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Souvenirs d'un queutard – Chapitre 1

Souvenirs d'un queutard - Chapitre 1



Cette histoire d’une partie de ma vie se déroule entre 1970 et 2015. Tout est vrai sauf les prénoms et certains lieux eut égard aux demoiselles qui ont fait leur vie depuis, les femmes mariées qui ont changé de mari ou celles qui ont toujours le même compagnon.

Ado j’avais un jour mesuré mon sexe en érection et arrivais vers les 16 cm, mon gland ressemblait à une grosse boule de crème glacée à la fraise, ovale, posée au bout d’un bâton. Mon unique référence était que ma future femme bien qu’ayant la vulve pleine de mouille avait crié lors de ma pénétration. Quant à la contenance de mes testicules, c’était l’inconnu. En éjaculant, je lâchais 5 à 6 longs jets de sperme relativement loin, en ayant reçu un dans l’il lors d’une séance de masturbation allongé sur mon lit. Étais-je dans la norme ?

Les 3 Michelle, ma femme, ma collègue et ma cliente.

Question expérience sexuelle c’était pas ça, ma femme encore moins. C’est avec moi qu’elle a perdu sa virginité et moi mon pucelage avec elle. Ma femme avait reçu une éducation conventionnelle, et tout ce qui avait trait au sexe se passait au lit ; question fantaisie ce nétait pas terrible.

Environ un an après mon mariage j’ai trouvé un emploi dans une société de services. C’était l’époque du tout papier, les documents étaient classés alphabétiquement ou numériquement dans des boites en carton classées par date, elles-mêmes rangées dans de grandes boites dans une pièce qui servait également pour le rangement de tout un tas d’autres choses. Cela faisait quelques semaines que j’étais dans la société, j’eus à faire une recherche. Ne sachant comment faire je posais la question à ma collègue Michelle, belle petite brunette aux cheveux longs.

" Viens je vais te montrer "

Direction la salle des archives où Michelle m’aida dans ma recherche. Recherche terminée elle devant moi presque à me toucher les lèvres :

" On dit merci qui ? " . Je me faisais draguer.

Trop tentant, je répondis à sa demande par un bisou sur ses lèvres qui se prolongea par un long et baveux baiser gourmand. Je profitais de l’occasion pour palper ses seins et son cul ; rien à redire tout était ferme.

Je venais de mordre dans le fruit défendu : l’adultère ; et je commençais une vie de queutard.

Il était temps de retourner au travail, je fermais ma veste pour dissimuler mon érection bien décidé à ne pas en rester là. Quelques jours plus tard, de façon insidieuse j’informais discrètement ma collègue d’une recherche à faire. Même pas 2 minutes après elle me rejoignait nouant immédiatement ses bras autour de mon cou. Collée dos au mur je la caressais partout. Je bandais dur. C’était histoire sans paroles et soupe de langues. Elle portait une combinaison zippée du cou à l’entrejambe. Le zip descendu j’écartais sa combinaison et remontais son soutif. Deux superbes seins fermes se retrouvèrent dans chacune de mes mains. Sa peau était douce, mes caresses lui déclenchèrent la chair de poule faisant saillir ses tétons que je suçotais au passage ; Michelle gémissait.

Main gauche dans son dos, de l’autre je glissais doucement vers sa chatte ; son ventre se creusa sous l’effet de la caresse. Je sentais sa respiration profonde dans mon cou. Sous sa combinaison elle ne portait qu’une petite culotte. De la paume de la main je massais doucement le renflement de son pubis. Remontant un peu, sous l’élastique je rencontrais immédiatement une toison fournie. La paume plaquée sur sa toison, enveloppant sa motte je glissais lentement mon majeur dans son sillon lui arrachant au passage un gémissement en effleurant son bourgeon gonflé. Je cherchais l’entrée de son vagin. Instinctivement Michelle se contracta, puis écarta un peu les cuisses. Sa vulve était gluante de mouille. Le majeur recourbé façon hameçon je trouvais l’entrée de son vagin et y enfonçais lentement la première phalange en effectuant un lent mouvement circulaire. Le mouvement de mon doigt dans son vagin allié au massage de son clito déclencha chez elle un violent orgasme accompagné de longs gémissements étouffés sur mon épaule.

Toujours accrochée à moi, Michelle reprenait ses esprits. Je la fis asseoir sur des caisses en carton. Je bandais comme un âne, il était urgent que je me soulage à mon tour. Pantalon ouvert, slip baissé, main gauche derrière sa tête je guidais de la droite ma queue raide vers sa bouche. Après hésitation ses lèvres enveloppèrent mon gland dilaté. Délicieuse caresse, j’étais aux anges, chaleur et humidité baveuse. Je m’attendais à ce que Michelle me suce comme ma femme en allant et venant le long de ma tige ; eh bien non, me tenant par les hanches elle me tétait le gland comme on tète un pouce. Sensation fantastique de sentir mon gland coincé entre sa langue et son palais. Je me laissais faire tout en gardant ma main derrière sa tête. Le petit mouvement de sa langue sous mon gland allié à l’excitation de la situation m’empêcha de résister. Sans la prévenir j’ai éjaculé, ma queue tressauta plusieurs fois dans sa bouche libérant nombre de giclées de semence, lui rinçant les amygdales. Michelle m’avalait sans retenue.

Gland toujours prisonnier de sa bouche, entre le pouce et l’index, serrant ma queue sur toute sa longueur j’évacuais mes dernières gouttes de sperme. Avec mon mouchoir j’essuyais sa bouche avant de faire pareil avec ma queue.

De retour à mon bureau Michelle me laissa un petit bout de papier : " pas trop déçu ? ". Je fis non de la tête, un petit sourire apparut sur ses lèvres et moi je n’avais plus qu’une idée en tête : être entre ses cuisses et faire l’amour.

L’occasion se présenta, jouant avec le feu je l’invitais chez moi pendant que ma femme était à son travail. Allongée sur le lit je lui retirai sa culotte, spectacle divin que ce triangle fendu en son milieu sur sa vulve bien juteuse. À genoux entre ses cuisses j’embrassais sa chatte glissant ma langue dans les replis de sa grotte d’amour. Je remontais vers son visage en déposant de multiples petits baisers sur son corps et ses tétines. Allongé sur elle, bras noués autour de mon cou Michelle me serrait. Michelle se crispa un peu quand je forçais l’écartement de ses cuisses afin de loger ma queue dans sa fente. J’allais pousser et prendre possession de son ventre :

" Chéri, fait doucement c’est la première fois ! "

Je comprenais maintenant pourquoi elle m’avait demandé si je n’étais pas trop déçu après m’avoir sucé : elle était vierge de haut en bas. C’était bien ma chance, la 2e femme de ma vie était encore vierge à 22 ans. J’allais vite chercher une serviette de toilette pour mettre sous ses fesses. Tout en déposant plein de petits baisers dans son cou je frottais lentement mon gland dans sa vulve gluante. Michelle se détendait peu à peu sous la caresse de mon gland. Bien en place dans son cratère d’amour, sans la prévenir, d’une longue poussée je pénétrais en elle à fond. Les yeux grands ouverts, doigts plantés dans mon dos, cherchant à s’échapper vers le haut du lit Michelle cria :

" Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahh !!!!!! "

" Ca y est ma chérie, tout va bien maintenant " dis-je en commençant à la ramoner régulièrement.

" Chéri dépêches toi s’il te plait "

Cela ne dura pas longtemps, les muscles de son vagin contractés m’enserraient la tige, très vite je me vidais les couilles au fond d’elle. Dieu que cela faisait du bien. Elle par contre n’a pas joui du tout, mais à son baiser j’ai senti sa satisfaction d’être une femme. Doucement je me retirai d’elle un peu de sang mélangé à nos sécrétions intimes sur le sexe.

Faute de ne pouvoir sortir les week-ends avec elle, Michelle se laissa draguer par un collègue, Alex, et sortit avec lui. Elle avait gardé un faible pour moi, et si elle couchait avec Alex les week-ends, je continuais à me faire du bien au moins 2 fois par semaine dans son ventre en levrette dans la salle des archives.

Cela faisait pratiquement un an qu’elle sortait avec Alex ; un soir Michelle était restée au bureau après la fermeture, moi aussi. Elle a très vite compris mes intentions et se laissa enlacer.

" Je t’en prie, Alex peut arriver " murmurait elle se laissant fouiller l’entrejambe. Je poussais Michelle vers son bureau, la renversant sur celui-ci je lui retirai sa culotte. Debout entre ses cuisses relevées, je glissais 2 doigts dans l’entrée de son vagin, Michelle était bien ouverte. Très vite je plantais ma queue raide dans sa grotte.

" Non c’est pas bien, on ne doit pas le faire " restant accrochée à mon cou pendant que je remontais en elle et la limais. Elle a joui très vite en geignant des " aahhhh, aahhhh…………….. "

Je jouissais à mon tour, éjaculant bien à fond, sans retenue et sans état d’âme vis-à-vis d’Alex. Encore penché sur elle, planté jusqu’à la garde à reprendre mes esprits, par la fenêtre au travers des rideaux une voiture se garait : Alex !!!!!!!!!!!

" Vite Alex arrive !!!!!!! "

Sa culotte à la main, Michelle s’est enfuie vers les toilettes.

" Reste, t’en vas pas ! " dit-elle en se retournant. Je n’ai jamais débandé aussi vite. Deux minutes après Alex entrait dans le bureau.

" Salut, ça va ? "

" Oui la semaine a été bonne " dis-je en pensant que je venais de fourrer sa copine.

" Michelle est là ? "

" Oui elle vient d’aller aux toilettes "

Michelle resta un bon moment aux toilettes pour récupérer et faire bonne mine, aussi pour s’essuyer la chatte pleine de jus. Je comprenais pourquoi elle m’avait demandé de rester : éviter qu’Alex veuille la baiser si elle était restée seule. Il est vrai que si Alex avait trempé sa queue dans sa chatte encore pleine de sperme, j’imagine mal ce qui se sera passé.

Quelque temps avant cet épisode j’avais intégré le service commercial et à ce titre je visitais une partie de la clientèle tout en faisant aussi de la prospection. Ce jour-là je décidais de prospecter et m’attaquais à une tour ; vers le 6e ou 7e étage, sur la porte une étiquette avec M. C…… Je sonnais. Bruit de clés dans la serrure et la porte s’ouvrit sur une jeune femme brune. Je déclinais mon identité et le motif de ma visite. Assis dans son salon elle m’offrit le café, et tout en discutant je remplissais ma fiche de visite. Elle était célibataire, 20 ans, elle ne travaillait que le matin et se prénommait Michelle. Prenant congé, sur le pas de la porte, je lui demandais si je pouvais repasser la semaine suivante. Avec un regard lourd de sous-entendus :

" Repassez jeudi prochain vers 14h je suis de repos ". Si ce nétait pas une invitation, je pouvais me faire moine.

Le jeudi suivant j’étais au rendez-vous, Michelle portait une mini robe rouge boutonnée sur le devant, le dernier bouton au niveau de chatte. Sur le canapé, assise contre moi elle lisait mes documents. Sa mini robe remontait très haut sur ses cuisses. Frôlant sa cuisse, j’allais pour m’excuser, elle était tête appuyée au dossier et me fixait. Plus d’équivoque, je glissais une main entre ses cuisses et lui roulais une pelle. Plus je remontais ma main, plus ses cuisses s’écartaient. Je déboutonnais sa robe lentement, à peine les doigts sous l’élastique de sa culotte elle se souleva pour que je la retire. Je caressais sa chatte du bout des doigts ; entre ses cuisses sa toison le long de son sillon était mouillée. Je jouais avec les bords de sa fente. Les yeux fermés, sans aucune gêne elle adopta la position " grenouille sur le dos ", cuisses écartées, vulve bien ouverte. Son ventre se soulevait à la rencontre de mes doigts qui fouillaient son intimité. Me mettant à mon tour en " tenue " queue dressée, prêt à l’enfiler sa main en coupe sous mes testicules :

" On sera mieux sur le lit " en 2 secondes elle tomba robe et soutif, et se mit à genoux.

Elle m’offrait sa croupe, cuisses écartées, cul cambré, fente bien ouverte et luisante, prête à être saillie comme une bête en période de rut. La salope m’excitait et je me demandais si j’allais tenir, en levrette j’avais du mal à durer. Je m’enfonçais en elle lentement d’une seule poussée bien à fond. J’allais et venais jusqu’à voir le bourrelet de mon gland et m’enfonçais de nouveau jusqu’à la garde. Je la ramonais ainsi depuis 2 à 3 minutes quand :

" Plus vite "

La tenant par la taille je m’activais en elle, elle a joui d’un seul coup. Se laissant aller en avant elle faillit me désarçonner alors que j’allais jouir à mon tour. Cramponné à ses hanches, planté jusqu’à la garde j’éjaculais contre son utérus, libérant ma semence en jets saccadés. Toujours soudés l’un à l’autre elle me gratifia d’un " Dis donc, qu’est-ce que tu graisses, toi ! "

Pour elle c’était vraiment juste physique, un peu comme boire un coup avec un ami, et rentrer chez soi.

Quand elle me suçait, elle me palpait les boules, tirait sur mon prépuce, me pompait lentement, je la prévenais que j’allais venir, elle me faisait une gorge profonde, je déchargeais sans retenue, je l’entendais déglutir, elle ne perdait pas une goutte et s’allongeait à côté de moi me faisant un bisou à l’odeur de sperme et invariablement :

" Tes pas mauvais, t’as vraiment bon goût "

Tout cela dura 2 ans, je fus ensuite muté dans un autre département où j’entamais d’autres relations.

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