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Souvenir de perversion – Manon 1 – Chapitre 1

Souvenir de perversion - Manon 1 - Chapitre 1



Un jour, traînant sur les annonces gay "Viva", je tombe sur ce titre : CH HOMME DOMI POUR ME PARLER DE MA FEMME.

Pour le moins original, au milieu de toutes les promesses de fellations expertes et de culs souvent poilus mais accueillants qui se déplacent facilement et ne reçoivent pas…

Premier mail avec quelques lignes perverses pour appâter le soumis égaré. Et une réponse rapide et enthousiaste d’Alex, assortie d’une photo d’un cul féminin magnifique, récompense et support à de nouvelles rédactions pleines de stupre.

Le personnage principal, Manon belle brune de 25 ans aux petits seins fermes et propriétaire de ce cul magnifique.

Je me prends au jeu et entame une jolie collection de photos au fil des saloperies que j’écris.

Les mails s’accumulent et les échanges avec Alex sont assez funs.

Alex a un trip candau mais pas vraiment partagé. Souvent en déplacement professionnel, il consomme pas mal de porno et s’ennuie entre deux sextos photo éloignées de Madame.

Manon se laisse de temps en temps faire pour des plans extérieurs mais c’est encore très loin des aspirations d’Alex.

Son annonce dans la catégorie gay, c’est parce qu’il trouvait que les mecs étaient plus tordus dans leurs réponses que du côté des hétéros délaissés par bobonne. OK… bon délire.

Je finis par connaître par cur ce corps gaulé comme un sextoy manga.

Mais le délire photo me lasse. Ça me prend beaucoup de temps d’écrire et la récompense n’est plus à la hauteur. Il m’en faut plus.

Alex est bien accroché à mes scènes que je découpe en épisodes mais il ne veut pas dépasser le virtuel.

Un petit nez et un bas de visage apparus sur quelques photos plus les informations lâchées au fil des mails par Alex, je fouille dans les profils LinkedIn et les comptes copains d’avant pour essayer de mettre la main sur le visage toujours tronqué de mes trophées.

Je finis par trouver une Manon, même nez, même arrondi de mâchoires et couleur de cheveux, recoupés avec l’âge, la formation, le job, et la région, ça paraît tout à fait crédible.

Cerise sur le gâteau, ce visage je le croise dans le métro le matin, enfin j’en ai l’impression car je scotche plutôt le beau cul qui va avec.

A Marseille, il n’y a que deux lignes de métro et pas trop de monde, du coup tu recroises vite les mêmes personnes alors… Mettons…

Au bluff, j’envoie le visage trouvé avec un mail victorieux qui dit : ta chienne de femme (il aime que je lui donne des noms graveleux), en fait, elle prend le même métro que moi le matin. Il faut absolument que je lui parle de ma collection privée…

Alors que d’habitude, les réponses arrivent vite, 48h sans réponse, j’avais ma confirmation.

Au troisième jour, Alex me supplie de ne pas aller lui raconter nos échanges, par pitié… Si elle apprend ce qu’il fait des photos qu’elle lui envoie, etc… Par contre il m’invite à essayer de la draguer.

Briseur de couple, c’est pas ma came.

La complicité d’Alex pour que je me tape sa meuf, ça, ça m’éclate.

Dieu inventa le candaulisme, quand bien plus tard il en fit de même avec le porno amateur, le groupe des premiers s’en trouva démultiplié… Amen !

Du coup, tous les matins et avec application, je la lorgne du coin de l’il et elle finit vite par le remarquer.

Petits rapports réguliers à Alex où ça s’engraine bien.

J’ai alors continué un peu plus ouvertement, et suivant l’humeur du jour, de manière abusée.

Visiblement ça semble l’amuser en même temps que la gêner. Comme j’ai 20 ans de plus, ça doit passer. Alors que je m’imagine lui ouvrir son cul pour y mettre trois ou quatre doigts, je l’ai grillé avec un petit sourire en coin en relevant mes yeux vers les siens.

Et puis par ce midi de juin, c’est son cul que j’ai d’abord reconnu. Sa petite jupe rebondissait dessus et j’en étais jaloux.

J’ai pressé le pas pour arriver à sa hauteur et lui dire bonjour.

Elle a sursauté, souri et m’a répondu.

Je lui demande si sa matinée s’est bien passée car je ne l’ai pas vu ce matin comme à mon habitude.

Elle ne relève pas le côté habituel de mes regards et me répond un truc auquel je fais mine de m’intéresser.

Je marche plus lentement pour gagner du temps et lui propose de l’inviter à déjeuner sur le pouce si elle en a le temps car je connais une terrasse agréable juste à côté. J’ai un rendez-vous dans un peu moins d’une heure alors de toute façon ce serait rapide.

Avec un sourire en coin et un regard assez direct elle m’annonce qu’elle est déjà en couple.

Ce à quoi je réponds qu’une belle femme comme elle ne peut être célibataire que si elle le choisit. Et je suis, moi, un père de famille respectable, heureux et épanoui.

Et de toute façon, cela n’a rien à voir avec une salade en terrasse au soleil pendant 30 min pour couper le rythme d’une journée de boulot !

Le tout avec la même effronterie qu’elle et le même regard que si mon gland lui remplissait la gorge.

J’aime ce bar où nous installons car ce sont des fauteuils bas et des petites tables sur le côté.

Quand elle s’assoit, ses jambes sont bien hautes et elle doit les serrer pour que je n’aie pas une vue directe sur l’intérieur de ses cuisses.

Elle se rend compte tout de suite de la situation, rie nerveusement mais j’embraye sur ce qu’elle a envie de manger et fais signe au serveur.

Je m’installe de manière à ne pas être pile en face pour qu’elle puisse cacher sa culotte plus facilement.

Elle est là à siroter son jus de fruits et légumes, les jambes serrées en se demandant un peu ce qu’elle est en train de faire. Alors je la fais parler un peu, se raconter, pour la détendre, son boulot, tout ça…

Les salades arrivent.

Je lui demande aussi depuis combien de temps elle est en couple.

Là elle tique un peu mais je lui parle de ma femme ce que ça nous a fait avoir un enfant. Je lui parle aussi et surtout de comment on a réussi à conserver une relation amoureuse en plus d’être parents.

Ma femme aime être soumise, l’un comme l’autre on est ouvert côté sexe et rencontre, et j’y vais assez franco côté cul dans mes explications.

Ça la fait sourire ou rire, parfois elle fait des yeux ronds et elle jette des regards autour de nous, gênée de tels mots en public.

Mais je sais être discret et tout le monde autour s’en fou complètement.

Avec la petite table sur le côté, accéder à nos salades pour les manger nous oblige à ne pas rester immobiles sur nos fauteuils.

Alors, ses jambes s’ouvrent, sa jupe a tendance à remonter et je n’en perds pas une miette dès qu’elle bouge.

Je continue à lui parler des trips culs avec ma femme tout en mangeant et lui reluquant son entrejambe.

Se promener sans culottes, les lieux publics, les plans exhib, à plusieurs…

Mon regard n’est absolument pas furtif, je dirais plutôt bien lourd et je fais tout maintenant pour qu’elle ne puisse plus l’ignorer tellement je suis insistant.

Assez rapidement elle m’interrompt pour me demander d’arrêter d’essayer de regarder ses cuisses, que c’est très gênant.

Puisque je suis si épanoui et fier de mes activités sexuelles avec ma femme, pourquoi je la reluque comme ça depuis tant de temps tous les matins et pourquoi sommes-nous là ?

Nous y voilà donc enfin.

Je me penche vers elle, m’approche le plus possible tout en restant assis et je lui annonce que j’aimerais beaucoup avoir sa culotte.

Elle en reste sans voix un instant, se cale le dos dans le fauteuil, serre encore plus ses jambes puis se met à rire en disant qu’elle hallucine.

Comme je suis toujours assez près d’elle, je commence lentement à approcher mes mains de l’extérieur de ses jambes et de ses genoux.

Elle me regarde dans les yeux avec un regard froid et dur mais mes mains sont maintenant à la lisière de son joli imprimé été si léger que d’un geste rapide je n’ai aucun mal à parcourir les derniers centimètres pour glisser mes doigts de chaque côté de ses hanches sous l’élastique de l’objet convoité.

L’instant s’est figé, je fais mon maximum pour que rien ne puisse être vu par les personnes autour, essayant de donner l’impression que je lui fais une confidence à l’oreille.

A ce moment Manon a voulu dire quelque chose, surement une protestation mais comme je commençais à tirer l’élastique, elle est arrêté net le souffle court pour essayer de retenir sa culotte avec son cul et ses jambes.

Je force un instant, il lui faudrait se débattre réellement pour me stopper, cela attirerait l’attention.

Elle cède et je me recule lentement avec mon trophée en la regardant droit dans les yeux un sourire à la fois doux et carnassier aux lèvres.

Elle a la bouche entre-ouverte et avale de grande goulée d’air en me regardant complètement abasourdie par ce qui vient de se passer.

Il est clair qu’elle ne s’y attendait pas.

Sa culotte en boule dans ma main, je lui laisse le temps de reprendre son souffle et de se calmer sans quitter ses yeux.

Avec un sérieux rouge aux joues, Manon jette des regards dans tous les sens à priori pas pour appeler au secours, mais plutôt pour vérifier que personne n’ai vu ce qui venait de se passer.

En tout cas, je choisis cette interprétation et je la rassure.

Je lui dis que tout va bien, que personne n’a rien vu et je lui sers un verre d’eau qu’elle vide d’un trait.

Je lui dis aussi qu’elle m’excite encore plus à haleter comme ça.

Sa main tremble un peu en reposant le verre, l’intérieur de ses genoux est blanc tellement ses jambes sont serrées. Elle inspire profondément et je lui répète que personne n’a rien remarqué, que tout va bien et qu’elle devrait se détendre car elle va se faire mal aux genoux et aux abducteurs, le tout avec la plus grande sollicitude et un sourire qui se veut enjôleur.

— Connard, rends-moi ma culotte ! lâche-t-elle dans un murmure.

Sans relever, je fais apparaître l’étoffe soyeuse dans ma main.

Bien sûr pas dépliée ou identifiable, on pourrait croire à un carré de tissu dont je palpe et savoure la texture comme un curé égrainerait son chapelet.

Je lui dis que ce rouge est démoniaque et me plait beaucoup. Est-ce que son haut est coordonné ?

Les yeux paniqués elle me dit de ne pas la montrer à tout le monde, que je suis fou.

Sa respiration s’emballe à nouveau et je lui demande de ne pas recommencer à m’exciter car ma queue est déjà tellement gonflée que ça commence à me faire mal.

J’ai failli éjaculer rien qu’à entendre son ricanement qui a suivi.

Rire l’a détendue.

Manon s’assoit un peu plus confortablement en essayant de mettre ses jambes en biais pour ne pas me montrer sa chatte. Les deux mains plaquées sur les bords de sa jupe et je fais mine d’être absorbé par mon trophée.

Dans ma main, une partie de tissus visible est d’un rouge plus foncé.

Je redresse la tête pour la regarder dans les yeux et lui montrer cette auréole que je porte ensuite jusqu’à ma bouche pour la lécher, lentement.

Bon, pas aussi longtemps que j’aurais voulu car il y a toujours des gens autour de nous. Un peu moins quand même, ça commence à se vider mais je dois afficher un désir de discrétion.

Je pense qu’elle aurait eu la même expression si elle avait été surprise en train de voler des bonbons dans une boulangerie.

Rouge comme une pivoine, Manon essaie de bafouiller une réponse mais renonce. Le sourire du "pris en flag", je m’en délecte.

Je lui demande ce qui l’a fait mouiller comme ça car ce n’est pas le goût de sa sueur que j’ai en bouche.

Et Manon qui expire lourdement, plusieurs fois, pour calmer son rythme cardiaque, les seuls clients qui restent sont à plusieurs tables de nous.

Une de mes mains effleure son genou et je lui dis avec douceur.

— Tu ne voudrais pas dé-serrer un peu tes cuisses maintenant s’il te plait.

Ses yeux pétillent mais comme elle ne fait aucun mouvement, j’écarte lentement d’un de ses genoux d’une bonne dizaine de centimètres de l’autre.

— Ce n’est pas agréable de sentir un peu d’air passer sur tes petites lèvres, dis-moi Manon ?

Toujours aucune réponse.

Alors je pose ses mains sur les accoudoirs du fauteuil et laisse danser au vent ce misérable morceau de jupe qui ne demandait que ça lui aussi.

Manon ferme les yeux un court instant et je suis en train de la prendre en photo lorsqu’elle les rouvre.

— Putain mais c’est pas vrai ! Efface ça tout de suite !

Elle se lève pour essayer de prendre mon téléphone mais j’attrape sa main la tire vers moi en la faisant tourner pour qu’elle ne puisse pas faire autre chose que poser son cul sur ma queue. Je grogne pour saluer ce contact et lui souffle tout de suite à l’oreille de ne pas se relever si elle veut que je l’efface.

Là on s’est fait griller par le serveur qui est la seule personne encore présente, il n’y a plus de client. Mais comme elle ne se débat le moins du monde, il retourne à ses affaires, nous laissant la terrasse pour nous seuls.

Une de mes mains sur sa hanche, je lui montre l’image en lui disant qu’elle est vraiment bandante.

— Efface là tout de suite me supplie Manon.

— Ok, comme tu veux… lui dis-je

Je valide la suppression de la photo en réajustant mon assise, ma queue se déplace et d’un coup brusque lui tape la chatte pour rester coller à ses lèvres.

Sans tissu, je lui aurais enfilé jusqu’à la garde.

Collée à moi, elle sait que j’ai entendu son petit gémissement.

A l’écran apparaît ma femme tout sourire les genoux au niveau des oreilles, un doigt dans le cul écartant ses lèvres de l’autre main.

— Tiens bah, voici ma femme Julie dont je te parlais tout à l’heure. Joli morceau elle aussi, la femme de ma vie.

Je rajoute sur le ton de la connivence en riant et bougeant un peu du bassin :

— Mais quest-ce quelle fait chienne sur cette photo.

Sans plus aucun mot, je continu mes mouvements pendant 15 ou 20 vraies putains de secondes et je finis par lui demander de retourner s’asseoir sans quoi mon pantalon va être trempé et je bientôt dois partir.

On est en juin, il fait chaud mais ce nest pas pour ça qu’elle est écarlate.

Elle se rassoit en face de moi sans plus se soucier ni de sa jupe ni de l’écartement de ses cuisses luisantes.

Je lui sers un verre d’eau.

De retour sur son fauteuil, la petite Manon ne sait plus trop où elle en est.

Elle a perdu sa culotte et sa chatte est détrempée. Elle a moyennement l’air de contrôler mais pas pour autant l’envie de s’en aller.

Le verre d’eau lui a fait du bien ses joues sont moins rouges mais ses cuisses toujours ouvertes. Elle me fixe avec un regard un peu vide mais je ne veux pas une victime, je veux une vraie salope.

Comme j’alterne entre ses yeux et son entrecuisse en ricanant comme un gamin, elle finit par me dire :

— OK pour me baiser, mais seulement si tu me rends ma culotte.

Je me penche vers elle en écartant réellement ses jambes.

— Ho oui je vais te faire couiner. Mais je n’ai pas envie de te bâcler, tu mérites mieux que ça.

Elle lâche un petit rire ironique.

— Je vais devoir partir dans pas longtemps alors je voudrais que tu fasses quelque chose pour moi avant.

— Ah oui, que veux-tu ? Me répond-elle avec un regard plein de défi.

— Je veux que tu ouvres ta chatte avec tes doigts comme sur la photo de ma femme.

Elle ricane à nouveau.

— Allé Manon ouvre moi cette petite chatte tout de suite, ne fais pas ta mijaurée. J’ai déjà son goût dans ma bouche mais mes yeux sont jaloux.

Je remonte son bout de jupe si ridicule et m’installe confortablement dans mon fauteuil.

Il y a quelques secondes de flottement, ça doit être un peu le bordel dans sa jolie tête.

Puis sans un mot avec ses yeux dans les miens, l’une de ses mains descend lentement vers ses cuisses. Elle recale son cul sur le coussin qui n’est plus qu’une flaque de cyprine. Et de deux doigts qui ne manquent pas d’assurance elle écarte ses lèvres pour me faire admirer son intimité.

Je l’encourage par de petites phrases dignes de la SPA.

— Ça te plaît ? me demande-t-elle.

Je grogne en guise de réponse, met mon majeur dans ma bouche avant de me rapprocher pour le glisser entre ses fesses encore inconnues et trouver l’entrée de son cul que je commence à masser pour qu’il se décontracte.

Sa mâchoire inférieure est pendante et je lui dis

— Maintenant, caresse-toi avec ton autre main sil te plaît.

Elle tourne la tête vers l’endroit où a disparu le serveur tout à l’heure, personne na l’horizon.

Mon majeur continue son massage de manière plus pressante. Je sens sa petite rondelle se détendre et vois son autre main descendre d’un coup vers son clitoris qu’elle entreprend comme on retrouve un vieil ami perdu de vue depuis trop longtemps.

Je la félicite et l’encourage, elle a le souffle de plus en plus court.

D’une légère pression, la première phalange de mon doigt entre dans le cul de Manon.

Je suis accueilli par un gémissement que je n’oublierais jamais.

J’accompagne les mouvements de sa main et de son bassin avec mon doigt sans l’enfoncer plus loin, je m’amuse à faire s’entre-ouvrir sa chatte de l’intérieur et c’est un spectacle délicieux.

Des petites bulles et un gros filet de cyprine atterrissent sur feu le tissu du fauteuil. Manon gémit, elle va jouir si ça continue alors d’un coup brusque je retire mon doigt et me recule dans mon dossier.

Pensant que quelqu’un nous a vus elle sursaute en essayant de réajuster sa jupe et j’explose de rire.

— Bah ma coquine, dis donc… Bon ! C’est pas tout ça mais il va falloir que je bouge moi, je suis déjà en retard presque.

Je me lève avec une trique de dingue et fais un pas en avant pour que la bouche de Manon soit à moins de 30 cm de ma braguette.

— Je vais aller payer, je te raccompagne au taffe si ce nest pas trop loin, j’ai juste le temps.

— Et ma culotte ?

Je ne réponds pas, fais mine d’approcher ma bite de sa bouche, Manon lève des yeux putain de brillants et je me casse payer, raide, raide, raide.

Le serveur a un grand sourire tout plein de connivence quand j’arrive au comptoir, il me demande si tout va bien.

Je prends une grande inspiration en souriant et on éclate de rire tous les deux

A priori on n’a pas été aussi discret que Manon aurait voulu.

Je paie.

— Elle est bonasse, hein, la petite, je lui dis.

Il bloque une seconde et me répond,

— Ouais grave ça se partage, ça, même.

— Drôle… Déjà je goutte, camarade… allé bon après-midi, merci pour tout et désolé pour le fauteuil.

Je ressors et fais signe à Manon qui essayait toute seule de récupérer une contenance.

Elle se lève pas trop sûre d’elle, se tourne pour récupérer son sac, l’arrière de sa jupe est trempé mais elle s’en rendra bien compte toute seule au bout d’un moment.

Je vais pour sortir de la terrasse qu’elle me demande de l’attendre. Elle ne peut pas aller au travail sans culotte ce nest pas possible.

Je lui annonce que sa culotte va passer l’après-midi enroulée autour de ma bite et que si elle veut la récupérer, je la lui remettrais moi-même mais qu’avant ça il va falloir qu’elle m’explique ce qui l’a fait mouiller comme ça dans ce que je lui ai raconté au début du déjeuner car quand elle me l’a donné…

— Je ne t’ai pas donné ma… commence-t-elle.

— En tout cas elle était mouillée quand je l’ai récupérée et j’aimerai beaucoup savoir à cause de quoi.

Je lui donne ma carte de visite et lui dit qu’elle a le temps pour me répondre car je ne l’ai pas maintenant pour l’écouter.

Je lui dis aussi que si c’est une première, elle va voir, c’est très agréable de se promener la chatte à l’air de cette saison, ma femme pratique beaucoup.

Vu l’heure mieux vaut que j’y aille car je vais rater mon rendez-vous et je la plante là.

A suivre…

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