féminité.

Je fus surprise par un bruit. Dans mon demi-sommeil je me tournais sur le dos, livrant à Norbert, qui venait prendre le plateau, une grande partie de mon corps.

Au lieu de prendre le plateau, le noir s’approcha du lit, je sursautais.

-Que fais tu ?

-Ou tu vas ?

Comme un zombie le boy tendit sa main vers mes seins et s’agenouilla sur le bord du lit !

Tétanisée, je ne bougeais pas lorsque ses mains malaxèrent mes deux seins, les pointes se tendaient et je sentais dans mon bas ventre une chaude excitation m’envahir. Mais je n’allais pas me laisser faire sans combat, je me débattis en le menaçant des foudres de mon ami et des miennes. Il n’en avait cure et me le dit :

-Tu es belle madame !

Je dirai que tu demandais toujours de me sucer et que je te baise, le patron me croira car il sait que tu aimes l’amour ! . Je t’ai vu avec lui, tu es gourmande, tu aimes trop çà !!.

Il commence à se glisser sur moi, j’essaye de le repousser mais il est athlétique, d’une main et de son poids il me coince sur le lit de l’autre il défait sa braguette et fait surgir du short, tel un pandore de sa boîte, une très belle queue noire mate, d’une dimension plus que satisfaisante, avec un gland énorme, agressif.

En bougeant je n’ai fait que me fatiguer, il glisse ensuite sa main libre vers mon petit slip, je sens ses doigts l’agripper et tirer un coup sec, le fragile vêtement, saute, je suis à la merci, du noir qui est de plus en plus excité à la vue de cette blanche dominatrice qu’il va pouvoir posséder à sa guise.

Il s’écroule sur moi, je sens son sexe dur se glisser vers ma féminité, avec sa main il guide l’engin vers mon nid d’amour, caresse mon clitoris avec son gland, il doit sentir que je suis prête, car je mouille pas mal.

-Tiens patronne, le ’nègre’ va te la mettre bien loin !

Il enfonce un peu le gland à l’entrée de ma chatte, et d’un long et puissant coup de reins rentre dans mon vagin l’intégralité de son engin, m’arrachant un cri, autant d’indignation que de satisfaction.

Je sens la peau de mon con se déplisser pour accueillir le noir qui commence à, me besogner.

Je décide de me lancer dans l’action, je relève mes cuisses de part et d’autre des reins de Norbert, et lance mon bassin en avant pour accepter en moi toute la puissance du mâle qui se déchaîne, sentant que je participe à son fantasme le noir se met à m’embrasser goulûment et à malaxer ma poitrine.

Je ne peux résister longtemps au plaisir qui irradie mon ventre :

-Salaud ! vas y baise-moi à fond sale ’négro’

-Ouiiii, j’aime çà encore, tape mon utérus fort !

-Salaud, entre à fond, crache ton jus !.

Malin il veut profiter de ma docilité le plus longtemps possible. Il se retire de moi, et me retourne, je suis à quatre pattes. Sans préambules, malgré mes gémissements, il s’attaque à mon cul, le mouillant avec sa salive et lui cale son phallus bien dur. Il pousse et pénètre l’endroit secret, pendant 5 minutes j’ai droit à un festival, je sens ses couilles taper contre les lèvres rougies et turgescentes de ma chatte.

Je crie de plus en plus, sans retenue, je n’en peux plus.

Je jouie !!!! Longuement, j’ai l’impression de me vider. Mon sexe ne fait qu’un avec celui du noir ! .

Norbert est heureux, il replonge dans mon con, et fait des allers et retours entre les deux trous.

Il me remet ensuite sur le dos et reprend ma chatte, je noue mes jambes autour de ses reins, mes pieds se calent sur ses fesses, je suis bien décidée à, l’entraîner dans la félicitée du plaisir.

Au bout de quelques : Han ! De sa part et une nouvelle vague de jouissance de ma part, le noir se libère enfin en moi.

Je le coince pour sentir au fond de moi les longs jets chauds de sa semence sur mon utérus. C’est ma première fois avec un noir, il m’en a mis une bonne dose ! . Son jus ressort de mon sexe dilaté mouillant les petits poils autour de ma chatte.

Nous restons collés l’un à l’autre quelques instants, je me dégage et roule sur le coté anéantie.

Norbert en profite pour aller à la salle de bain laver son sexe. Lorsqu’il revient il est toujours aussi impressionnant, bien qu’a moitié raidi.

Il revient sur le lit se couche à cote de moi et m’attire vers lui, je pense à un moment de tendresse mais le boy me dit ’: Madame j’ai envie que tu me suce, il paraît que les blanches font çà bien !’

Je m’exécute craignant qu’il interprète mal mon refus car je n’aime pas trop sucer.

Je fais glisser ma langue un moment le long de la hampe de chair, titille le gland, puis avale l’engin, la repousse de la langue, le réabsorbe goulûment, le caressant d’une main, l’autre malaxant les couilles de Norbert qui est ravi et le fait savoir par des grognements de satisfaction de plus en plus rapprochés.

Bientôt il éclate dans ma bouche, coinçant ma tête entre ses mains puissantes, je ne peux éviter les jets acres et amers de son sperme que je suis obligée d’avaler pour ne pas m’étrangler.

Une fois fini il me fait nettoyer avec ma lange son membre et se lève pour rejoindre sa cuisine.

Au passage je reçois une claque sur le cul.

Je vais prendre ma douche, jette à la poubelle le reste de mon slip, et demande à Norbert de changer les draps qui sentent son odeur acide.

Je suis contente car j’ai pu assouvir mon fantasme, en tout honneur, n’ayant fait aucune démarche par moi-même.

Je reste complice de Norbert qui se méfie quand même de moi, bien que nous fassions des petits déjeuners coquins souvent !. La suite de ces souvenirs dans une autre lettre.

Anne

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