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Séverine, une professionnelle dévouée – Chapitre 6

Séverine, une professionnelle dévouée - Chapitre 6



Suite :

"Je viens de terminer, à votre tour, messieurs", venait de dire M. Muller aux frères Da Silva qui ont fait leur apparition dans la cabane de chantier…

— Alors là, cest hors de question !!! répondis-je alors fermement en me relevant et reboutonnant mon pantalon. Écoutez-moi bien.

— Cest vous qui allez mécouter, Séverine ! minterrompit M. Muller. Vous avez voulu négocier avec votre cul, maintenant vous assumez ! Voilà les nouvelles conditions du marché : soit vous vous occupez des frangins, soit je parle à tous les entrepreneurs de la région de vos méthodes. Et vous devrez négocier comme ça avec tous

— Espèce de salop ! Je vous promets que je ferais couler votre boite minable ! dis-je en essayant dêtre convaincante.

— On verra ça et en attendant, vous allez pouvoir gouter à 2 grosses bites de portos ! Allez, au boulot, sale pute.

Jétais prise à mon propre jeu dans ce petit local avec 3 grands mecs qui mentouraient. Javais voulu user de mes charmes une fois de trop, alors que ce nétait pas forcément nécessaire, et jen payais le prix. Je men voulais davoir voulu jouer les salopes. Mais paradoxalement, la situation ne meffrayait pas, elle me décevait car javais échoué dans ma négociation. Jallais donc faire mon job et sucer les frères Da Silva. Après tout jétais payée pour ça maintenant !

Je me lève donc, plaque un des frangins contre la cloison de lalgeco et lui roule une grosse pelle sans lui dire que ma bouche venait dêtre souillée du sperme chaud de son employeur Lautre sapproche et membrasse également en me caressant la poitrine et ne semble pas non plus gêné par cet étrange gout sur sa langue !

Puis sans attendre quon me le demande, je maccroupis, sort la queue dun des frangins, constate queffectivement elle est imposante et commence à la sucer sans délicatesse. Nous ne sommes clairement pas là pour ça. A ce moment précis, de leur point de vue, je cesse dêtre lemployeur de tout ce petit monde et je deviens une pute. Leur langage sen ressent :

— Ha putain cest bon, vas-y suce bien salope !

— Tiens, suce aussi un peu celle-là, sale chienne, me dit gentiment lautre frangin, lui aussi équipée dune bite assez impressionnante.

Je change donc de sexe et suce ainsi les 2 frangins chacun leur tour. Je les ai bien en main et je pompe lun pendant que je branle lautre. Les deux mandrins durcissent encore un peu et sont maintenant vraiment énormes. Je les avale avec peine et suis incapable de leur faire une gorge profonde vu la largeur des bestiaux. Cela ne les empêche pas de me tenir la tête et dessayer de me lenfoncer la plus loin possible.

Pendant ce temps, Muller, mon maître duvre, qui jusque là observait la scène, passe dans mon dos et dégrafe mon soutif. Il libère mes seins et les plote énergiquement.

— Bon dieu, sécrie-t-il, regardez moi ces nibards ! Ton mari est un putain de chanceux !

— Cest plutôt un putain de cocu, hahaha, rajoute alors un Da Silva, sa bite plantée dans ma bouche.

— Ha, cest ça dêtre mariée à une salope

Je me faisais insulter et humilier par ses 3 hommes que jétais sensé diriger et manifestement, jallais devoir faire plus que simplement sucer des queues. Mais je men moquais, car jétais à présent totalement excitée, ce qui nétait pas vraiment le cas jusque maintenant. Je savais que ma culotte devait sans doute être bien moite maintenant, et javais terriblement envie de me faire baiser.

Si javais été capable de raisonnement à ce moment, jaurais sans doute finis ces gars vite fait et pris mes clics et mes clacs. Oui mais voilà, jétais une chienne en chaleur et jallais le payer.

Revenons à laction. Je passe avec ma bouche dune bite à lautre comme une affamée tandis que Muller, toujours derrière moi, entreprend de glisser sa main dans ma culotte.

— Putain, les gars, elle est complètement trempée ! dit-il en passant ses doigts sur mes lèvres.

— Normal, regard comment elle nous suce elle est déchainée !

— Une putain de salope, je vous dis Elle est entourée de 3 mecs et au lieu davoir peur, elle mouille comme une nympho !

M. Muller se met alors à me doigter, la main toujours dans ma culotte. Il enfonce 2 doigts, fait des allers-retours énergiques, stimule mon clito, puis retourne dans ma chatte sans ménagement. Ces caresses me font gémir de plaisir alors que jai la bouche pleine. Mais jai envie de plus !

Au bout de quelques minutes de ce petit jeu, je me relève, la bouche dégoulinante de bave et dis :

— Ca vous dirait que jenlève mon jean et quon passe aux choses sérieuses ?

— On attendait que ça ! répondit un des Da Silva. Vas-y désape-toi et prépare-toi à prendre cher !

Je mécarte donc deux, délasse mes chaussures, baisse mon jean et retire ma petite culotte réduite à létat déponge. Puis je massois sur la table, écarte les jambes face à eux et, tout en me massant les seins, leur demande :

— Alors, qui veut me faire ma fête en premier ?

Un des frangins se jette alors sur moi, mattrape les hanches et me rapproche du bord de la table. Sa grosse bite à la main, il appuie son gland sur mon sexe et, sans grandes difficultés, senfonce dans mon vagin. Jai beau être trempée et plutôt expérimentée, il lui faut quelques vas et viens pour me la mettre complètement. Limpression de se faire remplir est jouissive.

— Oh putain, elle est énorme ! Vas-y, plus vite, baise-moi !

— Tinquiète pas pétasse, je vais moccuper de toi !

Il accélère alors les allers-retours, tape violemment contre mon entrejambe et me baise ainsi brutalement, sur cette table de chantier. Les autres mentourent en me demandent de les sucer, y compris Muller qui bande à nouveau. La différence de taille entre lui et les Da Silva est impressionnante.

Au bout de quelques minutes, Miguel, celui qui me baise, laisse sa place à Manuel son frère. Celui se place entre mes jambes et me baise à son tour. Sa bite est aussi longue que celle de son frère mais plus large encore et ma chatte est littéralement écartelée.

Je gémis comme une chienne tant il me défonce bien. Il prend son temps, sort de ma chatte régulièrement pour se renfoncer dun coup marrachant des cris de plaisir et de surprise.

Ils séchangent ainsi leur position régulièrement et me baisent en continu durant de longues minutes. M. Muller qui se contentait de se faire sucer jusquici demande sa part de baise et passe à son tour entre mes jambes. Mais sa petite queue ne me fait guère deffet après le passage des deux portos

Au bout de quelques minutes à sactiver en moi sans que je réagisse vraiment, il semble un peu vexé et commence à sénerver :

— Ha madame a lhabitude des grosses queues ? Et bien on va voir si tu as lhabitude de ça !

Il se retire alors de ma chatte, lève mes jambes plus haut et appuie son gland sur mon anus. Je navais pas prévu de me faire enculer aujourdhui mais ça ne me posait pas spécialement de problème. Jaurais voulu lui demander dy aller doucement mais javais la bouche pleine, et les 2 frangins lencourageaient à me défoncer le cul Histoire déviter de la douleur inutile, je desserre les fesses en guise de consentement et sens sa bite senfoncer dans mon cul. Je ne métais pas fait enculer depuis plusieurs jours et, effectivement, son sexe me faisait plus deffet par ce trou.

Je me fais donc limer le fion tout en me faisant baiser la bouche. Mais mon plaisir est un peu limité dans ses conditions. Alors que lautre mencule depuis un moment et que je lèche les queues des Da Silva à tour de rôle, je commence à me masturber et à menfoncer un doigt dans ma chatte. Le plaisir revient immédiatement Jintroduis un doigt puis deux puis finalement 3 dans mon vagin bien comprimé par la bite dans mon cul. La bouche pleine, je couine de plaisir comme une chienne.

— Les gars, dit alors M. Petite bite, je crois quelle nen a pas assez

— Hum oui, dis-je en gémissant, prenez-moi la chatte !

Je ne pensais pas que ma phrase pouvait être mal comprise : je voulais juste quon me défonce la chatte. Dailleurs, cétait bien parti puisque Miguel sallonge par terre, queue bien tendue, et me demande de massoir sur lui. Jobtempère et descends de la table pour menfoncer sur sa queue avec un cri de plaisir. Mais M. Muller, qui avait comprit ma demande autrement, se place derrière moi et appuie à nouveau sur mon anus.

— Hein ?? Non, sil vous plaît ! Jen ai jamais eu 2 en même temps, mentis-je.

— Et bien cest le moment de voir si tu es une à la hauteur de ton numéro de salope professionnelle !

— Oh mon dieu, non

Mais sur ce, il senfonce dun coup dans mon fion en marrachant un cri à peine simulé. Mes deux entrepreneurs se mettent à me baiser ensemble et le troisième se place devant moi pour que je continue à la sucer.

Je suis remplie, comblée et malgré mon cinéma deffarouchée, je prends un pied denfer. Lorgasme monte quand Manuel dit alors à celui qui occupe mon colon :

— Bertrand, tu me laisse ta place ? Jai envie de lui faire le cul !

— Bien sûr, vas-y !

— Mon dieu, non !! criais-je alors. Elle est trop grosse, vous allez me déchirer !

Je feignais à peine ma crainte car il était vraiment bien monté et je navais pas reçu tel diamètre depuis la double avec Hugo et Théo et leur poing ! Mon anus pouvait supporter pas mal de chose, du moment quon y allait progressivement mais un si gros chibre comme ça dentrée non !

— Mais non, avec une cochonne comme toi, ça passera comme dans du beurre !

— Non je vous en prie, suppliais-je ! Ca ne passera jamais en tout cas pas en double On peut essayer normalement pour voir si ça passe, ok ?

— Ca marche, mets toi à quatre pattes, je te promets que ça va rentrer mais je te promets pas que tu pourras te rassoir tout de suite !!

Je me retire donc de Miguel, me place à quatre pattes sur le sol. Manuel passe derrière moi et m’écarte largement les fesses.

— Allez-y doucement, lui demandais-je en le regardant avec des yeux apeurés et avec une voix innocente, s’il vous plait !

Au lieu de me répondre, je vois Manuel se pencher vers mes fesses et commencer à me lécher l’anus. Sa langue me caresse l’illet, s’aventure sur ma chatte trempée pour prélever de la mouille et retourne lubrifier l’entrée de mon cul. Tout en écartant mes fesses pour ouvrir mon anus, il rentre sa langue le mieux loin possible dans mon fion, puis dans ma chatte. Il s’y prend divinement bien et pourrait vraiment me faire jouir comme ça s’il le voulait. Mais ce n’est pas ça qu’il veut et d’ailleurs, au bout de quelques instants savoureux, il se redresse et m’enfonce son sexe d’un coup dans mon sexe béant, m’arrachant un cri de plaisir. Il me lime doucement mais profondément. Je sens un orgasme monter, enfin, et le supplie donc de continuer :

— Oh mon dieu, ça vient !! Continue, je vais jouir !!

— Vas-y ma belle, jouis !! me déclare-t-il alors, très tendre.

Pendant ce temps, les 2 autres se sont placés à mes cotés pour ce faire sucer à tour de rôle. Même Muller qui sortait de mon cul y a droit, après avoir été un peu écurée du gout de sa bite. Derrière moi, je sens Manuel enfoncer un doigt dans mon cul et voyant mes gémissements s’accentuer, en enfonce un deuxième.

— Oh putain, oui, doigte-moi le cul !! Je viens, je viens, je…. Aaaahhhhhhh.

L’orgasme est puissant et dure de longues secondes d’autant que l’épais sexe de Manuel reste profondément planté en moi. Lui na pas joui Je ne mattendais pas à des amants si virils et si doués et je me doute quils vont prendre leur temps.

— Je crois que tu es prête maintenant, dit-il alors en retirant ses doigts de mon fion.

— Hummm oui… répondis-je, le souffle court. Encule-moi bien… tu l’as mérité !

Sans attendre une seconde, Manuel se retire donc de mon vagin et présente son gland devant mon anus. Bien lubrifiée par ma cyprine et maniée sans brutalité, sa queue sintroduit dabord sans trop de difficulté, même si je sens mon rectum souvrir et se dilater au point davoir un peu mal. Les premiers cm passent plutôt bien mais plus il senfonce en moi, plus je me sens empalée.

— Oooh doucement lubrifie encore un peu, demandais-je alors, vraiment inquiète pour mon fion.

Il sort alors de mon cul, crache dans mon orifice et retente sa chance. Sa queue retrouve sa place rapidement et continue de progresser plus facilement. Je le sens se retirer un peu, puis senfoncer à nouveau et ainsi de suite pour à chaque fois me la mettre plus profondément pour enfin caler son pubis contre mes fesses. Cette sensation de remplissage et décartèlement mexcitait terriblement et javais vraiment envie de me faire défoncer le cul violemment !

— Oh putain, elle est énorme !! Je la sens mécarter de lintérieur

— Je peux y aller ??

— Oui vas-y cest bon, encule moi bien !!

Il commence alors des allers retours, dabord lents puis de plus en plus rapides et profonds. Je sens mon cul souvrir et absorber cette bite sans la moindre résistance. Je sens aussi le plaisir monter, une autre forme de plaisir que par la chatte, plus lié à la sensation dêtre dominée. Je sais maintenant que tout ce qui suivra pourra passer sans problème mais quils risquent den abuser.

— Putain, les mecs, je le savais !! sécrie Manuel. Regarder comme je lencule à fond ! Et en plus elle aime ça une vrais nympho !

Il est vrai que me gémissements ne trompaient personnes et les gars voyaient bien que je prenais un pied denfer à me faire déchirer le cul comme ça.

Durant de longues minutes, Manuel me lime le fion à grands coups de boutoir. De mon coté, je ne gémis plus je crie de plaisir et de douleur aussi un peu car cette sodomie est vraiment intense. Les deux autres nous regardent en se faisant sucer, même si je suis plus concentré par mon cul entre de se faire éclater quautre chose. Je lève la tête vers Miguel et lui demande :

— Et toi, tu nas pas envie dessayer mon cul ?

— Oh que si, je laissais juste le frangin en profiter. Manuel, on peut changer ?

— Vas-y, je te la laisse.

Les Da Silva échangent donc de place, Manuel me libère les fesses, aussitôt remplacé par Miguel. Celui-ci est encore plus large que son frère et malgré mon orifice bien détendu, je sens la différence. Il senfonce sans trop de ménagement :

— Oh putain lengin !! mécriais-je. Vas-y doucement au début quand même

Mais moins délicat que son frère, Miguel magrippe fermement les fesses et se mets à me ramoner violemment le fion. Il tape à fond à chaque fois avec une énergie telle quon dirait quil veut mouvrir en 2. Mais cela ne mempêche pas de prendre du plaisir et de crier comme une chienne à chaque fois que sa queue rentre de 25 cm dans mon intestin !

Son frère, pendant ce temps, ce fait nettoyer la bite et M. Muller semble un peu sennuyer. Je lui propose donc de retourner dans mon cul à son tour.

Durant au moins 10 minutes, les 3 compères se succèdent ainsi dans mon fion et me liment comme des malades cet étroit conduit qui ne lest plus du tout. Alors que je pensais que les portugais finiraient par céder, ils tiennent le coup et ne me laissent aucun répit. Au contraire, M. Muller, décidemment mauvais amant, jouit une deuxième fois, dans mon cul cette fois, et se retrouve avec son petit sexe tout mou.

Je fis alors une remarque qui fit bien rire les Da Silva mais que jallais regretter :

— Bon maintenant quon en a finit avec les couilles molles, on va pouvoir passer aux choses sérieuses les frangins !!

— Espèce de salope ! répondis Muller, vexé. Tu vas ten mordre les doigts

Et là-dessus il se renfroque et sort de lalgeco en me laissant seule avec les portugais.

— Maintenant que la petite bite est partie, dis-je en récupérant les quelques goutes de spermes coulant de mon fion, ça vous dirait un double ?

— Putain, mais tes insatiable toi ??

Je demande donc à Miguel, le plus large, de se mettre par terre et menfonce sur lui. Manuel se place derrière moi et mencule prudemment, comme je lui ai demandé, car les conditions ne sont pas les mêmes. Puis, une fois leurs queues bien enfoncées en moi, ils commencent à aller et venir, chacun à leur rythme. Le plaisir est immense tant mes orifices sont élargis, dilatés. A un moment, leurs rythmes saccordent et leurs queues vont et viennent en même temps. Je sens alors le plaisir se décupler et leur supplie alors :

— Oh mon dieu, cest trop bon !!! Continuer comme ça, bien en même temps. Oh putain oui, défoncez-moi bien en même temps.

Imaginez alors ces 2 gros sexes sortir de mes orifices en même temps et me remplir ensemble. Imaginez mon vagin et mon cul se faire remplir et écarteler en même temps en comprimant la fine peau qui les sépare. Imaginez cela répété des dizaines de fois à un rythme effréné. Imaginez mon corps fragile coincé entre ces 2 hommes massifs excités comme des animaux et râlant comme des bête pendant quils me défoncent. Imaginez moi jouir comme une chienne, hurler sans retenue et presque pleurer de plaisir.

Et bien cette magnifique scène, cest celle quont découvert avec stupeur la dizaine douvriers que M. Muller venait au même moment de faire rentrer dans lalgeco !

A suivre…

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