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Sylvie et le voisin – Chapitre 1

Notre mariage - Chapitre 1



Ma femme : Sylvie, objet de mes fantasmes, 27 ans, très jolie, brune, les yeux bleus, un caractère plein de retenue et un corps de sportive une poitrine bien marquée (mais tout a fait raisonnable) qui attirait souvent mes mains!

Moi Jérome, son mari qui aimerait la voir se dissiper et profiter enfin de son corps avec dautres que moi, elle acceptait de temps en temps de dévoiler le haut de ses cuisses ou laisser deviner ses seins nus sous des tee-shirts transparents ou entrevoir avec des corsages bien ouverts, à des copains mais rien de plus. Jen voulais davantage !

Javais invité pour lapéritif un voisin que javais un peu « chauffé » sur ma femme (par plaisir purement vicieux, désirant la voir se dévoiler aussi à cet homme!) Il était seul ce Dimanche. Cest un homme de 58 ans, bedonnant, à moitié chauve, de grosses lèvres sous sa petite moustache, lair particulièrement vicieux, les yeux toujours à laffût dun coin de chair nu de femme et aussi dun caractère particulièrement autoritaire.

Mais bon, il nous avait déjà rendu service en nous fournissant de la viande à prix exceptionnel étant livreur bientôt à la retraite dans une société de distribution alimentaire.

Javais convaincu Sylvie, de ne mettre que sa petite robe courte dété, très légère, avec un grand décolleté et dune transparence certaine, quelle mettait seulement quand nous étions avec des amis (je ne lui avais jamais dit quelle était beaucoup plus transparente quelle ne le pensait !) Javais eu du mal quand même car elle avait remarqué les nombreux coups doeil insistants de Mr F (appelons le comme cela) sur son corps, cela lavait troublée. Elle le trouvait vraiment dun abord repoussant.

Elle avait quand même accepté sur mon insistance mais à contre cur en mettant un soutien gorge très sage!

Je lui parlais de F en plaisantant sur son « charme » relatif (!!!), lui vantant les services quil nous avait rendu très gentiment et de son empressement auprès delle. Je la trouvais un peu énervée, de cette invitation peut être ? Ou de mes propos sur lui et de ce que je lui demanderais de faire pour mon plaisir ?

F arriva enfin. Il la prit dans ses bras et lui fit la bise et je vis quil lembrassait sur les commissures des lèvres.

Cela mexcita déjà un peu! Les banalités dusage furent échangées et tous les trois assis devant la table en verre transparent du jardin, nous discutions de choses et dautres. Elle était super bandante, son corps moulé dans cette robe ! Je remarquais que F louchait souvent sur les cuisses nues et surtout sur sa poitrine mais il ny avait pas grand-chose à voir, elle avait mis un soutien gorge opaque alors que je lui avais proposé den mettre un transparent, ce quelle mavait refusé tout net !

Elle avait remarqué son regard appuyé et semblait un peu troublée, je lui trouvais le teint un peu coloré et ses yeux un peu brillants?…

Avec elle nous allâmes dans la cuisine pour chercher les amuses gueule je la trouvais légèrement fébrile (excitée ?). Alors jen profitai pour lui dire :

-Dis donc tu as vu comment il louche sur toi? Ca ne texcite pas ? Tu pourrais.

Elle me coupa la parole :

-Ah encore tes désirs vicieux ! Mais, me dit t-elle, de toute façon il na pas grand-chose à voir !

Je sautais sur loccasion, saisissant lopportunité !

-Alors fais moi plaisir retire ton soutien gorge ! Montres lui tes seins !

Elle fit la grimace prête à refuser mais je lui dis :

-Excite le un peu, nous ne sommes que tous les trois, essayes ma chérie !

Alors aussi surprenant que cela elle me dit en soupirant:

-Daccord mais juste ça ! Tu sais cest vraiment pour toi.

Ravi de cette aubaine, en la prenant dans mes bras je lui dis : Daccord, tu te montre bien en te penchant vers lui hein ? Je veux que tu lexcites pour de bon !

En souriant elle partie dans la salle de bain, je rêvais déjà à la suite de cette aventure !

Je revins sur la terrasse avec lautre.

Un instant plus tard, Sylvie nous rejoint mine de rien. Je me demandais si elle avait bien fait ce que je lui avais demandé mais à travers la robe légère japerçus les petites taches plus sombres des auréoles de ses seins clairs, quand elle se rassit auprès de nous. Je plaisantais avec notre invité en parlant de la chaleur quil faisait, que lon avait envie de ne mettre que peu de vêtements et que lon pouvait profiter de ça pour en voir plus des corps de jolies femmes !

Sylvie sourit et dit :

— Vous êtes vicelard vous les hommes !

— Et alors, dit F, cest sympa de découvrir des choses que vous cachez trop dhabitude Mesdames !

— Cest vrai, dis-je, je préfères te voir comme ça, presque nue plutôt quavec un col roulé !

— Moi aussi ! Dit t-il en souriant dun air gourmand et vicieux, fixant la poitrine libre sous le léger tissus!

A ce moment Sylvie gonfla ses poumons faisant pointer ses seins fièrement vers lui avec un sourire coquin, comme pour le provoquer.

Excité en voyant cela, je dis à Sylvie (pour tester sa bonne volonté) :

-Tiens montre un peu tes plantations à M. F, il te donnera sûrement des conseils !

-Pourquoi pas, venez voir lui dit t-elle avec un sourire engageant.

— Bien sur avec plaisir dit t-il.

Ils se levèrent et je constatais que Sylvie se penchait face à lui pour montrer ses fleurs et avec le décolleté ouvert, il devait avoir une vue directe sur les seins nus de ma femme. Jétais heureux de la voir enfin obéir pour mon plaisir.

Elle restait penchée face à lui en le fixant dans les yeux avec un sourire coquin !

Je me levais enfin et mapprochant deux je jetais un coup doeil à ma femme, je vis ses seins ronds et fermes, les bouts tendus comme des pointes et Surprise, je vis quelle avait aussi retiré sa petite culotte! La robe ample ouverte laissant apercevoir lombre noire des poils de sa chatte.

Cétait la première fois quelle faisait cela de sa propre initiative! Elle était prête ! Elle allait plus loin que je ne rêvais ! Je bandais de plaisir de voir ma femme exaucer mes désirs de sexhiber à F depuis si longtemps !

F était écarlate, les yeux fixés sur le corps dévoilé de Sylvie un vague sourire aux lèvres et le souffle court.

Cette présentation dura un petit moment, Sylvie sétant laisser admirer, presque caresser, par des yeux vicieux, semblant y prendre plaisir.

Nous sommes revenus à la table pour boire nos alcools. Sylvie avait aussi les joues rouges et respirait rapidement. Elle but très vite son apéritif. Je lui en resservi un autre bien tassé, sentant que le moment était propice pour quelle réalise mon fantasme Elle avait laissé sa robe remonter en sasseyant et nous voyions une bonne partie de ses cuisses bronzées sous la table.

Jen voulais encore plus et dun regard appuyé vers elle (que F remarqua) je lencourageais ; me comprenant, elle croisa les jambes les écartant un peu, faisant volontairement remonter sa robe, laissant apercevoir le haut de ses cuisses à F assis face à elle. Jétais aux anges.

Il était vraiment troublé par ce spectacle offert.

Enfin elle se leva pour chercher quelque chose dans la maison. Jen profitais pour dire à notre invité :

-Elle est belle ma femme. Hein ? Vous avez de la chance de voir autant de choses ! Peut être un peu plus vous intéresserait ?

— Oh oui, mais ça ne vous dérange pas ?

-Non, au contraire lui dis-je. Javais tellement envie de la voir faire cela pour vous. Je vais voir jusquoù elle veut bien aller ! Si ça marche, je vous fais signe et essayez de la draguer, je suis OK et je vous laisse le champ libre même pour.  !! Daccord ?

-Bien-sur, me dit t-il, avec un grand sourire, pas de problème, au contraire !!!!

Je rejoignis Sylvie dans la cuisine et la prit dans mes bras. Lembrassant sur sa bouche chaude, je glissais une main sous sa robe légère et je sentis sa chatte humide. Je lui fis constater mon excitation à la voir faire tout cela me serrant contre sa cuisse pour quelle sente mon érection et je profitai de son trouble :

-Dis donc tu as vraiment lair daimer te montrer au vieux F mais ce nest pas assez, si tu lui faisais une petite gâterie ce serait génial !!

-Ca va pas. Oh non il est moche, cest pour toi que je fais cela mais

— Allez, fais enfin un effort, lui dis je dun ton ferme, tu es bien partie et il a peut être une belle bite que tu suceras jusquau bout.

— Allez fais moi plaisir suce le !!! Tu me dois ça !

— Bon OK tu lauras voulu me dit t-elle !

-Noublie pas : jusquau bout et tu lui obéi, tu fais tout ce quil veut! Je me mets dans le grenier et je te laisse faire.

Elle ne dit rien juste un regard que je trouvais un peu bizarre. Enfin je rejoignis F et lui fit par de mon accord par un signe du pouce !

Sous un prétexte quelconque je les quittais et me rendis dans le grenier. Jécoutais leur conversation.

Sylvie avait dû recommencer ses exhibitions (il ma dit après quelle avait largement écarté les cuisses cette fois, de façon provocante lui exhibant sa chatte noire en souriant. Il avait compris à ce moment quil avait une chance inespérée !)

Il lui demanda si elle était heureuse dêtre dehors seule avec lui et avec si peu de vêtements.

Elle lui répondit :

-Cest lui qui le veut !!!

— Bien sur ! Une si jolie femme comme vous avec un corps superbe qui donne envie den faire plus !

Il se leva et vint derrière Sylvie lui entourant les épaules il se pencha et lembrassa sur la bouche.

Elle fut surprise et eut un mouvement de recul mais ne se déroba pas et accepta ce baiser dun vieil homme !

Sans quitter sa bouche, elle se leva et le serra dans ses bras !!!

Il lui saisit un sein quil sentit durcir entre ses doigts. Elle ne bougeât pas, la bouche collée sur la sienne, semblant prendre plaisir aux attouchements du vieux porc.

Enfin elle dit :

-Viens là haut, jai quelque chose pour toi.

Ils montèrent dans la chambre à coté de moi.

Javais laissé la porte de séparation entrouverte et je les vis face à face.

Aussitôt dans la chambre, il lattira sur lui et reprit le baiser, la langue introduite profondément dans la bouche de ma femme.

Elle sécartât légèrement de lui et dit :

-Je dois te sucer.

Elle se mit à genoux devant lui et ouvrit son pantalon, qui tomba à ses pieds. Le gros ventre blanc du vieux sortit, il descendit son slip et une petite bite toute molle se présenta devant le visage de ma femme.

Elle nosait la prendre (je sus plus tard quelle sentait très fort lurine)

Il saisie sa queue et la promena sur la figure de Sylvie.

-Allez, prend la ma petite nettoie là !

Elle la prit entre deux doigts, approcha sa bouche quand même et passa la langue dessus. Lagitant un peu elle dit dune petite voix :

-Elle est molle! Je ne tai pas excité ?

-Tu sait à mon age cest plus dur pour bander longtemps il va falloir que tu suces !

Et dabord lève toi ! Je constatais un changement important dans son attitude, un ton très ferme, ayant senti quelle se laissait dominer.

Elle obéit et se releva. Il saisit sa robe quil lui ôta, la mettant nue devant lui.

Le corps de ma femme apparut, ses seins blancs et la toison noire de sa chatte tranchant sur la peau bronzée. Le maillot de bain deux pièces avait délimité et protégé ses parties intimes, elle navait jamais voulu se mettre nue au soleil dans le jardin ni ailleurs.

Cétait réellement la première fois quelle était intégralement nue face à un autre homme que moi.

Je sentis F excité. Il dit (la voix forte) :

-Depuis le temps que je te connais et que je voulais te voir toute nue !!! Enfin je te tiens !

Il lui saisit les seins et les tripota fébrilement, brutalement, pinçant très fort les tétons lui arrachant un cri de douleur.

Il prit un sein dans sa bouche et le téta lentement je vis le visage de Sylvie silluminer de plaisir. Elle lui pressa la tête contre sa poitrine. Il sécarta un instant après. Il palpa tout son corps, descendit une main jusqu’à sa chatte ou il introduisit violemment un gros doigt après quelle eut largement écarté les cuisses ce qui me surpris de la voir répondre autant aux désirs de F.

-Tu mouilles bien !

— Oui, vas y ! dit t-elle

Sentant son envie il en introduisit un deuxième sans ménagement, il les fit aller et venir violemment elle tremblait de plaisir et de souffrance. Il les enfonça avec force et elle jouit intensément quelques instants plus tard en se collant à lui.

— Cest bon ! Souffla t-elle

Retirant brutalement ses doigts il reprit la bouche de ma femme, qui souvrit et y plongea sa langue. Elle lui prit la tête entre ses mains et lembrassa avec force, la bouche grande ouverte pour un baiser violent, passionné, pour le remercier du plaisir quil lui avait donné!

Sécartant en la repoussant il lui dit :

-Reste la bouche ouverte.

Ce quelle fit. Et alors il crachat dans cette bouche grande ouverte ! Elle ne bougeait pas, la gardant ouverte souillée du crachat du vieux.

Jétais abasourdi de voir ce quil faisait à Sylvie prêt à intervenir si cela dégénérait mais excité en même temps de voir le degré de vice de cet homme et ce quelle était capable daccepter ! Je bandais de plus en plus !

-Allez avale, dit t-il.

Elle sexécuta. Avec plaisir (me dit t-elle plus tard) elle avala, soumise devant moi à lautorité de son amant.

-Ma queue maintenant !

Il avait pris un peu de vigueur, alors Sylvie sagenouillât et reprenant le sexe de F, le gland encore recouvert de sa peau. Elle prit en bouche le bout du gland, aspirant cette petite queue, je voyais les joues de Sylvie se creuser tellement elle la suçait fort ! Elle allait et venait sur ce gland, en levant des yeux pleins de désir vers la face du vieux.

Il lui dit :

— Enfonce dans ta bouche, vas y !

Elle nobéit pas, alors le vieux lui prit la tête et dun coup de rein forçat sa queue dans la bouche.

Elle laissa la queue rentrer pratiquement en entier !

-Cest bien ! dit t-il et il fit aller et venir sa bitte comme dans un sexe.

Jadmirais voir ma femme toute nue à genoux devant un homme vieux et laid encore à moitié habillé qui sexcitait de cette situation digne dun film porno.

Quelques secondes après il dit :

-Mets ton doigt dans mon cul !

Il écarta les jambes et elle introduisit son doigt dans le fondement du vieux.

-Vas y, branle moi le cul ! dit t-il.

Elle sexécuta lui rentrant profondément dans lanus. La bouche toujours occupée par la tige du vieux.

Il lencourageait :

-Plus vite enfonce le bien ma salope, suce le vieux connard que je suis pour toi !

Elle redoubla defforts buccaux et enfin la bite atteint une taille normale. Elle allait et venait sur la tige, ses joues toujours creusées par la succion. Il lui recula la tête en la tirant brutalement par les cheveux et lui dit :

Sortant sa queue de sa bouche, il la prit entre ses doigts commença à se branler devant. Elle louvrit en grand tendant la langue pour agacer le méat ou une goutte de sperme sortit quelle recueillie avec plaisir.

Il se branlait de plus en plus vite le gland a moitié dans la bouche ouverte langue toujours tendue de Sylvie.

-Regarde moi, Salope !

Elle leva les yeux vers les siens, le regardant, complètement soumise au plaisir du vieux.

Il accéléra son mouvement, la tête penchée vers ma femme et il lui dit, dans un râle:

-OuiPrend tout !

Et il déchargea en jets spasmodiques sur la langue tendue, tendant son ventre et sa bite vers elle, un large sourire de satisfaction sur son visage. Elle en avait plein la bouche.

Une fois tout déversé (il en avait une bonne dose !) elle gardait toujours la bouche ouverte, le sperme visqueux du vieux la dégoûtait certainement mais elle était maintenant complètement soumise, prête à tout ce quil lui imposerait.

-Garde mon jus, régale toi salope! Allez, ferme la bouche (ce quelle fît) et au bout de quelques instants :

— Salope avale tout !

Et je vis aux mouvements de sa gorge quelle avalait le foutre de F.

-Montre-moi si tu mas bien avalé, cochonne !

Rouvrant la bouche elle lui montra quelle avait fait ce quil voulait.

Il récupéra le sperme qui avait giclé sur le nez de Sylvie avec ses doigts et les lui fis les sucer. Il en profitât pour les lui enfoncer dans sa bouche, ce quelle laissa faire!

Jétais aux anges, elle navait avalé mon sperme quune seule fois depuis que nous étions mariée!

A ma grande surprise elle reprit la queue du vieux, toute molle dans sa bouche et téta le morceau de chair en le branlant lentement comme si elle voulait le vider de toute sa semence.

Il lui tira la tête, la saisissant par les cheveux,

-Ca suffit, y en a plus pour aujourdhui, tas lair de laimer ma bitte ! Cest bien, tu es la première qui accepte de faire ce que jai envie. Tu aimes le foutre ! Jespère que tu suceras dautres bittes aussi bien la prochaine fois ?

Elle quitta la petite queue du vieux. Elle ramassa du sperme tombé sur son sein avec les doigts et les portant à sa bouche elle les lécha !

Il remonta slip et pantalon, ma femme toujours nue a genoux devant lui.

Je compris que ma petite femme si prude jusquà aujourdhui avait glissé dans le plaisir par la soumission à F (quelle mavait souvent dit détester) étonné de voir jusquoù elle pouvait savilir mais en même temps heureux de la voir sortir de son attitude si prude quelle avait habituellement à la maison.

Je jouis enfin, projetant mon sperme sur la moquette, nayant pu profiter moi aussi de sa bouche.

Il la fit relever en la retirant par les cheveux, il reprit ses seins à pleine main et en les triturant, les pinçant très fort pour lui faire vraiment mal, elle grimaça de douleur mais elle lui sourit aussitôt après.

Lui donnant une claque violente sur la fesse en pinçant toujours un téton il lui dit ;

-Tes ma salope maintenant je reviendrai et je tamènerai des copains a soulager si tu es gentille et si ton mari est daccord.

Elle lui dit dune petite voix :

-Il faut lui demander !

Je sorti de ma cachette faisant sursauter le vieux. Il la lâchât. Javais un grand sourire.

Je me tournais vers Sylvie, toute nue entre nous.

-Moi je veux bien, et toi es tu prête ?

Elle ne répondit pas, baissant la tête.

-Daccord elle fera ce que vous voulez.

-Super dit t-il. Jai des copains qui aimeront ta bouche ! Tu avales bien ! Penche toi, lui dit t-il !

Elle se pencha en avant se penchant sur le lit, lui présentant sa croupe. Il lui écarta les fesses et introduit un doigt, puis deux dans son anus et lui frotta le clitoris de lautre main ! Devant moi ! Jétais surpris de son audace et encore plus de la soumission de Sylvie !

-Vous avez une femme splendide et bien élevée ! Me dit t-il.

Elle poussa un gémissement et je vis son visage silluminer dun grand sourire. Elle aimait ces doigts qui la fouillaient !

-Elle mouille encore ! Elle aime ça dis donc ! Jespère quelle sera comme ça avec les copains !

Et sans attendre il nous quitta.

Je pris Sylvie toujours nue, abasourdie dans mes bras pour la féliciter de son comportement. Je lui fis boire un alcool fort avant de lembrasser. Pour la première fois elle resta nue une grande partie de laprès-midi au soleil, quitte à être vue des voisins, mais insouciante et joyeuse. Elle ne me dit rien et cest bien plus tard quelle ma livré ses sentiments à ce moment la, et jen appris plus après quil lai effectivement livrée à des copains et même à un voisin détesté pour le même exercice dès le lendemain !

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