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Tiffany, l'allumeuse – Chapitre 1

Tiffany, l'allumeuse - Chapitre 1



J’ai toujours aimé les cours de sport.

Pas pour le sport, mais pour les séances d’échauffements très longues. Et je les aimais encore plus en terminale, car il y avait Tiffany. Son petit leggings moulait parfaitement son joli petit cul.

Je savais qu’elle adorait se cambrer le plus possible, toujours dos au groupe de mecs de la classe, pour se faire mater.

Ses seins étaient plutôt gros, et ses hauts noirs moulants me faisaient bander à chaque fois. Je la voyais de temps en temps regarder la bosse qui déformait mon survêtement, et m’adresser un petit air timide, qui se terminait par un sourire coquin.

Elle aimait ça, allumer. Mais je savais que ça ne permettait rien, qu’il ne fallait pas la toucher malgré tout, et que elle ne me faisait en aucun cas des avances.

Je m’appelle Alexandre. J’étais assez grand, très fin, presque maigre, avec de longs cheveux châtains, et des yeux marrons. J’étais un lycéen basique, grande gueule, mais assez timide dans le fond, incapable comme la plupart de mes amis de séduire une fille qui tournait entre tout les caïds et beaux gosses du lycée de Région Parisienne dans lequel nous étions.

Ce jour là, en sport, je n’en peux plus. Elle est incroyablement bandante, avec son t-shirt qui révèle son nombril, ses cheveux noirs et sa frange, son regard bleu perçant, ses jambes fines et immenses et son 80 B parfaitement formé.

J’aperçois même le haut de son string alors qu’elle remet son leggings en place. Elle m’adresse son air de tueuse, l’air qui me donne la gaule, si forte qu’elle déforme complètement mon short de sport. Elle voit tout du coin de lil, et rigole, puis dit quelque chose à sa copine Elisa, qui tourne la tête vers moi. Je vois les yeux de cette belle blonde qui descende également sur mon sexe, et elle me sourit chaleureusement.

Wahou, mon sexe va éclater, je suis rouge comme une tomate, je détourne le regard, et pense à la prof de sport de 60 ans, qui a autant de charisme qu’un croisement entre un bulldog et un perroquet. Cette même prof nous annonce qu’aujourd’hui, on travaille par groupes de trois en musculation, et qu’il est important de mixer les niveaux qui avoisinent les notre, pour alterner entre travail du muscle et endurance.

Bien évidemment, comme le monde est impitoyable, elle prend donc la liberté de faire elle même les groupes.

À la fin, il ne reste que deux élèves qui n’ont pas de groupes.

C’est ainsi que Tiffany se lève et qu’elle s’approche de moi :

-Aujourd’hui, je t’aide à faire durcir autre chose que ta bite, dit-elle en palpant mon biceps.

Je lui souris, assez gêné.

On commence, développé-couché.

Elle s’allonge sur la table, je dois l’assurer en mettant mes mains sous la barre. Elle la baisse d’un coup, mes mains tombent sur ses seins, et y restent bloquées par la barre, qu’elle maintient fermement. Elle fait son petit sourire d’allumeuse faussement idiote et lâche un petit "Oups ! "

Elle lève ensuite la barre d’un coup, mes mains restent sur ces seins, puis me lance un regard indigné en se mordillant la lèvre :

-Perveeeeeeers !

J’enlève vite mes mains, et regarde autour de moi. Ouf, personne ne l’a entendu.

-Tiffany, arrête ça, c’est pas marrant !

Elle tord son cou vers l’arrière, et voit de près mon sexe qui a évidement durcit face à un tel traitement, et qui demeure prisonnier dans mon short.

-On dirait que tu trouves ça très marrant pourtant… Bon, le développé couché me saoule, on va faire des abdos.

Elle se lève, je la suis jusqu’aux tapis réservés au travail des abdominaux. Elle me met un coup de point dans le ventre et rigole, dévoilant son sourire impeccablement blanc.

-Aller ! Tu bosses ça !

La prof explique qu’il faut que l’un d’entre nous tienne les chevilles de l’autre, puis s’en va. Vu que certains élèves sont absents, et que les autres sont tous entrains de s’amuser aux vélos, rameurs, et tapis de course, nous somme seul dans le petit recoin à abdominaux.

Je m’allonge sur le dos, je pense que Tiffany va venir devant mes jambes, mais au lieu de ça, je la vois poser ses pieds de chaque côté du haut de mes hanches, puis se cambrer en avant, en pliant un peu les genoux tout en gardant les jambes collés, et elle m’attrape les chevilles. Elle fait reculer ses petites fesses en arrière, à 50 centimètres de mon visage.

-Ça te motivera Alex.

J’hésite, puis je me lève une première fois, approchant ma tête à 5 centimètres de ses fesses.

-Tu es nul ! Un petit effort !

Je continue, gagnant un centimètre, et subissant une réprimande à chaque fois que mon visage ne touche pas ses fesses.

Il faut dire que je n’ose pas. Pourtant, là, je suis à quelques millimètres seulement.

Au coup suivant, mon nez frôle son leggings. Ça ne l’empêche pas de continuer à me dire qu’il faut que je monte plus haut.

Alors voilà, mon visage se plaque presque contre ses fesses après.

J’ai le droit à un "Encore" , puis finalement, mon visage appuie complètement entre ses fesses.

C’est la première fois que je touche une partie de son corps avec mon visage. Je me met aussitôt à bander.

-Ben voilà ! Enfin ! , dit-elle en voyant mon érection.

Par la suite, elle secoue ses fesses contre mon visage.

Soudain, on entend la prof arriver, et elle s’enlève aussitôt. Moi, je me relève vite pour cacher mon érection. C’est déjà la fin de l’heure. La prof veut me parler d’une absence de la semaine dernière, et Tiffany s’en va, tordant du cul comme jamais, en me souriant.

Dans le couloir des vestiaires, elle ne m’adresse pourtant pas un regard, on ne se connaît pas, c’est tout comme.

C’est la fin de la journée. Je me change en vitesse, et je sors devant le lycée pour attendre la belle, mais mon bus arrive, et je dois filer… Je me retourne une dernière fois, et la voit sortir du lycée, me regarder, puis tourner la tête pour parler à Elisa.

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