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Tasha – Chapitre 1

Moi! Katia! 19 ans et nymphomane - Chapitre 14



13h49, en regardant ma montre, jémets un soupir, plus quonze petites minutes et cette foutue réunion prendra fin, mon ventre me suppliant de le nourrir depuis dix heure ce matin.

Fraîchement accepté en CDD dans une petite entreprise de fruits et légumes, mon rôle de gestionnaire de communauté a déjà expérimenté les moqueries des collègues en quelques jours, jusquà glaner cette étiquette du « mec payé à rester sur Facebook ».

14h05, je sors enfin, toujours à la bourre, pour ne pas changer, à croire que ces cadres aiment plus les réunions que le reste de leurs vies. Direction le petit Franprix en bas de la rue, un énième triangle Sodebo mattendait dans son packaging en plastique.

Jentre dans le Franprix, je fais mes rapides courses de midi et je me dirige à la caisse, grosse surprise, le barbu hipster qui était là depuis des semaines a été remplacé, remplacé par cette jeune blonde, qui a lair plutôt réservée, surement ici pour payer ses études comme toutes les personnes assises sur ce siège avant elle.

Etant un peu dans le dur après la réunion, je ne lui adresse quun grand sourire, quelle me rend aussitôt et je retourne manger au bureau laissant cette jeune fille qui, sans le savoir, va titiller mon esprit.

3 jours passèrent, 3 jours où chaque midi jallais acheter un sandwich et sourire à cette charmante caissière, 4e jour, je lance la conversation avec un peu dappréhension il faut se lavouer :

— « Bonjour ! » dis-je avec un grand sourire « je mappelle Thomas, ça ne fait pas longtemps que tu es ici non ? »

— Oui, jai été engagé il y a une semaine, je suis toujours en période dessai, je mappelle Tasha au fait » dit-elle en me rendant un sourire qui me faisait déjà à moitié chavirer.

— « Passe une bonne journée ».

Je prenais congé tout en pensant à elle, mon dieu, son visage ne quittait plus ma tête, il fallait absolument que je linvite un soir, promis, demain je me lance vraiment !

Comme prévu, le lendemain je repasse à la supérette, elle était là, je criais un « ouffff » de soulagement à lintérieur :

— « Hey Tasha, ça te dirait de venir prendre un café ce soir ? Un amis à moi vient dinaugurer son nouveau pub, il sert le meilleur café de la ville ! ».

Ce nétait même pas un mensonge, Symon venait douvrir il y a un mois « Aux 3 verseuses », un authentique pub irlandais, son café nétait pas son fort, mais au moins je serai en terrain ami en cas de « oui ».

— « Salut ! Oui ça me ferait vraiment plaisir, je termine à 17h par contre, ce nest pas trop contraignant ? ».

— « Aucun soucis ne tinquiète pas, je viendrais te chercher à 17h alors, à toute à lheure » toujours un sourire, cétait certain, je lui plaisais, et elle me plaisait.

17h arriva vraiment trop lentement, je trépignais dimpatience, quand finalement, la journée de travail prit fin, il était temps daller la chercher.

Elle était déjà devant la porte du magasin, habillée « normalement », ses cheveux étaient attachés en chignon sur le côté droit, elle portait un petit pull et un legging, mon sang ne fit quun tour quand japerçue son legging et notamment la partie inférieure de son corps, elle avait de longue et fine jambes et surtout des fesses à faire rougir de jalousie les pin up les plus célèbres.

— « Alors, tu es prête pour goûter un super café ? »

— « Jen meurs dimpatience ! »

Nous sommes donc partis en direction du 6e, discutant de tout et de rien sur le chemin.

Elle était en première année de Droit à la Faculté sur les Berges, et comme prévu, son boulot à Franprix était essentiellement pour payer ses études et son loyer, cétait donc une fille belle, jeune et responsable, elle gagnait des points.

Arrivé dans le pub, il était 17h30, il faisait déjà nuit, merci le mois de janvier.

On se cala dans le fond du pub, une petite commande plus tard et Symon nous apportait les deux cafés, me lançant des clins doeil digne dun pervers, cétait bien mon pote.

On discutait sur ses études, sur mon boulot, et notre pause café tournait à lapéritif after-work, 1 puis 2 puis 3 pintes chacun, il fallait que jaille soulager ma vessie, sa bière était bien meilleure que son café.

En train duriner, à moitié soûl, je pensais encore à son corps parfait, cette fille était vraiment spéciale et me faisait perdre mes moyens sans sen rendre compte.

De retour à la table, je voyais également quelle avait un coup dans le nez et on repartait dans des fous rires sur des bêtises, lalcool et lhumour nous rapprochait, au sens propre comme au figuré, on trinquait côte à côte sur la banquette, jétais vraiment tout proche delle.

A ce moment précis, je tente le tout pour le tout, poser ma main sur sa cuisse, mouvement risqué mais à forte valeur ajoutée en cas de succès jai ma main sur sa cuisse et elle rigole toujours autant ! Soit elle ne me remarque pas, soit elle aime ce petit jeu qui sinstalle, jaime penser à la deuxième version.

Je fais balader ma main le long de sa cuisse, par dessus le tissu du legging, jouant délicatement avec le bout de mes doigts, mapprochant de plus en plus de sa zone dintimité.

Elle parle de moins en moins, elle savoure, elle accepte ce jeu que jinstaure entre elle et moi, elle mexcite, je mapproche de son visage et je lembrasse avec tendresse, mes lèvres touchant les siennes avec une certain légèreté.

Je sens sa main qui vient menlacer, me toucher le dos et les reins, je sens aussi que ça commence à travailler dans mon caleçon, et que mon slim va avoir du mal à repousser lassaut.

On va un peu plus loin dans le jeu, nos langues sentrecroisent, sentremêlent, ma main droite frotte discrètement son entre jambe, elle commence à gigoter sur place.

Jen avais presque oublié que nous étions toujours au pub, jétais parti dans un autre monde, un autre univers avec juste elle et seulement elle.

Jétais soulagé, la pénombre de notre table ne permettait pas aux autres clients de voir nos cochonneries.

Sa main initialement dans mon dos saffairait à effleurer mon bas-ventre, je me sentais plus que serré dans ce foutu jean taille basse, elle touchait et griffait gentiment mon jean au niveau de la braguette, jallais exploser.

Ma main tenta une percée à son tour, jimitais « laraignée qui monte qui monte », jusquà insérer mes doigts à lintérieur de son legging, elle était plus que mouillée, sa culotte avait du mal à contenir le flux de mouille, ça mexcitait encore plus et elle le savait. On avait envie lun de lautre dune force quil était difficile de se retenir pour ne pas faire lamour sur cette banquette.

Je lui ai fait comprendre quelle pouvait baisser un petit peu son legging, que personne ne la verrait, ce semblant dexhibitionnisme nous rendait au final encore plus fous.

Après avoir abaissé son pantalon, jai commencé à naviguer sur ses lèvres, son clitoris, dur comme de la pierre, elle était ultra excitée, je neu aucun mal pour insérer mon index dans son vagin qui ne demandait quà accueillir son grand visiteur. Elle lâcha un gémissement à peine audible mais tellement sexy, je savais quelle était en pleine extase et jadorais encore plus ça.

Le pub se vidait peu à peu pendant que ma main explorait son intimité, je décida de mattarder sur son clitoris pendant quelques minutes, ses gémissements se faisaient plus fréquents mais toujours très discrètement, elle mouillait abondamment, elle en voulait encore plus.

Après plus de 3 minutes sur son clitoris, elle atteignit le 7e ciel sur cette banquette de pub, masquant son orgasme en mettant son écharpe devant sa bouche. Même si le bruit était à peine audible, jétais certain que Symon savait ce quon faisait mais quil ne dirait jamais rien.

Ayant eu son orgasme, elle voulut me rendre la pareil, sa main avait déjà sortie ma queue après avoir rapidement ouvert ma braguette.

Elle le tenait dans les mains, bien dur, droit comme un I, jétais déjà à deux doigts de finir rien quen continuant à toucher son clitoris.

Ses mains étaient fermes, froides, qui contrastaient avec mon pénis, elle commença à me masturber tout en gémissant à cause de lactivité que je persistais à faire au niveau son bas ventre.

Jétais trop excité pour pouvoir tenir longtemps alors je décida de me laisser aller, en la contemplant, yeux dans les yeux pendant que sa main gauche saffairait à me rendre heureux.

Elle sentait que jétais bientôt au bout et sempara dun mouchoir, lallier inattendu de la branlette en plein pub. Elle allait plus vite, ses gestes étaient rapides et toujours au bon niveau, jéjacula de bonheur dans le mouchoir lâchant un râle de satisfaction pendant quelques secondes.

Elle remonta son legging et je rattacha ma braguette, ce qui était sûr, cest que jallais la revoir.

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