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Surprise d'anniversaire – Chapitre 1

Surprise d'anniversaire - Chapitre 1



Décidé à faire une surprise à ma douce, je lui tendis un masque.

Intriguée, elle me demanda l’utilité de l’accessoire.

— Surprise, lui dis-je, déshabille-toi et mets-le

Elle sourit.

Après s’être exécutée, je l’embrassai, la caressai puis la poussai doucement sur le lit.

Elle s’allongea.

Je sortis des liens et l’attachai à la tête de lit. Elle se laissa faire.

Je léchai son corps et la doigtai.

« Oh ça m’excite », dit-elle.

— Parfait ! Dis-je, te voilà ligotée, les yeux bandés et… entourée par une forêt de bites

Elle pouffa, se mordit la lèvre et se prit au jeu : « Mmmmh coquin, me dit-elle »

Je souris, elle serait surprise.

Je continuai mes caresses tout en lui offrant mon sexe.

Elle m’aspira la verge.

Je me penchai, m’appuyant sur le matelas, et lui léchai le clitoris.

Elle s’agita entravée par ses liens.

— Oh oui c’est bon ! cria-t-elle, j’ai envie de toi.

Je la branlai et la léchai encore.

Je cessai un instant mes caresses.

« Détache-moi » supplia-t-elle.

Je m’exécutai.

Libre, pourtant toujours masquée, elle se jeta sur mon sexe, me suça et me branla vigoureusement.

Je me libérai et la mis à quatre pattes.

J’alternai coups de langue et fessées.

— T’es trop bonne mon amour, soufflai-je. Tu as mérité ta forêt de bites

Je fis un petit signe.

Quatre invités entrèrent très discrètement.

— Mmmmh oui ! Joua-t-elle, en balançant ses fesses, tu me fais mouiller mon chéri

Les quatre se polissaient.

Toujours à quatre pattes, elle saisit mon sexe et l’attira jusqu’à sa bouche.

Sa fellation et la courbure de ses fesses m’excitèrent.

Ainsi offerte, l’un des invités s’approcha et fit glisser son sexe entre ses fesses.

Je la sentis frémir. Elle se cambra un peu plus et me branla avec violence.

Deux autres invités s’avancèrent, l’effleurèrent avec leur sexe et s’attardèrent sur ses seins.

Le dernier aventura son sexe vers sa bouche et appuya son gland sur ses lèvres.

Elle happa le bout.

Le premier, posa ses mains sur ses hanches et la pénétra.

« Mmmmh ! », elle se mordit la lèvre.

Elle plaqua son visage sur le lit.

— Oh oui !

Il accéléra, elle gémit, il grogna et se retira.

Elle en profita pour s’allonger sur le dos.

Un des peloteurs qui avait un peu débandé guida la main de ma femme vers sa verge. J’en fis autant.

Elle s’empara de nos sexes et nous branla. Nous lui malaxâmes les seins.

L’autre peloteur accola sa bouche sur sa vulve.

Elle gémit alors fortement.

Le troisième invita la bouche de ma douce à s’occuper de son sexe.

« Ça m’excite », dit-elle, entre deux coups de langue.

Le lécheur se redressa, lui souleva les jambes et les posa sur ses épaules. Il la prit.

Elle se tint à nos sexes tendus.

Ses seins ballottaient à chaque coup de reins.

Elle geignait.

— Oh c’est bon ! Oui !

J’attrapai un sein et me mis à lui titiller le téton avec la langue.

Je tournai autour, le mordillant.

Elle me pressa la tête contre son sein.

Les va-et-vient se firent plus lents et les soubresauts indiquèrent que l’invité venait.

Après qu’il se soit retiré, je visitai sa chatte avec mes doigts.

Elle mouillait.

Ma belle bascula sur le côté.

Je lui caressai le sexe puis entrepris de lui lécher l’anus.

Elle se cambra.

« Oui c’est bon » murmura-t-elle.

Les deux derniers observaient la préparation de son petit trou.

J’y introduisis un doigt puis un autre tout en branlant son clitoris.

— Ouiiii ! Prends-moi !

Le plus « petit » des deux, tendu, enfonça son sexe doucement pendant que je continuai mes caresses.

Elle cria.

Les va-et-vient se firent plus rapides.

« Oui ! oui ! oui » cria-t-elle.

Il gronda, approfondit sa pénétration et vint.

Le plus « gros » ne tenait plus et prit la suite.

Ecartant ses fesses, il inséra son engin.

Ses cris s’amplifièrent.

Je la fessai, me penchai à son oreille et lui chuchotai des mots cochons.

Elle finit par exploser littéralement :

— Défonce-moi ! J’aime ça !

Il obéit et lima son anus dilaté avec ardeur.

Elle hurlait de plaisir, des mots salaces sortirent de sa bouche.

Toujours aveuglée par son masque, elle tâtonna et attrapa la première verge à sa portée. Elle la branla intensément.

Du sperme gicla en longs jets.

Elle attira la bite juteuse et l’aspira.

Enfin, dans une dernière secousse, l’enculeur s’épancha.

Les quatre repartirent sans bruit.

Ma femme, affalée, sur le lit continuait de gémir doucement.

Soulevant son bandeau, elle saisit ma bite et l’astiqua jusqu’à ce je vienne.

Elle lécha mon gland et m’embrassa.

Nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre.

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