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Thomas et son père – Chapitre 2

Thomas et son père - Chapitre 2



Après avoir remis en état l’ordinateur de papa, je retourne au mien pour m’intéresser à la copie de sa vidéothèque cochonne.

Je consulte la vidéo que je viens de regarder, où maman s’activait dans le derrière de papa avec un gode ceinture, pour constater qu’elle a été tournée quelques semaines avant son décès. Ca me donne un coup de blues de repenser à elle. Elle me manque autant qu’à mon père, même si je ne laisse pas paraître.

Toujours dans le dossier SECRET, j’ouvre une autre vidéo de plusieurs mois antérieure à la précédente.

Là, l’action est déjà commencée. Maman est nue, allongée sur le dos, jambes écartées avec un homme entre ses jambes en train de lui faire l’amour.

Si papa tient la caméra, qui est cet homme ?

Oh ! C’est mon oncle Philippe, le frère de ma mère, en train de baiser passionnément avec elle, et cela avec la complicité du cameraman.

L’image tremble et j’imagine que papa est en train de prendre plaisir à la scène en se masturbant. Je vois maman se tordre de plaisir sous les assauts de son amant, puis jouir bruyamment.

Tonton sort d’elle et se masturbe énergiquement au-dessus du pubis de sa sur, mais elle l’interrompt d’un geste. S’extirpe du lit et vient vers l’objectif pour se saisir de la caméra et dire en s’adressant à son mari :

Va à côté de Philippe…

Pourquoi faire ma chérie ?

J’ai envie de vous voir ensemble !

Mais, tu es folle !

Allez, juste un petit peu ! Et puis toi, Philippe, je sais que tu aimes bien ça !

Je vois papa, nu, s’approcher de son beau-frère qui lui, ne rechigne pas à se saisir à pleine main de l’impressionnante bite de papa. Il la porte à la bouche, écarte les lèvres et gobe le gland.

Alors c’est bon quand mon frère te suce ? Ça a l’air de te plaire ?

Papa ne répond pas, mais visiblement ce que lui fait tonton lui plaît beaucoup.

Bon, c’est bien. À ton tour, maintenant !

Quoi !!?

A ton tour de sucer Philippe… Dépêche-toi, je filme…

Tout à coup, je suis obligé d’interrompre le visionnage en urgence, je viens d’entendre du bruit. Mon père rentre du travail. Mon érection redescend difficilement. Je ferme rapidement mon programme avant de le rejoindre, encore un peu confus de ce que je viens de découvrir et surtout du besoin impatient d’en savoir plus.

Bonjour, papa, ça s’est bien passé ta journée ? Je chevrote un peu en disant cela.

Je suis crevé et j’ai mal au dos !

Tu veux que je te fasse un massage ?

Euh… ?

Allez, enlève ta chemise, assieds-toi là et laisse-toi faire…

Je suis faussement autoritaire en disant cela…

Mon père se résigne et j’entreprends des manipulations improvisées sur ses épaules. Je sens les contractures de son dos et tâche de les masser avec soin pour détendre ses muscles crispés.

Ca te fait du bien ?

Oui, c’est agréable, tu t’y prends plutôt bien…

Je suis flatté du compliment et progressivement les pétrissages de ses muscles dorsaux se transforment plutôt en caresses qui glissent vers le bas de son dos.

Nos respirations mutuelles s’accélèrent et il décide d’arrêter là, un peu troublé.

Il me chevrote :

Tu as les mains douces… Comme celles de… ta mère.

Loin de me vexer, ses mots me font plaisir.

Maman te faisait aussi des massages ?

Une pointe de nostalgie le fait hésiter à répondre un : « oui, parfois… »

Je regrette de n’avoir pas pu toucher sa peau plus longtemps, mais il faut que je maîtrise la bandaison qui déforme mon slip.

Papa dit :

Bon, comme je suis à moitié déshabillé, je vais en profiter pour prendre une douche.

D’accord, je vais te servir un verre et après on se fait un plateau télé si tu veux ?

Bonne idée ! Bon ! Allez… je vais me laver.

Je regarde vite fait ce qu’il y a dans le frigo, avant de retourner prestement dans ma chambre pour mater la suite de la vidéo. Je repositionne la lecture au moment où mon oncle gobe le sexe de mon père, j’avance un peu plus dans la lecture.

Là! C’est le moment où maman lui dit :

… « A ton tour de sucer Philippe… Dépêche-toi, je filme ! »

Sur l’écran, papa s’approche, hésite et ouvre la bouche et se met à sucer son beau frère. Pas longtemps, mais il l’a fait !

Allonge-toi à côté de Philippe et branlez-vous mutuellement.

Les deux hommes, allongés côte à côte, tête-bêche, se masturbent devant la caméra que tient ma mère. Philippe ne se fait pas prier et reprend papa en bouche. Ce dernier masturbe énergiquement le membre de mon oncle jusqu’à le faire jouir en éclaboussant son torse. Je constate que papa s’est libéré dans la bouche de tonton Philippe et que ce dernier avale tout.

Le film se termine sur un commentaire flatteur de maman.

Je suis infiniment troublé par cette scène pornographique entre mes parents et de la bisexualité que je découvre chez les deux hommes, mais quel spectacle incroyable !

La queue raide, je retourne vite à la cuisine et prépare ce qu’il faut pour le repas, alors que l’eau coule encore dans la salle de bain.

Quand papa réapparaît, il porte juste son peignoir et des claquettes. Il s’affale dans le canapé en soupirant de lassitude.

Je lui sers un verre et m’assieds près de lui. Nous parlons de choses et d’autres et je regarde, d’un il nouveau, son torse velu par l’entrebâillement de son peignoir. J’aimerais tant y glisser ma main. Qu’est-ce qui m’arrive ? J’ai l’esprit complètement chamboulé par tout ce que j’ai découvert récemment.

Mon père s’interroge que je le fixe ainsi et me demande :

Pourquoi me regardes-tu comme ça ?

Il me prend en flagrant délit, mais une réponse spontanée me vient à l’esprit :

Tu es beau papa, tu ne penses pas à refaire ta vie ?

Euh… Non, je pense encore trop à ta mère pour vouloir m’engager avec une autre femme.

Je te comprends, en tout cas, si tu as besoin de câlins, je suis là, si tu veux !

Ça le fait rire et il m’attrape par l’épaule pour m’attirer et me serrer brièvement contre lui en me remerciant de ma gentillesse. Il veut me faire une bise sur la joue et, involontairement, je tourne la tête au même moment. Nos lèvres se touchent. Si lui se recule en s’excusant, ce contact, même furtif, m’a envoyé une décharge électrique jusqu’au slip.

Je reprends ma place et nous échangeons à nouveau des banalités. Je reste troublé malgré tout par papa. J’ai envie de me blottir dans ses bras, mais surtout de revoir son sexe, qui obsède tant mes pensées !

Par la suite, quand je m’éloigne pour aller chercher le plateau-repas, je sens son regard dans mon dos. J’en ressens une certaine fierté, mon désir naissant de le séduire semble fonctionner.

J’en rajoute en roulant un peu le derrière, mais pas trop, ou en me penchant ostensiblement à chaque prétexte pour lui exposer mes fesses. Je le surprends même, confus de m’observer.

Il me faudra l’aguicher un peu plus à l’avenir, mais éviter de trop en faire, pour ne pas attirer ses soupçons.

La soirée s’écoule normalement et papa est en train de s’assoupir. Profitant de son demi-sommeil, j’attrape ses jambes pour les allonger sur le canapé et, à peine conscient, il m’aide dans la manuvre. Au moment où ses jambes sont écartées, je constate qu’il est nu sous son peignoir. Quelle aubaine !

Je baisse progressivement le son de la télévision avant de l’éteindre complètement, puis m’agenouille près de lui. Je n’entends plus que sa respiration profonde et un début de ronflement. J’attends un peu, puis entreprends de réaliser le désir obsessionnel que j’ai en tête.

Délicatement, je desserre la ceinture, puis ouvre les pans de son peignoir.

Alors là, j’ai une vue splendide sur son service trois-pièces.

Ses grosses couilles, surmontées de sa bite pendante, sont là, à portée de ma main impatiente et fébrile.

Ca me fait trop envie ! J’effleure légèrement la peau de son sexe, c’est doux comme du velours. Je m’enhardis et fais courir un doigt sur la hampe, il me semble sentir un frémissement. Très délicatement, j’enserre mes doigts autour de son membre et lui applique un doux mouvement alternatif.

Pas de doute, je sens gonfler son engin et ça m’émeut encore plus.

Papa a un petit frisson, mais ne se réveille pas, il attrape la chair de poule…

J’hésite, que faire ? Retirer ma main ou le branler énergiquement comme j’en ai tant envie.

Je préfère rester entre les deux choix et continuer ma caresse voluptueuse.

Sa matraque est de plus en plus dure et je m’aventure à la presser davantage.

Il a soudain des spasmes qui me paniquent, aussi, après avoir sommairement reposé un pan de son habit sur son totem dressé vers le ciel, je m’empresse de m’asseoir sagement dans le fauteuil.

Bien m’en prend, car il geint un peu, puis se réveille. Constatant qu’il est dénudé du bas et que son pavillon est levé, il éprouve une grande gêne à mon égard. Il remarque évidemment que la télé est éteinte et, tel que je suis assis, que c’est lui que je regardais et non plus l’écran…

Une fois bien réveillé, il se redresse et si ses yeux se portent brièvement sous ma ceinture, c’est pour constater la bosse qui déforme mon pantalon.

Il se lève, me fait une bise paternelle sur le crâne et part se coucher, en essayant de cacher avec le peignoir, son membre tendu.

À peine plus tard…

A pas de loup, je m’approche de sa chambre et colle mon oreille à la porte. Aux sons qu’il émet, pas de doute, il est en train de se masturber. Je souhaite tellement que cela soit en pensant à moi.

Première victoire, en tout cas, j’ai pu toucher sa bite !

Il faut maintenant que j’aille me branler, et vite !Thomas et son père 2

Après avoir remis en état l’ordinateur de papa, je retourne au mien pour m’intéresser à la copie de sa vidéothèque cochonne.

Je consulte la vidéo que je viens de regarder, où maman s’activait dans le derrière de papa avec un gode ceinture, pour constater qu’elle a été tournée quelques semaines avant son décès. Ca me donne un coup de blues de repenser à elle. Elle me manque autant qu’à mon père, même si je ne laisse pas paraître.

Toujours dans le dossier SECRET, j’ouvre une autre vidéo de plusieurs mois antérieure à la précédente.

Là, l’action est déjà commencée. Maman est nue, allongée sur le dos, jambes écartées avec un homme entre ses jambes en train de lui faire l’amour.

Si papa tient la caméra, qui est cet homme ?

Oh ! C’est mon oncle Philippe, le frère de ma mère, en train de baiser passionnément avec elle, et cela avec la complicité du cameraman.

L’image tremble et j’imagine que papa est en train de prendre plaisir à la scène en se masturbant. Je vois maman se tordre de plaisir sous les assauts de son amant, puis jouir bruyamment.

Tonton sort d’elle et se masturbe énergiquement au-dessus du pubis de sa sur, mais elle l’interrompt d’un geste. S’extirpe du lit et vient vers l’objectif pour se saisir de la caméra et dire en s’adressant à son mari :

Va à côté de Philippe…

Pour quoi faire ma chérie ?

J’ai envie de vous voir ensemble !

Mais, tu es folle !

Allez, juste un petit peu ! Et puis toi, Philippe, je sais que tu aimes bien ça !

Je vois papa, nu, s’approcher de son beau-frère qui lui, ne rechigne pas à se saisir à pleine main de l’impressionnante bite de papa. Il la porte à la bouche, écarte les lèvres et gobe le gland.

Alors c’est bon quand mon frère te suce ? Ça a l’air de te plaire ?

Papa ne répond pas, mais visiblement ce que lui fait tonton lui plaît beaucoup.

Bon, c’est bien. À ton tour, maintenant !

Quoi !!?

A ton tour de sucer Philippe… Dépêche-toi, je filme…

Tout à coup, je suis obligé d’interrompre le visionnage en urgence, je viens d’entendre du bruit. Mon père rentre du travail. Mon érection redescend difficilement. Je ferme rapidement mon programme avant de le rejoindre, encore un peu confus de ce que je viens de découvrir et surtout du besoin impatient d’en savoir plus.

Bonjour, papa, ça s’est bien passé ta journée ? Je chevrote un peu en disant cela.

Je suis crevé et j’ai mal au dos !

Tu veux que je te fasse un massage ?

Euh… ?

Allez, enlève ta chemise, assieds-toi là et laisse-toi faire…

Je suis faussement autoritaire en disant cela…

Mon père se résigne et j’entreprends des manipulations improvisées sur ses épaules. Je sens les contractures de son dos et tâche de les masser avec soin pour détendre ses muscles crispés.

Ca te fait du bien ?

Oui, c’est agréable, tu t’y prends plutôt bien…

Je suis flatté du compliment et progressivement les pétrissages de ses muscles dorsaux se transforment plutôt en caresses qui glissent vers le bas de son dos.

Nos respirations mutuelles s’accélèrent et il décide d’arrêter là, un peu troublé.

Il me chevrote :

Tu as les mains douces… Comme celles de… ta mère.

Loin de me vexer, ces mots me font plaisir.

Maman te faisait aussi des massages ?

Une pointe de nostalgie le fait hésiter à répondre un : « oui, parfois… »

Je regrette de n’avoir pas pu toucher sa peau plus longtemps, mais il faut que je maîtrise la bandaison qui déforme mon slip.

Papa dit :

Bon, comme je suis à moitié déshabillé, je vais en profiter pour prendre une douche.

D’accord, je vais te servir un verre et après on se fait un plateau télé si tu veux ?

Bonne idée ! Bon ! Allez… je vais me laver.

Je regarde vite fait ce qu’il y a dans le frigo, avant de retourner prestement dans ma chambre pour mater la suite de la vidéo. Je repositionne la lecture au moment où mon oncle gobe le sexe de mon père, j’avance un peu plus dans la lecture.

Là! C’est le moment où maman lui dit :

… « A ton tour de sucer Philippe… Dépêche-toi, je filme ! »

Sur l’écran, papa s’approche, hésite et ouvre la bouche et se met à sucer son beau-frère. Pas longtemps, mais il l’a fait !

Allonge-toi à côté de Philippe et branlez-vous mutuellement.

Les deux hommes, allongés côte à côte, tête-bêche, se masturbent devant la caméra que tient ma mère. Philippe ne se fait pas prier et reprend papa en bouche. Ce dernier masturbe énergiquement le membre de mon oncle jusqu’à le faire jouir en éclaboussant son torse. Je constate que papa s’est libéré dans la bouche de tonton Philippe et que ce dernier avale tout.

Le film se termine sur un commentaire flatteur de maman.

Je suis infiniment troublé par cette scène pornographique entre mes parents et de la bisexualité que je découvre chez les deux hommes, mais quel spectacle incroyable !

La queue raide, je retourne vite à la cuisine et prépare ce qu’il faut pour le repas, alors que l’eau coule encore dans la salle de bain.

Quand papa réapparaît, il porte juste son peignoir et des claquettes. Il s’affale dans le canapé en soupirant de lassitude.

Je lui sers un verre et m’assieds près de lui. Nous parlons de choses et d’autres et je regarde, d’un il nouveau, son torse velu par l’entrebâillement de son peignoir. J’aimerais tant y glisser ma main. Qu’est-ce qui m’arrive ? J’ai l’esprit complètement chamboulé par tout ce que j’ai découvert récemment.

Mon père s’interroge que je le fixe ainsi et me demande :

Pourquoi me regardes-tu comme ça ?

Il me prend en flagrant délit, mais une réponse spontanée me vient à l’esprit :

Tu es beau papa, tu ne penses pas à refaire ta vie ?

Euh… Non, je pense encore trop à ta mère pour vouloir m’engager avec une autre femme.

Je te comprends, en tout cas, si tu as besoin de câlins, je suis là, si tu veux !

Ça le fait rire et il m’attrape par l’épaule pour m’attirer et me serrer brièvement contre lui en me remerciant de ma gentillesse. Il veut me faire une bise sur la joue et, involontairement, je tourne la tête au même moment. Nos lèvres se touchent. Si lui se recule en s’excusant, ce contact, même furtif, m’a envoyé une décharge électrique jusqu’au slip.

Je reprends ma place et nous échangeons à nouveau des banalités. Je reste troublé malgré tout par papa. J’ai envie de me blottir dans ses bras, mais surtout de revoir son sexe, qui obsède tant mes pensées !

Par la suite, quand je m’éloigne pour aller chercher le plateau-repas, je sens son regard dans mon dos. J’en ressens une certaine fierté, mon désir naissant de le séduire semble fonctionner.

J’en rajoute en roulant un peu le derrière, mais pas trop, ou en me penchant ostensiblement à chaque prétexte pour lui exposer mes fesses. Je le surprends même, confus de m’observer.

Il me faudra l’aguicher un peu plus à l’avenir, mais éviter de trop en faire, pour ne pas attirer ses soupçons.

La soirée s’écoule normalement et papa est en train de s’assoupir. Profitant de son demi-sommeil, j’attrape ses jambes pour les allonger sur le canapé et, à peine conscient, il m’aide dans la manuvre. Au moment où ses jambes sont écartées, je constate qu’il est nu sous son peignoir. Quelle aubaine !

Je baisse progressivement le son de la télévision avant de l’éteindre complètement, puis m’agenouille près de lui. Je n’entends plus que sa respiration profonde et un début de ronflement. J’attends un peu, puis entreprends de réaliser le désir obsessionnel que j’ai en tête.

Délicatement, je desserre la ceinture, puis ouvre les pans de son peignoir.

Alors là, j’ai une vue splendide sur son service trois-pièces.

Ses grosses couilles, surmontées de sa bite pendante, sont là, à portée de ma main impatiente et fébrile.

Ca me fait trop envie ! J’effleure légèrement la peau de son sexe, c’est doux comme du velours. Je m’enhardis et fais courir un doigt sur la hampe, il me semble sentir un frémissement. Très délicatement, j’enserre mes doigts autour de son membre et lui applique un doux mouvement alternatif.

Pas de doute, je sens gonfler son engin et ça m’émeut encore plus.

Papa a un petit frisson, mais ne se réveille pas, il attrape la chair de poule…

J’hésite, que faire ? Retirer ma main ou le branler énergiquement comme j’en ai tant envie.

Je préfère rester entre les deux choix et continuer ma caresse voluptueuse.

Sa matraque est de plus en plus dure et je m’aventure à la presser davantage.

Il a soudain des spasmes qui me paniquent, aussi, après avoir sommairement reposé un pan de son habit sur son totem dressé vers le ciel, je m’empresse de m’asseoir sagement dans le fauteuil,

Bien m’en prend, car il geint un peu, puis se réveille. Constatant qu’il est dénudé du bas et que son pavillon est levé, il éprouve une grande gêne à mon égard. Il remarque évidemment que la télé est éteinte et, tel que je suis assis, que c’est lui que je regardais et non plus l’écran…

Une fois bien réveillé, il se redresse et si ses yeux se portent brièvement sous ma ceinture, c’est pour constater la bosse qui déforme mon pantalon.

Il se lève, me fait une bise paternelle sur le crâne et part se coucher, en essayant de cacher avec le peignoir, son membre tendu.

À peine plus tard…

A pas de loup, je m’approche de sa chambre et colle mon oreille à la porte. Aux sons qu’il émet, pas de doute, il est en train de se masturber. Je souhaite tellement que cela soit en pensant à moi.

Première victoire, en tout cas, j’ai pu toucher sa bite !

Il faut maintenant que j’aille me branler, et vite !

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