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trois générations – Chapitre 11

trois générations - Chapitre 11



La sonnette met fin à notre verbiage.

« Ah les voilà ! » dit Juliette en jetant un il par la fenêtre.

Elle part ouvrir la porte à papa et maman et les fait entrer au salon.

« La vache, vous êtes bandantes en diable, toutes les trois, vous avez mis le paquet, ce soir. Je ne sais pas si je tiendrai le coup devant vous quatre !, s’exclame papa.

Et moi, vous me trouvez comment ? », demande maman, en enlevant son imper.

Dessous, elle porte une paire de bas, retenus par un porte-jarretelles, pas de slip et un demi soutien-gorge balconnet, qui sert juste à soutenir les seins, laissant largement apparaître ses tétons qui sont, d’ailleurs, déjà érigés.

« Waouh ! T’es canon, mami !, lui dit Léna.

Et en plus, regardez ! »

Elle se tourne et se baisse, nous faisant admirer un magnifique rosebud qui lui décore l’anus.

« Je ne vous dis pas l’effet dans la voiture, quand je suis assise dessus, votre père faisait exprès de passer sur les bosses et dans les nids de poules qu’il voyait, à chaque fois ça me l’enfonçait un peu plus, j’ai déjà joui deux fois, rien qu’en venant jusqu’ici !, nous lexplique-t-elle.

Donc, Léna et moi, nous avons toutes les deux une jouissance de retard, nous nous sommes aussi tripotées, toutes les deux, pendant le voyage, mais nous avons arrêté car cela devenait dangereux !, lui dis-je.

Et moi, vous croyez que je vous ai attendus en faisant du tricot ? »

Juliette va vers la canapé, farfouille sous un coussin pour en ressortir un gode tout noir et d’une taille hors norme, puis l’agite devant nous.

« Voilà mon compagnon d’attente, il m’a permis de patienter en m’envoyant deux fois au septième ciel !, dit-elle, en souriant.

Hummm ! Jadore la couleur, je pourrai l’essayer ?, demande maman.

Je veux bien le partager, si c’est pour la bonne cause !, dit Juliette, en rigolant.

Si je comprends bien, il n’y a que moi qui n’ait pas encore joui aujourd’hui, votre mère ne voulait pas que je me touche de toute la journée : « garde ton énergie pour ce soir, ça n’en sera que meilleur » !, m’a-t-elle dit.

T’en fais pas, papy, tes petites femmes vont s’occuper de toi !, lui dit Léna, tout en s’approchant de lui pour lui poser une main sur la braguette, entreprenant un léger massage.

Ah non ! Cette fois-ci, c’est mon tour, vous y avez déjà toutes eu droit, sauf moi !, dit Juliette.

C’est vrai Léna, Juliette a raison, laisse-lui ta place qu’elle puisse, enfin, voir en réalité ce qu’elle n’a deviné, qu’en rêve, toute son adolescence !, dis-je à ma fille.

Pas de problème, à toi tante Juliette !

Ne m’appelle pas comme ça, j’ai l’impression d’avoir 70 ans, mon prénom est Juliette, OK, Léna, mais je te remercie de me laisser la place !

Je t’en prie…, Juliette !

Juliette s’avance vers papa, d’une démarche que je qualifierais de salope et en même temps, elle fait glisser les bretelles de sa robe, l’une après l’autre, celle-ci tombe à terre. Lorsqu’elle arrive devant lui, elle est nue.

« Donc, papa, si je résume bien la situation, tu as défloré Léna de ses deux orifices, ensuite, tu as fait la même chose avec ma sur qui, elle, bien-sûr, n’était plus vierge de nulle part depuis bien longtemps et pour finir, tu as escaladé maman par la face arrière ! On pourra dire ce que l’on voudra, mais toi, au moins, tu es un retraité actif ! Donc, il ne manque que moi à ton tableau de chasse. Avant de m’infliger le même traitement, j’aimerais voir l’outil dont tu vas te servir pour arriver à tes fins !

Tout est devant tes yeux, tu n’as qu’à regarder !, lui dit-il.

Non, je vais fermer les yeux et tu vas la sortir lorsqu’elle sera présentable, tu me le diras et je regarderai, la surprise n’en sera que plus grande pour moi !

OK, comme tu veux, Juliette, alors ferme-les, maintenant !, dit il en commençant à déballer son appareillage

Tu ne crois pas que si tu te mettais nu, ça serait plus simple ?, lui dit maman.

OK, d’accord, je me déshabille ! »

Papa est tout nu, mais son sexe n’est pas encore au beau fixe, il faut qu’il soit au meilleur de sa forme pour que Juliette puisse en apprécier toutes les possibilités. J’appelle donc Léna à la rescousse.

« Léna, viens rendre papy un peu plus présentable pour Juliette !, en lui montrant ma bouche avec un doigt.

Bien-sûr, maman, pas de problèmes, je vais faire du mieux que je peux ! »

Elle tombe à genoux devant lui et prend la chose en main, si j’ose dire, elle porte le gland à sa bouche et le caresse du bout de la langue.

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