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à trois on a moins froid – Chapitre 1

à trois on a moins froid - Chapitre 1



Lui avait pris place en face de nous, elle sest adossée contre moi et je lai prise dans mes bras. Je commençais à caresser négligemment son épaule quand je remarquais le regard quil posait sur nous. Je continuais donc des caresses de plus en plus précises, mes mains courraient le long de sa nuque, de son bras, de sa poitrine, jouant de mes doigts dans léchancrure de son corsage ou dans lespace ménagé entre les boutons. Il nous couvait dun il très intéressé qui avait pour moi valeur dencouragement. Ma bouche pris donc le même chemin que mes lèvres et sattardait dans les endroits sensible du cou. Elle soupirait daise pendant que je déboutonnais son corsage dévoilant deux seins moulés dans une délicate dentelle. Toujours en regardant notre spectateur dans les yeux, je déplaçais la toile pour libérer les globes et commençais à les titiller, faisant rouler leur pointe entre mes doigts, tiraillant doucement, caressent le galbe pour lui arracher des soupirs à elle de plaisir, à lui de désir. Je fis glisser son corsage puis je dégrafais son soutien-gorge afin que rien ne gêne mes caresses et je présentais à notre spectateur les tétons de mon amie, linvitant à se joindre à moi. Nous jouions à quatre mains et deux bouches sur son buste et elle semblait apprécier, si jen juge par ses gémissements.

Tandis quil prenait un de ses seins dans sa bouche et lautre dans sa main, je maventurais plus bas le long de sa colonne vertébrale afin de trouver la fermeture de sa jupe que je fis jouer. Je glissais mes mains le long de ses hanches pour faire glisser simultanément vêtements et sous-vêtements, Elle vint à mon secours pour laider à se dégager des étoffes qui lentravaient. Pour la première fois je la voyais nue et offerte. Je caressais son ventre et timidement, craignant quelle ne marrête encore une fois, je fis glisser ma main vers son entrejambe. Je ne sais si cétait lalcool ou notre nouvel ami qui La désinhibait mais elle se laissa faire et même ouvrit les jambes pour laisser passer plus facilement ma main. Lorsque jai atteint le petit bouton et commencé à le faire rouler sous mon doigt, elle laissa échapper un cri et serra les jambes, comme pour retenir ma main que javais commencé à retirer. Elle murmura « encore » dans un souffle et me tendis ses lèvres. Ce fut notre premier baiser, dabord nos lèvres qui se caressent puis une langue qui pointe et effleure la commissure, appelant une réponse de lautre, la réponse enfin, pudiquement pour commencer puis plus assurée et enfin nos bouches se sont scellées et nos langues se sont mêlées en un baiser profond.

Je cherchais à aller toujours plus loin, de ma main et de ma langue, incapable de me retenir et je dus leffrayer car elle rompit le baiser au moment où elle se mit à palpiter de plaisir sous ma main. Notre catalyseur pris sa bouche à ce moment pour un baiser intense mais bref, puis il me rendit la même politesse. Il me fit alors remarquer que javais mis mon amie en position de faiblesse en la déshabillant et que je devrais me mettre à égalité avec elle. Elle sinstalla dans ses bras de la même façon que dans les miens jusque là et me dis quelle avait envie de me voir faire. Face à ce couple, jimprovisais un strip-tease. Les yeux fixés sur eux, je me laissais aller au rythme de la musique, découvrant tour à tour mes épaules, puis faisant glisser mon gilet le long de mes bras, laissant voir mon dos que ma robe ne couvrait pas beaucoup. Tout en ondulant des hanches, je me retournais pour leur faire face et délicatement je tirais sur le ruban qui retenait ma robe sur ma poitrine. En quelques mouvement dépaules, le décolleté souvrir largement, découvrant mes seins libres. Je fis jouer la fermeture éclair, libérais mes bras des bretelles et lentement, je fis glisser le tissus, découvrant dabord ma poitrine, puis mon ventre, mes hanches et mon porte-jarretelles et mes bas, la robe tomba enfin jusquau sol. Je me retrouvais donc nue ou presque face à eux et ne savais plus comment enchaîner lorsquelle se leva pour entamer une petite danse avec moi.

Nos deux corps collés lun à lautre se caressant sensuellement au rythme de la musique, nos seins seffleurant doucement de la pointe, nos mains parcourant le corps de lautre rapidement suivies de nos bouches tout cela du contribuer à le rendre impatient de désir car il vint nous rejoindre, nous enlaçant et nous effleurant partout où il était possible. Nous nous tournâmes vers lui et entreprîmes de le débarrasser de ses vêtements. Très rapidement, nous eûmes la preuve que notre compagnie lui plaisait beaucoup. Nous tenant par la main, il nous entraîna vers son lit où nous nous allongeâmes et reprîmes nos caresses. Toutes deux avons convergée vers son sexe tendu, dabord avec nos mains enlacées nous avons parcouru toute la longueur de sa queue avec un mouvement de va et vient le faisant gémir. Nos langues ont pris le relais, caressant toujours la longueur, insistant sur le frein, titillant le gland, nos langues se mêlaient en même temps, salliant pour lui plaire, se combattant pour recueillir la petite goutte qui séchappait parfois, labandonnant pour sembrasser juste au dessus de cette queue tendue, puis replongeant pour son plaisir. Chacune notre tour le prenions dans notre bouche, lavalant entièrement avant de le libérer pour que lautre puisse à son tour profiter de lui. Rapidement sa respiration se fit plus haletante et comme nous ne lui laissions aucun répit, il finit par jouir dans la bouche de mon amie. Celle-ci recueilli tout le sperme dans sa bouche, mais je savais quelle avait horreur davaler, aussi je mapprochais de sa bouche et elle fit couler le liquide chaud et mêlé de sa salive dans ma bouche afin que je men régale. Lorsque jeus tout avalé, elle membrassa et commença à me caresser les seins, sa main trouva le chemin de mon sexe puis dun simple effleurement à mon clitoris déjà gonflé de désir, elle marracha un cri de plaisir. Ses doigts continuèrent jusquà sintroduire dans ma chatte trempée, et de deux doigts, elle entreprit de me caresser doucement mais profondément, trouvant rapidement cet endroit particulièrement sensible chez moi déclenchant des ondes de plaisirs dans mon ventre. Je mapprochais le plus possible delle pour coller mon corps au sien, et ma main sinsinua en elle pour tenter de lui rendre le plaisir quelle me donnait.

Ayant récupéré et ne voulant pas être exclu complètement de nos jeux, il nous rejoignit, nous fit allongé sur le dos côte à côte et sinstalla entre nous. Il commença à nous caresser partout, jouant la carte de la symétrie, faisant subir aux deux en même temps le même attouchement. Dabord, nos seins furent palpés, soupesés, serrés, étirés, nos mamelons durent se dresser quand il les manipula, les fit rouler entre ses doigt, les tira et les pinça. On aurait pu croire quil cherchait à comparer nos formes, savoir quelle paire de seins lui plaisait le plus, laquelle répondait le mieux à ses caresses, laquelle était la plus opulente. Nous nous tendions sous ses caresses, en appelant dautres, chaque fois que nous faisions mine de vouloir le caresser ou nous caresser, il nous en empêchait doucement mais fermement, nous lavions fait jouir trop vite et il était hors de question quil ne nous donne pas le plaisir auquel nous avions droit. Ses mains glissèrent vers nos sexes, tout deux moites et brûlants, avides de laccueillir. De la même façon quavec nos seins, il reprit ses investigations, lequel des deux était le puits le plus profond, le plus accueillant, le plus chaud, le plus mouillé il introduit deux puis trois doigts en moi, marrachant un gémissement, il dut faire de même avec elle car je lentendis gémir presque en même temps. Nous nous regardions droit dans les yeux tandis quil nous masturbait, je voulais la voir jouir et je refusais de me rendre avant elle. Au fur et à mesure que le plaisir montait par vague sous ses doigts, je voyais ses yeux sagrandir, sa poitrine se soulever au même rythme que la mienne, jentendais les gémissements quelle ne parvenait plus à retenir. Je vis dans son regard le moment où elle capitula et je lentendis réclamer pitié, quil vienne en elle. Je le poussais vers elle pour quil la satisfasse et je minstallais près delle pour caresser son visage, lembrasser et observer comment allait évoluer son orgasme.

Il écarta Ses jambes et se positionna pour entrer en elle, je recueilli sur ses lèvres son cri de plaisir quand il commença à pousser pour sintroduire profondément. Tandis quil la pénétrait je lembrassais à pleine bouche mais elle me repoussa et me demanda de me positionner au-dessus delle. De ses doigts, elle commença à caresser mes lèvres intimes puis elle mit au jour mon clitoris et le caressa du pouce tout en introduisant trois doigts dans mon vagin. Elle se calqua sur le rythme quil lui imposait et très vite nos gémissements saccordèrent. Mais au bout que quelques instants, elle le repoussa, retira ses doigts et lui demanda de soccuper de moi. Il mattrapa par les hanches et me fit reculer vers lui, je me laissais tomber à quatre pattes et il sintroduisit en moi assez facilement après le traitement que mon amie mavait fait subir. Son premier coup de rein me projeta contre elle qui navait pas changée de position, je plaquais ma bouche contre son sexe et de ma langue jexplorais tous les replis cachés entre ses cuisses. Je mis deux doigts à lintérieur et tout en titillant son clitoris de ma langue, je la caressais cherchant à atteindre le plus profond possible. Lorsque je fus prête à jouir sous les coups répétés de notre ami, je forçais un peu le passage, ajoutais un doigt et me mit à la masturber violemment tout en léchant amoureusement le petit bouton. Je crois que nous avons joui tous en même temps.

Nous sommes ensuite tombés épuisés sur le lit mais Elle est venue se placer à mes genoux et de sa langue habile, Elle a nettoyé mon sexe englué de sperme. Je savais quelle faisait cela pour moi puisquelle détestait le goût du foutre. Je recommençais à haleter sous sa bouche et très vite je jouis de nouveau. Elle sarrêta et se mis aussi à pousser des petits cris de plaisir, je me redressais et je pus voir quil l’avait prise en levrette et sagitait frénétiquement entre ses cuisses. Comment il avait pu retrouver sa vigueur aussi rapidement me dépassait mais je mallongeais sous elle et recommençais à les caresser tous les deux en même temps, de ma langue et de mes mains. Il sétait introduit dans le passage le plus étroit et je pouvais observer son sexe dilater son anus, entraîner un peu de peau à chaque fois quil se retirait, puis la rondelle qui se distendait à nouveau quand il se réintroduisait. Je pouvais entendre les cris de plaisir et de douleur mêlés de mon amie. Je soulageais un peu sa souffrance et augmentais son plaisir grâce à ma langue qui la caressait et à mes mains qui lempêchait de se déchaîner dans cette voie étroite. Elle me rendait la pareille et une nouvelle fois nous avons jouis. Cette fois nous nous sommes endormis sur place nos corps emmêlés.

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