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Souvenir de Vacances – Chapitre 3

Souvenir de Vacances - Chapitre 3



Couchée sur le dos, les jambes largement écartées, nous lui avons bandé les yeux avec une serviette de bain pour que la surprise fût totale…

? On ne m’a jamais pissé dessus ! ? protesta – t – elle .

Alors que je parvins à diriger mon jet d’urine sur tout son corps (et, surtout, volontairement sur son pubis), Martine eut l’extraordinaire chance de devoir elle aussi se soulager presque au même moment …

Sans la moindre pudeur, elle s’assit sur le visage de Léa et inonda celui-ci de sa chaude douche dorée..

Ne pouvant voir la scène, celle-ci comprit rapidement ce qui se passait et, à la limite de l’étouffement, fut bien vite contrainte d’ouvrir la bouche pour recueillir ce chaud et odoriférant liquide…

Elle eut d’abord une première répulsion qui lui donna l’impression qu’elle allait vomir, puis changea radicalement d’avis et se mit à boire avidement le chaud liquide…

Lorsque Martine eut vidé sa vessie et que les derniers gouttent jaillissaient de son entrejambes, Léa parvient à articuler : ? Oh, je t’en supplie Martine, ne t’en vas pas tout de suite ; j’aimerais tellement te nettoyer la vulve avec ma langue…S’il te plaît, donne – moi ton sexe à lécher ! ?

? T’es vraiment une belle garce ; tu te conduis comme une véritable traînée ! ? lui reprocha Martine

? Oui, et avec vous, j’ai envie de dépasser mes limites… ? justifia Léa pas gênée pour un sou.

?Je te laisse quelques minutes pour bien me rincer le con avec ta salive puis on va te doucher et te parfumer pour que tu sois à nouveau baisable… ?

Nouvelle partie de plaisir : tandis que Léa s’appliquait à lécher consciencieusement l’entrejambe de Martine, j’en profitai pour lui brouter méthodiquement le sien…

C’était divin.

Après cela, nous avons alors procédé à la toilette de Léa ; en ce qui me concerne, je me suis chargé de lui savonner vigoureusement l’entrefesses que je venais de déguster ; ce qu’elle sembla apprécier tout particulièrement puisque recommença immédiatement à gémir d’aise.

Martine, de son côté, ne se lassait pas lui frotter les seins déjà tout gonflés de plaisir.

Bien lavée, soigneusement séchée, Léa fut encore discrètement parfumée aux endroits ? stratégiques ? : cou, aisselles, creux des seins et des genoux, anches , intérieur des cuisses, pli de l’aine et , bien entendu, raie des fesses jusqu’à l’anus…

Ainsi apprêtée, Léa fut ramenée dans la chambre où elle fut immédiatement contrainte à nous attendre et à nous attendre…

Attendre parce qu’elle ne pouvait rien faire d’autre ; se retrouvant complètement entravée, attachée sur une chaise avec les bras dans le dos et le string que Martine avait porté la veille en guise de baîllon dans la bouche…

Entendre parce que, pendant se temps – là, devant nous rafraîchir nous aussi, Martine et moi avions décidé de faire l’amour sous la douche… et que nous avons pour habitude de ne rien dissimuler de nos ébats : laisser entendre les hurlements de joie de Martine ; véritable jouisseuse – crieuse .

Il faut dire que, d’où nous l’avions laissée, Léa ne pouvait absolument pas nous voir et que seuls nos cris, donc, lui parvenaient.

Nous imaginions aisément la frustration de cette chaude jeune femme, attachée de telle sorte qu’elle ne pouvait même pas se caresser en nous attendant.

Et nous nous jubilions d’autant plus que Martine n’avait pas manqué de laisser à Léa deux petites accessoires pour l’aider à mieux supporter notre absence : un gros god fiché jusqu’à la garde au plus profond de son vagin et un autre plus fin mais plus lisse presque entièrement introduit par derrière.

Inutile de préciser qu’ainsi envahie, Léa ne restait que difficilement assise ….

Après quelques moments de tendresse et d’intimité à deux, Martine et moi sommes revenus dans la chambre.

Nous y avons retrouvée Léa à nouveau trempée ; tant de désir que d’impatience…

Nous défîmes d’abord son baîllon ; ce qui lui permit de respirer un peu.

Dans la position où elle se trouvait, le haut de sa poitrine perlait de sueur et de grosses gouttes avaient même coulé entre ses seins avant de dévaler son ventre pour inonder son nombril…

Emu par tant de grâce, je m’approchai d’elle et dardai ma langue pour prolonger ce sillon humide partant tout droit de son ombilic pour se perdre au plus profond de son ombreuse vallée…

Sans attendre, je noyai ma langue dans son intimité.

Elle ne put cacher sa satisfaction et nous annonça de sa voix la plus câline : ? Détachez-moi, maintenant…je voudrais encore faire l’amour avec vous ! ! ?

Je lui retirai les gadgets de plastique qui lui distendaient les deux orifices à la limite de la douleur et la soulevai tendrement dans mes bras pour la porter jusqu’au lit.

Dès que Léa fut étendue, Martine vient la câliner amoureusement en s’attachant à lui caresser la chatte avec une infinie douceur.

Avec une beaucoup de tendresse, elle recommença à lui lécher le sexe en insistant sur l’intérieur des grandes lèvres de Léa et, moi, j’embrassais notre conquête à pleine bouche ; avant de repasser son adorable goût de jeune femme à la mienne par d’autres baisers brûlants…

Nous avons donc reformé ce parfait triangle amoureux qui avait déjà si bien fonctionné…

Les heures passèrent et la nuit entière nous parut finalement bien trop courte pour explorer tout l’appétit et la disponibilité sexuelle dont Léa nous fit la preuve…

Il est vrai que nous avions rarement rencontré de jeune femme à la fois aussi expérimentée et aussi imaginative….

Quand elle sortit de la chambre au petit matin, elle avait la mine ravagée de ceux qui sont fourbus mais comblés par de nombreuses heure d’insomnies et de plaisir.

Nous nous sommes longuement embrassés et étreints tous les trois comme de jeunes tourtereaux obligés de se quitter en de déchirants adieux.

Des adieux touchants et sincères pour nous….

Nous quittâmes l’hôtel vers midi.

Au moment de régler la note à la réception, nous vîmes s’entrouvrir une porte indiquée ? Direction ?

Et à ce moment, stupeur , ce fut Léa qui nous apparut !

Dans un strict tailleur gris, soigneusement coiffée et maquillée, elle nous rejoignit pour nous serrer la main en disant simplement : ? En tant que directrice de cet hôtel, je vous souhaite un bon retour au pays et espère que vous aurez passé un agréable séjour dans notre établissement. A l’année prochaine, j’espère… ?

Nous en sommes restés le souffle coupé, incapables de prononcer la moindre parole.

Comme dernière image, nous garderons celle de Léa refermant délicatement la porte de son bureau … non sans nous avoir adressé un dernier petit clin d’?il complice en se passant la langue sur les lèvres.

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