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Sur le GR 20 : randonnée en mauvaise compagnie – Chapitre 6

Sur le GR 20 : randonnée en mauvaise compagnie - Chapitre 6



(avant-dernier chapitre ;-) )

 Je me réveillai tôt. J’avais basculé en partie sur le ventre ; Rémi avait toujours sa queue entre mes cuisses, que je sentais poisseuses au niveau de mon sexe : il avait dû continuer, pendant que je dormais, jusqu’à éjaculer. Cette fois, c’était moi qui allais le secouer. Alors qu’il se réveillait difficilement, je le mis sur le dos et le pris dans ma bouche. Il se mit très vite à bander, sous ma langue et mes lèvres. Sans rien dire, il attrapa ma tête et me fit le sucer. Après quelques mouvements, alors qu’il commençait à respirer plus fort en me disant que je suçais vraiment bien, je me dégageai doucement et m’allongeai sur le ventre en écartant mes fesses à deux mains.

 – Rémi, s’il te plait Hier tu m’as expliqué Aujourd’hui, montre-moi

 Il plaça sa main entre mes jambes. Je mouillais déjà, suffisamment pour qu’il me lubrifie abondamment l’anus. Il en étala aussi sur sa queue. Il posa son gland contre mon anus, dilaté de la veille, et pénétra sans difficulté : sa queue avait tout de suite été aspirée. Je haletai sous la pénétration. Il resta un moment immobile.

 – S’il te plait, plus Comme eux, entièrement, enfile-moi bien pour effacer ce qu’ils m’ont fait.

 Il me mit alors tout son pénis, lentement, en finissant couché sur moi, pesant de tout son poids sur mon bassin. C’était bon de le sentir en moi aussi profondément. Sa queue effaçait la sodomie de la veille. Il était épais : même avec l’anus encore distendu, je le sentais bien. Puis il se retira, revint et me sodomisa avec régularité. Je haletai doucement et le suppliai dans un murmure de continuer à m’enculer comme ça. Il finit par demander :

 – Ca va ? Je ne te fais pas mal, ça te plait ? C’est vraiment le pied dans ton cul, ma puce, je suis bien bien serré, encore mieux que dans ta bouche et ta chatte.

 Sa queue était épaisse, mais pas trop, j’appréciais de la sentir me pénétrer de cette façon.

 – C’est bon, Rémi, c’est trop bon quand c’est toi qui le fais Tu sais, Mathias n’a jamais voulu, alors souvent j’imaginais que toi tu me le faisais N’arrête pas Vas-y, pour les fois innombrables où je me suis enfoncé les doigts dans l’anus en voulant ta queue Encule-moi fort !

 Il recommença à s’activer. Je l’entendais haleter à son tour. Lorsqu’il accéléra le mouvement, je saisis la lampe torche. Il se souleva légèrement pour que je puisse la faire passer en-dessous et m’aida à l’insérer dans mon sexe. Il passa sa main sous mon bassin et la maintint plantée profondément en moi.

 – Oh c’est bon ma puce, en plus je sens la lampe contre ma queue ! Je vais bientôt décharger Ca te plait, hein ? Ca te plait ? Tu veux que je te fourre bien profond, jusqu’au bout, avec la lampe qui te baise la chatte en même temps ?

 J’avais du mal à parler.

 – Vas-y, mets tout dans mon cul, s’il te plait, tout Rémi s’il te plait jute pour moi, remplis-moi complètement C’est trop bon

 Ses mouvements faisaient bouger la lampe, me masturbant délicieusement. Il finit par donner un grand coup de reins, me plaquant au sol, enfonçant la lampe encore plus profondément en moi. 

 Je jouis tout de suite, étouffant mes cris dans le tas de vêtements qui nous servait d’oreiller. Ses halètements rauques fusaient au même rythme que les giclées chaudes qui me remplissaient le cul, par à-coups, tandis que je sentais les contractions de sa queue qui jutait. Puis il s’affaissa sur moi, se retira et bascula sur le côté. Je serrai les fesses pour essayer de garder un peu la chaleur de son foutre. Il me tourna et me pressa contre lui, dans le mouvement son sperme coula de mon anus.  Il m’étala le foutre comme l’avait fait Fred la veille.

 Je retirai la lampe de mon sexe, dans un bruit de succion mouillé.

 – Pour le coup je ne peux pas donner tort à Fred Ton cul est splendide, Emilie chérie, c’est un tel plaisir de te sodomiser !

 Je soupirai avec délice.

 – C’est vrai ? Tu as aimé m’enculer ?

 – Si j’ai aimé ?… Tu parles, adoré, oui ! On le fait parfois avec Lilou mais même si c’est elle qui est motivée pour ça à chaque fois, je vois bien que ça lui plait pas plus que ça. Alors que toi, tu aimes tellement, c’est encore plus jouissif D’autant que tu as vraiment un cul étroit, effectivement. J’étais vraiment bien serré à chaque pénétration.

 En parlant, il pelotait machinalement mes seins.

 Je souris.

 – Hum, non, je pense être encore un peu élargie d’hier soir Mais j’ai essayé de le contracter pendant que tu me pénétrais, c’était meilleur comme ça, pour toi et pour moi

 Rémi me serra fort contre lui et m’embrassa goulument sur les épaules, dans le cou, tourna mon visage vers lui et me dévora les lèvres.

 – Je t’adore Je voudrais juste faire la peau à ces deux connards et ensuite passer le reste des vacances avec toi sous la tente, à te pénétrer partout, à jouir en toi et sur toi

 – Humm, ce serait bon Pour les deux autres, j’ai peut-être une idée, mais il faudra attendre le dernier moment. Je t’en parlerai si une occasion se présente.

 Je me tortillai contre lui, pour mieux sentir son corps contre le mien. Il bandait à nouveau. 

 – Dis, Rémi

 – Hummm

 – Tu  sais, j’ai vraiment aimé. Vraiment. Pas juste parce que j’en avais besoin après ce que Fred et Thomas m’avaient fait. C’était bon, que tu insères ton pénis dans mon anus.

 –

 – Chez moi j’ai plusieurs fois essayé de me faire plaisir comme ça, toute seule, mais sans oser aller trop loin : visiblement si on fait n’importe quoi on se retrouve vite aux urgences. Je ne sais pas pourquoi Mathias me refuse ça. Ca fait plus d’un an que je lui en parle régulièrement, mais il ne veut pas. C’est tellement bon même hier soir, avec Fred au début, je crois que j’ai un peu aimé, au fond, avant que Thomas ne s’ajoute. Surtout que je pensais à toi. 

 Je sentais la queue de Rémi recommencer à durcir. Je me dis qu’il avait dû bander en regardant Fred m’enculer. Je me souvenais maintenant qu’après, dans la tente, quand j’avais calé le pénis de Rémi contre moi, il était humide. Peut-être que plus tôt, il avait joui en me regardant me faire défoncer par Fred et Thomas.

 – Rémi, tu te souviens, quand on était ados, et qu’on parlait de nos fantasmes, en rigolant ?

 – Ca, oui Et je dois dire que me faire sucer dans les WC n’était en fait pas le seul

 – Moi non plus En fait je rêvais que tu me mettes à genoux, que je te suce un peu jusqu’à ce que ton érection soit suffisante pour que tu me sodomises. Ensuite je me serais mise à quatre pattes et tu m’aurais attrapée par la taille et par les cheveux pour m’enculer sauvagement jusqu’à ce que je m’affaisse en jouissant et que tu finisses allongé sur moi, me baisant le cul de tout ton poids

 – Hummmmm. J’aurais adoré qu’on fasse ça, tu sais Mais j’ai du mal à visualiser

 Je sentais qu’il avait descendu sa main entre nous et commençait à se masturber.

 – C’est vrai que tu n’as jamais été un grand visuel

 – C’est peut-être à ton tour de me montrer ?…

 Je ris doucement et me mis à quatre pattes. Il activa son mouvement masturbatoire et vient se placer devant moi, après avoir rapidement essuyé son pénis qui venait de me sodomiser. Je le pris avidement dans ma bouche et le pompai. Au bout de quelques minutes à s’activer presque brutalement,  il se retira et passa derrière moi. Il plaça son pénis à nouveau en érection contre mon anus et commença à pousser. Son gland était déjà entré, lorsque nous entendîmes parler allemand. Merde. Ils étaient déjà réveillés. Rémi chuchota :

 – On continue quand même ?

 – Non, tu me ferais hurler de plaisir

 Rémi se retira en soupirant. Je le masturbai rapidement pour le faire jouir (en le prenant dans ma bouche à la fin, décidément j’adorais sentir Rémi entre mes lèvres), avant de rejoindre les autres.

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Petit déjeuner. Oui, bonjour les Allemands, oui, bien dormi, et vous Salut Fred et Thomas, vous avez l’air en forme Oui, moi j’ai l’air fatigué, allez savoir pourquoi connards

 Rando. Midi. Traditionnelle pause avec les Allemands. Cette fois ils nous attendent et nous repartons ensemble, « c’est plus sympa comme ça. »

 Soir. Arrivée à Capannelle. Repas, vaisselle, pas de réseau, bonne nuit tout le monde, non Fred pas de balade ce soir. Grands sourires des Allemands (qu’est-ce qu’ils ont à être heureux comme ça, eux ?) Nous montons les tentes, malgré le beau temps : en altitude, il fait frais et humide. Thomas me lance un regard noir en constatant que je ne tiens pas compte de l’avertissement de la veille (demain, je vais prendre double. Mais surtout, il risque de prendre cher, lui, dès ce soir). Fred a l’air goguenard.

 Avec Rémi nous allons nous coucher mais restons aux aguets : ce soir, c’est opération commando-téléphone. Avec un peu de chance, vu le beau temps, cette fois Fed et Thomas s’éloigneront du campement.

 Au bout d’un quart d’heure, bruit de tente qui s’ouvre. On attend un peu avant de sortir à notre tour. Nous voyons la frontale de Fred et Thomas, qui s’éloignent vers un bosquet. Je rentre en vitesse dans leur tente. Un téléphone, celui de Fred. C’est pas vrai, cette chance Il faut croire qu’il se pense intouchable Je l’ai vu plusieurs fois le déverrouiller, pour mon malheur ; j’ai retenu le code. Galerie, images. Je regarde les dossiers. « On effacera les images si tu fais ce qu’on veut » Tu parles Plusieurs dossiers, bien classés par date, de leurs exploits Souvent des filles inconscientes, manifestement bourrées. Je regarde quelques vidéos : on les entend même dire que c’est le pied de se taper une fille comme ça, tellement beurrée qu’elle ne sent pas deux queues qui la baisent

 Bluetooth. Je récupère autant d’images et de vidéos possibles, celles où la situation est explicite et où on voit que les filles (parfois les mecs) ne sont pas en état de consentir. Y compris mes vidéos. Je récupère même quelques sodomies entre eux ; je trouve celle où Fred dit qu’il va me baiser alors qu’il encule Thomas.

 Je n’ai pas encore fini et je n’ai pas commencé à détruire les images qui me concernent que Rémi m’alerte : ils sont de retour. Merde merde merde. Trop risqué d’embarquer le téléphone, ils ont été suffisamment menaçants pour que j’aie peur de ce qu’ils pourraient nous faire, loin de tout.

 Je sors en vitesse, nous nous planquons derrière notre tente (pas le temps de rentrer). Fred et Thomas chuchotent.

 – Allez, redis-moi ce que tu as senti au moment où tu lui as mis ta queue Quand j’ai mis la mienne tu l’avais déjà bien élargie

 – Elle était super étroite, tu as vu le mal que j’ai eu à lui fourrer mon gland ? D’accord j’en ai une grosse, mais quand même ! Putain j’ai poussé comme un malade, ça m’a même fait mal de lui forcer le cul comme ça, pour que ça rentre !

 – Et c’est dingue, elle te laissait faire ! Elle n’a même pas cherché à se dégager. Une fois dedans Redis-moi

 – Trop bon, elle était super serrée, bien plus que toi J’ai cru que j’allais jouir tout de suite

 Ils rentrèrent dans leur tente.

 – Sérieux Fred, j’aurais bien aimé l’enculer seul, moi aussi Demain c’est le dernier soir, j’espère bien que je pourrai !

 – Tu as eu ton occasion avant. Tu as pris sa chatte et sa bouche à la place. On verra ce qu’on fait demain. Dans tous les cas, j’ai la priorité : si tu veux lui remettre ta bite dans le cul, tu passeras après moi. S’il y a du réseau Bon, à Vizzavone ça devrait aller, mais le camping est loin de la ville, on ne sait jamais

 Thomas grogne.

 – Franchement, s’il n’y en a pas et que tu ne peux pas la baiser, demain moi je fais rien.

  Fred se tait un moment.

 – Hum. Rien, tu dis. Rien, demain.

 – Non, rien demain.

 – Pas sûr qu’il y ait du réseau le soir. En journée sans doute, mais au camping pas sûr. Alors autant prendre de l’avance.

 – Hein, quoi ? Non, mais ce soir tu t’es déjà bien fait plaisir dans ma bouche et tu as profité de ce qu’on était dehors pour me gicler dessus n’importe comment. Ca suffit, et puis là on risque de nous entendre

 – Tais-toi, tu parles trop fort.

 Fred lui-même ne s’embêtait pas à pour baisser la voix, visiblement il croyait tout le monde profondément endormi. Bruits de tissu froissé et de courte lutte.

 – Franchement c’est idiot de ta part Thomas, tu sais que j’ai toujours le dessus Arrête d’essayer de faire le malin avec moi Contente-toi de baiser les filles quand tu le peux, et laisse-moi gérer le reste comme convenu. Baisse ton froc et montre-moi ton cul. Voilà, comme ça c’est bien, Thomas, c’est bien. Rien demain, tu disais ?…

 –

 – Alors coup double ce soir !

 J’entends un bruit régulier, sans doute Fred qui se masturbe pour bander. Rémi me serre contre lui. Je mets la main entre ses jambes, il est excité, je le caresse. Il met une main entre les miennes, passe sous mon pantalon et commence à me pénétrer d’un doigt. Il murmure :

 – Tu crois qu’il va l’enculer comme toi hier soir ?

 Dans la tente, Fred reprend :

 – Allez je suis sympa, je nous mets la vidéo d’hier. Comme ça tu auras sous les yeux ce que je lui faisais, avec ses petits cris et ses gémissements, on l’entend supplier aussi Et bien sûr il y a le moment où elle me dit qu’elle aime, sérieux je croyais pas qu’elle le ferait ! (lumière bleutée dans la tente, la vidéo était lancée : j’entendais mes gémissements d’hier) Vas-y, écarte les fesses, que je ne te fasse pas mal (ahanement de Fred, cri étouffé de Thomas) Ah là, c’est bon, tu vois bien, c’était pas la peine de râler je suis déjà dans ton cul

 Bruit de succion mouillé, rapide. Il le sodomise avec vigueur. On entend vaguement la vidéo en bruit de fond, couverte par les gémissements de Thomas, qui supplie Fred de lui remontrer comment il m’avait enculée.

 Rémi cessa de me masturber. Je cherchai à me blottir contre lui mais il baissa fiévreusement mon pantalon (culotte avec) et me plaqua sur le dos en m’embrassant. Je n’eus pas le temps d’écarter les jambes : il introduisit sa main entre mes cuisses, fit levier pour laisser un peu d’espace et pénétra ma chatte d’un mouvement brusque. Il commença à me baiser silencieusement. J’essayai d’écarter les jambes pour qu’il m’enfile plus profondément mais mon pantalon, bloqué en haut de mes cuisses, m’en empêchait. J’avais peur de faire du bruit, on pourrait m’entendre, mais la vidéo tournait toujours dans la tente de Fred et Thomas et j’entendais mes gémissements et cris de la veille. Je tentai de bouger un peu : nous étions toujours dehors, derrière notre tente, les cailloux sur le sol me blessaient quand Rémi pesait de son poids sur moi, à chaque pénétration.

 Rémi chuchota à mon oreille, en haletant :

 – Bouge pas, c’est bon comme ça, tu es bien étroite dans cette position. Ca te fait du bien, ma puce ? C’est un tel soulagement, après tout ce qu’ils t’ont fait, non ? C’est bon, hein, c’est bon, c’est bon

 Je ne savais que répondre, j’aimais le sentir en moi mais la position me faisait mal et il commençait à faire froid.

 Il accéléra en agrippant mes épaules et mes seins, jusqu’à une série de coups de reins plus violents : il jouit très vite.

 Il finit par se retirer (le sperme coula un peu entre mes jambes à ce moment-là) et murmura, toujours allongé sur moi :

 – C’était bon, ma puce ?

 – Je. Oui, bien sûr, toujours

 – Mais tu n’as pas joui.

 – Hum, non. Non.

 – Si tu veux On peut faire quelque chose qui te plairait plus ?

 –

 – Ce matin, tu me disais qu’au lycée, tu rêvais que je te sodomise, d’une certaine façon

 –

 Il se leva et m’entraina avec lui. Je retins tant bien que mal mon pantalon, toujours baissé, qui glissait sur mes cuisses. Nous nous dirigeâmes à l’écart du bivouac, jusqu’à ce que les ronflements des Allemands ne soient plus audibles. Il dit alors :

 – Vas-y, ma puce, montre-moi, montre-moi comment tu voulais être quand tu imaginais une sodomie avec moi !

 – Rémi, je ne suis pas sûre de vouloir maintenant.

 – Pas grave, tu me montres simplement rien de plus

 J’enlevai mon pantalon et ma culotte, puis me mis à genoux, devant un rocher bas contre lequel je pris appui, le buste à moitié posé dessus. Le sperme de son éjaculation précédente commençait à sécher à l’intérieur de mes cuisses.

 – Tu vois, c’est cette position, que je voulais dire

 – Humm, je vois

 Au bruit qui me parvenait, il était en train de se masturber.

 – Et je t’imaginais te mettre derrière moi

 Il s’agenouilla et plaça ses cuisses contre les miennes. Il se branlait contre moi, je le sentais à nouveau en érection.

 – Mettre ta queue, ta queue que je rêvais aussi de prendre dans ma bouche, la mettre contre mes fesses

 Il mit son pénis en position sur mon anus

 – Et ensuite ma puce ? Dis-moi ce que tu voulais

 – Rémi, non

 – Emilie, ma puce jolie, dis-le moi 

 – Ensuite tu t’enfonçais brutalement en moi, en m’attrapant par les hanches pour bien m’enculer à fond, et c’est ce que je me disais en me caressant et en pensant à toi, « m’enculer à fond », je voulais te sentir entièrement en moi, tes testicules plaqués contre mes fesses. Ensuite je t’imaginais m’attraper par les épaules ou les bras pour m’empêcher de bouger et me sodomiser longuement, en me faisant gémir et supplier de continuer J’aurais bougé sous toi pour mieux m’empaler sur ta queue, jusqu’à ce que tu gicles dans mon cul, tellement fort que tout ressortirait et coulerait sur mes cuisses, jusqu’aux genoux, et que tu m’en envoies encore sur les fesses, sur le dos, sur

 Il appuya contre mon anus. Je frémis et me contractai.

 – Voilà, c’est ce dont je rêvais.

 – Et plus maintenant ?

 – Euh si, mais là ce soir, tu vois, pas trop Et puis tu m’as déjà sodomisée ce matin, ça fait beaucoup.

 – Ma pauvre puce, ça m’a fait du bien tout à l’heure, tu sais, quand je t’ai prise sur le sol ! C’était dur d’entendre la vidéo et de revivre ce que Fred et Thomas t’ont fait hier, venir entre tes jambes m’a soulagé. Mais toi, tu n’as pas joui, je vais me sentir coupable si on va se coucher en restant là-dessus S’il te plait ma puce, laisse-moi te faire plaisir, j’en ai tellement besoin !

 Il força un peu jusqu’à ce que son gland entre. Je respirai longuement (pas de lubrification, cette fois).

 – Rémi 

 – Détends-toi, ma puce, tu vas bien plus aimer qu’avec Fred hier, où pourtant tu as eu du plaisir, je l’ai vu. Tu m’as dit que tu pensais à moi pendant qu’il t’enculait violemment, ce soir c’est moi qui le fais : c’est ce que tu voulais, non ? Une sodomie où je te prends sauvagement en levrette ?

 Il pénétra un peu plus, par à-coups, jusqu’à me dilater et me la mettre en entier. Puis il s’immobilisa, les mains sur mes épaules. 

 – Allez, ma puce, fais comme tu as dit il y a deux minutes, fais coulisser ton adorable petit cul étroit sur ma bite, empale-toi sur moi.

 De toute façon, il m’avait déjà entièrement pénétrée, autant continuer. Je m’exécutai donc et commençai à bouger, me sodomisant sur sa queue plantée en moi. Doucement d’abord, mais ensuite Rémi attrapa mes hanches pour amplifier le mouvement.

 – Oh c’est bon, c’est trop bon, de te prendre comme ça Ma puce chérie, tu es tellement bonne à enculer ! Ca y est, moi aussi je visualise ! On aurait fait ça dans les WC du 2e étage, le soir de 17h à 18h quand il n’y avait presque plus de cours ; tu te serais agrippée à la cuvette pendant que je t’aurais coincé ma queue dans le cul Tu aimes ça ? C’est ce que tu veux, tu m’as dit, quand tu te mets les doigts dans le cul chez toi, en fait tu veux ma queue qui te sodomise. Sens-la bien, c’est rien que pour toi, comme dans ton fantasme

 Il s’était mis à bouger aussi, approfondissant la sodomie. Il ne disait plus rien, se contentant de m’enculer à sa guise, en m’attrapant tantôt la taille, tantôt les cheveux, tantôt les bras.

 – Rémi

 – Tu aimes ? Ma puce, tu aimes que je te prenne le cul en levrette ?

 – Je Oui, c’est bon comme ça dans mon cul.

 – Dis-le encore, que tu aimes.

 – Je j’aime te sentir dans mon cul, tu me prends bien fort, j’ai envie que tu me remplisses encore plus. Viens vite, s’il te plait, Rémi, viens vite

 Je venais de sentir sa queue se raidir davantage, j’espérais qu’il jouisse rapidement pour que cette sodomie prenne fin. 

 Première contraction du pénis de Rémi, dans un ahanement : éjaculation dans mon cul. Deuxième contraction, alors qu’il tentait de se retirer : dans mon cul toujours, une partie s’échappe et coule vers mes cuisses alors qu’il enlève sa queue. Les deux giclées suivantes sur mes fesses. Je n’avais pas vraiment voulu cette sodomie, mais  j’avais l’impression de me laver définitivement des éjaculations de Fred et Thomas hier soir.

 Brusquement Rémi m’attrapa par les hanches et pénétra ma chatte, d’un coup sec, à fond, fit quelques va-et-vient et finit de jouir en moi dans un grand cri, me plaquant violemment sur le rocher et meurtrissant mes seins. Je me contractai involontairement sur son sexe et jouis à mon tour, presque malgré moi, en gémissant.

 Il resta planté dans ma chatte une dizaine de secondes, le temps de se vider complètement (les pulsations de sa queue me faisant frémir), puis se retira. Il m’allongea alors sur le sol et me lécha entre les jambes. Je me laissai faire, c’était une douce conclusion à ce qui était, jusqu’à cette randonné sur le GR, la sodomie de mes rêves

 – Moi aussi, je rêvais de te prendre en levrette, mais dans la chatte et contre un bureau dans une salle de classe, et ensuite de te lécher, avec mon foutre qui coule encore entre tes cuisses

 Je ne remis pas mon pantalon : son sperme n’avait pas séché et aurait tout souillé. Nous rentrâmes à la tente. Tout le monde dormait manifestement. 

 Alors que je m’allongeais, Rémi revint placer sa tête entre mes jambes et alterna coups de langues et baisers délicats, m’insérant brièvement un doigt. Puis il se retourna et mit son sexe débandé, qu’il avait essuyé, dans ma bouche. Nous restâmes ainsi, à nous lécher et nous sucer, une bonne dizaine de minutes. Rémi durcit à nouveau et passa au-dessus de moi, bloquant ma tête sous son bassin. Il fit quelques mouvements de pénétration en haletant, jusqu’à éjaculer dans ma bouche. Après avoir joui en moi pour la troisième fois de la soirée, il se remit sur le côté, sans vraiment changer de position.

 Epuisée je m’endormis sans m’en rendre compte, sa queue et son sperme sur les lèvres, sa tête entre mes jambes.

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