Histoires de sexe arabes Histoires de sexe voisins

Surprise au cinéma – Chapitre 2

nadine - Chapitre 2



Surprise au cinéma (2)

Le surlendemain, sortant du laboratoire où seffectuait mon stage de formation, je sentis mon portable vibrer. Cétait Miguel, le jeune homme du cinéma, qui mappelait.

— Salut Franck.

— Bonjour Miguel. Je suis content de tentendre.

— Es-tu libre ce soir ? Jaimerais beaucoup te revoir.

— Moi aussi et jai déjà eu envie de tappeler hier soir.

— Tu aurais dû ; jétais disponible. Mon copain est en déplacement pour trois jours.

— Alors rencontrons nous maintenant. Je nai rien de prévu pour ma soirée.

— OK, à 18h30, devant le cinéma de lautre jour.

— Entendu, jy serai sans faute.

Je regagnais rapidement mon hôtel et prenais une bonne douche, me savonnant abondamment avec le gel parfumé de létablissement. Après mêtre rasé, je passais des vêtements propres : slip blanc, short beige, chemisette bleue. Excité à la perspective de cette nouvelle rencontre avec Miguel, je changeais brusquement davis et décidais daller à ce rendez-vous amoureux sans sous-vêtement. Jôtais donc le slip et enfilais le short à même la peau. Etrange sensation de liberté et de sensualité !

Jattendis devant lentrée du cinéma environ 5 minutes et je vis une Peugeot blanche sarrêter à ma hauteur et Miguel au volant, me faisant signe. Je montais à côté de lui.

— Salut !

— Salut.

Un grand sourire illuminait son visage, les dents blanches et bien rangées sous la fine moustache, les yeux brillants, dun noir de jais. Le col de sa chemise rose, largement ouvert, laissait voir une touffe de poils noirs de sa poitrine et mettait en valeur la couleur miel de sa peau. Son pantalon corsaire blanc, dégageait ses genoux osseux et ses beaux mollets couverts dune toison sombre. Jétais comme envoûté, la verge déjà dressée dans mon short, la respiration haletante, la bouche sèche.

— Mets ta ceinture Franck, je temmène dans un coin tranquille.

Jeus à peine le temps dobtempérer, quil démarrait en trombe. Ne connaissant pas la ville, je lui faisais confiance, bien calé dans mon siège. Fasciné par son genou droit, tout proche de mon genou gauche, je ne pus résister à lenvie de le caresser, ce qui fit rire mon compagnon.

— Alors Franck, on senhardit ?

— Tu es si bandant et si viril Miguel, que je ne peux plus me retenir.

— Et bien vas-y, ne te gène pas, jaime quant tu me caresses.

Ma main gauche effleura alors son mollet, les doigts dans ses poils follets, puis je la remontais vers sa cuisse et enfin son entre-jambes. Sous la toile tendue, je sentais son sexe en érection, pointé vers la droite.

— Pas trop vite, je conduis et je ne tiens pas à salir mon pantalon. On va bientôt arriver.

En effet je remarquais que nous avions quitté la ville et circulions dans un bois. Peu après Miguel sest arrêté sur une petite aire de stationnement où se trouvaient déjà deux véhicules.

— Il fait beau et chaud, cest le moment de se baigner. Il y a à 100 mètres une petite rivière, avec une anse abritée. Tu peux laisser ta chemise dans la voiture.

Joignant le geste à la parole, je le vis retirer sa chemise, exposant au soleil son buste bien dessiné, aux épaules larges et aux pectoraux bien saillants.. Je fis donc de même, sans trop de gène, car je nétais pas mal foutu non plus. Nous avons suivi à pied un sentier dans la forêt et avons atteint effectivement un cours deau. Le lieu était ombragé, paisible et frais, avec juste le bruit frissonnant de leau qui court. Il ny avait personne et je men étonnais, ayant aperçu les deux voitures en stationnement à lentrée du sentier.

— Il y a un étang plus loin, ils y sont sans doute. Moi je préfère ce lieu qui est moins ensoleillé et plus frais.

Sur ces mots, Miguel enleva son pantalon, exhibant ainsi son corps entièrement nu. Il était intégralement bronzé, ce qui me révélait quil pratiquait le naturisme. Son vit encore au repos pendait sur ses bourses poilues, le gland bien enveloppé dans un long prépuce. Ses fesses, rebondies et dorées, étaient couvertes dun fin duvet brun. Campé sur ses deux jambes fermes et musclées, les bras relevés derrière la tête, le ventre plat, la poitrine gonflée, il était limage même du mec viril. Rien que de le voir ainsi, je bandais à mort.

Lui tournant le dos, je retirais mon short et mes nu-pieds, lui exposant ainsi mon cul blanc et cherchant à dissimuler mon sexe en érection. En me retournant enfin, je vis quil me mâtait avec avidité en se caressant les testicules de la main droite. Rapidement il vint se coller contre moi, sexe contre sexe, ventre contre ventre, les deux bras passés autour de ma taille, sa bouche ferme sur la mienne. Je posais alors mes deux mains sur ses fesses, bien serrées, et lui rendis son baiser. Nos langues senlaçaient, nos salives semmêlaient et nos verges dressées battaient lune contre lautre. Instants merveilleux !

De mes deux mains je pétrissais son cul, glissant mes doigts dans sa raie humide, cherchant son illet, puis y glissant un doigt fureteur. Son sphincter souvrait sans peine et mon doigt senfonçait dans son rectum chaud et brûlant. Je le sentais vibrer sous ma caresse, tandis quil métreignait de ses deux bras.

Me repoussant doucement, Miguel me saisit le sexe pour une lente et méthodique masturbation et me sentant enfin en condition se retourna, sappuya des deux bras contre le tronc dun arbre proche et me tendit son cul, dans un appel silencieux mais explicite.

Sans réfléchir davantage, emporté par le désir, je venais frotter mon gland déjà humide sur sa raie, puis dun coup lenfonçait dans son trou bien ouvert. Avec facilité tout mon membre le pénétrait à la suite et je sentis mes couilles heurter ses fesses. Je commençais à le tringler doucement, lorsque japerçu deux mecs sortis du bois, à poils et la bite dressée, qui sapprochait. Jeus un moment de panique et dhésitation, mais Miguel me pressa alors de continuer :

— Vas-y Franck, fais moi jouir.

Je repris donc mes mouvements, allant crescendo, tandis que lun des deux jeunes, un petit blond, se mettait à masturber mon amant et que le second, un black élancé, frottait sa queue démesurée sur mon cul, puis la glissait entre mes jambes, venant heurter mes bourses. Combien de temps avons nous tenu ? Je ne peux le dire, car jétais perdu dans une sorte de rêve fantasmatique. Lorsque vint la jouissance et que jéjaculais dans le cul de Miguel, je le sentis se crisper et son sexe émis un long jet de foutre contre le tronc darbre, tandis que le black jutait en puissantes cascades de sperme épais contre mes couilles et entre mes cuisses. Le petit blond, tout rouge et soufflant, sastiqua alors avec fougue et me projeta son jus sur le ventre.

En sueur, dégoulinant de sperme, haletant, nous sommes allés tous les quatre nous rafraîchir et nous nettoyer dans la rivière. Puis, étendus sur la rive, nous avons fais connaissance avec nos deux compagnons, des militaires de la garnison, plutôt prolixes sur leur vie et leurs aventures et ravis de notre rencontre. A la nuit tombée, nous nous sommes séparés, après avoir décidé de nous revoir le lendemain soir, chez Miguel.

Patrocle

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire