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Tina poursuit ses épreuves – Chapitre 1

Tina poursuit ses épreuves - Chapitre 1



Notre relation, Tina et moi, est uniquement virtuelle. C’est ainsi ; nous l’avons décidé il y a plus de 10 ans, et même si ça en étonne plus d’un, cette relation est réelle et très « forte ».

Dans sa progression de soumise, je continue à dresser Tina afin de faire d’elle MA femelle. Lorsque nous sommes réunis tous les deux, elle devient immédiatement un objet, une chose que j’utilise pour mon plaisir.

Souvent, c’est via Internet que je peux l’utiliser, mais parfois, je lui impose des épreuves qu’elle réalise seule.

Un compte rendu détaillé lui est imposé.

Vous allez donc lire différents récits plus ou moins poussés, mais tous réalisés en réel par Tina, ma chienne.

Tina a toujours du mal à se montrer en public, à se découvrir telle qu’elle est réellement. Aussi, je lui impose ce genre d’épreuves régulièrement. Mes ordres sont brefs et précis, elle est dressée pour les exécuter.

Epreuve :

Avant de quitter ton travail, tu vas aux toilettes retirer tes sous-vêtements. Tu rentres chez toi. Une fois arrivée, tu te mets devant une glace nue, à genoux, collier, tu es autorisée à jouir.

Compte rendu de Tina :

Bonjour Maître, je suis rentrée du bureau de bonne heure. Comme vous me le demandez, en partant, je suis passée par les toilettes pour me mettre nue sous mes vêtements.

Sortie de l’immeuble, toujours ce sentiment de honte d’angoisse me tenaillant le ventre. La peur d’être découverte, d’être vue.

Dans la voiture, j’ai tiré plusieurs fois sur ma jupe comme pour la rallonger. Peur que mes cuisses se dévoilent trop et surtout que l’on puisse voir que j’étais nue dessous. Surtout que malgré moi, mes seins se sont tendus tout de suite sous le bustier, ne laissant aucun doute sur le fait qu’ils étaient nus.

La peur, l’angoisse, l’impudeur, mais aussi l’envie de devenir une salope vous obéissant, m’ont troublé tout le temps du voyage.

Là chez moi, un peu plus calme, car j’ai retrouvé ma bulle protectrice.

Deuxième épreuve :

Nue, juste mon collier, je vais devant la glace, je ne reviendrai là qu’une fois avoir joui sur votre ordre.

Je me suis mis à genoux devant la glace me renvoyant mon image de salope, de chienne à genoux.

Je me suis regardée droit dans les yeux, j’aurais dû avoir honte d’être comme ça, mais c’est aussi un plaisir qui est monté en moi.

Bien droite exhibée en salope obéissante. Mes seins dressés trahissaient mon état d’excitation ; les pointes tendues.

Je ne sais combien de temps je suis restée comme ça plus d’une minute, c’est sûr. Une chaleur dans mon ventre, et je me suis imaginée devant un public, la glace une sorte de caméra qui diffuse mon image, montrait la salope à qui voulait la voir.

Une femelle offerte aux mâles qui voudraient la prendre, une femelle qui a reçu l’ordre de jouir devant le public.

Me caressant imaginant des mâles se branlant devant moi, des femmes se caressant aussi, mouillant pour moi, j’ai vite joui en frottant mon clito, mais surtout en m’enfonçant plusieurs doigts dans la chatte.

Tina chienne femelle salope à son Maître Olivier

Autre épreuve imposée à Tina, se rendre dans un grand magasin et retirer ses sous-vêtements dans une cabine.

Bonsoir Maître,

Après un moment de flottement, je reviens vers vous avec plus d’envie, de conviction.

En rentrant du bureau, je me suis arrêtée dans la galerie marchande d’une grande surface, dans un magasin de vêtements.

En partant du bureau, j’ai pris la décision de vous obéir, et c’est le cur battant que j’ai pris la direction du parking de cette grande surface.

La voiture garée, je suis descendue et rentrée dans la galerie. Sous un aspect calme et décontracté, en moi mon cur battait et des frissons d’angoisse, de honte et d’excitation me parcouraient le corps. Une douce chaleur, mais aussi une angoisse paralysante. Un mélange troublant, entre honte et désir qui faisaient durcir mes seins. Deux personnalités en moi, la réservée, la pudique, qui me disait de repartir, et Tina la chienne qui s’excitait à l’idée de ce qu’elle allait faire.

Vêtue d’un tailleur gris sombre, jupe droite au-dessus du genou, une veste croisée boutonnée par 2 boutons sur un chemisier beige en soie fine, un coupe-vent 3/4 gris ouvert. Dessous, un soutien-gorge blanc en dentelle, un string blanc, des bas dim up, aux pieds, des escarpins fermés noirs.

Jentre dans ce magasin et déambule de façon nonchalante dans les rayons, faisant mine de chercher, mais troublée par ce que je devais faire. Je jette mon dévolu sur une jupe et un pull, et me dirige vers les cabines d’essayage.

Une fois le rideau tiré, je quitte le 3/4, la veste, le chemisier et retire mon soutien-gorge. Je fais de même pour le string. Je reste un moment immobile, essayant de maîtriser ma respiration, ma honte, mon angoisse.

Une grande inspiration et je repasse le chemisier, les seins tendus, pointant. Je passe ma veste sans la fermer, range mon string et le soutien-gorge dans le sac.

En sortant, je demande à la vendeuse si je peux laisser ma veste dans la cabine pour changer les vêtements. Elle porte un regard sur moi, je ne sais pas si je n’ai pas rougi de honte, mais elle répond en souriant : « pas de problème ».

Sans croiser son regard, je file dans les rayons, en me persuadant d’être naturelle, que personne ne peut savoir ce que je fais.

Prenant une attitude la plus naturelle, je passe et repasse dans les rayons, m’arrête devant des robes, les regarde, les touche, le regard absorbé par ce tri, pour ne pas croiser un autre regard.

Combien de temps, je ne sais pas. Le temps semble interminable quand on est dans une position d’angoisse.

Je reviens à la cabine, espérant ne pas croiser le regard de la vendeuse. Je me dirige vers ma cabine quand j’entends dans mon dos : « vous avez trouvé ce qu’il vous faut » ?

Surprise, prise d’angoisse, je retourne et vois cette vendeuse souriante. Je réponds un « oui » et m’enferme dans la cabine un long moment, essayant de retrouver mon calme.

Après un laps de temps pour donner le change, je passe mon 3/4 sans le fermer, la veste ouverte, je ressors sans regarder la vendeuse, remets les vêtements en rayon, et repars vers ma voiture, le plus calmement possible, en apparence.

Dans la voiture, je retrouve un peu de calme et rentre chez moi.

Seule ce soir, c’est nue et avec le collier que je vous fais ce récit.

Tina salope chienne à exhiber par Son Maître Olivier.

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