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Souvenirs d'une autre vie – Chapitre 2

Souvenirs d'une autre vie - Chapitre 2



Un trop bon Fils

Comment les choses interdites peuvent arriver ! La mauvaise conscience aussi !

Maryse

Sylvain ma déposé devant notre portail ! Je suis sûre quil attendait que je lui demande de venir cinq minutes à la maison. Mais non ! Rien ! Je ne sais pas si Yohann est rentré et puis, le charme est rompu. Jai un instant suivi du regard les feux arrière de la berline qui remontait vers le col. La soirée ma fatiguée et je nai quune hâte, retrouver mon « chez moi ». Encore cette fichue lanterne au-dessus de la porte qui ne veut pas fonctionner. Je dirai à Yohann de regarder cela demain ! Ouf ! Le bonheur du calme de ma maison. La voiture de mon fils nest pas là. Il nest pas rentré. Je crois que jai besoin dun moment de tranquillité. Dans mes oreilles, il y a encore le vacarme de la boite de nuit et surtout, il me semble sentir encore contre ma cuisse, contre mon ventre, cette chose dure qui ma donné des sueurs chaudes.

Le salon est là qui mattend. Je craque lallumette qui va me mettre un peu de feu dans la cheminée et pendant que les flammes minuscules prospèrent, je vais en profiter pour me doucher. Leau est aussi mon plaisir. Jadore la sentir couler sur ma peau, glissant de mes cheveux à mon dos, dégoulinant le long de mes jambes. Tiède, bonne, cest une source de bienfait pour mon corps las et fatigué. Après cette toilette rapide, une nuisette termine ma préparation nocturne. Je reviens vers le salon où la chaleur est déjà suffisante pour que je supporte ma quasi-nudité. Dun index souple, jappuie sur le bouton de la télécommande et les images jaillissent du poste de télé. Comme cest bon de se retrouver dans son environnement normal

Jai remis une bûche sur les braises et fermé le tirage. La douce chaleur qui mentoure, le ronron du film qui passe dans le poste et je mendors, allongée sur le canapé. Mes rêves sont peuplés des rires de Pauline, des risettes de mon fils et je suis des yeux ce Sylvain qui me frotte le dos. Il me caresse les seins devant tout le monde sur la piste de danse. Je ris, je le laisse faire et les clins dil de mon amie qui flirte ouvertement avec son « Tarzan » me donnent des idées. Cest idiot, mais jai une vraie envie de faire lamour et peu importe le partenaire du moment. Cest fort, cest violent et la tête de mon complice nest pas toujours la même

Je sens partout des mains qui me parcourent la peau ! Pourquoi suis-je si nue ? Curieusement je ne vois aucune des figures des gens qui me caressent. La seule certitude qui me reste, cest que jaime cela, que japprécie et je ronronne comme une chatte. Puis ce sont des phallus qui pointent tous vers moi, certains vers ma bouche, dautres vers mes seins, et les derniers vers mon entrecuisse largement ouvert. Des mains se tendent pour me retenir dans la position allongée, mais aussi bizarre que cela puisse paraitre, je ne cherche pas à échapper à ces queues qui bandent partout autour de ma petite personne. Puis il y a cette voix, je le reconnaitrais entre des milliers dautres. Son timbre est si particulier que je sais de suite, que cest toi qui me parles.

Tu me rassures, tu me touches le front, et tu me demandes de les laisser faire. Les ? Oui ! Ceux dont je ne perçois que les sexes enflés, ceux qui attendent que sonne pour eux lhallali ! Quand tu te baisses vers moi, je ne devine que les contours flous de toi ! Toi mon mari, une silhouette vaguement ressemblante, rien de probant. Mais je sens, je sais que tu me parles. Tu me demandes de prendre en mains les deux bêtes chaudes les plus proches, comme si cétait naturel. Jobéis à tes injonctions aux accents pleins de douceur. Dautres encore, toujours sans visage sapprochent de mes lèvres entrouvertes ! Mais il ny a de place que pour une seule verge. Et la plus longue gagne lhonneur insigne dêtre happée par mes lippes humides.

Ces traits indistincts que je devine plus que je les vois, se font plus présents. Et ils sont différents à chaque fois que jouvre et ferme les yeux. Petit à petit, des glands roses, dautres de couleur se font plus empressés et ils se frottent tous à moi, sans que jamais je ne sache à qui ils sont. Mes paupières sont closes et jentends seulement un bruit, celui que fait la buche qui crame dans lâtre. Lincroyable envie qui me secoue de partout alors que les bites meffleurent sans essayer de me pénétrer, pour linstant, me laisse présager de la suite des évènements. Tu te penches davantage sur moi ! Non ! Cest ta voix qui se rapproche de mon oreille. Et ce visage qui me sourit alors que des sexes coulissent sur mes seins, que dautres rampent partout sur mon corps ce visage cest celui de notre fils.

Je suffoque sous les coups de reins qui me creusent le ventre, je sursaute à chaque entrée et sortie dun membre inconnu. Pas de tête, seulement vos deux visages qui se superposent, qui se fondent en un seul, qui émergent en dizaines de verges. Elles sont toutes à moi, toutes pour moi. Je vais surement jouir violemment, vivre une extase hors du commun et mon ventre se creuse de plus en plus fort, de plus en plus vite. Tellement violemment que dans un sursaut de dernière minute, je reprends pied hors de ce rêve. Les braises de la cheminée sont en passe de séteindre. Je me lève en vacillant, les jambes lourdes, les jambes tremblantes, et je recharge le foyer.

Il ny a plus rien dautre autour de moi que le téléviseur qui distille toujours un film auquel je ne comprends rien. Je me réinstalle sur le canapé, memballe dans une couverture et je ferme les yeux. Si je suis sortie du rêve ou du cauchemar qui faisait de moi une véritable salope, je ne suis pas pour autant guérie de mon incroyable envie de sexe. Je tourne et retourne dans la couverture qui me couvre les épaules et le bas du corps. Je cherche à fuir cette réalité sordide de la solitude. Yohann nest pas rentré ! Je navigue entre éveil et sommeil, sans vraiment franchir cette barrière qui manéantirait, qui menverrait dans loubli. Je reste dans une frange de lucidité suffisante pour savoir que je ne dors pas et pas assez profonde pour me dire que je rêve.

Finalement après avoir de nouveau traversé une plage où les illusions se mêlent à la réalité, je sombre enfin dans un sommeil réparateur. Couchée sur le canapé, je suis restée à attendre le retour de mon fils et jai plongé dans le trou de labsence, dans le puits du néant. Le feu crépitant ne m’a tenu assez longtemps en éveil pour que je puisse tattendre mon loulou mais je nai plus peur de rien et mon ventre sest apaisé sans effort particulier. Je dors et le bruit que tu feras en rentrant me ramènera sans doute à la réalité Yohann que fais-tu mon bébé ! Quand reviendras-tu, dis quand ?

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Yohann

La serrure bien huilée na pas fait de bruit. Pas plus que les gonds qui tournent pour effacer lobstacle. Dans lentrée, je me déchausse prestement et jespère ne pas avoir réveillé toute la baraque. Ma mère est là ! Elle avait laissé le portail ouvert pour que je rentre plus aisément. Je passe par la cuisine et mon attention est attirée par une lumière mouvante dans le salon. Sur le pas de la porte de communication entre cuisine et salle de télé, je la vois. En fait ce sont ses pieds nus que japerçois au départ. Il fait une chaleur épouvantable dans cette pièce. Dans la cheminée, une buche se consume avec de joyeuses flammèches rouges et bleues.

Je reste sur le pas de la porte, ne sachant plus si je dois avancer ou reculer. Maman est là ! Allongée sur le sofa, une couverture qui devait lenvelopper a glissé au sol. Ses longues jambes sont nues et la nuisette, censée la cacher à la vue de tous, est remontée bien haut sur son bassin. Mes yeux ne peuvent sempêcher de suivre ces lignes harmonieuses, ces courbes pleines qui partent de ses orteils vers la fourche que plus rien ne voile. Quand je ne dis rien ne voile, cest dans le sens strict du terme. Une toison brune, bien taillée semble me narguer de ses poils sombres et brillants. Je suis sidéré et je nose plus remuer, de peur de la réveiller.

La poitrine de ma mère monte et descend sans à coup, paisiblement. Elle respire calmement, une bienheureuse qui roupille sur son canapé. Le téléviseur est en marche et les flashes de lumière que japercevais de la cuisine proviennent de lécran en fonction. Javance un peu pour léteindre et elle bouge, changeant de position. Elle est désormais sur le côté et un de ses seins est à demi hors de sa gangue de tissu qui est tendue par la position quelle a prise inconsciemment. Jadmire ce mamelon à laréole sombre, qui accroche mes regards. Maman comme tu es restée belle et désirable. Comment peux-tu ne pas avoir damant depuis si longtemps ?

Ma zigounette se met au garde-à-vous et je voudrais navoir pas vu cela. Bon sang ! Comme elle mattire, comme jen ai envie de ce corps épanoui sur ce divan. Rien à voir avec la jeunesse frétillante dAnne-Marie. Les formes sont différentes, autrement réparties. Les seins sont, enfin, semblent lourds et doux, quant au buisson qui continue à appeler mes regards, cest cest je nai pas de mot pour le dire. Le ventre nu soffre à ma vue comme sil ne demandait quà souvrir sous une caresse et celle-là, jamais je ne loserai. Je ne me sauve pas comme mon esprit le voudrait, non, je reste là tétanisé, figé sur place. Je suis les flammes un instant qui sélancent vers lappel dair minuscule du conduit de la cheminée et je me laisse tomber à genoux.

Lépaisse moquette du salon étouffe le bruit de ma masse qui tombe sur le sol. Je laisse trainer mes pensées sur ce que je vois. Je suis crucifié, à deux mètres de cette femme dont le ventre ma porté et pourtant, je ne ressens pas vraiment damour filial en cet instant. Non ! Cest bien plus profond que cela, je me sens homme devant la dame épanouie qui dort sans se soucier le moins du monde de ma présence. Javance les doigts vers lassise du canapé, comme si je voulais toucher ce ventre, ces seins qui me font face. Ils sarrêtent à un demi-centimètre de cette peau qui doit avoir la texture du velours, qui me rend malade de désir. Mon esprit me hurle de filer et mon être tout entier refuse lordre établi des choses.

La sentir, juste un peu, juste une seconde ! Lisser la poitrine, le nichon qui se montre ! Lécher ce téton sombre qui est là alors que japproche ma bouche de lui. Et plus je suis proche plus jentends sa respiration. Bon Dieu ! Bougre de saligaud cest ta mère ! Veux-tu bien ficher le camp, laisse là dormir ne la touche pas ! Pas elle, sacrilège ! Mais plus je me hurle intérieurement de reculer, de partir de là, plus mon visage sapproche de celle qui dort. Jai juste posé le bout de lindex sur le genou. Je nappuie pas, je ne bronche pas, elle non plus. Je retire ce doigt qui na pas sa place là où je lai mis. Je me traite de fou, de salaud, de dégueulasse.

Cest comme si je métais brulé, comme si je venais de faire la pire des choses, le pêcher suprême en quelque sorte. Mais une autre voix, dans ma caboche celle-ci, me crie de recommencer, un peu plus haut, un peu plus longtemps. Et cette tonalité dans mon cerveau me dicte ma conduite. Mon ongle dabord frôle les poils bruns, puis cest simplement le bout de mon doigt qui se pose sur la toison. Elle sest juste retournée légèrement, tournant son ventre vers le dossier du fauteuil. La jambe la plus près de moi, na-t-elle, pas suivi le mouvement. Ce qui a pour effet douvrir le compas et lentre cuisse est là, à me faire de lil.

Merde ! Mais quest-ce que tu fais ? Tu nas pas honte ? La petite voix qui me balance ces paroles est dans mon crâne, elle tente de raisonner mon corps. Je ne maitrise plus rien ! Ce sont mes bras, mes mains, mon ventre qui réclament leur pitance. Ils ne demandent pas, ils imposent ! Une véritable pulsion que je pourrais sans doute encore réfréner. Mais en ai-je vraiment envie ? Je les laisse faire ? Ma main a saisi un sein rond, chaud, lourd. Elle sest juste mise à plat sur la surface de celui qui apparaît, sans fard ni vêtement. La femme ne bronche absolument pas. Et je bande de plus belle. Ma queue se trouve, soudain, très à létroit dans mon slip, coincée sous la braguette serrée de mon pantalon.

Je suspends mon geste, mais ne retire pas la paume qui nappe le nibard. Sa respiration il me semble quelle vient de changer. La peau frémit de partout. Un long frisson qui monte des muscles des jambes, jai limpression que je le sens il me tétanise. Que vais-je pouvoir inventer comme excuse ? Comment expliquer que jai collé ma patte sur le sein de ma mère ? Mais non ! Elle repique dans son sommeil et je suis là, comme un con avec sous la main un téton devenu très dur. Il sest aussi étiré, gonflé de je ne sais de quelle manière et le lâcher va certainement la faire sortir de là où elle se trouve apparemment si bien !

Par magie, un bout de langue rose nait au coin des lèvres qui souvrent. La poitrine que je touche palpite sous ma main. Maman gémit ou elle parle? Je nen sais rien, je ne comprends pas, mais je sens quelle est au bord de léveil. Son bras jusque-là, déplié le long de son corps, se redresse un peu. Les soupirs que je perçois ne sont pas pour me faire débander. Je suis dingue, et le pire cest que javoue aimer cela, cet interdit que jose braver. Au pire aurais-je une gifle ? Je nai plus besoin de bouger ma main. À chaque inspiration, le sein au toucher si doux frémit sous ma peau. Cest invraisemblablement bon !

Une sorte de rictus déforme la bouche que je scrute avec insistance. Les paupières restent closes, mais la femme allongée persiste dans détranges gloussements, des cris de chatte, pareils à des ronronnements. Ma bite me fait mal dêtre trop à létroit dans mon froc. Ma main libre la soulage en desserrant ma ceinture et en ouvrant le premier, enfin le seul bouton, juste au-dessus de ma braguette. Ouf ! Mon sexe ne force plus sur les vêtements ! Mais il reste tendu et une goutte est déjà en route pour éclater au bout du gland. Le bras de ma mère est venu plaquer ma main sur le nichon. Cette fois je ne peux plus me replier sans bruit. Elle presse ma main avec la sienne se cramponne à mon poignet. Cest ahurissant, je bande pour cette femme qui ma donné la vie.

Je sais pertinemment que cest débile, que ce nest pas normal, que cest à la limite du supportable, mais je ne peux, ne veux pas arrêter. Mon cerveau me hurle que cest mal ce que je fais et mon corps lui réagit avec fougue à ma pulsion. Je la tripote, elle moblige à laisser ma patte sur son sein, je me dis cela pour avoir meilleure conscience ? Je men fiche, je nai plus quune envie cest de baiser cette femme endormie. Mais lest-elle encore totalement ? Sait-elle que son fils lui touche la poitrine ? Si oui, pourquoi insiste-t-elle autant pour que je ne puisse plus menfuir ? Cest affreux, cest horrible cette déchirure entre ce que je pense et ce que je fais.

Maintenant elle parle ! Ce quelle dit est un grand mystère ou sans doute que je ne veux pas entendre vraiment. Et sa seconde main qui sest étirée, qui sest envolée vers le centre de son corps. Je ne bouge plus mes doigts, jattends pour voir ce qui va se passer désormais. Jai atteint un point de non-retour. Je ne la baiserai peut-être pas, mais au minimum devrais-je me masturber pour vider ce trop-plein qui me ronge les couilles ! Je vois avec horreur, cest beau, je vois les doigts féminins qui écartent la toison. Comme un ourlet dont les deux pans sécarteraient pour laisser le passage à un index aussi dur que ma queue.

Le doigt maternel qui se fraye un passage entre les grandes lèvres ça me fout la trouille, ça me prend aux tripes. Je fais glisser vers le bas ma fermeture éclair. Mon slip, sil contient encore un peu ma verge raide, est moins difficile à tendre que le tissu épais de mon jean. Comment, pourquoi je baisse ce flute qui entrave mes mouvements ? Cest dans un semi-coma que jentreprends sans trop bouger de me mettre à poils. Mon calbute aussi gicle sous la pression de mes pouce et index, réunis dans le déculottage rapide que jai entrepris. Grisé par la facilité déconcertante avec laquelle mes oripeaux se retrouvent balancés dans un coin du salon, je ne résiste pas au plaisir de me toucher la bite.

Je suis humide, jai chaud, cest dégueulasse, mais je ne sais plus faire machine arrière. Les paupières de maman clignent maintenant et si elle râle, ce sont des mots connus qui sortent de sa gorge. Le prénom de papa, le mien aussi. Elle dit, jai bien compris ? Elle dit que ça fait longtemps quelle attend, elle chuchote quelle a envie de faire lamour, quil faut la caresser, la toucher, la branler. Mais elle le dit à qui ? À mon père ? Alors elle est dans son rêve et cest infâme de ma part ce que je fais ! Si cest à moi quelle sadresse, cest indigne de sa part. Mais ma conscience est aux orties depuis un bon moment déjà.

Puis il y a ses doigts qui coulent dans la fente béante, qui font un bruit que je ne connais pas. Il y a cet arc qui se crée sous limpulsion de son dos qui décolle du cuir fauve du divan. Seuls ses talons et sa tête restent sur lassise, elle devient pont humain ! Elle pousse de petits cris, des gémissements sans fin, elle glousse alors que sa main a fait ressortir sous mes yeux exorbités, un clitoris rose comme je ne laurais jamais imaginé. Je nen ai jamais vu de tels, même dans les films pornos quil marrive de chauffer la nuit sur canal. Il est tellement gros que je jurerais quil sagit dun petit pénis. Il a fait bien quatre ou cinq centimètres de long et il est dun diamètre monstrueux. Cest jouissif au possible. Ma queue aussi frétille devant un engin aussi peu ordinaire.

La voix éraillée qui séchappe de la gorge de la femme sur laquelle jai osé porté les pattes, qui se branle avec fougue, cette voix se fait plus nette, plus claire.

Oh ! Je ten supplie, baise moi ! Fais-moi lamour il y a si longtemps que jattends cela.

Le téléviseur se fait aussi complice de mes exactions ! Le programme est arrivé à sa fin et il met lappareil en veille, stoppant net lémission de lumière qui émanait de lécran. Il ny a plus dans la pièce que les lueurs des dernières flammes dans lâtre. Un bras a atterri autour de mon cou, mattirant vers ce corps merveilleux. Il me pousse vers le centre de cet organisme qui se tend, qui sarc-boute, et je ne fais rien pour résister. Mon visage senfonce dans un triangle de poils poisseux. Ma bouche sécrase sur les lèvres baveuses et comme si javais fait cela toute ma vie, je lèche la chatte ainsi offerte.

Lhorreur absolue ! Jadore ce que je sens sous ma langue, jaime cette mouille qui me barbouille le menton. Je ne vois plus la mère, seulement la femme. Et celle-là me cramponne les tifs, guide ma caresse comme si nous navions fait que cela depuis toujours. Ça me rend fou, ça menivre, jen perds la boule. Les cuisses se sont largement écartées lune de lautre. Je passe partout, montant, repartant, revenant sur cette liqueur qui me donne le vertige. Et les cris dans les lueurs pâles de la cheminée sont des plaintes de plaisir. Je suis comme un gosse avec un nouveau jouet. Elle parle, elle bouge ma jolie poupée et cest ma mère

Sous ses mains ma caboche se laisse guider vers ce quelle attend, vers ce quelle veut. Je ne sais pas si elle se rend compte que cest moi, moi son fils qui lui touche ce mini pénis démesuré, qui suce cette bite grosse comme un pouce, si elle sait ou pas quelle minvite au festin de son corps. Je ne peux plus reculer, je ne saurai pas quoi dire après. Mais avant laprès, il y a le maintenant. Je suis toujours agenouillé contre le divan de cuir. Dans le plus simple appareil, je suis pris à mon propre piège. De voyeur, me voici acteur et dans son sommeil, sommeil ? La main qui sest emparée de ma queue na rien dun fantôme.

Mes testicules dans leur bourse chaude sont malaxés, touchés par des doigts actifs. Puis cest comme si un immense brasier entrait en contact avec mon pieu qui est surtendu. Elle ma tiré vers elle. Mon vit est aspiré dans un gouffre bouillant, alors que mon visage se laisse balloter dans un entrejambe plein de liqueur. Je ne respire plus, goutant au fruit abject, mais merveilleusement délictueux de cette fellation contre nature. Éros avec son arc sest laissé bouffer par un diable rieur armé dun ardillon brandissant une fourche qui menfonce dans le stupre et la duplicité de cet acte que mon esprit réprouve, mais que mon corps lui accepte avec joie.

Quel faux mouvement nous entraine, toujours enchevêtrés, dans notre soixante-neuf nocturne, vers le sol et sa moquette à la laine si confortable ? Je ne saurai jamais, je ne men souviens pas, je sais seulement que cest beaucoup mieux sur cette surface plate et dune complicité absolue. Je suis collé à elle sur le côté, mon dard planté dans sa bouche accueillante, les lèvres et ma langue restent pleins dardeur. Je lape, jeune chiot ma première tétée dhomme alors que cette femme, la première de ma vie vient à la source de vie, me suçant comme si ce sucre dorge avait un attrait formidable. Elle est vraiment la première Femme de ma vie, je suis lAmant et je nai plus aucun scrupule, plus aucune velléité de fuite. Je menfonce dans cette gorge au parfum si subtil de « reviens-y » !

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Maryse

Je suis bien dans mon brouillard. Bien dans toute cette ouate qui entoure mon rêve. Je ne suis plus moi et tu es là ! Quel bonheur de te revoir ! Où étais-tu tout ce temps ? Tu ne me réponds pas, mais tu joues avec notre gamin. Vous êtes les deux, côte à côte, et votre sourire est si semblable. Ses yeux aussi ressemblent aux tiens. Pourquoi est-ce que je nentends rien de ce que vous mijotez ensemble ? Yohann se retourne et le sourire quil a sur la lèvre, est pour moi je veux le croire. Puis vos traits se fondent, se confondent et la brume qui vous enveloppe me cache lun, me vole lautre. De la purée de pois qui sétend dans mon cerveau, il ne reste quun visage englobant les deux, comment est-ce possible ?

Les mains qui montent vers moi, elles me font un effet du diable. Je les veux, je les réclame ! Elles sont dune longueur démesurée, elles nont pas de fin. Jai du mal à en apercevoir les contours, mais je sais quelles vont me frôler et jen ai des frissons énormes. Je les attends, elles sont si longues à venir toucher ma peau. Pierre ! Sers-toi donc ! Mon corps à besoin de te retrouver, il a besoin dexulter ! Depuis si longtemps quil na pas été visité par tes doigts légers qui virevoltent au-dessus de ma poitrine. Oh ! Non ! Ne recule pas, je veux jai seulement besoin de ! Les secondes sont des éternités ! Venez, venez donc me caresser. Ouf vous voici enfin, je veux sortir de cette attente.

Mes premiers frémissements déchirent le voile qui auréole ma nuit. Ils sont plus vrais que nature. Oh Pierre ! Comme tu sais me rendre heureuse. La chaleur de ta main irradie mon sein, elle se propage partout, brulure de désir, brulure damour et denvie. Je respire plus fort et jadore cette façon de ne plus bouger, de rester inactif sur cette peau qui garde lempreinte de toutes nos étreintes. Pourtant plus je menfonce dans mon rêve, plus je sens la présence effective de ta menotte qui me prépare à lextase. Tu es là, si près, si proche, comme si ton souffle allait me rafraichir. Tu me calmes, tu me dopes, tu me crucifies.

Mon corps tout entier se tend vers de câlins imaginaires auxquels je ne veux surtout pas échapper. Je les prolonge avec tant de délectations, tellement de tendresse émane de tes doigts. Mon ventre crie famine, je suis tendue dans un appel de tous mes sens. Mon dos se crispe, mon corps se monte en arc de cercle. Seuls, ma tête et mes talons touchent encore la banquette où je suis si bien couchée. Ma main se propulse sur tes cheveux, te presse sur le crâne. Je veux te sentir entre mes jambes. Je veux que tu me fasses frissonner dune autre manière. Tu es à moi, je suis à toi

Oh ! Je ten supplie donne-moi ce plaisir auquel jaspire tellement. Cest doux ce mouvement lent sur mon sexe béant qui quémande ta présence. Je sais que tu dégustes à petits coups de langue la mouille que mon ventre laisse couler pour toi, cest trop bien. Jadore cette chose râpeuse qui dans mon sommeil mentraine dans des abîmes dun bien-être illusoire. Oui, cest si doux de se sentir aimer de cette façon ! Narrêtes surtout pas cette caresse si intime, ne stoppe plus, bois, bois, je t’en prie, suce cette chatte qui transpire pour toi, par toi. Je surfe sur la vague de nos plaisirs communs.

Mon Dieu ! Approche-toi, viens te serrer contre moi ! Le velours de ta peau et la chose vibrante que mes doigts viennent de happer, cest merveilleux de voir, de sentir combien tu bandes pour moi. Cette bite, elle donne envie et je veux la lécher aussi, en redécouvrir toutes les saveurs, la déguster avec amour. Je suis si embarquée dans ma pipe que je me retourne pour avoir plus daccès sur ton vit. Nous avons roulé tous les deux du canapé au sol. La chute de nos corps est amortie par la laine de la moquette. Oh ! Pierr e ! Tu es toujours entre mes cuisses, à fourrager dans ma toison et cest si bien que je nen peux plus. Mon ventre à des soubresauts et je persiste à téter ce membre qui est dur comme de la pierre, chaud comme les braises de notre cheminée.

Oui ! Continue ! Aide de toi de tes mains, cest ça ! Vas-y joue avec tes doigts dans ce marécage quest devenu mon sexe. Je veux que tu touches à tout, comme un gosse ! Un gosse ? À force de savourer, les images de ta tête se superposent à celle de ton fils ! Je dois tavouer quen ta trop longue absence, il te ressemble tant que jai eu envie de lui ! Est-ce que tu me pardonnes mes pensées incestueuses ? Et puis nen parlons plus, tu es là, et jai besoin de te savoir en moi. Viens, entre la porte est ouverte. Dis-moi la position que tu désires le plus, fait de moi une salope la tienne. Vas-y ! Fais-moi lamour je nen peux plus !

Oh ! Je ten supplie, baise moi ! Fais-moi lamour il y a si longtemps que jattends cela.

Tu mentends ? Je suis ouverte, mon ventre se sent trop vide, depuis si longtemps. Ah ! Oui ! Cest trop bon. Doucement, ne sois pas aussi impatient. Voilà, laisse-moi passer mes jambes autour de ton cou. Là ! Cest mieux, tu peux entrer davantage en moi ! Naie donc aucune crainte, jadore sentir contre mes fesses tes couilles qui me touchent à chaque avancée de ton bassin. Non ne ralentit pas tes mouvements, plus vite, plus fort cest bon fais comme tu veux, je suis à toi. Javais oublié combien ça peut être merveilleux ! Oui ! Baise-moi mon amour, je suis ta chose

Tu as toujours si bien su me faire grimper aux rideaux. Tu es comme dhabitude merveilleux et tellement mâle. Je veux te serrer contre moi ! Quand tu jouiras ou lorsque tu sentiras que ça vient dit le moi, je veux jouir avec toi, en même temps. Mais pour le moment, laisse-moi encore un peu mijoter, tu fais cela si bien oh ! Oui ! Encore, encorrr e ! Je te sens bien, tout au fond et mon orgasme va venir, je le sais, il est tout proche. Là ! Cest comme ça, là ! Oui mon chéri, ouiii ! Baise-moi ! Je suis ta salopppp e !

Non ! Ne te crispe pas comme cela, je sais que nous avons envie violemment tous les deux. Mais garde-toi bien raide, encore au fond de mon ventre. Tu fais si bien lamour mon cur jadore cette queue qui me lime en douceur, qui frotte contre les parois de ma chatte, cest trop bon. Tu veux sortir une seconde ? Juste le temps que je me mette à genoux, que tu viennes derrière moi ! Cette position, la levrette, cest celle que je préfère moi. Alors, reviens ! Oui comme ça ! Ouf ! Nait pas peur, enfonce-moi ta bite bien profondément, maintenant tu fais comme tu en as envie, je suis prête à te suivre dans ton orgasme. Il va amplifier le mien et je peux remuer.

Tu sens mes hanches qui bougent ? Cest pour te faire honneur mon amour, cest pour te sentir mieux, plus loin. Libère-toi, libère-moi ! Cest le bon moment, jai besoin de jouir, jai besoin de oh ! Oh oui ! Donne-moi ton foutre, vas-y gicle moi dans les entrailles, vide-toi les couilles, je te veu eux oui ! Éclate-toi, pour que je frissonne. Jai froid, jai chaud et tu es en moi, cest le ciel qui me tombe sur la tête, ça monte de partout dans mon ventre. Allez donnes donne-moi tout. Je ten supplie viens maintenant, je nen peux plus dattendre Secoue-moi, baise-moi je suis ta salope et je te veux

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Yohann

Elle narrête plus de marmonner des mots que je narrive pas à comprendre. Mais elle se déchaine et jen profite honteusement. Elle me suce, cest divin et je la lèche partout. Ma langue remonte même jusquà son anus sans quelle ny trouve à redire. Elle est pareille à une anguille qui frétille sous mes doigts. Ses soupirs entrainent les miens et je bande comme un âne. Que cest trop bon ! Je ne voudrais pas que ça sarrête dun coup, brutalement. Je narrive pas à savoir si elle se croit dans un rêve ou si elle est réellement éveillée. Mais cest trop, trop bon alors je persiste et signe.

Elle a écarté les cuisses, sest ouvert largement et cest sa main qui guide mon outil vers sa chatte ruisselante. De plus elle gesticule et des mots incompréhensibles fusent de sa bouche alors que ses paupières restent closes. Est-ce que cest pour ne pas me voir ? Ou bien est-elle dans le cirage encore ? Toujours est-il que ses jambes sont passées par-dessus mes épaules et que je lime doucement, au rythme que ses hanches imposent. Je menfonce tellement loin que je nen reviens toujours pas. Je ne suis plus puceau et la femme qui me fait lamour cest je ny crois pas ! Jamais je ne pourrai la remercier de ce cadeau.

Jai cependant un grand doute. Me voulait-elle vraiment ou faisait-elle lamour dans son rêve avec mon père ? Dans ce cas, je suis le pire des salauds. Elle me donne doublement la vie. La première en me mettant au monde te là en me faisant entrer dans le vrai monde, celui de lamour, du sexe. Je maperçois aussi quavant dêtre ma mère cest une femme avec des envies, des attentes et que toutes ces années de veuvage, de solitude ont dû lui peser beaucoup mais pourquoi na-t-elle pas pris un amant ? Je naurais rien trouvé à redire cela. Ensuite, il y a laprès ! Comment elle et moi allons-nous gérer cela ?

Ces questions qui se bousculent dans ma caboche ne mempêchent nullement de continuer à aller et venir dans ce sexe dont jentends le clapotis de la mouille qui lhumidifie. Ça glisse, cest doux et elle contracte son vagin autour de ma bite divinement. Elle me parle encore, elle geint doucement. Toujours des suites de mots que je ne parviens pas à saisir. Mais elle sarrache à moi dune manière si violente que jai la peur de ma vie. Elle veut sans doute elle sest réveillée et se rend compte que je suis le salaud qui baise sa mère ?

Mais non ! Incroyablement elle sest mise à quatre pattes sur la moquette et son derrière affriolant se dandine devant mes yeux. Elle vient à nouveau se frotter la croupe sur ma queue. Son bras plonge sous elle et saisit ma verge toujours aussi raide. Elle tend le derrière et me voici de nouveau en elle. Je lui tiens le bas du dos et me replonge dans le calice brulant. Cest reparti pour un tour. Elle rue, elle crie, elle tord son corps, elle mugit presque. Je me demande si je lui fais mal ! Cest fou comme elle revient avec son cul se coller contre mon bas-ventre. Elle a lair de réclamer quelque chose de plus fort

Encore une phrase qui claque dans le salon. Mais celle-ci, il me semble lavoir un peu mieux comprise. Je ne veux pas y croire, je ne peux pas y croire. Ce quelle me dit me donne des frissons.

Oh ! Je ten supplie, baise moi ! Fais-moi lamour il y a si longtemps que jattends cela.

Je suis certain que cest bien ce quelle veut. Mais comment savoir si elle sadresse bien à moi, que cest bien moi quelle veut ? De toute façon, je nai plus lintention de stopper là notre partie de cul. Jadore ce quelle me fait et jaime par-dessus tout son corps qui se balance de plus en plus au bout de mon nud. Elle hurle pratiquement sans discontinuer et je me prends au jeu. Merde ! je baise ma mère et jy prends gout, je dois avoir pété un plomb. Mais le pire cest quelle également semble trouver ça bien, ça bon. La seule chose dont je ne suis pas ultra certain cest que ce soit bien avec moi quelle veuille faire ce genre de galipettes.

Donne-moi ton foutre, vas-y gicle moi dans les entrailles, vide-toi les couilles, je te veu eux oui ! Éclate-toi, pour que je frissonne.

Dans tout le fatras de phrases quelle prononce, je ne capte pas grand-chose. Mais là ! Tout de même, il me semble bien avoir compris ces mots assez crus. Inutile de dire que je suis sous pression et que je sens déjà monter dans ma tige, mon jus qui ne demande quà léclabousser. Je ne cherche pas une seule seconde à sortir de lendroit que joccupe. Et dans un long gémissement je mépanche dans ce ventre bienfaiteur. Je me cramponne brutalement aux hanches qui se crispent sous mes doigts. Jéjacule soudain avec force et le corps que je tiens se raidit. La tête devant moi se berce à droite et à gauche, et la voix se remet en marche. Cest un long cri profond, un râle qui me parvient.

Du fond de la gorge de maman, cest une sorte de longue plainte, mais elle remue encore de la croupe et je suis les mouvements. À petits jets secs ; mon sexe se vide lentement. Elle nen finit plus de gémir, à men faire peur même. Ses mains raclent la laine du tapis et le visage que je ne vois pas se frotte aussi sur le sol. Je sens sous mes mains les frissons qui parcourent léchine de cette femme avec qui je fais lamour. Elle feule encore durant de longues secondes, et soudain sans crier gare tout son corps sécroule en tremblant sur la moquette épaisse. Cette semi-chute mentraine aussi dans son élan et je me retrouve allongée sur lensemble de son anatomie.

Nous restons un temps imprécis lun sur lautre. Cest chaud, doux et lenvie de ne pas bouger, de ne pas rompre le charme précaire de la situation reste mon unique souci. Je vais avoir surement des comptes à rendre. Déjà, mon esprit se remet en place et il menvoie des signaux dalarme, je me traite intérieurement de dégueulasse, de pourriture, de monstre, de pervers. Lamertume de la situation ne me fait pourtant pas regretter mon geste et je crois que si elle me donne une nouvelle opportunité, je la saisirai de la même manière. Mon sexe se met tout doucement au repos et les dernières gouttes de mon sperme lui coulent dans la raie des fesses.

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Maryse

Il a joui en moi et je suis secouée par un orgasme providentiel. Depuis si longtemps quil ne mavait pas fait lamour. Pourquoi tes-tu abstenu aussi longuement ? Bon sang comme cest bon ! Jen avais presque oublié la chaleur ! Ne me laisse plus jamais aussi longtemps sans me faire lamour. Jai senti cette marée qui membarquait, et ma tête aurait voulu entrer dans la laine. Je me suis arraché les ongles à force de griffer la moquette. Mes cuisses, mes jambes, tout a lâché dun coup et je me suis affalée de tout mon long sur le sol. Impossible de faire autrement. Jai envie de hurler mon désarroi.

Le vide trop vite arrivé, larrachement de ton vit de mon ventre, et mes yeux se mouillent eux aussi. Je voudrais que tu reviennes, jaurais aimé que tu restes encore en moi, un peu, un peu plus mais tu es aussi tombé sur moi et ton sexe dur est entre ton ventre et mes fesses. Tout nest donc pas perdu. Jai froid, je voudrais remettre du bois dans le foyer. Ton poids sur moi mempêche cependant de bouger et dy aller. Je me sens vide mais tellement bien. Tu es toujours un si bon amant ! Mon Dieu que cétait bien, et jai déjà une autre envie juste celle de recommencer ! Mes paupières, jusque-là fermées sentrouvrent. Il fait sombre, plus de lumières et seuls les rougeoiements des dernières braises percent la nuit.

Attends mon cur ! Je voudrais remettre du bois, refaire un peu de feu ! Jai des frissons. Cétait trop bien ! Allons pousse-toi un peu sur le côté ! Tu es lourd, tu sais !

À genoux sur la carpette, je me traine vers la cheminée. Le gribouille fait jaillir quelques étincelles des braises et je pose sur celle-ci une buche de bois bien sec. En ouvrant légèrement le tirage, une flammèche revient. Je massois, et le menton sur les genoux, je suis des yeux les escarbilles qui crépitent dans lâtre. Limpression que la chaleur revient est immédiate. Je me tourne vers ce corps qui est allongé, à un mètre de moi. Sur le dos, je pose ma main et la fais glisser sur la surface plate des épaules vers le cou. Je suis désormais bien éveillée et je sais ! Je sais que je viens de faire une énorme bêtise. Que je suis la seule à blâmer ! Ça fait quelques minutes que je réalise, que je suis troublée, que je ne sais plus quoi faire ! Pas plus que je ne sais quoi dire.

Yohann est là, nu dans la pâle lueur des flammes ressuscitées. Il ne bronche pas gardant son visage caché dans ses bras, recroquevillé dans une position dattente. Sans doute se sent il lui aussi fautif, coupable, mais pour cela il nous fallait être deux et assumer ce qui vient de se passer nest pas chose évidente. Si je me sens déboussolée, je ne me sens pas sale vraiment. Lamour nest pas malpropre. Puis nous sommes deux adultes ! Réflexion dautodéfense ? Je ne sais pas, mais je narrive pas à avoir honte pour de bon. Ma main le frictionne, maternelle du cou aux cheveux. Maternelle ? Mon il oui !

Cest toujours latent en moi, cette petite pointe denvie et je narrive pas à ne pas y songer. Pourquoi suis-je de nouveau ensorcelée par cette envie qui me taraude les tripes ? Cest un homme maintenant et il vient de le prouver brillamment. Je pense quune fois de plus ne pourra pas nous faire plus de mal ! Mais lui qua-t-il à dire de tout ceci ? Cest là que le bât blesse. Jamais je ne vais oser lui poser la question. Il reste immobile le visage caché, donc invisible et de ce fait impénétrable. Alors et bien il ny a quune seule manière de savoir. Ma main quitte ses cheveux et sen va explorer ce corps qui a bien évolué depuis que je ne lai plus lavé

Dabord elle court sur le dos, longeant la colonne vertébrale et coule doucement vers deux fesses musclées. Puis jinsiste un peu sur celles-ci, les suivant dun index calme. Je sens frémir la chair sous mon doigt. Pas un mot sauf une sorte de grognement inaudible. Le doigt longe le creux juste au-dessus des demi-sphères blanches où la lumière vacillante des flammes se reflète un peu. Je sais quil aime cela, je le sens sous ma main. Alors je continue, en traçant vers le haut des cuisses que je caresse sans vergogne. Il ne dit toujours rien, mais soupire plus fortement.

Jai limpression, mais ce nest que passager que ses deux jambes se sont éloignées lune de lautre. Un doute menvahit, auquel je veux mettre fin de suite. Je laisse mon bras flirter avec lintérieur de la cuisse la plus proche de moi. Ma main remonte vers et jai bien raison ! Les petites boules sont aplaties vers le sol, mais en bougeant il me laisse sentir la chose qui les surmonte. Il bande encore, ou à nouveau serait plus exact. Quand jarrive sur le phallus tendu, il se met sur le côté, son visage tourné vers le canapé. Je ne le vois pas, mais je sais quil attend encore une autre caresse. Il va donc être comblé.

Moi aussi sans doute. La tige que je tiens maintenant est chaude, pleine de mouille et des sécrétions de notre première séance. Toujours aucun son dans la pièce ! Seules les flammes qui font craquer le bois sont audibles. Je tire le manche un peu vers moi, obligeant son propriétaire à se tourner davantage. Je vois désormais cette bite que je masturbe lentement ! La peau du prépuce monte et descend, découvrant le gland rose. Une envie me surprend et je me penche sans peur, vers lobjet qui me fascine. Ma bouche souvre et goulument je happe la tige. Il se laisse faire, avec un frémissement, mon bébé

Je débute une fellation toute tranquille, sans avoir aucun scrupule et mon fils ne dit pas un mot. Il ne fait aucun geste pour mempêcher de le sucer. Il a plutôt lair dapprécier et son bassin se met à faire de petits cercles, il se soulève, comme pour que je le prenne encore plus profondément dans ma gorge. Plus il bouge, plus je me donne à fond dans cette pipe. Il vibre, il sautille comme sil allait cracher une fois encore son sperme. Je calme donc mes mouvements, je veux en profiter un peu plus longuement. Il ne peut ignorer que je suis complètement éveillée et que cest bien sa mère qui lui fait une gâterie. Mais il reste sans un mot !

Tout en continuant à sucer sa queue avec gourmandise, je palpe également le petit sac qui contient les testicules ! Je presse mollement lensemble, fais rouler sous mes doigts les billes quil contient. Il en râle, il en bave denvie et je sens les premiers tressaillements de son jonc entre mes lèvres. Non ! Tu ne vas pas me gicler dans la bouche, jai envie moi aussi dêtre prise, de revivre un instant magique tel que celui qui nous a réunis tout à lheure. Alors je lâche lengin et je me place à croupi sur lhomme. Je minstalle comme je le désire, sans lui demander son avis ! Mon petit bonhomme tu vas savoir ce que cest quune vraie femme !

Mes jambes, placées de part et dautre des siennes, je pose mes genoux sur le sol et tenant entre les doigts le mandrin lubrifié par ma salive, je me laisse littéralement tomber dessus. Je menchâsse sans peine sur la bite dune raideur impressionnante. Elle men rappelle une autre, mais je sais faire la différence bien sûr. Pour le coup, cest moi qui suffoque presque de cette intromission brutale. Je reste ainsi sans mouvement pendant quelques secondes, le temps que ma chatte shabitue à la présence de ce pieu. Puis, alors que je lui tourne le dos, lentement je me pistonne toute seule, me servant de lui comme dun vrai gode.

Je lentends, je ne le vois pas ! Je sais, je sens quil fait des efforts pour se mettre en cadence avec moi. Il se retient et comme il est jeune, il y parvient parfaitement. Je me lime sur sa queue avec une délectation non feinte. Je me baise solitaire, je le masturbe avec ma chatte. Et les vagues qui se succèdent au fond de mon ventre laissent présager dun nouvel orgasme imminent. Il sest juste redressé un peu, me tenant par les hanches et il suit mes mouvements. Jimagine que mon poids ne le dérange pas trop. Il appuie sur ma nuque, je ne comprends pas ce quil veut exactement

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Yohann

Attends mon cur ! Je voudrais remettre du bois, refaire un peu de feu ! Jai des frissons. Cétait trop bien ! Allons pousse-toi un peu sur le côté ! Tu es lourd, tu sais !

Là cest sûr maman est bien réveillée. Elle sait donc que nous avons mais elle na pas lair plus perturbée que cela ! Comment se parler maintenant ? Quest-ce que je vais bien pouvoir invoquer comme excuse ? Elle ne me met pas mal à laise cest déjà un bon point. Mais elle doit aussi se sentir un peu penaude. Je suis resté allongé sur le ventre, la bouille planquée dans mes bras. Je suis redevenu tout mou et de partout. Je nai plus de force, enfin, cest ce que je ressens. Elle tripatouille dans la cheminée. Jentends les bruits du feu quelle ravive, mais je ne veux pour rien au monde affronter son regard.

Elle a dit :

Cétait trop bien ?

Jai bien entendu ? Cest fou ça ! Elle semble avoir aimé. Et moi qui me trouvais nul ! Une simple discordance, un simple écart de point de vue ? Je ne sais pas trop. Mais elle revient vers moi et maintenant que va-t-il se passer ? Tiens ! Elle a mis sa main sur mes épaules et ma tête rentre dans celles-là. Je ne sais pas quoi faire et surtout je nai rien trouvé à dire. Ses doigts fouillent ma tignasse. Javoue que jaime ça et elle me donne des frissons. Pourquoi se tait-elle ? Pourquoi surtout me remet-elle sur le grill ? Si elle sait que je suis son fils, pourquoi me touche-t-elle le dos de cette manière ? Nous avons tout juste fini de bais de faire lamour et elle me caresse comme si jétais son amant attitré.

Merde ! Elle me tripote les fesses, se comporte comme une femme avec son mari, mais bon sang, elle est pourtant bien éveillée et je suis son fils ! Elle ne devrait pas et je nai surtout aucune envie quelle ne continue pas ! Je ne vais rien lui dire surtout. Cest quoi ce doigt qui coule sur mes meules vers mes cuisses ? Cest pas vrai ça ! Jy crois pas elle ma choppé les couilles et elle les presse doucement ! Comment résister à cette caresse ? Ma mère est une salope ? Une chienne qui veut de la bite ? Pourquoi elle na pris un autre mec comme amant ? Jai la trique encore une fois.

Non ! Je nen reviens pas ! La voilà qui me branle et jaime ça ! Là cest sûr elle est folle, cest une pute, elle aime la bite son cerveau a disjoncté ? Elle fait trop bien je nen peux plus ! Tant pis je me retourne vers elle. Si je prends une calotte allez, tourne-toi Yohann ! Tu verras bien. Ben non ! Elle ma tiré sur le « sguègue » et jai bien voulu me tournernon dû me tourner vers elle. Elle est cochonne mais jadore ça ! Oh ! Maman narrête pas ! Continue, vas-y ! Je bande ! Je bande ! Regarde donc comme je bande !

Elle est trop bonne. Je me laisse faire, jai dix ans et tu me touches déjà le zizi, mais cest pour le laver. Papa va rentrer et il va rigoler de me voir ainsi à ta merci ! Oh maman ! Vas-y ! Continue, je ten prie, je sais bien que cest mal, mais jen veux toujours plus. Mon Dieu ! Elle sest penchée sur moi. Elle ne va pas quand même ! Mais si ! Je peux mettre mes doigts sur ta tête pour te donner le rythme ? Non je ne bronche pas ! Si elle venait à arrêter. Je ferais quoi moi avec cette queue toute si rigide et qui ne demande quà ce quon soccupe delle. Elle sait faire en tous cas ! Quand mon corps frémit et que je me raidis, elle sait calmer le jeu. Elle ne veut pas avaler mon sperme ?

Elle a peur que je lui trisse dans le gosier ? Je ne veux pas faire ça ! Je voudrais quelle me fasse lamour encore, mais plus avec sa bouche et je noserai jamais lui dire. Tant que je pensais quelle dormait ou faisait semblant dêtre endormie, je pouvais toujours me bercer de lillusion quelle avait une bonne excuse. Mais là ? Elle sait bien que la bite quelle suce nest pas celle de mon père ou de son amant, si elle nen a jamais eu un. Ah zut ! Elle a tout laissé en plan et elle va se barrer. Elle vient de se lever, cest cuit jen suis certain. Quel con, jaurais dû en profiter un peu plus et dire un mot, lui faire comprendre que jaimais

Mais elle sest redressée et elle a fait passer ses longues jambes de chaque côté des miennes. Elle sassoit lentement sur mon ventre. Son dos est dans mon champ de vision. Et la voilà qui plie ses genoux, sa main passe sur mon ventre, attrape ma quéquette et elle se la fourre directement dans la chatte. Ça rentre tout seul tellement elle est mouillée. Putain ! La salope ! Jadore ! Mais elle ne bouge plus. Son soupir est difficilement supportable. Je ne vais pas juter tout de suite, jespère. Ouf ! Son cul remue et je suis le mouvement. Ça va, elle se met en mouvement en restant emmanchée sur ma queue. Cest trop super.

Deux fois dans la même soirée elle baise avec moi ! Je nen reviens toujours pas. Jai seulement envie de me sentir, de la sentir, de remuer aussi, mais elle pèse de tout son poids sur mon ventre. Ses fesses montent et descendent sur mon sexe. Je deviens fou de désir, fou denvie, je ne sais pas si je vais pouvoir me retenir longtemps. Et si je tentais de la prendre par Je ne sais pas si elle voudra. Tant pis je me lance, je me jette à leau Mes mains sont sur sa nuque, je lui caresse le cou, les épaules, je lisse ses cheveux, et je me redresse un peu. Ses mains, elles, sont posées sur mes jambes, bien bas et elle se plie en deux. Elle ne rejette pas mes caresses.

oooOOooo

Maryse

Yohann se comporte comme un véritable amant. Ses mains me font me courber en deux et je me retrouve une nouvelle fois à genoux devant lui. Jattends quil revienne me prendre comme cela. Ce nest pas son idée ! Le souffle que je sens, cest sa bouche qui vient, toute proche de ma chatte gluante. Il me passe la langue sur toute la fente, ne sarrête pas seulement à elle. Il vient de monter un peu plus haut, il ressemble bien à son père qui savait y faire et qui affectionnait particulièrement cette offrande. Mais je ne vais quand même pas me laisser et pourtant ! Quel bonheur de ressentir ça ! De nouveau mon corps vibre pour ce genre de câlin contre nature, doublement là aussi !

Il a si bien réussi à allumer mon désir que cest moi qui tends mon derrière au-devant de cette langue râpeuse qui me cajole lanus. Elle va et tente une première infiltration ratée ! Mais elle se remet aussitôt à louvrage pour mieux cerner le cercle brun que la salive, petit à petit, lubrifie. Il a lair dadorer cette exploration linguale. Cest si bien amené quau bout de quelques minutes, je nen peux plus, et lui facilite grandement la tâche en me couchant sur côté. Il en fait autant et le voici qui lèche de plus belle. Cest affreusement bon, honteusement malsain, mais terriblement excitant.

Le minuscule orifice lentement me met en transe, et la langue entrouvre la porte de lenfer transformant mon envie en paradis. Puis cest la pointe savante de cette lutine humide qui soffre un petit voyage en interne. Elle fait des va-et-vient alors que sans que jy prenne garde, des doigts sallient à cette visiteuse noctur

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