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Séverine, directrice et esclave. – Chapitre 4

Séverine, directrice et esclave. - Chapitre 4



Suite :

Alors que François nous conduisait en ville en voiture, le Président m’explique qu’il était un fidèle et généreux donateur à plusieurs associations caritatives dont les « restos du cur », mais qu’il a constaté une forme de misère que peu de monde était enclin à endiguer : la misère sexuelle. Ma mission de cette semaine consistait donc à aller à la rencontre des SDF que l’on trouverait sur notre chemin et les soulager de la manière qu’ils voulaient.

On ne peut pas dire que j’ai été enchantée de cette perspective car même si j’aime me faire démonter par des inconnus, peu importe leur nombre, l’hygiène est quelque chose d’essentiel pour moi. Or là, je m’attendais au pire.

Le Président se rend d’ailleurs compte de ma réticence car il pose une main sur ma cuisse, comme pour me rassurer et la fait glisser jusqu’à mon entrejambe. Pour l’occasion, j’avais mis une minijupe hyper courte, un chemisier très décolleté et un string microscopique. J’avais passé la journée à me faire reluquer au bureau et, évidemment, je n’avais pas hésité à allumer mes collaborateurs avec mes jambes entièrement nues et mes seins à peine cachés.

Là, assise dans cette voiture luxueuse, ma jupe remontait sur mes hanches et rien ne masquait mon string. Mon président n’eut donc même pas à passer sous ma jupe pour poser ses doigts sur mon sexe. Mais fidèle à sa vision de la sexualité, il s’était contenté de me caresser au travers du tissus, se permettant juste une glissade ou deux sous le string pour entrer un doigt en moi. Ce petit jeu a duré tout le long du trajet et j’étais donc assez excitée quand la voiture s’arrêta dans un parking proche du centre-ville.

Nous étions mardi et les rues de la ville étaient assez calmes. J’avais 2h de balade devant moi et, pour l’instant, pas de SDF en vue, ce qui me décevait finalement un peu vu mon excitation. François, qui a l’habitude de promener son patron dans ces quartier se rend compte de cela et décide alors de prendre une rue plus passante. Nous rencontrons donc rapidement un premier sans abris.

L’homme est assez jeune, genre punk à chien, et n’est pas spécialement repoussant. Mais il a évidemment les cheveux sales, la peau marquée par le soleil et le manque de soin et sent fort le tabac, l’alcool et la sueur. Son aspect calme mon désir sur le champ mais mon Président ne s’en préoccupe pas et va à sa rencontre.

— Bonjour, Manu, comment vas-tu aujourd’hui ?

— Salut Robert ! Moi ça va impec’, comme d’hab’ ! Et toi, tu te prépares toujours pour le marathon de Paris ? Hahaha !

— Toujours aussi drôle Tu as besoin de quelque chose Manu ?

— Bof Un peu de maille pour payer la bouffe du chien, moi je me débrouille Mais c’est qui cette poule ? ajoute-il en me voyant.

— Ça, mon ami, c’est la directrice de la société que je préside. Elle est là pour m’aider dans ma tournée.

— Bonjour, madame la directrice, ravi de faire votre connaissance, dit-il en mettant dans sa poche le billet que le président venait de lui donner.

— Bonjour Manu, lui répondis-je timidement, en croisant son regard à présent posé sur mes jambes.

En effet, étant assis contre un mur et moi debout devant lui, il avait une vue imprenable sur mes jambes nues et pouvant sans doute apercevoir mon string sous ma jupe décidément trop courte.

— Et cette beauté t’aide en quoi, Robert ? Tes roulettes et tes billets te suffisaient amplement pour nous éviter de crever de faim, jusqu’à présent !

— Justement, je veux prendre soin de vous Manu, tu ne vois rien que Séverine, ici présente, puisse t’apporter que je ne puisse faire moi-même ?

— Ya tellement de trucs que ta directrice pourrait m’apporter et pas toi, si tu vois ce que je veux dire hahhaha !!

— Et bien, demande

— Attends, t’es sérieux, vieux, je plaisantais là.

— Pas moi, tu n’as qu’à lui demander ce que tu veux !

— Arrête de me charrier ! Tu veux vraiment me faire avaler que ta directrice va me montrer son cul juste parce que je lui demande ??

Je jette alors un regard au jeune homme qui semble ne pas y croire un instant puis au Président qui me sourit et comprend alors que c’est à moi de jouer. Alors que Manu me regarde, amusé, je révèle ma jupe et me retourne pour exposer mon cul à ses yeux que j’imagine grands ouverts. Puis je me penche un peu en avant pour tendre mes fesses vers lui. J’image que mon micro string ne cache alors que l’essentiel mais laisse dépasser des parcelles de peau très intimes.

— Putain, j’y crois pas, s’exclame alors Manu. Tu m’as vraiment payé une pute de luxe, Robert ?!?

— Séverine n’est pas une pute mais bien la directrice d’une des plus grosse entreprise de la région Elle fait cela gratuitement et m’est entièrement dévouée. Donc si je te dis que tu n’as qu’à demander, c’est que tu peux le faire !

— Putain, j’y crois pas Bon, et bin, poupée, vire-moi déjà ce string pour que je vois ton beau minou !

Sans me poser de question, je baisse mon string en gardant le cul tendu vers lui, le fait glisser jusqu’à mes chevilles et l’enlève en soulevant lentement mes jambes qui je garde ensuite écartée pour lui offrir une vue imprenable sur ma chatte et mon trou du cul.

— Bordel de merde, que c’est beau !! Approche-toi un peu

Je me retourne et m’approche donc de lui. Alors que je marche, il a les yeux rivé sur mon sexe. J’arrive à sa hauteur et il me saisit alors par les hanches pour me faire tourner sur moi-même plusieurs fois, matant au passage mon sexe et mes fesses, n’hésitant pas à écarter celles-ci pour reluquer mes lèvres et mon anus de très près.

— Je veux aussi voir tes seins, poupées. J’imagine que le haut est aussi beau que le bas

Je déboutonne donc ma chemise pour lui exposer ma poitrine mais il me fait signe de continuer et de tout enlever. Je regarde derrière moi pour voir la réaction du Président qui, manifestement, jubile, et surtout pour voir si personne ne traine dans le coin. La ruelle semble tranquille et je décide donc de faire tomber mon haut et mon soutif, me retrouvant ainsi nue, uniquement vêtue d’une minijupe remontée sur mes hanches.

— Bon dieu, ces seins Séverine, laisse-moi te dire que tu es magnifique !

— Merci Manu

— Robert, mon ami, tu as illuminé ma journée. Merci à vous deux !

— Manu, tu es sur que tu ne veux rien de plus ? ajoute mon président alors que je pensais pourvoir m’en tirer ainsi.

— Bin, ça me gêne Tu dis que c’est pas une pute et je ne sais pas trop pourquoi elle fait ça pour toi alors, je veux pas abuser

Sentant que le jeune était réellement gêné par cette situation bizarre mais voyant qu’il bandait comme un taureau devant moi, je prends la parole :

— Du coup, ça te dirait une petite branlette vite fait ? Je t’assure que ce ne sera pas abuser, puisque c’est moi qui te propose

— Putain, Robert Comment tu fais pour recruter des directrices comme ça ? répond-il avec un visage encore incrédule.

Puis il me regarde et ajoute :

— Ok pour une branlette Fais-moi voir ce que tu sais faire, beauté. Par contre, les mecs, vous vous retournez, je suis un homme pudique !

— Normalement, je préfère regarder, répond mon Président, mais ok pour cette fois

Alors que je m’accroupis devant Manu, François et le Président se tourne en direction de la rue principale, nous faisant dos et nous cachant par ailleurs des passants.

Jambes bien écartées, je commence à ouvrir le pantalon de Manu et en sort un sexe de taille très honorable, déjà un peu durci, d’aspect propre mais franchement odorant. Mes premières caresses finissent de faire bander le jeune homme, me confirmant qu’il est plutôt bien monté.

A peine mes mains commencent-elles de faire monter et baisser la peau recouvrant le prépuce de Manu que celui-ci semble être au septième ciel.

— Putain, j’avais oublié à quel point c’est bon quand une femme vous branle

— Alors profite, Manu, je vais prendre mon temps, lui répondis-je en massant ses couilles d’une main et en le branlant doucement de l’autre.

Passé ce moment de surprise, Manu se ressaisit et me regarde alors fixement alors que je le masturbe un peu plus rapidement en me mordillant la lèvre d’excitation.

— Ça à l’air de te plaire aussi on dirait ? constate-t-il

— J’avoue que j’adore branler de belles queues

— Même celles de clochards parfaitement inconnus ?

Je hoche alors la tête en gémissant un peu car Manu, en posant sa question, venait de caresser mon sexe totalement offert avec ses doigts crasseux. Tout en continuant de le branler, je regarde entre mes jambes et vois, sans que cela ne me gêne, cette main sale, calleuse, pleines de coupures et d’éraflures  me caresser et jouer avec mon clito. Manu enfonce ensuite deux doigts en moi et commence à me branler tandis que, moi-même, j’accélère mes mouvements sur sa queue.

— Tu mouilles sacrément, Séverine, remarque-t-il. Tu adores vraiment me branler !

— Hum, oui Tu sais, Robert disais vrai : tu aurais pu me demander n’importe quoi. Je n’ai pas de tabous

Manu me sourit alors et, voulant peut-être tester ce que je venais de dire, retire ses doigts de mon vagin et en enfonce un dans mon cul. Ne me voyant ni contester, ni trouver cela désagréable, il commence à faire des allers-retours dans mon fion avec son long doigt. Il semble presque plus apprécier le fait de me branler de cul plutôt que de se faire branler et garde la bouche grande ouverte d’excitation en accélérant son mouvement. Soudain il m’annonce :

— Putain, ça vient, ma poule, je vais bientôt tout envoyer

— Tu veux venir sur moi ?

— Prends-moi dans ta bouche, plutôt. Si ça te va

— Tout me va, Manu. Tout.

Je me penche alors en avant tandis qu’il retire son doigt de mon fion et lui gobe la queue. Effectivement, le gout de sa peau est très acre, mêlant odeur de sueur et d’urine. Mais ce fumet, bien que chargé, n’est pas une première pour moi et ne m’empêche pas de le sucer goulument et profondément.  

Le changement de rythme retarde un peu son orgasme mais mon pompage expert finit quand même par le faire venir rapidement. Il me maintient alors la tête et me jute dans la bouche une belle quantité de sperme chaud. Son éjaculation est longue et puissante ; sa semence épaisse et très forte en gout.

Vidé, il s’affale au sol, sortant de ma bouche et faisant ainsi couler de sperme depuis la commissure de mes lèvres. Je m’apprêtais alors à avaler cette grosse gorgée de foutre mais j’entends dans mon dos mon Président m’appeler :

— Séverine, attendez. Je veux vous voir avaler la semence de mon ami.

Je me retourne, la bouche pleine, donc vers Robert et François. Les deux hommes sont à présent tournés vers nous tandis que Manu se redresse en remontant son pantalon.

— Montrez-nous, demande le Président.

J’ouvre donc la bouche devant les trois hommes et leur montre fièrement la quantité respectable de foutre qui la rempli.

— Parfais Attendez rajoute-t-il

Je me rends alors compte que la situation est particulièrement avilissante : moi accroupie devant 3 hommes, la bouche pleine de foutre, attendant qu’on m’autorise à avaler. Comme un chien sur lequel on a posé un sucre et à qui on ordonne d’attendre pour le manger. En même temps, je suis une bonne grosse chienne, donc c’est presque normal ! Enfin le président, satisfait de m’avoir vu me gargariser avec le sperme de Manu, me dit :

— Avalez.

Sans hésiter, j’avale d’un coup le contenu de ma bouche puis tire la langue à mon public pour leur montrer que je suis une bonne esclave qui obéit aux ordres.

Puis alors que je récupère mes habits et que j’enfile mon string, Manu dit à Robert :

— Encore merci, Robert. Et surtout ne la licencie pas, celle-là. C’est une femme unique, je te le dis !

— Je sais Manu, elle est incroyable, répond-il en me regardant reboutonner ma chemise. Je sais ma chance de l’avoir à ma disposition. D’ailleurs, si cela te convient, nous reviendront bientôt.

— Avec plaisir Robert. Au revoir Séverine, à bientôt.

— A bientôt, Manu, merci pour ce moment

— Elle avale mon foutre et en plus elle me dit merci J’hallucine ! rajoute-il alors que nous reprenons notre chemin dans la rue principale.

Je me rhabille bien pour ne pas trop attirer l’attention des passants sur moi et je marche aux côtés de François et de mon Président à la recherche d’autres sdf. Il s’est passé 30 minutes, je dois donc encore 1h30 de soumission à Robert. 

A suivre…

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