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Souvenir de vacances à la plage – Chapitre 1

Souvenir de vacances à la plage - Chapitre 1



Je sortais le kayak de l’eau et le hissait sur le sable, après une heure de balade le long de la cote au petit matin j’étais fourbu, le soleil était désormais haut perché dans le ciel et les amateurs de bronzette commençaient à faire leur apparition. La plage serait bientôt un lieu bruyant et encombré de parasol et de gamin criards, il ne me restait plus beaucoup de temps pour en profiter avant de battre retraite dans la villa qui avait vue sur la mer mais l’avantage et le calme de la climatisation.

En attendant je m’allongeais sur ma serviette et offrait mes épaules au soleil pour me sécher et reprendre mon souffle, à quelques mètres de moi trois jeunes filles arrivaient et installaient leur parasol avant de s’étendre elles aussi pour donner à leur peau la couleur brune tant recherchée pour son effet bonne mine. Je mes avait déjà vues ces derniers jours, deux d’entre elles, trahies par leur comportement, étaient à n’en pas douter lesbiennes, la troisième semblait tenir la chandelle, peut-être la sur d’une des deux autres ou bien une de leurs copines. C’était la plus jeune je crois, 18 ans à peine sans doute, un corps élancé comme en ont les jeunes filles à cet âge, de longs cheveux blonds, de longues jambes fuselées, des petites fesses rebondies que dévoilaient un string minimaliste à la brésilienne et des seins hauts perchés en obus qui s’étaient laissés gagner par la mode du topless ce qui n’est plus si fréquent de nos jours. La chaleur des rayons fit du bien à mes muscles endoloris par l’effort physique, je les regardais un instant allongé sur le ventre et fermais les yeux, gagné lentement par une douce torpeur.

— Il est à vous le kayak ? Vous m’emmèneriez faire un tour ? La jeune blonde était près de moi et me regardais avec son joli minois. Je ne l’avais pas encore vue de si près, les traits de son visage étaient fins et joliment dessinés, quelques taches de rousseurs encadraient un petit nez droit, de grands yeux bleus au regard pétillant et un grand sourire qui dévoilait de jolies dents blanches. Je me redressais sur un coude pour mieux la voir.

— Pourquoi pas, mais c’est mieux le matin de bonne heure, la mer est plate et l’air plus frais. Vous êtes au camping ?

— Oui, je peux me mettre à coté de vous, mes copines sont parties, je suis toute seule. Ce disant, elle étalait sa serviette tout à côté de la mienne et s’allongeait dessus sur le ventre. Vous voulez bien me mettre de la crème ? me dit-elle en me tendant un aérosol de produit solaire.

Je la vaporisais et étalais le fluide protecteur en un massage qui se voulait doux sans être toutefois assimilable à une caresse, je ne voulais pas qu’elle se méprenne. Mes mains descendirent depuis ses épaules jusqu’aux reins avant d’arriver sur la ficelle du string, à ce stade il me fallut bien me résoudre à en étaler sur les fesses également puisque le maillot ne les protégeaient pas. Sa peau était fine et le contact encore adouci par l’huile solaire, malgré moi je me laissais peu à peu aller au plaisir de ce toucher délicat. Mes deux mains sur ses fesses, elle écarta les jambes me dévoilant son intimité qui n’avait à ce stade plus beaucoup de secret pour moi ce qui déclencha un commencement d’érection dans mon short de bain.

— Mettez m’en sur les cuisses aussi. Ajouta-t-elle. Je continuais donc à vaporiser et étaler le produit sur ces deux longues jambes, en essayant tant bien que mal de garder mon calme. Vous faites ça bien, c’est très agréable, vos mains sont très douces et fortes en même temps, ça doit être agréable quand vous faite l’amour à une femme.

Elle se retourna vers moi, me fixa dans les yeux, et tendit la main vers mon short pour tomber sur ma queue durcie dont je n’avais pas réussi à contrôler l’émotion.

— Je vous fais de l’effet je vois. Son regard se faisait plus profond, ses deux seins pointaient vers moi et je ne sais pas si c’était le cas tout à l’heure mais ces tétons étaient gonflés et tendus à la pointe de chaque obus. Vous voulez me faire l’amour maintenant ? me dit-elle en remontant une main le long de ma cuisse jusque sous mon short.

Bizarrement la plage était maintenant déserte, les premiers touristes étaient allés s’installer à plusieurs dizaines de mètres de l’autre côté de la dune qui nous protégeait des regards. N’y tenant plus mes mains s’approchèrent de son visage, et le caressèrent avant que ma bouche ne dépose un baiser sur ses lèvres. Nos deux langues vinrent naturellement à la rencontre l’une de l’autre, et se frôlèrent délicatement avant de se livrer à un balai langoureux dans nos bouches accolées l’une à l’autre. Une main derrière sa nuque maintenait sa tête à hauteur de la mienne, l’autre descendait un long voyage de caresse en direction de sa poitrine pour bientôt se saisir d’un de ses seins ferme sous ma paume au téton durci par l’excitation avant de prolonger son périple vers le creux de son ventre et la petite chatte restée à l’abri du mince triangle de tissus jaune.

Mon short et son string ne furent bientôt plus que des souvenirs, nos deux corps enlacés se frottaient l’un contre l’autre à la recherche du plaisir, ses mains étaient partout à effleurer mes épaules, mon dos, mes fesses en une caresse divinement douce. Ma bite dressée et tendue se trouva tout naturellement au contact de sa chatte dans laquelle elle entra tout doucement mais sans efforts à la première poussée, tant elle était mouillée. Un long va et vient commença dans l’étau de chair chaud et tendre de son sexe ou il faisait bon blottir ma queue, un gémissement rauque ne tarda pas à accompagner la caresse de ce coït impromptu au fur et à mesure ou le plaisir montait sans que rien ne puisse l’arrêter comme la marée gagne peu à peu du terrain sur le sable.

Soudain un choc sur mon flan, j’ouvre les yeux, le soleil agresse mes pupilles, je ne réalise pas ce qui vient de se passer, un petit enfant cours vers moi et se penche pour récupérer son ballon qui vient de me tomber dessus.

— Pardon monsieur. me dit le gamin en attrapant son ballon avant de s’enfuir.

La plage s’est remplie de serviettes et de parasols, la jeune fille blonde est avec ses deux copines à quelques mètres, allongée sur le sable, comme seul souvenir de notre étreinte ma bite dure dans mon short contre le sol ou je suis allongé à plat ventre. Je me suis assoupi, quel doux rêve. Un peu honteux, je me relève, entoure ma serviette autour de mes reins pour cacher mon érection et me dirige vers la villa qui fait face à la mer, il est 10h30. A l’intérieur je retrouve ma femme, debout derrière le store de la cuisine, elle contemple la vue ; à la main une tasse de thé, elle vient de se lever et prends son petit déjeuner encore vêtue du tee shirt qu’elle met pour dormir.

— Ça va ? Tu as fait une bonne balade ?

Je laisse tomber la serviette, son regard tombe sur mon short tendu par ma queue et elle ne peut ignorer l’état dans lequel je suis, son regard brille. Je m’approche d’elle, nous nous embrassons tendrement, sa main se glisse vers ma bite et commence à me branler délicatement à travers le short. Je la saisie par les hanches et l’assoie sur le plan de travail de la cuisine, sous son tee shirt pas de petite culotte, elle sait que j’aime qu’elle soit nue sans sous vêtement pour dormir. Ma bouche quitte la sienne et se porte vers sa chatte que j’entreprends de lécher à grand coup de langue avec beaucoup de salive qui se mélange à sa mouille, j’adore son odeur et le parfum de ses sécrétions intimes qui me rendent fou ; ses deux mains sont sur ma tête et elle guide mes caresses sur sa chatte ouverte en gémissant de plaisir. Je relève la tête, je la regarde, viens me dit-elle, je me pince, non je ne rêve pas cette fois, je vais baiser ma femme dans la cuisine pour bien démarrer la journée.

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