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Un autre monde – Chapitre 2

Un autre monde - Chapitre 2



L’air inquiet et soucieux de ces femmes laissent place à présent à des sourires amusés et rassurés, elles se rapprochent du lit. Marie s’assoie de l’autre coté de Denis, lui chuchotant à l’oreille:

— Si j’étais mariée à toi, je pense que j’aurais fait un bon choix et surtout, j’espère que j’en aurai bien profité !

Une des femmes, au pied du lit, s’avance vers Denis à quatre pattes; Sa poitrine généreuse oscille à chaque pas. Elle se positionne en tailleur derrière Marie, pose une main sur son épaule et la seconde, de l’autre coté de Denis; Sa tête est à moins de 30 cm du sexe du jeune homme. Ce dernier ne pouvant retenir son érection, tentant de la camoufler par sa main droite, c’est là qu’il remarque qu’il est entièrement nu.

Constatant son étonnement, les yeux fixés sur ses parties intimes recouverte du "simple" drap, Chantal, qui semble manifestement la porte-parole du groupe lui explique, un sourire malicieux aux lèvres.

— Nous, nous sommes permises de te déshabiller; D’un point de vu médical, il est vrai que ce n’était pas indispensable; Mais nous en avions tellement envies

Par un mouvement circulaire, Denis observe ses hôtesses: Elles ont toutes les yeux rivés sur la bosse que forme sa main reposant sur son pénis. Certaines se pinçant la lèvre inférieure, d’autres la bouche entre-ouverte; On aurait dit un bus d’enfants devant une vitrine de confiseries.

Chantal re-pris la parole toujours son sourire espiègle aux lèvres, mais sur un ton plus sérieux:

— Ca fait plus de 4 ans que nous n’avons pas vu d’homme, tu peux t’imaginer !?; Bref, nous te proposons, de t’héberger, tu seras nourri logé blanchi En contre partie, tu devras répondre à toutes nos sollicitations.

En disant ça, elle glissait sa main sous les draps pour la poser sur celle de Denis.

— Et si je refuse s’exclame Denis.

— Bien c’est pas grave, on arrivera bien à te ligoter au lit. Lança Natacha.

L’idée d’être attaché n’était pas pour déplaire Denis, mais il préféra préciser:

— Qu’entendez-vous par " toutes nos sollicitations" ?

A ce même instant, toutes se sont rapprochées encore un peu plus de lui, le lit est plein, des mains se sont posées naturellement sur tout son corps.

Sous les draps, la main de Chantal glisse le long des doigts de Denis, l’immiscent entre eux, frôlant ainsi son sexe, en remontant doucement, Denis leva sa main, alors que celle de Chantal prenait possessions du pénis déjà en feu. Elle leva la tête et annonça à l’assemblée:

— Ce pauvre homme est certainement soufrant encore, il est chaud, je le sent très tendu et semble animé de convulsions. Levons ce drap !.

Elle se penche alors vers lui, lui chuchotant à l’oreille:

— Oui, là encore ce n’était pas très "médical", mais elles attendent ça depuis si longtemps, et moi la première.

Elle l’embrasse alors goulûment, en une fraction de seconde, sa langue a parcouru toute la bouche de "ce pauvre homme".

Simultanément, le drap s’envole et toutes les mains envahissent le corps de Denis.

Subitement, Chantal met le stop:

— Attendez les filles, on ne peut quand-même pas le violer, l’épuiser ainsi !; J’ai préparé, spécialement pour lui quelques "médicaments" aussi, nous devrions, dans un premier temps les lui donner puis dans un second temps

Elle sort alors du tiroir de la table de nuit, deux petites fioles transparentes contenant des préparations "pharmaceutique" liquides, l’une est ambrée, la seconde un beau violet. En lui tendant, un sourire fier:

— Cul sec, les deux.

Denis semble septique, elle ajoute:

— Quoi ? T’as peur de quoi ?.

Devant une telle assurance, nonobstant le sentiment de servir de cobaye, il engloutit les 2 sirops (Il aurait mieux fait de finir par le violet, l’ambré n’est vraiment pas bon).

———— OO ————

Durant quelques secondes qui semblent une éternité, toutes les femmes restent là, les yeux fixés sur l’entrejambe de Denis, sans mots dires.

Chantal re-prend la parole, brisant le silence:

— Hé ! ce n’est pas une potion magique, ça n’a pas un effet immédiat !. Pour une meilleure absorption il faudrait qu’il mange.

— Ca c’est une bonne idée s’exclame Denis.

Il se lève alors, descend du lit, fait quelques pas avant de constater qu’il ne bande plus, mais en se dirigeant vers le salon, il sent des mains caresser ses fesses, ses hanches, son dos; De plus il suit 3 femmes, ses yeux sont figés sur ces superbes fesses Son membre se durci de nouveau.

Arrivé dans le salon, une immense table de banquet, en "U" est dressée, avec de longues nappes blanches; 2 filles vêtues Mais seulement d’un petit tablier blanc s’affèrent à finaliser les préparatifs, sur le rythme d’une douce musique d’ambiance. Il reconnaît les 2 sublimes créature du centre commercial; L’une d’elle s’avance :

— Cette semaine, c’est nous 2 qui organisons les repas; Au menu ce soir:

Salade norvégienne,

Gigot d’agneau au safran parfumé à la coriandre

Farandole de fromage

Tarte au citron meringuée

& pour accompagner le tout rouge & rosé du château Toulmon

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— Allez ! Entendit Denis juste avant de se recevoir une claque sur les fesses. Il ne tourne pas la tête.

Il s’installe alors au centre, sur un grand banc en bois, massif; Mari en bousculant 2 autres femmes vient s’asseoir à coté de lui en prétextant:

— C’est mon mari ! Je dois bien m’asseoir à ses cotés ! (Tout en lançant un clin d’il à "son homme").

Sur sa gauche, c’est la jeune mère de l’école qui s’installe, lui lançant:

— Moi c’est Caroline; Caro pour les intimes.

A ce même instant elle pose sa main sur la cuisse de Denis, puis glisse sur l’intérieur tout en remontant, venant flatter ses testicules.

— Je pense que je peux t’appeler Caro donc. Lui sort spontanément Denis les yeux écarquillés.

Face à lui, la blonde du supermarché se penche pour lui déposer son assiette de salade; sa poitrine opulante est juste sous ses yeux; Elle lui glisse à l’oreille.

— En fait, il y a plein d’autres choses au menu, mais ça ne serais plus une surprise si

Puis, s’en retourne en cuisine, faisant onduler ses fesses, caressées par la ficelle du tablier.

Alors que sous la table, Caroline est toujours en train masser délicatement les bourses de son voisin, Mari s’empare du sexe de son mari, ce dernier rétorquant fébrilement:

— Si vous permettez, je vais manger cette belle salade; J’ai une vraiment une faim de loup.

— Nous aussi on a faim, répond simplement Caro.

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Alors qu’il ne lui reste que deux ou trois bouchées, Denis sent une nouvelle caresse sur son sexe; Mais ce n’est assurément pas une main; Une langue bien dure vient de monter de ses couilles jusqu’au gland où elle trace à présent de petits cercles. Deux mains se posent sur ces cuisses, les écartent délicatement avant d’engloutir ce membre toujours en érection.

Denis ne peut alors finir son assiette, il apprécie la douce fellation surprise que lui prodigue une de ces belles femmes.

Marie, voyant que Denis ne mangeait plus, re-glisse discrètement sa main, du ventre, jusqu’ à la tête de sa collègue.

— Ho ! Estelle ! Lui chuchote t’elle après avoir soulevé discrètement la nappe.

C’était donc Estelle, la petite secrétaire si existante, qui avait décidé de passer directement au plat de résistance. Elle leva sa main gauche de la cuisse de Denis, certainement pour venir caresser celle de Marie ou plutôt son intimité, à en voir l’air de cette dernière. Estelle parvenait à sucer goulûment Denis tout en masturbant sa voisine. Celle-ci se pince alors les lèvres, comme pour se contenir, Denis l’observe, il connaît bien cette expression, c’est la même que lorsqu’ils font l’amour, c’est l’instant où généralement il délaisse les préliminaires pour passer à la suite; Mais là, non seulement il n’y a pas de suite, mais cette caresse est promulguée par une femme. Jamais Denis n’aurait pensé, même dans ses plus fous fantasmes, qu’elle puisse prendre un tel plaisir avec une personne du même sexe. La tête pleine de belles choses, sa bite dorlotée à souhait, il se demande comment ça se fait qu’il n’ait pas encore joui; La Fellation d’Estelle n’est certes pas la plus experte qu’il est connu, mais il y a quand-même les bases !.

Quand, les 2 serveuses arrivent, pour débarrasser les plats finis (ou presque), et servir la suite; Mais par derrière cette fois, faisant glisser leurs petite poitrine aux tétons érigés contre le dos de Denis, posant chacune une main sur son épaule. Il ferme les yeux, croyant jouir, mains non, le plaisir monte encore ! Comme si elle l’avait compris, Estelle sous la table s’affaire avec plus d’ardeur encore.

Après avoir simultanément débarrassé puis servi la suite à l’invité, en remontant leurs mains, les jeunes femmes derrière lui, caressent délicatement son torse, avant de se plaquer plus fermement à lui; C’est là qu’il jouit, il n’avait jamais atteint un tel plaisir. Et la violence du premier jet de sperme est telle, qu’Estelle s’ est retirée précipitamment du membre dur qu’elle dévorait.

Au même instant, sa femme, à ses cotés venait aussi d’avoir un orgasme. Même si toute la scène n’était pas passée inaperçue aux yeux des autres, le râle rauque de Denis accompagné du petit cri de Marie, qu’ils n’ont put retenir, on pouvait lire sur les regards des expressions partagées, de jalousie, d’étonnement, de satisfaction

Brisant le silence, Denis s’exclame:

— Elle était bien bonne cette entrée !

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Les odeurs d’épice, safran & coriandre en tête, embaument toute la pièce. Le soleil ne suffit plus à éclairer la salle, une femme qui allume sur les tables des petites bougies flottantes sur l’eau dans de petits ramequins ravissants.

Denis hume les vapeurs de son assiette en fermant les yeux. Les petits morceaux d’agneau avec leurs couleurs rouges orangées sont un pur délice, et le vin rouge se marie divinement à ce plat.

Les premières bouchées titillant à peine ses papilles, de nouveau, il sent sous la table, sous la nappe, une caresse sexuelle.

Denis réalise: Alors qu’il a jouit il y a moins de dix minutes, pourtant, son érection est inchangée; Son sexe est toujours dressé et son désir de jouir de nouveau est toujours bien présent, contrairement à l’accoutumé.

Cette nouvelle caresse est bien plus sensuelle & délicate. La femme qui lui offre celle-ci est bien plus expérimentée. Il n’ose pas regarder sous la table, il déguste lentement son agneau, presque comme si de rien n’était, juste en fermant par moment les yeux. Tous ses sens sont en éveil.

La fellation dure depuis si longtemps, toutes les assiettes son vide, un somptueux plateau de fromage a été proposé, mais personne n’en a voulu. De généreuses parts de tarte sont déposées sur les tables; Et la délicate mélodie (enchantée ?), synchronisée avec celle que joue cette femme sous la table avec cette flûte qui n’attend qu’une chose: Jouir !. Mais, c’est comme si c’était devenu impossible, Denis a largement dépassé cette zone rouge, là où il pensait que son plaisir atteignait son apogée, il découvre en fait des sensations, des plaisirs qu’il n’imaginait pas. Il n’a plus la force de faire comme si de rien était, il glisse ses deux mains sous la nappe, non pas pour guider la virtuose, mais simplement pour caresser sa chevelure. Après avoir gardé les yeux fermés un peu plus que les fois précédentes, en les ouvrant, il constate que

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