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Étudiant chez l'habitant – Chapitre 6

Étudiant chez l'habitant - Chapitre 6



Chapitre 6: Déflorés

— Mais cest excellent !

— Cest vrai tu aimes ? Lui dis sa mère la mine réjouie. Oh ça me fais plaisir que tu apprécies toi aussi, tu verras, Maman te montreras toute les façons den consommer, hihi !

— Comme on dit : Telle mère, telle fille ! Rigola joyeusement J-Paul.

Je souris avec lui. La tension sexuelle qui régnait naltérait en rien lambiance conviviale que Danielle et j-Paul avait instaurée.

— Je peux ? dit-elle à sa mère en désignant la petite flaque de jouissance de son père.

— Eh dis-donc, cest moi qui ai perdue il me semble ! Elle riait devant la moue boudeuse de sa fille. Allez si tu veux, mais va falloir te dépêcher sinon je ne vais pas ten laisser !

Mathilde éclatât de rire et se précipita sur la table basse à la suite de Danielle. Nous assistions J-Paul et moi à une sorte de compétition amicale entre la mère et la fille. Elles se disputaient gentiment, leurs têtes se heurtaient en essayant de tremper leurs langues dans la liqueur collante de J-Paul. Ce dernier semblait prendre plaisir à regarder les 2 femmes se chamailler à qui lécherait le plus de sa semence et il est vrai que les voir batailler de la sorte était jouissif. Je me surpris même à me demander quelle saveur cela pouvait-il avoir

La table redevenue nette, elles sembrassèrent tendrement puis Danielle sadressa à sa fille :

— En tant que grande gagnante, tu disposes comme tu veux du grand perdant, c’est-à-dire ton père ! Il devra être à ton entière disposition. Quoique tu lui demandes, il devra lexécuter !

Debout, les jambes croisées, son index entre les dents, Mathilde balançait les hanches songeusement.

— Papa, commença-t-elle,., je veux .., elle prit son temps, . que tu.., me fasses lamour ! Sécria-t-elle alors se jetant dans les bras de son géniteur.

— Cest drôle, je mattendais à quelques choses dans le genre ! dit-il en riant. Mais pas trop vite, mademoiselle, jai plus 20 ans moi ! Faut me laisser souffler ! Ahah !

— Oui, et puis cest ta première fois, il ne faut aller trop vite et gâcher ton plaisir !

Danielle reprit les choses en mains afin dorganiser au mieux le dépucelage de sa fille. Il fallait que le sexe de Mathilde soit suffisamment excité pour supporter sans douleur la perte de sa virginité et que le membre de J-Paul soit de nouveau ferme et tendu. Pour ce faire, elle me fit étendre sur le dos à même le tapis du salon, Mathilde sagenouilla sur mon visage et son père vint placer sa verge face à la bouche de sa fille.

Je me régalais à rendre sa vulve accueillante et me délectait de la vision en contre plongée de la fille enfournant la bite encore molle de son paternel. Elle y mettait tellement dardeur que J-Paul arbora vite une superbe érection qui déforma peu à peu la bouche de sa fille. Danielle quant à elle, nétait pas inactive, elle saffairait sur ma queue tendue, faisant taper le dessous de mon gland sur sa langue tendue. Cela faisait un petit claquement sonore chaque fois que mon frein heurtait sa langue. J-Paul ne pût sempêcher de murmurer à lattention de sa fille :

— Ma jolie petite salope…

Danielle qui lavait entendue le reprit : Voyons, chéri !

Sa fille stoppa sa fellation :

— Ben oui, Papa, voyons. Cest ma jolie petite salope "chérie" quil faut dire ! Et elle reprit sa succion de plus belle.

— Oh oui, excuses-moi, ma petite salope chérie ! Corrigea-t-il

Elle se dandinait sous les caresses de ma langue et ses cuisses se contractaient de plus en plus sur mes joues, Danielle y vit les prémices dun orgasme imminent et ordonna à sa fille de prendre ma place sur le tapis. Elle mit ses mains sous ses genoux et écarta ses jambes, sa chatte était gonflée de désir et son père se positionna face à son entrejambe.

Danielle et moi nous sommes approchés afin de mieux voir. Le gland de J-Paul écarta doucement les petites lèvres, pénétra encore un peu en ce lieu humide, Mathilde serra la bouche, fronça les sourcils et laissa échapper une petite plainte. Elle fut parcourue dun frisson lorsque J-Paul arrêta sa progression, il était maintenant au plus profond de sa fille.

J-Paul respirait fortement, il était contracté, il prenait également son temps, guettant sur le visage de sa fille le moment où il pourrait entamer ses va et vient. Danielle caressait la joue de sa fille, celle-ci rouvrit les yeux et sourit. J-Paul retira lentement son membre et avant de le ressortir complètement, lenfonça puissamment dans les chairs de sa fille. Elle gémit, cambra son bassin et serra les cuisses sur le corps de son père. Celui-ci la pilonnait, je voyais son sexe entrer et sortir de cette jolie chatte, il grognait que cétait trop bon, quil ne tiendrait pas longtemps

Mathilde semblait convulser de plaisir et ne se retenait plus pour gémir. Danielle indiqua à son mari quelle avait des pilules du lendemain et quil pouvait jouir à lintérieur sa fille, ça calmerait le feu qui la consumait. Il ne tarda pas à éjaculer. On voyait des traces de sperme sétaler le long de sa verge lors des derniers allers-retours quil effectua de plus en plus lentement. Il resta encore un temps en elle, lui bisa le front et se retira.

— Tu es une femme, ma fille, lui dit Danielle en souriant.

Mathilde lui rendit son sourire, lui disant quelle avait adoré.

— Ce nest pas encore fini ! Il faut maintenant que tu remercies le sexe qui tas déflorée. Papa sera très content que tu nettoies son pénis ! Moi je vais en profiter pour honorer ta virginité perdue en moccupant de ton petit minou !

J-Paul approcha sa bite dégonflée de la bouche de sa fille qui lengloutit comme un chaton tète sa mère. Danielle, à quatre pattes, le cul dressé léchait goulument les fluides qui séchappaient du sexe béant de sa fille :

— Ah que cest bon vos deux jus mélangés., un délice, mmh,.. du bon lait tiède dans un minou juteux ! …. Ah ce que jaime ça ! ..Et toi Jérémy ! Où sont tes bonnes manières ? . Quand une dame te montres son cul, tu lenfiles ! Et vite ! Allez, dépêches-toi !

Pendant ce moment, je métais sentit un peu exclut de cette relation familiale, je nétais plus que le simple spectateur de leurs ébats, mais Danielle ne mavait pas oublié !

Japprochais avec appréhension mon chibre tendu vers sa fente lisse. Jallais pour perdre mon dépucelage, prendre une mère de famille en levrette sous les yeux de sa fille et de son mari ! La situation mexcitait grave mais javais peur de perdre mes moyens. Après avoir glissé par deux fois, mon sexe senfonça enfin à lintérieur de son ventre. Elle poussa un râle de soulagement.

Jétais surpris par la douceur de son vagin, et sentais ses parois se contracter sur ma raideur. Tout à la découverte de ces nouvelles sensations, jeffectuais machinalement des mouvements de bassin sans grande conviction

Sentant mon inexpérience, Danielle mencouragea à sa manière. Elle commença à remuer les fesses davant en arrière pour mappliquer un rythme plus soutenu et une fois nos mouvements coordonnés, elle reprit ses stimulations orales :

— Ah vas-y, défonces là ma chatte ! . Ah cest bon, baises-moi, baise-moi ! . Tu me défonces ! . Continue, continues, tarrêtes pas ! . Plus fort ! . Ah, bouge-moi cette grosse queue ! Ah !

Elle hurlait presque, on se serait cru dans un mauvais porno tellement ses paroles étaient vulgaires. Cela contrastait grandement du discours avenant que je connaissais de Danielle en tant que propriétaire. Cependant, ses paroles avaient leffet escomptées, je lui labourais le sexe furieusement, javais envie de la faire hurler encore plus, je faisais en sorte de menfoncer au maximum en elle pour bien lui faire ressentir les proportions de ma queue.

Mathilde en avait fini avec son père et se décalait progressivement sur le dos afin de pouvoir se mettre tête bèche avec sa mère. Rendue entre les cuisses de celle-ci, elle tentait dapprocher sa langue de nos sexes en mouvements. Devant lardeur de mes assauts, elle dû abandonner lidée et se contenter de regarder mon sexe aller et venir dans celui de sa mère. Le visage de Mathilde si près de nos organes, je savais que je ne tiendrais pas longtemps. Danielle devait le comprendre et cria : Vas-y, lache tout, inonde-moi !

Je vins aussitôt en arrêtant ma course au plus profond de son sexe, je sentais ma queue décharger des jets puissants. Très vite son vagin devint un océan. Je transpirais, je soufflais bruyamment puis entrepris de me retirer sous les compliments de Danielle. Elle était heureuse pour moi et avait pris du plaisir.

A peine suis-je sorti de sa chatte que Mathilde attaqua avidement son « nettoyage ». Elle recueillait de sa bouche le filet de sperme qui sécoulait hors de la fente de sa mère. Elle lui écartait les chairs afin de mieux distinguer les larmes blanchâtres et les aspirerait méticuleusement

Ce nest que quand jai vu J-Paul revenir du sous-sol que je maperçus quil avait quitté la pièce. Tout accaparé que nous étions par notre plaisir, il en avait profité pour descendre chercher une bouteille et des coupes.

— Champagne ! dit-il. Il faut bien fêter ça tout de même ! Cest une soirée qui restera dans les annales !

Nous nous sommes tous trois redressés et sommes allés à sa rencontre. Il remplit les quatre coupes et nous les tendit. En prenant la sienne, Danielle dit à sa fille :

— Avec une lichette de sirop dhomme cest encore meilleur !

— Oh Maman, tes possible ! Tout de façon, je crois quil ny en a plus, les hommes sont kaput ! Rigola Mathilde.

— Tu te trompes, ma chère fille, regardes un peu la bite de Jérémy ! Lui fit remarquer sa mère en désignant mon pénis sur lequel il subsistait des traces de ma jouissance. Tu permets mon grand, continua-t-elle en immergeant mon sexe flasque dans sa coupe.

Elle la retira sous les rires de sa fille qui fit de même avec sa coupe. J-Paul se retournât vers moi et avec un hochement dépaule trempa lui aussi ma bite dans son verre.

— Après tout ! Dit-il. Ça peut faire un bon cocktail !

Je les imitais alors. Mon sexe était rincé, nos verres agrémentés, nous pouvions trinquer à cette admirable soirée ! Je nai pas trouvé de goût particulier à cette boisson mais il faut dire que mon verre devait contenir peu de ma liqueur.

J-Paul était partit chercher son appareil photo et nous discutions tous les trois de nos impressions. Danielle sinquiétait de nos réactions, avait peur de nous avoir choqué, elle nous expliquait quelle avait limpression dêtre totalement une autre quand elle était sexuellement excitée.

Cest vrai quelle était redevenue la petite femme aimable et charmante que je connaissais. Mathilde, elle, était intarissable sur ses sentiments, elle avait adoré, elle navait pas eu mal, elle sentait plus ses pieds, ses seins étaient encore durs, sa chatte dégoulinait toujours, elle aimé ceci, mais encore plus cela, enfin bref elle avait aimée !

Jétais plus discret sur mes émotions, mais il ny a pas de doute cétait génial ! Javais rencontré une famille un brin perverse mais ils mavaient fait lhonneur de partager ce moment avec eux et je les en remercierais toujours.

J-Paul arriva avec son appareil et un trépied, nous fit prendre la pose, enclencha le minuteur et vint nous rejoindre.

Nous sourions tous les quatre et je pensais en moi-même que cette photo prendrait rapidement place dans un nouvel album de famille !

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