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Sylvie mon amour – Chapitre 4

Sylvie mon amour - Chapitre 4



Chapitre 4

Le lendemain à mon réveil, je suis toujours entre mes deux femmes, Sylvie a la tête sur mon épaule et sa main sur mon pubis, Josiane elle recouvre de sa jambe mes deux cuisses et sa main est contre mes bourses. Je ne bouge pas et savoure cet instant merveilleux, je les regarde tour à tour, elles sont vraiment belles, le visage de Josiane resplendit de bonheur, ses ébats de cette nuit y sont sûrement la cause. Lentement, Josiane ouvre les yeux, me regarde et rougit, elle retire sa main et sa jambe et confuse, me dit :

« Excusez-moi ».

Je la regarde en souriant, passe mon bras derrière sa nuque et l’attire contre moi, ses seins sont plaqués contre mon flan, je plie la jambe et la glisse entre les siennes, les lèvres chaudes et humides de son sexe collent à ma cuisse.

« Bonjour ma chérie, bien dormi ? »

« Oh oui »

Je la sens contre moi, chaude comme une braise, elle ronronne comme une chatte, je l’embrasse dans le cou, et doucement je me lève, je la prends par la main et sans bruit pour ne pas réveiller Sylvie, nous passons à la salle de bain. Nous nous brossons les dents avec la même brosse, j’ouvre le robinet de la douche et y entre, je tends la main à Josiane et l’invite à me rejoindre, elle rougit encore et me dit :

« Attendez, je dois faire pipi »

Je l’attire à moi, ses seins caressent ma poitrine, l’eau ruisselle sur nos deux corps, je glisse la main entre ses cuisses et l’invite à décharger, surprise, elle me regarde, je prends possession de sa bouche, elle se laisse aller et je sens son urine chaude couler dans ma main.

« Qu’est-ce que vous me faites faire, çà me gène terriblement ».

« Ce n’était pas bon ? »

« Si, mais euh, vous ne devriez pas et Sylvie ! ».

« Arrête de culpabiliser, Sylvie m’aime, elle t’aime, les initiatives qu’elle a prises cette nuit en sont une preuve, je voudrais que tu me tutoie, et qu’enfin tu m’embrasses ».

« Mais on s’est déjà embrassé »

« Oui moi je t’ai déjà embrassé, mais maintenant je voudrais que ce soit toi qui me le donne ce baiser ».

Josiane se pend à mon cou, plaque son corps contre le mien, je sens les bouts de ses seins qui durcissent contre ma poitrine, elle entrouvre les lèvres et m’embrasse avec passion. Nous restons un long moment les lèvres soudées, nos langues se caressent, passent d’une bouche à l’autre, ma queue est en feu, je prends Josiane par les cuisses, la soulève jambes ouvertes et la dépose sur mon engin. Elle est tellement mouillée que je la pénètre facilement, d’un coup, je viens buter contre son utérus, ses parois vaginales enserre mon sexe, mon gland est sucé par la contraction de son vagin, elle pousse des petits râles suivi d’un long gémissement, après plusieurs mouvement de bassin, elle part dans un orgasme au moment où ma semence inonde ses chairs.

La porte s’ouvre, Sylvie entre dans la salle de bain, elle nous regarde en souriant, je vois des coulées de cyprine entre ses jambes. Elle s’assied sur le pot et vide sa vessie.

« Bon sang, qu’est-ce que vous m’avez excité tous les deux, je n’ai pas pu m’empêcher de me branler, je crois que j’ai joui en même temps que vous »

« Tu ne m’en veux pas que je me sois donnée à ton fiancé ? »

« Oh non maman, si tu savais comme je suis heureuse de le partager avec toi, j’aime quand il te fait jouir, j’aime aussi caresser ton corps, te donner du plaisir ».

Josiane sort de la douche, va vers elle et l’embrasse tendrement, penchée vers sa fille, elle m’offre la vision de ses jolies fesses rondes, de son splendide abricot légèrement ouvert et de son petit trou plissé qui m’attire comme un aimant et que je me promet de visiter à la prochaine occasion.

Sylvie émet l’idée d’abréger notre séjour et de rentrer passer mes derniers jours de congé à la maison, enjouée, elle me dit :

« Tu sera plus à l’aise dans notre petit éden, tu pourras te balader nu comme tu aimes, et nous serons deux pour nous occuper de toi ».

Josiane ne dit rien, mais ses yeux parlent pour elle, à la façon de me regarder, je sais qu’elle est amoureuse de moi, autant que sa fille. Notre valise est vite bouclée, je descends à la réception, trouve une excuse à notre départ précipité, règle la note et nous reprenons le chemin du retour. Six heures plus tard, en fin d’après midi nous arrivons à la maison. Comme sa fille l’a été, Josiane est émerveillée par la beauté des lieux, pendant que Sylvie s’occupe à vider la valise, je la prends par la taille et lui fait faire le tour du propriétaire. Elle reste sans voix devant l’immense terrasse couverte, la piscine et le jardin d’agrément qui s’étend sur plus de 150 ares, la tête au creux de mon épaule, nous nous promenons dans les allées et autour du petit étang où le murmure des jets d’eau berce notre amour naissant. Sylvie vient nous rejoindre et prend sa maman par le bras, quand je regarde Josiane, je vois des larmes couler sur ses joues, je lui prends le menton, tourne son visage vers moi et lui dépose un baiser sur les lèvres, elle me sourit, ce sont des larmes de joie.

Pendant les cinq jours de congé qui me restent, je suis dorloté, choyé par mes deux femmes, épuisé aussi car nous faisons plusieurs fois l’amour par jour, pendant mes heures de récupération, il n’est pas rare de voir les deux filles se lutiner et terminer souvent en 69 ou chatte contre chatte frottant avec ardeur leur clitoris l’un contre l’autre. A chaque fois je me remets à bander et il faut croire qu’elles me surveillent, car elles accourent alors pour me soulager de leur bouche ou de leur sexe.

Le dernier soir, avant le souper, je prends connaissance de mes mails, c’est ainsi que j’apprends que le chef du département facturation nous a quitté. Pendant le repas j’en parle avec Sylvie, Josiane attentive me demande ce que je vais faire.

« Je vais chercher quelqu’un, par le biais de l’Office de l’emploi ou par petite annonce ».

« Pourrais-je poser ma candidature ? »

« Pourquoi voudrais-tu travailler, je peux subvenir largement à vos besoins ?».

« Ecoute Michel, j’accepte de vivre chez vous, avec vous, je vous aime éperdument tous les deux, mais j’ai besoin aussi de me sentir utile, il ne peut y avoir qu’une seule maîtresse de maison, et c’est Sylvie, je me sentirais bien vite inutile et dérangeante en restant toute la journée ici. En travaillant, je garde une certaine liberté et je peux disposer d’un salaire qui me donnera le plaisir de faire moi aussi des petits cadeaux et de ne pas avoir l’impression de vivre à tes crochets ».

« Ok ma chérie, tu viens de décrocher un emploi, mais laisse moi te dire que je suis un patron exigeant, mes ordres ne peuvent pas être contestés, quand je t’appellerais dans mon bureau, tu devras venir de suite, sans culotte et prête à être prise sur le bureau ».

« Oh oui chéri et tu me raconteras en rentrant si elle a été obéissante, si elle t’a donné du plaisir, sinon je la punirais moi-même, et toi maman tu me le surveilleras, si tu vois une autre femme s’approcher de lui tu me le diras aussi ».

« Vous êtes des vicieux, des cochons, je vais encore réfléchir avant d’entrer dans ta boîte ».

Josiane en riant s’est laissée glissé de sa chaise, elle passe sous la table et comme nous sommes nu prend mon sexe dans sa bouche. De suite, j’entre en érection, pendant plus de cinq minutes, elle me fait une pipe d’enfer, sa main soupèse mes bourses, je pousse un grognement et jouit dans sa bouche, serrant des deux mains le bord de la table. Josiane revient à la surface, me regarde en souriant, un peu de sperme humidifie ses lèvres sur lesquelles elle passe une langue avide.

« Comme çà c’est bien patron »

Je lui donne une tape sur ses fesses et nous éclatons de rire tous les trois.

Trois mois plus tard, j’épouse Sylvie, c’est une belle fête, nous partons tous les deux en voyage de noce en Martinique, Josiane qui a démontré toutes ses capacités dans le travail qui lui est confié a pris la direction de la société pendant mon absence. A mon retour elle m’expose le bilan de son mois d’intérim, elle a été parfaite et a mené ma société de main de maître.

Le samedi suivant, Sylvie nous a concocté un petit souper fin, Josiane lui demande pour quelle occasion, mais elle ne répond pas et esquisse simplement un petit sourire espiègle.

Au milieu du souper, Josiane prend la parole, elle nous annonce qu’elle est enceinte de deux mois, et qu’elle devra faire attention à l’avenir. Je bondis de ma chaise et la prends dans mes bras, je suis fou de joie, je l’embrasse partout et surtout sur son ventre, Josiane a les larmes aux yeux, elle va être grand-mère et en est ravie.

Quand nos effusions sont calmées, Sylvie se tourne vers moi et me dit :

« A toi maintenant »

Je me lève, m’approche de Josiane, je me mets à genou et lui prend la main.

« J’ai passé l’anneau du mariage au doigt de ta fille, accepte que je passe celui-ci à ton doigt pour sceller notre amour ».

Je lui passe un magnifique solitaire au doigt, elle se penche vers moi et m’embrasse tendrement, Sylvie s’est levée et embrasse aussi sa mère.

« Cette nuit, j’irai dormir dans ta chambre, je vous laisse tous les deux, tu auras aussi ta nuit de noce maman »

Sylvie apporte un gâteau, elle découpe trois parts, sert le café, elle nous dit bonsoir prend son café et son morceau de gâteau et monte dans la chambre de sa mère nous laissant Josiane et moi en tête à tête. Josiane se lève, déboutonne son chemisier, enlève son soutien gorge, elle place ses mains sous ses seins et les tends vers moi comme pour me les offrir, elle ouvre le bouton qui maintient sa jupe, et en tortillant de la croupe la fait tomber sur ses chevilles, elle passe les pieds par-dessus, écarte les jambes et pousse son pubis vers l’avant, son string en dentelle est trempé, elle passe ses doigts dessus les portent à sa bouche et les sucent un à un. Ces gestes sont obscènes et me font bander, elle se retourne, se penche en avant me présentant ses fesses, elle enlève lentement son string le porte à son nez puis le passe sur sa chatte trempée. Il dégouline de ses sécrétions vaginales, elle s’approche de moi, le passe sous mon nez, il sent bon ses effluves intimes, elle le passe sur mes lèvres, je le lèche, elle l’introduit dans ma bouche, je le suce. J’enlève chemise, pantalon, slip et chaussettes en un temps record, je la retourne et l’appuie sur la table, de mes deux mains j’écarte ses fesses et viens lui brouter le minou remontant jusqu’à son anus que je pénètre de ma langue.

« Oh oui, prends moi le cul, je t’en prie encule moi très fort, si tu savais comme j’en ai envie ».

Elle a posé ses seins sur la table et a pris ses fesses qu’elle écarte à deux mains, sa chatte est ouverte, je vois le corail de ses petites lèvres, elle pousse et ouvre légèrement son anus, je prends ma queue en main, frotte mon glands entre les lèvres gluantes, me positionne sur son petit trou et la pénètre doucement, elle pousse un cri :

« Aahhhhhh, ouiiiiiiiiiiii, encore, ohhh oui, pousse chéri, pousse plus fort ouiiiiiiiiiiiii, je jouiiiiiiiis arrrrrrhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiii »

Un violent orgasme secoue son corps, je reste planté en elle, mon gland se met à gonfler, je commence une série de va et vient de plus en plus violent, je ne me contrôle plus, je pousse de toutes mes forces et au moment ou mes bourses touche son minou, je projette tout mon sperme dans son rectum. Je me retire, elle se retourne, se laisse tomber à genou, prend ma queue dans sa bouche et me la nettoie, recueillant les dernières gouttes de sperme qu’elle contient. Elle se relève, je la prends contre moi et l’embrasse, je l’enlève dans mes bras et la porte dans la chambre où je la dépose sur le lit. Je veux me coucher à côté d’elle mais elle m’invite à prendre une douche avant de nous coucher, nous entrons dans la salle de bain, elle se met à genou dans la baignoire et me dit :

« Viens près de moi, je veux te boire »

Je monte près d’elle, elle ouvre la bouche devant mon sexe et attend, l’envie de pisser me vient de suite et j’urine dans sa bouche, elle en avale une bonne partie et le reste se répand sur son menton, coule entre ses seins, sur son nombril et finit entre ses jambes donnant l’impression qu’elle urine aussi. Elle s’assied dans ma pisse, se frotte les seins et le pubis, les jambes écartées elle se frappe la chatte, masturbe son clitoris, lui donne des claques, le masturbe encore plus fort, ma bite dresse à nouveau, je m’assied entre ses jambes et moi aussi je me branle, nous sommes au maximum de l’excitation, nous crions tous les deux notre plaisir, sans retenue, soudain elle se cabre, pose le dos contre la paroi de la baignoire projette son bassin vers moi et dans un cri strident de jouissance inonde d’un jet puissant d’urine et de sécrétions ma poitrine et mon sexe, j’accentue mon va et vient et j’éjacule plusieurs giglées de sperme qui se répandent dans ses cheveux, sur ses yeux, sur ses seins. Instinctivement, elle frotte sa poitrine avec ma crème et en récupère une partie avec un doigt qu’elle porte à la bouche et suce avec avidité, elle me regarde, sort sa langue encore couverte de sperme, m’invite du regard, je prend sa langue dans ma bouche, la suce et goûte ainsi à ma crème. Nous sortons de la baignoire et passons sous la douche, nous allons ensuite nous coucher, tendrement enlacé, nous tombons dans un profond sommeil.

Les semaines ont passé, les deux derniers mois de grossesse, Sylvie a dû rester couchée sur ordre du médecin, elle dormait au rez-de-chaussée pour éviter les escaliers, elle demanda à sa mère de dormir avec moi pour que je ne sois pas seul, elle ne dû pas insister. Presque tous les soirs avant de nous coucher, nous nous occupions de Sylvie, nous la caressions, la faisions doucement jouir avec nos bouches, parfois nous faisions l’amour devant elle et elle se masturbait frottant sur son clitoris gonflé, nous nous retrouvions ensuite Josiane et moi ensemble dans le lit, et presque tous les soirs nous faisions l’amour. J’avais engagé une bonne, qui faisait le ménage, s’occupait de Sylvie et ne la laissait jamais seule. Parfois, j’appelais Josiane dans mon bureau à l’entreprise.

En me regardant elle avait compris, elle se couchait sur le bureau, relevait sa jupe et m’offrais ses fesses, je sortais ma tige turgescente, écartais sa culotte, trempais mon gland à l’entrée de sa grotte humide et l’enculais d’un coup sec, sans préparation, elle mordais dans son bras pour ne pas crier, les cloisons du bureau étant très minces, tout le temps que je la pistonnais, elle n’émettait le moindre son, se contentant de pousser un énorme soupir au moment où se déclenchait son orgasme. A chaque fois que j’avais jouis, dès que je m’étais retiré, elle passait la main entre ses cuisses, recueillait le sperme qui s’écoulait de son anus, l’étalait sur ses lèvres et son clito, elle glissait un protège slip et remettait sa culotte correctement. Elle allait vers la porte, se retournait, passait la langue sur ses lèvres, me regardait avec un regard lubrique et disait :

« Hummmm ! Merci Monsieur le Directeur, à votre disposition ».

Elle sortait en riant et le soir en rentrant racontait tout à Sylvie.

Deux ans se sont écoulés, mon amour pour Sylvie est toujours aussi fort, elle s’occupe des jumeaux et de moi, Josiane travaille toujours avec moi, elle a pris une place importante dans l’entreprise ainsi que dans mon cour.

Elle est toujours aussi jolie et sa fille lui ressemble de plus en plus, nous faisons toujours l’amour ensemble, elles ont fait l’acquisition de plusieurs articles qui agrémentent nos soirées intimes et me permet de souffler un peu, j’adore les regarder pendant leurs ébats, j’aime me masturber en les regardant se pénétrer avec un double gode, s’enfiler des boules de geisha ou se faire jouir avec un mini vibro sur le clitoris.

J’ai gardé la bonne, elle s’occupe du ménage, c’est une petite bonne femme d’un mètre cinquante cinq, elle a de jolies fesses, de belles jambes et une poitrine opulente, au moins du 95D, Josiane est déjà allée dans sa chambre, je crois qu’elles ont eu des rapports ensemble, mais je n’en suis pas certain.

Je vous tiendrais au courant dès que j’en saurais plus.

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